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Tim BUCKLEY
LORCA


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Un album vraiment difficile à apprécier, il m'aura fallu du temps. Je donne la note maximale sans hésitation, parce qu'il fallait quand même avoir les cojones de le sortir tel quel, cet album ("Starsailor", le suivant, est également assez radical, et encore meilleur). Le morceau-titre est terrifiant. On dirait du Nico de l'époque "The Marble Index". Sauf erreur de ma part, les deux albums sont sortis sur le même label (Eketra), un label qui en avait là où il le fallait.
Evidemment, ça ne s'est pas vendu. Le contraire aurait été inquiétant.
Mais "Lorca" reste un album charnière dans la disco de Tim Buckley. Sans doute est-ce la drogue, mais on sent bien qu'il n'en avait plus rien à secouer de ne pas vendre ses albums. En tout cas, celui-là et le suivant, il n'y avait que peu de chances qu'il en vende des containers.





MOTÖRHEAD
ORGASMATRON


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Une belle petite claque de plus que cet "Orgasmatron". Pas un de mes préférés tout de même, mais un des plus enthousiasmants de l'après "Ace of Spades".





MOTÖRHEAD
ROCK'N'ROLL


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Souvent considéré comme un des pires albums du groupe, je pense personnellement que c'est un très honnête album un peu moyen (surtout comparé à tous les précédents albums). Mais si on veut chercher le vrai ratage de la bande à Lemmy, prière de se tourner vers "Snake Bite Love" ou "March ör Die", qui, eux, sincèrement, ne valent pas grand chose.





Jeff BUCKLEY
GRACE


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Un des plus beaux et des plus importants albums de la décennie 90's. Une pure merveille dont je ne me lasserai, je pense, jamais. Il m'a transpercé comme une flèche la première fois que je l'ai écouté.





Claude NOUGARO
NOUGAYORK


Le 24 Février 2025 par FOUDROCK


Excellent album qui marque un retour en force d'un grand chanteur.





Angelo BADALAMENTI
TWIN PEAKS


Le 24 Février 2025 par MARCO STIVELL

Il y a un mois de cela, dans une courte rétrospective hommage, je disais pour Twin Peaks, le film, n'avoir jamais vu rien de la série. Sans doute parmi les rares personnes donc à avoir connu l'ensemble dans le 'bon' ordre narratif, en voyant le préquel avant. C'était il y a douze ans, début 2013.
L'univers y est bien montré, mais il est évident que Lynch avait besoin d'autre chose que du format film pour s'exprimer.
Et peut-être, l'a-t-il fait ici mieux que jamais.

Deux jours seulement après l'édito de Psychodiver, un collègue de travail plus âgé, partageant la même passion musicale (rock prog etc) et ayant vu la série à l'époque de sa diffusion, en apprenant donc mon ignorance sur celle-ci, a gentiment profité de sa pause repas habituelle pour aller chez lui et me ramener son coffret, avec les deux saisons d'origine.

Que dire, sinon que j'ai tout de suite été happé par cet épisode-pilote qui a tout d'un film, regardé le soir même et à temps, avant une petite réception ? C'était comme si le plat de résistance de la soirée avait déjà été englouti... Heureusement qu'il y avait deux convives femmes dans le lot, parées et présentes comme les plus belles actrices de la série qui en regorge, Peggy Lipton, Sherilyn Fenn, Mädchen Amick, Heather Graham (entrée super tardive mais raaah) et bien sûr Sheryl Lee !

D'emblée, superbe ambiance de petite ville de montagne étasunienne, dans l'est du Washington frontalier avec le Canada, pas si éloigné de là où Lynch est né même si c'est le Montana (seule la cheminée de l'Idaho sépare). Petite ville où il se passe tant de choses ! Au point que ses petites intrigues diverses sont aussi importantes que le meurtre de Laura Palmer.

Quand je pense qu'en France, on boude Jean-Pierre Mocky (certes, plus 'théâtre de boulevard' dans son approche) alors qu'il y a tellement de choses en commun avec Lynch : tournage rapide - car petit budget mais pas que -, goût pour les films noirs, le fantastique, les acteurs pas connus à qui ils laissent une grande place d'interprétation, les 'gueules' et autres éléments vivants iconoclastes qui suscitent l'incompréhension du grand public car jugés comme s'ils 'n'avaient rien à faire ici'... Sans oublier les injections de drôlerie là où il ne devrait pas forcément y en avoir !

Ne jamais actionner la lecture des épisodes en escamotant les introductions de la Femme à la Bûche, étrange mais qui donne des détails abstraits de chaque épisode... Et puis à l'inverse, côté évidence et même conformisme, comme cette incursion 'soap opera' est belle, avec les musiques appropriées ! Sans doute l'équilibre parfait d'un Lynch qui, par la suite, versera trop dans le noir maladif (à Une Histoire Vraie près). L'angélisme lui va tout aussi bien, au final.

En termes d'acting, Kyle MacLachlan justement est évidemment le meilleur de tous, grâce à ce personnage d'agent fédéral le plus sympathique de l'histoire (même si tous ses collègues le sont, joués par Miguel Ferrer, David Duchovny - hallucinant ! - et Lynch lui-même - tellement drôle), un Sherlock Holmes nourri de spiritualité hindoue... Les flics locaux de Twin Peaks, joués par Michael Ontkean, Harry Goaz et Michael Horse, sont tout aussi savoureux.

Il y a une belle dose de bienveillance partagée, de cohésion finalement nécessaire par rapport au mal lovecraftien qui sévit dans le coin. Tant de choses à dire encore, sur des points généraux ou précis, comme ce dernier épisode de la saison 1 au Jack-N'a-Qu'un-Oeil, prouvant que Kyle MacLachlan, s'il n'était pas né américain, aurait pu apporter sa classe toute britannique au chaînon manquant des James Bond entre Timothy Dalton et Pierce Brosnan. Lynch semble s'être amusé à nous le prouver durant quelques dizaines de minutes !
Et puis il y a encore les prestations exceptionnelles de Wendy Robie (l'épouse borgne), de Ray Wise (le père de Laura Palmer), de Richard Beymer (dans sa re-création toute personnelle de la guerre de Sécession notamment)... Tant d'acteurs pas si connus, plus ou moins pros mais complémentaires...

La série est grandiose pour cela, unique en son genre et inspirante, à commencer par X-Files bien sûr, chose d'autant plus rigolote quand on sait que David Duchovny est de la partie (peu, certes, mais remarquablement). Pour moi c'est l'une des meilleures choses qui soit arrivées à la télévision, à l'écran en général. Une oeuvre dans laquelle je me replongerai avec un plaisir certain, le plus souvent possible, moi qui ne suis pourtant pas sérievore.

Et c'est aussi grâce aux compositions d'Angelo Badalamenti, à cette vague de synthétiseur noire et grisante dont ils abusent joliment dès le pilote avec toute la partie de deuil pour Laura Palmer, ensuite pendant les moments autres de toute la première saison, un peu plus raréfié dans la seconde... Le thème de piano si romantique proposé avec la photo souriante de la jeune femme pour chaque générique final, connaissant peu de variantes...
L'ouverture de chaque épisode à la basse au médiator avec le plan sur le petit oiseau tout mignon, suivie par le piano électrique puis les nappes orchestrales, avec l'insistance sur la scierie pour revenir systématiquement au panneau d'entrée de ville, à la cascade sous l'hôtel... Bon sang, mais quelle oeuvre ! Même les thèmes secondaires, très jazz contemporain, sont à retenir, et ne parlons pas des chansons de Julee CRUISE, étoile pleine qui donne un si beau timbre aux compositions de Badalamenti, sur disque plutôt...

Dernier mot sur la VF, plutôt bonne et choisie avec soin dans ses temps forts (Patrick Poivey - son meilleur doublage, pour MacLachlan donc -, Claude Chantal, Marion Game, Eric Legrand, Claude Giraud)...

Bon. Reste à voir la saison 3, la dernière, sortie plus de vingt-cinq ans après, comme pour suivre (de façon pourtant très involontaire) certaine réplique lancée dans le dernier épisode de la 2...





SUBTEXT RECORDINGS
CYBERNETICS, OR GHOSTS?


Le 24 Février 2025 par BORAHKRETH

L'aspect compilation fait qu'il est difficile d'avoir un avis global, en particulier sans creuser davantage ce que chaque artiste fait à côté, mais je tiens à insister sur le fait que "Ore" de EMPTYSET est absolument fantastique, ça fait un moment que j'ai pas entendu quelque chose d'aussi hypnotique. Si quelqu'un connaît des morceaux similaires à cette vibe... indus ambiant (?), ça m'intéresse.





Carly SIMON
ANTICIPATION


Le 23 Février 2025 par XAVIER


Comment peut-on écrire une telle chronique et ne donner qu'une étoile ?
Cet album est un chef-d’œuvre, une pépite, un bijou qui vous fait apprécier et comprendre jusqu'à l'âme de l'artiste, sa sensibilité, sa mélancolie mais aussi sa bonne humeur à travers des titres variés dans un esprit folk de bon aloi. Plus j'écoute cette œuvre majeure dans la carrière de Carly (elle ne sortira pas que des chefs-d’œuvre par la suite, surtout dans les années 80...) et moins je comprends cette chronique subjective mais néanmoins détestable.





Buddy GUY
SWEET TEA


Le 23 Février 2025 par BLUEMASK


Buddy Guy ratisse ici sur les terres de Junior Kimbrough et RL Burnside. Gros changement, fini le Chicago Blues clinquant, gavé de solos, et bienvenue au delta blues surélectrifié, boueux et hypnotique. Ca marche, le plaisir est là. D’abord parce que ce blues est rare et ce qui est rare est meilleur et parce que B.G n’est pas un manchot non plus en terme de feeling.





FANTÔMAS
THE DIRECTOR'S CUT


Le 23 Février 2025 par BLUEMASK


Fantomas est l’enfant de Mike Patton comme MR Bungle l’était. On retrouve donc beaucoup de MR Bungle, époque ´Disco Volante’ dans ce disque. Avec les mêmes qualités et les mêmes défauts. Mike Patton est un chanteur exceptionnel, un piètre compositeur, ou arrangeur, tournant toujours les mêmes marottes et oubliant le Groove. S’extasier sur ce disque comme devant la chapelle sixtine me semble un peu surjoué, il y a du snobisme même dans le métal. Ok, c’est sympa ces revisites de B.O de films à la mode metalo-inquietante, voire souvent grind, mais y-a-t-il de quoi se démonter durablement les cervicales ou le cerveau ou les hanches? Non.





The Jimi HENDRIX EXPERIENCE
ELECTRIC LADYLAND


Le 23 Février 2025 par REMY DUBOIS


Aaaah, cet album ainsi que le précédent sont des tueries, en plus je les passais souvent autrefois quand j'étais en train d'étudier ce qui me rend nostalgique.

Remy





The BEATLES
SGT. PEPPER'S LONELY HEARTS CLUB BAND


Le 22 Février 2025 par HDPE 79

Je suis rassuré je suis pas le seul à ne pas supporter les "jeremiades" de pm. La pire pour moi reste no more lonely night.





CHRISTOPHE
OLYMPIA 2002


Le 22 Février 2025 par BLUEMASK


Je sais, moi Christophe, me fait chialer, de tristesse, de joie, d’une nostalgie diffuse, y compris ses hits des débuts qui n’arrivent jamais à être kitch ou alors avec une classe insolente… alors, ce live complet, sortez les mouchoirs…
Fantastique





Bob MARLEY & THE WAILERS
LIVE FOREVER


Le 22 Février 2025 par BLUEMASK


Certes la deuxième disque a un son un peu pourri, quoique finalement charmant , mais ce live est un bon résumé de Marley, pour ceux, comme moi, qui ne veulent pas y passer la nuit. Vraiment sympa





SWANS
TO BE KIND


Le 22 Février 2025 par BLUEMASK


Après ´The Seer’, il semblait difficile de faire plus mieux, voir simplement d’égaler ce monstre de créativité, de puissance, de folie sourde et étrangement sensuelle.
Mais Swans réitère avec ´To be kind’ absolument génial mais évident successeur de ´The seer’, créant ainsi un genre de quadruple album indépassable, probablement une des musiques les plus captivantes de ce siècle.
´To be kind’ est un bloc massif de génie continuel, mais dans ce bloc les 30min hallucinées de ´Bring The sun/Toussaint L’ouverture ´ et l’ hypnotique krautrock de ´She loves us’ sont au firmament de ce rock qui ne doit plus rien à personne.





MAGAZINE
PLAY+


Le 22 Février 2025 par PSYCHODIVER

@GARAGEGIRL : Bonjour.

MAGAZINE et plus généralement l'ami Howard divisent toujours autant qu'il y'a 40 ans. Tout comme les étiquettes "afterpunk", "new wave", "post punk" ...

Devoto et les punks, c'est effectivement une drôle d'histoire. Il a quasiment lancé le mouvement à lui tout seul via le "Spiral Scratch" des BUZZCOCKS qui en le perdant ont beaucoup perdu. Rien qu'un morceau comme "Breakdown" possède en lui l'essence de tout un genre (ex-aequo avec "Ex Lion Tamer" de WIRE. Colin Newman ne tarissait d'ailleurs pas d'éloges au sujet de l'EP inaugural de la bande à Shelley). Que Howard ait pressenti la destinée tragique et express du punk avant les autres : c'est une certitude. Qu'il ait cherché à niquer (parce que c'est le verbe le plus approprié à cet état de fait) les punks et les progueux en leur balançant sur la figure un rock hybride tellement extrême dans ses ambitions qu'il ne pouvait pas fédérer mais uniquement réunir les fadas de sons inclassables : là aussi c'est sûr et certain. Je n'ai toutefois pas la sensation qu'il détestait autant les punks. Il était encore une fois un sacré phénomène au plus fort de MAGAZINE. Certes, il ne massacrait pas les journaleux à la manière de JJ Burnel, Jah Wobble ou Sid Vicious, ni ne se baladait dans les quartiers huppés pour abreuver les nantis de ses molards comme le faisait John Lydon. Mais il les assassinait verbalement. Il fallait à mon avis se préparer psychologiquement avant de lui accorder une interview. En deux ou trois sorties : le Devoto est capable de vous larder l'esprit à coup de tessons de bouteilles et avec un je m'en foutisme doublé d'un dédain pas possible (regardez les clips pour vous en rendre compte). Le dénommé Trafford n'est pas votre ami. Sa musique n'a pas vocation à suivre les chemins tracés par Elton John ou ABBA.

Venons-en au début du live, à ce qu'il paraît "chiant". J'en conviens, démarrer le set par quatre morceaux plus atmosphériques que spontanés (quoique ... En particulier "Give Me Everything") fallait oser. Toutefois, la méthode n'était pas inédite en 1980. Déjà en 1975 sur "On Your Feet Or On Your Knees", le BLUE ÖYSTER CULT avait choisi comme ouverture le relativement apaisé (mais n'exagérons rien) "The Subhuman" au détriment d'un "Harvester Of Eyes" ou d'un "Transmaniacon MC" bien plus martiaux. La marque d'une insoumission aux codes en vigueur via le refus de servir des hymnes de stades pendant une plombe et demie (j'ai jamais aimé ACDC ). Pour rappel : l'avantage de "Play+" est justement de compiler deux lives. Le premier à Melbourne en 80, plutôt professionnel sans que la puissance des morceaux ne soit altérée. Le deuxième à Manchester en 78, digne d'une excellente Peel Session bien rageuse et sans retouche.

Enfin, MAGAZINE pose la question (avec PIL) de la réelle identité du punk. Est-ce un esprit sincère ? Une posture essentiellement vestimentaire ? Un son ? Le fait est que la new wave du quintet mancunien déploie une ambiance et une agressivité que l'on ne peut pas cerner du premier coup. Comme énoncé plus haut : les keupons de base ne pouvaient pas s'y retrouver avec les claviers de Dave Formula et les inconditionnels de Tony Banks ou Rick Wakeman fuyaient devant la violence et la tyrannie d'une musique résolument intimidante. Quand on aborde la nouvelle vague des origines : on démarre en douceur (façon de parler) avec les STRANGLERS (bourrus, bizarroïdes, mais assez facile d'accès), on affine le propos avec ULTRAVOX et / ou VISAGE puis on s'aperçoit après moultes écoutes que tout ce que l'on a aimé chez les trois précédents étaient canalisé et transcendé chez Devoto. Personnage singulier mais ô combien fondamental dans l'univers rock pas seulement britannique. La meilleure preuve ? Un titre d'anthologie tel que "The Light Pours Out Of Me", dont aucune version connue n'est à bannir (j'ai la cover par MINISTRY dans les oreilles en ce moment, ce refrain est impérial, ce riff est indescriptible, cette fureur dans les deux derniers quarts est démente, ce morceau est grand).

Quant au contact phalango gingival requis contre les anti Devoto, je citerai Eric "BÖC" Bloom répondant aux traumatisés du Messerschmitt 262 de "Secret Treaties" : "Arrêtez de délirer les gars. C'est juste un avion". It's only rock n roll.

Ah. Et alors comme ça MAGAZINE + Devoto feraient mieux de rester dans l'oubli au sein duquel ils auraient élu domicile ? Il s'agirait tout d'abord d'attester de l'existence de cet oubli. Allez dire ça à Al Jourgensen, Nivek Ogre, Morrissey, Jim Kerr, RADIOHEAD, Wayne Hussey, Peter Murphy qui doit beaucoup au Howard question expressions faciales dark et théâtralité parfois choc ou Duff McKagan (seul membre valable des médiocres GUNS N ROSES). De même que feu David Lynch n'avait certainement pas choisi Barry Adamson au hasard lorsqu'il pensa "Lost Highway".

MAGAZINE est aussi visionnaire, légitimement culte et peu encrassé par la médiatisation ou les manigances quasi mafieuses de la "grande famille du rock selon Lyor Cohen et Jon Bon Jovi" que le sont PIL, HAWKWIND et NEU!. Point final.





MAGAZINE
PLAY+


Le 21 Février 2025 par GARAGEGIRL


Bonsoir. Très belle chronique. On ne peut qu'adhérer. A la chronique je veux dire.
Parce que musicalement je ne suis pas des masses d'accord. En live ou pas en live (j'y étais pas, je passais sous la barre), Magazine n'étaient pas faits pour marquer leur époque. Devoto en représentant de l'after punk c'est totalement absurde. Le punk n'a rien à voir avec Magazine. Devoto il a eu peur du punk. Bref. Plus proche de Van der Graff que de Joy Division les mags. D'où le relatif oubli d'où il semble illusoire de vouloir les tirer. Clairement, hormis deux ou trois titres (dont celui co-écrit par Shelley), je ne vois pas bien à quoi ils ont servi. Bon, j'admets, des fois j'écoute, pour les mélodies. Comme j'écoute la radio.
Mais quand même, elle m'intrigue ta chronique, alors je me passe le truc. Le début est chiant, mais en faisant autre chose ça passe. Et puis je me laisse bercer par la voix de HD. Tout doux j'ai le pied qui bouge, et quand arrive "The Light Pours..." que j'attendais vaguement, je me dis que je vais commenter. Comme quoi y'a que les connes qui changent pas d'avis non?
Maintenant, pour la droite bien vitaminée suivie de la gauche foudroyante que tu t'imagines capable d'administer dans ta chronique, c'est comme tu le sens, mais c'est pas cool de frapper une femme qui a raison. Pis des fois elles ont les ongles longs.





SLAYER
HELL AWAITS


Le 21 Février 2025 par BLUEMASK


Après une éjaculation adolescente, on devient un peu plus adulte. À force d’à force, on laisse de côté ses influences NWOBHM, on maîtrise mieux sa musique, on lui donne sa tonalité définitive et on arrive même à pondre son premier hymne, avec ´Hell awaits’ et sa montée en puissance incroyable. Après, parfois, on a un poil trop d’ambition, alors qu’on sait pas encore forcément bien tout agencer, et on rate son diplôme d’excellence. De peu, mais quand même. La preuve, l’examinateur regarde parfois sa montre.





Lou REED
NEW YORK


Le 21 Février 2025 par BLUEMASK


Un disque miraculeux qui sort Lou Reed de l’ornière. Fin de la crise de la quarantaine, il resserre son écriture avec des textes superbes et mordants, redécouvre la notion de mélodies et de rythmes, et se dote d’un son live, mordant, organique, déjà très 90´s. Moins de cynisme, plus d’ironie acerbe, une maturité adolescente, moins de désespoir, plus de mélancolie douce amère, et même, pincez moi, ce qui ressemble à un titre enjoué chez cette carne, avec ´Good evening, mr Waldheim’.





HAWKWIND
25 Years On (Hawklords)


Le 21 Février 2025 par FOUDROCK


Une pochette pareille me donne envie de fuir très loin.
Musicalement, c'est vraiment d'un tout autre niveau. Un disque étonnant, un peu à part, mais très sympa.







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