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MARILYN MANSON
ONE ASSASSINATION UNDER GOD


Le 17 Février 2025 par SWISSIDOL


Je me suis quelque peu lassé du sieur Manson et de son cirque : clips sombres, où il porte un dentier en or, un "œil de verre" ou que sais-je. Son de basse trafiqué et crade. Textes désabusés et déprimants. Comment peut-on se complaire depuis des décennies dans la crasse, les égouts et le sang?
Ce nouvel album se situe dans la moyenne plutôt basse des productions de notre névrosé préféré. Pas mauvais ("Meet me in sanctuary ") mais pas bouleversant. 2,5/5





Jean-patrick CAPDEVIELLE
LES ENFANTS DES TENEBRES ET LES ANGES DE LA RUE


Le 17 Février 2025 par MARTIN LA BOTTE

@PSYCHODIVER : je plaide coupable. À peine la critique de Marco publiée, j'ai entamé un commentaire repoussé et rerepoussé. Bon, tu as le droit de le lire en diagonale parce que tu as dû remarquer que je suis celui qui réagit aux chroniques de Marco sur l'oeuvre de Mireille MATHIEU, donc si tu t'attends à du lourd dans l'analyse de cet album, tu sais que ça ne viendra pas de moi.
En gros, je disais que je suis de la génération (donc sans doute celle de ton papa) qui a fait de CAPDEVIELLE cette rockstar très éphémère et je revois les filles du collège qui ne juraient plus que par lui (et aussi par BASCHUNG dont tu parles justement en dessous) et qui rejetaient soudain JOHNNY et les autres "ringards" dont certains venaient de casser leur pipe, CLOCLO, puis DASSIN. Et moi, ultra farouche pour défendre mes goûts musicaux de l'époque, je les écoutais sagement, elles et les copains, exprimer avec le plus grand sérieux qu'il était évident que JPC incarnait le renouveau et la relève durable, le gars qui allait s'imposer dans la cour des grands et leur donner à tous un coup de vieux... J'aimerais les retrouver pour savoir combien d'entre eux, et combien de fois, ont réécouté cet album (réussi) ces 44 dernières années, combien ils ont été à avoir acheté les albums suivants et combien repensent régulièrement à Jean-Patrick avec émotion...
Pour ma part, j'avais commandé l'album au Club DIAL pour le fameux tube auquel il ne faut "pas se limiter", alors que ça a été plutôt mon cas (même si j'aimais bien aussi "Tout au bout de la ville", "Salomé" et "Elle est comme personne"). Et puis le gars avait l'air sympa chez Danielle GILBERT, avec une posture assez séduisante du genre "je sais pas ce que je fous là mais c'est gentil de m'inviter". Pour être tout à fait honnête, je me suis parfois demandé s'il forçait pas un peu le grain de voix nauséeux du type rebelle à qui on a envie de proposer un Vogalène. Il n'empêche que j'ai continué à l'encourager plus longtemps que d'autres parce que par la suite, quand le grand public avait compris que c'était déjà fini pour lui, j'ai acheté 2 de ses singles : "Halloween, Halloween" en 83 et "40 à l'ombre" en 85. Et j'aime bien aussi "Celle qui t'aimait" en 88, même si ça ressemble plus à du Marc LAVOINE...
Pour la petite histoire, les copains/copines du lycée, après avoir promptement renvoyé JPC dans le désert, m'ont refait le coup dès 82 du "Il est comme personne" qui allait casser la baraque, un certain JJG...

Psychodiver, peux-tu me dire ce que tu entends par "n'accordant pas grand intérêt aux hits faciles" ? Que JPC n'a pas su apprécier le statut de créateur d'un tube et que du coup, il a pensé que sa chanson était forcément "facile" ?

@Marco : ma petite contribution aux faces B qui ont mieux marché que la A : "Les Champs Élysées" de Joe DASSIN. ;)






Etienne DAHO
POUR NOS VIES MARTIENNES


Le 17 Février 2025 par PSYCHODIVER


NONO va sans doute imaginer que je l'ai pris pour cible et que je m'acharne sur lui ... "Pour Nos Vies Martiennes" est sans doute mon Daho préféré. Peut-être pas son plus accompli (la concurrence est rude avec "Corps Et Armes") ni le plus blindé de tubes (à l'inverse de son tout aussi estimable prédécesseur "Pop Satori") mais il est sans doute le plus correspondant à la personnalité singulière et doux rêveur du rennais. Le ton est donné dès la superbe pochette de Guy "Taxi Driver" Peellaert, ambiance fête foraine, virée onirique et rock des origines. Car c'est également l'album le plus orienté guitare de Daho pour ce qui est de la décennie 80. J'ignore s'il écoutait en boucle THE CURE, THE MISSION voire THE CHURCH (qui sait ?) à l'époque mais l'électricité et les véritables instruments règnent là où les machines occupaient une grande place il y a encore deux ans.

Si la majorité a retenu "Épaule Tattoo" et "Weekend À Rome" question hit majeur du Monsieur dans les 80's : c'est bien le très beau "Bleu Comme Toi" qui aura su retenir mon attention. Et le reste ? Du déjanté "Where's My Monkey" à un "Winter Blue" aux savoureuses envolées guitaristiques, d'un "Plaisir De Perdre" sacrément catchy à une "Caribbean Sea" envoûtante, jusqu'à la conclusion quasi religieuse et magistrale "Des Heures Hindoues" (avec sa petite outro au piano) : du tout bon. Même les textes les plus décalés ne nuisent pas à l'équilibre global grâce à des compositions solides. L'ensemble sera sublimé l'année suivante par l'intermédiaire d'un "Live ED" ouvertement rock et parfait complément à ce cru 88 où la poésie amère côtoie l'absence de toute tempête sous un crâne.

Un album au capital sympathie illimité et une de mes références en matière de rock frenchy.





Jean-patrick CAPDEVIELLE
LES ENFANTS DES TENEBRES ET LES ANGES DE LA RUE


Le 17 Février 2025 par PSYCHODIVER


Toujours aucun commentaire pour ce qui demeure l'un des dix meilleurs albums de rock français et l'album électrique dans la langue de Molière définitif des 70's, très loin devant n'importe quels Higelin ou Gainsbourg ? À peine croyable. Ce cru 79 est un exemple d'influences parfaitement intégrées (Bruce Springsteen, Bob Dylan) au service de chansons mémorables. Les textes sont dignes du Thiéfaine le plus inspiré (la noirceur maladive en moins et sans recours aux anxiolytiques) et même les saxos et autres harmonicas sont judicieusement employés. Désinvolte, délirant, incisif sans pour autant virer punk assassin. Un essentiel de nos contrées. Ne surtout pas se limiter au classique "Quand T'es Dans Le Désert" dont le succès radical laissa son géniteur sans voix et quelque peu dérangé (ce dernier n'accordant pas grand intérêt aux hits faciles). Le plus dommage, c'est que la suite de sa discographie ne parviendra pas à se hisser au même niveau que ce premier volet.

N'empêche, je connais cet album depuis gosse via mon père qui l'écoutait et l'écoute toujours avec un plaisir sans cesse renouvelé : je découvre seulement maintenant que les claviers sont tenus par un Steve Swindells à peine évadé de HAWKWIND et probablement, à l'époque, en plein dans la production tumultueuse de son maudit et excellent "Fresh Blood" de 1980. Peu surprenant lorsqu'on s'aperçoit que J-P et Steve enregistraient tost deux aux studios Sawmills à la fin des 70's.





Alain BASHUNG
NOVICE


Le 17 Février 2025 par PSYCHODIVER


Alain n'a peut-être jamais été aussi libre que pris entre la période Bergman et son tandem à venir avec Jean Fauque. L'absurde parfois délirant des textes et l'obscurité générale alternant entre indus, cyberpunk et gothique donne naissance à une formule presque conceptuelle et très inspirée que le kabyle ne retrouvera jamais par la suite. Et si les guests sont légion (on pourra remercier le microcosme underground belge gravitant autour du label Crammed Discs pour la qualité de ses pensionnaires), Colin Newman est bien l'autre maître d'œuvre sur "Novice". Sa production clinique, pénétrante, glacée mais organique se situant dans la continuité de ses derniers opus solos ("Commercial Suicide" / "It Seems") comme du diptyque "A Bell Is A Cup" / "It's Beginning To And Back Again" d'un WIRE récemment réactivé. L'ultra efficace "Pyromanes" valant d'ailleurs largement des morceaux d'anthologie de la trempe de "Kidney Bingos" ou "In Vivo".

Très confidentiel mais indispensable et contenant des titres à la densité sans réel égaux dans nos latitudes électriques ("Résidences", "Alcaline", le tube "Bombez", "Intrépide Malgré La Fièvre", "Étrange Été" qui m'évoque le LUXURIA dark et labyrinthique de "Beast Box" ...), s'achevant sur une pièce aussi magnifique et viscérale qu'un "By Proxy" ne faisant qu'annoncer ces futurs monuments de spleen halluciné crépusculaire que seront "L'Apiculteur" ou "Aucun Express" : "Novice" est une pierre angulaire (noire) du rock en français.





SOUNDGARDEN
SUPERUNKNOWN


Le 17 Février 2025 par FOUDROCK


Trois commentaires faits entre jeudi et vendredi et non publiés, je retente une dernière fois (un bug ? Pas chez moi en tout cas, j'ai bien eu le message "commentaire enregistré").
Cet album est un des rares à être, malgré sa durée que certains jugeront éreintante (plus de 70 minutes), parfait de bout en bout. Surtout en vinyle (double, évidemment), car le changement de face permet des "respirations", des pauses, par rapport au CD qui fait tout défiler sur 73 minutes (en comptant le 16ème titre, "She Likes Surprises").
Un des joyaux du grunge, et le sommet du groupe. Bien meilleur que Nirvana, du niveau d'Alice In Chains.





Marianne FAITHFULL
BROKEN ENGLISH


Le 17 Février 2025 par NONO


La chanson-titre est un des tous meilleurs titres pop-rock, tout simplement. Ce titre nous prend à la gorge, nous amène dans un univers à la fois angoissant et sombre mais fascinant.
Le reste de l'album est à l'avenant. Une belle réussite. Malgré le dernier titre un peu beaucoup barré...
4/5





Angelo BADALAMENTI
TWIN PEAKS


Le 17 Février 2025 par CORNELIUS


Crispant de perfection.





Etienne DAHO
POUR NOS VIES MARTIENNES


Le 16 Février 2025 par NONO


Pas le meilleur Daho, mais avec des merveilles comme "Des heures hindoues" ou "Caribbean Sea", on sait que la source n'est pas tarie !





Alain BASHUNG
NOVICE


Le 16 Février 2025 par NONO


Dans cet album, je connaissais quelques titres que j'aimais beaucoup (c'est encore le cas aujourd'hui) : Alcaline, Pyromanes, Intrépide malgré la fièvre...
Par contre il y a pas mal de remplissage ici, je trouve même certains titres vraiment rédhibitoires, comme Résidences ou Tu m'as jeté. Eux seuls, malheureusement, tirent quelque peu l'album vers le bas, on a donc au final une oeuvre plutôt inégale.
3/5





The STRANGLERS
THE GOSPEL ACCORDING TO THE MENINBLACK


Le 16 Février 2025 par MASTERFAN


Chaque discographie compte son mouton noir. Je ne parle pas pour les Stranglers de l’un de ces opus des années 90 qui ont engendré plus l’indifférence qu’autre chose, mais bien du mal aimé THE GOSPEL ACCORDING TO THE MENINBLACK, le 5ème album de 1980. Je me demande souvent combien de personnes ont pu se dire, à l’issue de la première écoute : ‘Mais bon sang, quelle merde infâme !’ J’en connais déjà au moins une, moi, c'était il y a très longtemps...

Elaboré par Hugh et JJ la plupart du temps en pleins trips, cet album a néanmoins droit à une seconde chance car les vérités d’un jour sont rarement celles du lendemain. D’ailleurs curieusement, une moitié de THE RAVEN l’année précédente avait été pour partie construite du même bois, et l’album plébiscité, alors que celui-ci est à l’inverse la plupart du temps descendu. Il n’y a pas photo entre les deux, certes, mais quand même, un tel écart de traitement…

Question : peut-on l’aborder et l’apprécier autrement que dans un état second ? Peut-être. Il débute par « Waltzinblack ». Comment ne pas craquer sur cette petite trouvaille instrumentale de Dave Greenfield, et sa vidéo avec les petits squelettes ? En plus ce sont Jean-louis et Corinne de Téléphone qui font les chœurs rigolards derrière. Le classique des intros de concerts.

« Just like nothing on earth » aurait pu être sympa, mais là les martiens qui font carrément le refrain, faut quand même pas pousser mémé dans les orties, j’ai du mal. Tenter ce truc-là en single est quand même rudement gonflé, voire suicidaire.

Du minimalisme d’abord (l’album est contemporain de « Seventeen seconds »), puis quelques idées ensuite avec « Second coming » et son recyclage sur la fin du motif de « Duchess ». « Waiting for the Meninblack », à l’esprit très post-punk, est plutôt original, mais moins prenant que le second instrumental « Turn the centuries, turn », pour lequel j’aurais presque l’impression que certaines parties de basse ont été enregistrées à l’envers.

« Two sunspots » va un peu plus dans la mélodie mais sans foudroyer. « Four horsemen » est construit en deux parties, la première, bien construite et chantée par Dave est assez séduisante, la seconde instrumentale part bien aussi mais la fin, qui sent l’impro à plein nez, laisse un peu sur sa faim. Jean-Jacques reprend le chant sur « Thrown away ». Venant de Dave, l’intro Bontempi est complètement surréaliste et consternante. Pourtant, incroyablement, avec l’association du refrain, ce morceau se laisse écouter.

Pour terminer, l’austère « Manna Machine », dont l’absence de chant peu perturber, pas vraiment mon truc, et « Hallow to our men », dont l’intro est efficace mais pour lequel la suite ressemble là encore plus à de l’impro qu’ à autre chose, avant un retour au motif initial, Dave clôturant l’album avec cette partie de claviers bien agréable. La soucoupe s’envole ensuite avec ses occupants pour repartir très loin, on est plutôt soulagé.

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Waltzinblack, Turn the centuries turn. PLAISANT (3,5) : Second coming, Waiting for the meninblack, Four horsemen, Thrown away. INTERESSANT (3) : Two sunspots, Hallow to our men. EMOTION LIMITEE (2,5) : Just like nothing on earth, Manna machine. Bilan 3,04 et Top 5 à 3,70 : THE GOSPEL ACCORDING TO THE MENINBLACK cote pour moi 3,37 soit 13,48 /20.

Au final, THE GOSPEL ACCORDING TO THE MENINBLACK est loin d’être la merde absolue initialement entrevue : il faut plusieurs écoutes pour comprendre ce parti-pris pas aguicheur pour deux sous, sans complaisance. C’est en fait surtout l’absence de grands titres que l’on peut regretter pour cet album très peu accessible, déconseillé aux auditeurs peu aventuriers et peu patients. Eval précise à 2,5 pour respecter les critères bas de ce site.






RED HOT CHILI PEPPERS
BLOOD SUGAR SEX MAGIK


Le 15 Février 2025 par BLUEMASK


Le disque parfait des années 90´s. Malgré sa longueur, c’est une enfilade de tubes funk-rock, groovy, mélancolique, inventive, une véritable déclaration de liberté et de créativité qui n’a guère d’équivalent.
Pour toujours, tout ce que fera les RHCP sera mesuré à l’aulne de ´BSSM’, et bien entendu, jamais ils ne l’approcheront. Clairement, un disque qui les depasse et qui est incompréhensible au regard de leur passé et de leur futur.





Neil YOUNG
SLEEPS WITH ANGELS


Le 15 Février 2025 par BLUEMASK


Avec ce disque, Neil Young fait son ´Zuma’ version 90´s. Plus sombre, plus orageux, plus épais, on retrouve ce même entrelac de douceurs mélancolique portée par des mélodies fragiles et d’omniprésence électrique, rampante souvent, explosante parfois.
Disque sublime et intemporel.





Billy COBHAM
SPECTRUM


Le 15 Février 2025 par ELK

Je valide, ce que j’en ai écouté est complètement dans l’esprit « Blow By Blow » et « Wired ».





Billy COBHAM
SPECTRUM


Le 15 Février 2025 par SWISSIDOL

@Commentateur né : curieux que tu ne trouves pas de ressemblance. Le son de clavier, le groove, tout ça, non? En tous cas, j'ai cru comprendre que l'auteur de la chronique officielle était plutôt de mon avis. Mais bref, chacun a son avis





Billy COBHAM
SPECTRUM


Le 15 Février 2025 par COMMENTATEUR Né

j'aime bien Blow By Blow et le suivant, mais je vois pas le rapport avec Spectrum qui est un peu plus complexe et s'approche plus de la fusion que jeff beck qui fait plutôt du rock funky.





Michael JACKSON
THRILLER


Le 15 Février 2025 par CORNELIUS


Michael Jackson a triomphé, dès l'origine, il faut en convenir.
Pour l'avoir précocement rencontré en 1988 à la Pontaise (Lausanne), je n'ai pas souvenance d'avoir été si proche de ce que les Grecs nommaient un demi-dieu.

Prince était peut-être meilleur musicien, mais Michael Jackson avait la Grâce.







Mireille MATHIEU
LA PREMIERE ETOILE


Le 14 Février 2025 par MARTIN LA BOTTE

Ah mon Marco, elle t'a carrément retourné cette Mireille en 69 ! Ça n'a pas dû lui arriver souvent à la demoiselle d'être perçue comme "sorcière", "sensuelle", "aguicheuse", "plus sexy que jamais"...
Perso, je ne suis pas plus envouté que pour le précédent album, à une chanson près mais quelle chanson ! "Une simple lettre" que j'aime depuis longtemps et qui est en tous points magnifique, tellement que toutes les autres me paraissent un peu fades à côté malgré une production irréprochable. J'aime bien aussi "La Première étoile" mais pour d'autres raisons, plus nostalgiques...

2,75/5





Peter GABRIEL
US


Le 14 Février 2025 par PSYCHODIVER

@RICHARD / @DAVID : "Steam" est aussi abominable que "Big Time" sur "So". Honnêtement, même en faisant abstraction du clip particulièrement hideux (en 92, le numérique était aussi nocif que l'uranium soit disant appauvri), la sauce ne prend jamais et l'ensemble devient horripilant. En revanche, le travail de Aardman sur la friandise "Sledgehammer" n'a en effet pas pris une ride (les effets pratiques et la pâte à modeler seront toujours plus forts que les algorithmes).





SIOUXSIE AND THE BANSHEES
THE SCREAM


Le 14 Février 2025 par RICHARD

Pour les amoureux des Banshees et de leur fabuleux guitariste et parce qu'il n'y a pas non plus dans la vie que le metal et le rock progressif, John McKay sortira le 25 mai prochain 'Sixes And Sevens', un album-archive qui regroupera des titres composés entre 1982 et 1986 avec entre autres Kenny Morris. La boucle est donc bouclée.







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