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David BOWIE
THE MAN WHO SOLD THE WORLD


Le 08 Décembre 2024 par RICHARD

@Masterfan, belle initiative via les chroniques de Cyril que de donner aux curieux et peut-être aux plus jeunes de découvrir l'univers fantastique de Bowie.

Pour répondre sur la question des tâches , Soligny dans son Rainbow Man ne l'évoque pas vraiment. Il appuie naturellement le rôle essentiel de Ronson. Matthieu Thibault dans son Bowie - L' Avant-Garde Pop est nettement plus précis et ceci rejoint les propose de mon collègue ARP2600. Je cite donc les lignes de la page 54:

"Bowie soumet aux autres musiciens des bribes de compositions sous forme de suites d'accords et de mélodies que le groupe travaille, répète, structure, et arrange sans leur chanteur afin de développer une piste instrumentale cohérente et aboutie. Bowie conserve, bien sûr , l'ultime pouvoir de décision mais laisse son groupe opérer bon nombre de choix artistiques en toute confiance. Les pistes instrumentales générées permettent ensuite à Bowie d'écrire ses paroles à la dernière minute et de les enregistrer dans la foulée".





David BOWIE
THE MAN WHO SOLD THE WORLD


Le 08 Décembre 2024 par MASTERFAN

@ Richard. Je n’ai pas lu les ouvrages que tu cites, après j’ai forcément eu moi-aussi de multiples sources depuis de longues décennies que j’écoute Bowie (jusqu’à la biographie d’Angela Bowie), donc lorsque la petite histoire me paraît pertinente, j’en touche deux mots au passage, mais ce n’est pas le plus important. Ce qui me préoccupe le plus, c’est de baliser au mieux les pistes pour que les non-connaisseurs qui ont une âme de curieux (les plus jeunes notamment) aient envie « d’essayer », puissent encore mieux se repérer sur se site pour ne pas louper l’essentiel.

A titre perso, j’essaie de sortir un peu mes gosses du carcan ‘variéto-rapisant’ de la musique jetable dans lequel leur génération et les radios les enferment ; j’en ai un qui a mis récemment « Starman » et « Velvet goldmine » dans ses playlists, c’est déjà une petite victoire (mais la bataille est rude !).

@ARP2600. Les membres du groupe se sont parfois exprimés et il semble que le retrait relatif de Bowie sur cet album ne soit plus vraiment une légende aujourd’hui, peut-être que Richard pourra nous donner confirmation ou aura quelques détails supplémentaires avec les ouvrages en question. Personne ne conteste qu’il a apporté les suites d'accords et les axes de mélodies (souvent au départ sans les paroles).

Sur le sujet, je me suis souvent demandé si les versions acoustiques de « Ziggy Stardust » ou « Lady Stardust » (qui elles ont déjà des paroles) étaient des vrais démos, antérieures au résultat final. Si c’est bien le cas, on pourrait se dire selon l’angle sous lequel on se positionne, que ‘tout y est déjà’, ou bien que ‘beaucoup reste encore à faire’, tout est question d’interprétation.





The BLACK EYED PEAS
TONIGHT (BAD BOYS - RIDE OR DIE)


Le 08 Décembre 2024 par MARCEL


Limite Limite pour illustrer une pub, entre 2 story insta ou vidéos tik tok,. Mais rien de plus. A part la référence à Genesis, c'est le néant intersidéral. Dommage car ce groupe a des capacités et sait donner dans le qualitatif, comme en témoignent leurs 3 premiers albums jusqu'à "éléphunk".





The BLACK EYED PEAS
TONIGHT (BAD BOYS - RIDE OR DIE)


Le 08 Décembre 2024 par SEB


J'ose espérer, sans trop y croire hélas, que B.E.P. a eu la courtoisie d'avertir Mr Genesis à l'époque, Phil Collins himself, qu'il allait sampler un de ses titres (je ne parle même pas de demander son approbation ou même son avis, faut pas rêver non plus) ! Heureusement aux dernières nouvelles Phil n'a pas avalé ses baguettes de batterie en entendant cette bouillie couleur caca d'oie pour se suicider, tel un ultime sursaut d'orgueil pour rappeler qui était le patron. Mais quand on écoute cette charpie laxative... Waaah mais quelle chiasse !

Euh y a pas -1 en notation ? Dommage !





LL COOL J
MAMA SAID KNOCK YOU OUT


Le 07 Décembre 2024 par BAKER

Evidemment je ne parlerai pas musique, vu la tendresse qui me lie au rap, mais pour rappel à cette époque (et le morceau-titre y a été mis en valeur), LL a fait l'acteur, et notamment dans ce magnifique buddy-cop-movie ô combien sous-estimé, "La manière forte". Ce n'est pas compliqué, niveau poésie bucolique, les dialogues de ce film vous rappelleront les pires chroniques d'un certain chroniqueur aux dimensions phalliques hors-normes.

LL n'y est pas particulièrement bon, c'est le moins qu'on puisse dire, mais c'était le début des 90s : il fallait des rappeurs PARTOUT.

Heureusement, ça a beaucoup changé.





Randy NEWMAN
DARK MATTER


Le 07 Décembre 2024 par BAKER

"She chose me".

Ecoutez-la. Ce n'est pas le meilleur album de Randy, loin de là, et cette chanson n'est pas sa meilleure non plus. Mais elle est d'une délicatesse exceptionnelle.





Randy NEWMAN
LITTLE CRIMINALS


Le 07 Décembre 2024 par BAKER


Exceptionnel disque, empli d'hymnes, évidents ou beaucoup plus subtils.

Si vous le trouvez, prenez le DVD-A. Il y a peu de notes dans ce disque, c'est assez éthéré. ET justement, en 5.1, chaque note est à sa place. Les arrangements, déjà fabuleux en vieux 33t qui craque, sont ici sublimés.





Randy NEWMAN
TROUBLE IN PARADISE


Le 07 Décembre 2024 par BAKER


" - Eyh Rand, je suis fatigué. Ca te dirait d'être le Boss pour quelque temps ?
- Ben.... euh.... ouaiiiiis.... DANS TA FACE MEC ! DANS TA MOUILLE !!!"

Pour que Baker cite des PAROLES, c'est qu'il y a quelque chose de totalement génial dans ce disque. C'est énorme à tous points de vue.





David BOWIE
THE MAN WHO SOLD THE WORLD


Le 07 Décembre 2024 par ARP2600


Moi, je le trouve à chaque fois meilleur que la précédente. Je pense que c'est mon album préféré de Bowie, en fait. Pas consensuel dans l'expérimentation comme un Low, certes, mais justement, c'est ce délire, ces arrangements instables, cette présence dans le feu de l'action de 1970 qui me font tripper.

Mais alors, franchement, la pochette avec un cowboy et le titre Metrobolist, ci c'était vraiment ça que voulait Bowie, il se gourait vachement, et je suis avec le label sur ce coup-là! Le Bowie en robe et ce titre emblématique sont beaucoup plus beaux et efficaces. D'ailleurs, la réédition post-mortem est de la pure exploitation, tout-à-fait lamentable...

Quant à cette rumeur qui veut que Bowie n'en ait pas fichu une, difficile de savoir la vérité évidemment... Je suis convaincu que Bowie a tout composé lui-même mais que les arrangements sont effectivement beaucoup délégués aux musiciens, surtout Ronson, sans compter le producteur Visconti bien sûr. Le fait que plusieurs personnes soient impliquées n'est cependant pas un problème à mon avis... à l'instar de bien des groupes, c'est le collectif qui donne la meilleur créativité, et oui, je maintiens que The Man Who Sold the World est le disque le plus inventif de Bowie, toute la suite ne sera que de la (bonne) vulgarisation d'artistes plus essentiels (comme Hammill et Froese pour ne pas oublier de les citer).





The BLACK EYED PEAS
THE BEGINNING


Le 07 Décembre 2024 par BAKER


Je suis tombé par hasard hier, pendant un blind test, sur "The Time".

Je confirme la palanquée de une étoile, c'est vraiment atroce. Non seulement c'est minable, mais on sent bien que nos chers artistes n'en peuvent plus de se la pétér génies ultimes. A cce niveau de détestation d'une "musique", ça confine à la haine. Je devrais consulter.





David BOWIE
THE MAN WHO SOLD THE WORLD


Le 07 Décembre 2024 par RICHARD


Une tenace légende urbano-musicale voulait même que certains fans de Nirvana pensent que Bowie avait fait une reprise de The Man Who Sold The World de leur groupe fétiche de Seattle...
Compte tenu de la précision de tes lignes MASTERFAN, je présume que je n'ai pas besoin de te conseiller modestement les deux tomes essentiels de Jérôme Soligny, les pertinents livres de Matthieu Thibault ou David Buckley concernant l'Anglais ? Merci dans tous les cas de mettre en lumière cet artiste unique.





BIG BIG TRAIN
THE SECOND BRIGHTEST STAR


Le 07 Décembre 2024 par LAURENT_44


Merci à Baker qui m'a permis de prendre le train en marche, je ne connaissais pas ce groupe!
C'est bon voire très bon, Le groupe a un vrai talent et maîtrise une grande quantité d'instruments, c'est propre et net, mais il manque quelque chose. Point de morceaux trippants ou délectables mais du séduisant et du plaisant en pagaille. Il manque le morceau qui me donne envie d'y revenir...
Je ne vais pas faire de calcul savant et je ne saurais pas en faire car je ne connais pas la longueur du tour de poitrine de Meat Loaf...
Ce sera 3.5 arrondi à 4.
D'ailleurs à quand la suite, Baker ayant rendu son tablier, pourquoi pas ELK ce serais bien, enfin on peut rêver.
Merci à toute l'équipe.





David BOWIE
THE MAN WHO SOLD THE WORLD


Le 07 Décembre 2024 par MASTERFAN


Premiers pas vers la ‘provoc’ sur la pochette de l’album THE MAN WHO SOLD THE WORLD, celui où Bowie est habillé en femme (Lou Reed suivra). Cette photo n’aurait dû habiller que la double face intérieure du 33 tours, qui lui-même aurait dû s’appeler METROBOLIST. Un dessin de cow-boy tenant une carabine, avec en fond l’établissement où est interné son frère, était censé constituer la pochette. Le pauvre David, trahi, découvre qu’il s’est fait enflé à la sortie du disque en novembre 1970, à la fois pour son titre prévu et pour sa pochette projetée...

Flash-back sept mois plutôt, avril 1970. En prenant à la guitare Mick Ronson dans son équipe, il est clair que Bowie a carrément changé son fusil d’épaule. Dès qu’il s’agit d’électriser les climats, on peut faire confiance au futur membre des Spiders from Mars, ce n’est pas Morrissey qui dira le contraire vingt ans plus tard. Tony Visconti donne une belle personnalité à sa basse et les climats folks de SPACE ODDITY sont le plus souvent délaissés au profit d’un rock hardo-glammisé sur lequel Woody Woodmansey, futur Spider lui aussi, s’en donne à coeur joie aux baguettes.

Globalement, la prod et les compos ne sont pas aussi soignées que sur les deux blockbusters qui suivront en 1972. L’enregistrement, qui n’a duré qu’un gros mois, est compliqué pour Visconti qui produit aussi l’album. Bowie est à cette époque yokoïsé par Angie, haschisé, peu dispo. Il a balancé les accords et mélodies à ses potes et basta, démerdez-vous.

« The width of a circle » rappelle l’esprit des premiers morceaux du Floyd sous influence Syd Barrett. Deux riffs (dont celui d’intro pas très impressionnant) faisant office de fil rouge, entrecoupé d’expérimentations sonores claptonno-hendrixiennes, jams de la veille réincorporés, de vocalises diverses, un étonnant foutoir. Au cours de l’enregistrement, Bowie n'est même pas présent sur toutes les parties du morceau (les fans de prog qui louaient son génie pour le coup seront déçus). Pas un chef d’oeuvre me concernant.

A l’inverse, « All the mad men », morceau quasi-parfait s’il en est, pourrait y prétendre s’il n’y avait pas ce côté un peu bizarre, désuet et pas très adapté de la flûte à bec (un peu comme Marillion dans ‘Script’), effet aminci dans les dernières éditions CD.

Le révolutionnaire synthétiseur Moog va officier tout au long de l’album avec bonheur. « Black country rock » en est exempt mais nous envoie son réjouissant boogie dans la face, morceau super-agréable, bien entraînant. Bowie a tellement tardé à donner les autre couplets que Visconti s’est déjà barré. Pas grave, on copie-colle plusieurs fois le même passage et ça ira. « After all » est lui complet, une petite pépite complètement envoûtante, quelle délicatesse !

Sans démériter, « Running gun blues » échoue précisément à l’endroit où HUNKY DORY et ZIGGY STARDUST prendront leur envol, avec un peu plus de feeling et de génie. Sur cet album en dents de scie, ce sont les morceaux pairs qui régalent, notamment ce « Saviour Machine » intense de la première à la dernière seconde. L’équipe est au taquet, le synthé Moog fait mouche à chaque intervention, un grand moment.

Re-courant alternatif : on comprend assez bien où Bowie veut en venir sur « She shook me cold », dommage que le morceau s’éparpille trop et finisse par se perdre en route. Sans la reprise unplugged de Nirvana en 1993, pas grand monde ne connaîtrait l’éponyme « The man who sold the world » et je serais ici en train de vanter la ‘pépite cachée’ éponyme de Bowie. Plus la peine, merci Kurt. A la manière d’un Indiana Jones récupérant in extremis son chapeau, Bowie pressé par Visconti a achevé les paroles à la toute dernière seconde.

On termine sur cette version de « The Supermen » qui me laisse sur ma faim, le passage dans les aigus à mi-morceau n’étant pas très avenant, on dirait presque un jappement de petit clebs.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : All the madmen, After all, Saviour machine, The man who sold the world. SEDUISANT (4) : Black country rock. PLAISANT (3,5) : The width of a circle. INTERESSANT (3) : Running gun blues, She shook me cold, The supermen. Bilan 3,83 et Top 5 à 4,40 : THE MAN WHO SOLD THE WORLD cote pour moi 4,12 soit 16,48 /20.

Il n’y a pas plus inégal que ce Bowie-là, mais le génie est déjà largement présent par intermittence, de la compo de haut niveau qui permet de bien prendre son pied. Il lui faut désormais maintenir cette qualité sur un album entier, être un poil plus concerné et rigoureux… et la suite ne pourra être que savoureuse.





DREAM THEATER
FALLING INTO INFINITY


Le 06 Décembre 2024 par MR TINKERTRAIN


A mon sens, le solo de Hell's kichen, instrumentale, est le plus beau solo de tous les albums de Dream Theater. Quant à l'album, quand on vire la ballade, c'est une tuerie sans nom.





The CURE
DISINTEGRATION


Le 05 Décembre 2024 par NEURASTHéNIC BITCH

Et dire que je jouais Fascination street à la basse, à m'en faire saigner les doigts... Incroyable cette ligne de basse, pour les bassistes.





The CURE
DISINTEGRATION


Le 05 Décembre 2024 par NEURASTHéNIC BITCH


Cet album est un chef d'oeuvre même si Plainsong me gave, je la zappe toujours...





DEEP PURPLE
THE BOOK OF TALIESYN


Le 05 Décembre 2024 par SWISSIDOL


Le groupe progresse par rapport à ses débuts quelques mois plus tôt. Ici, "Wring that neck", "Kentucky woman", "Exposition" ou encore "Anthem" sont très réussies. Il y a encore des reprises mais un style prend doucement vie. 2,5/5





CAMEL
MIRAGE


Le 05 Décembre 2024 par HIT PARADE DES MAXI


Deuxième et déjà très bon album du groupe, on entame l'album déjà très fort avec l'energique "Freefall", la plus rapide de l'album et annonçant bien la couleur de l'album. Dans la suivante, "Supertwister" on peut déjà entendre les sons synthé et les mélodies qui feront leur signature dans les 2 albums suivants, mais pour ici, ça reste une petite musique instrumentale servant plus de transition entre 2 bombes, "Freefall" et le mémorable "Nimrodel", autre grand classique du groupe. "Earthrise" est dans la même veine que "Supertwister" un instrumental en guise d'avant-goût au Snow Goose, tout en étant encore loin de cet album.
Et on termine en apothéose avec "Lady Fantasy", le 3eme classique pour un même album.
En bref pour moi c'est l'album (des 3 que je connais ...) le plus "hard" au son le plus brut, avec 3 grand classiques du groupe sur 5 morceaux (c'est pas rien), ce qui fait un album tout à fait remarquable, à écouter impérativement si on veut découvrir le prog.

Freefall : 4,5/5
Supertwister : 4/5
Nimrodel : 5/5
Earthrise : 4,5/5
Lady Fantasy : 5/5

18,4/20





The DOORS
STRANGE DAYS


Le 04 Décembre 2024 par MASTERFAN


Toujours en 1967, à peine neuf mois après la sortie du premier envoi, les Doors nous offrent son successeur STRANGE DAYS. Ce sera la seule pochette renvoyant à autre chose que les membres du groupe eux-mêmes, photo assez space (people are strange), où on les voit apparaître malgré tout sur un coin de mur.

Quand on sait que pas mal de titres présents ici n’avaient été retenus au premier tour, on se pose l’inévitable question : mais comment font-ils ? Où vont-ils chercher cette qualité de compos ? L’ensemble est plus calme, peut-être plus carré, les morceaux pas moins fameux.

On repart donc sur les mêmes bases, toujours aussi élevées, avec « Strange days » dont le pouvoir de fascination assez inexplicable scotche l’auditeur dès la première seconde. A peine remis, on a droit à « You’re lost little girl », chef-d’oeuvre d’émotion et de douceur. Morrison chante divinement bien et enchaîne avec le classique « Love me two times ».

Toujours pas de signe d’affaiblissement avec « Unhappy girl », charmant. Surprise en piste 5, c’est un poème en prose complètement barré de surcroît, une démarche assez unique dans l’histoire de la pop. Drôle de chose quand même que cette ambiance oppressante : « Horse latitude » est effrayant. Sorti de ce cauchemar, on s’embarque dans une balade au clair de lune avec le délicieux « Moonlight drive » par lequel tout a commencé sur Venice Beach, comme on peut le constater dans le film d’Oliver Stone. Le film est à voir même s’il s’avère relativement décevant (scénario finalement assez creux, mauvais choix de titres). Cette scène mythique de retrouvailles sur le sable entre Ray et Jim est l’une des seules qui me reste en mémoire (avec celle du téléphone et celle - moins subtile - de l’ascenseur).

Changement de rythme avec le léger « People are strange » qui dénote avec tout ce qui précède et pourtant au final, la séduction est la même. La fin de l’album tente, dans l’esprit, de se calquer sur celle de son prédécesseur. « I looked at you » devient « My eyes have seen you », pour lequel Robbie Krieger exécute un court mais mémorable solo. « End of the night » devient « I can’t see your face in my mind », moins réussi, certainement le titre le moins fort de l’album, baisse d’intensité qui annonce déjà la seconde face de l’album suivant, WAITING FOR THE SUN.

Pour finir, les Doors nous refont le coup du morceau fleuve à la « The end ». Ils y parviennent presque, même si « When the music’s over » n’a pas tout à fait le potentiel émotionnel de son modèle. Neuf chansons au final (vu le poème), deux de moins que sur l’album précédent, mais vu le contenu, on ne va pas chipoter.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Strange days. DELECTABLE (4,5) : You’re lost little girl, Moonlight drive, My eyes have seen you, When the music’s over. SEDUISANT (4) : Love me two times, Unhappy girl, People are strange. PLAISANT (3,5) : I can’t see your face in my mind : Bilan 4,28 et Top 5 à 4,60 : STRANGE DAYS cote pour moi 4,44 soit 17,76 /20.

Je me permets ici de préciser que l’échelle concurrente de Bluemask donnerait le même résultat s’il n’avait pas omis dans sa formule de tenir compte du sinus hyperbolique du tour de poitrine de Meat Loaf au carré.

STRANGE DAYS est donc un poil en dessous de THE DOORS me concernant, mais les deux restent indissociables, d’ailleurs je les écoute toujours en continuité, comme si c’était un double album, un vrai double trip.





MEAT LOAF
BAT OUT OF HELL II: BACK INTO HELL


Le 04 Décembre 2024 par BLUEMASK


J'avais mis 5/5 bien tassé sur le 'bat out of hell'.
Si je multiplie par la racine carré des sonorités plus 80's de cet album, que je retranche par la limite vers +infini de l’hypoténuse de la longueur excessive de l'album, j'obtiens une note. Si je prends cette note que je modère par l'écart type de mon ressenti de la qualité de chaque morceau sur une échelle de 0 à 2*pi, et je divise le tout par l'exponentiel de la dérivé de la somme pondéré du top 3 divisé par la somme pondérée du top 5, j'obtiens la note de 32.589, que j'arrondi à 4.
Ca tombe bien, comme ça au feeling, j'aurais mis 4.
Donc 4.







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