Le 18 Février 2025 par CHRISNAKE

Si vous n'avez aucun album du groupe dans votre collection, celui-ci fera l'affaire car c'est un incontournable des Seventies qui a fait un carton aux USA avec 2 millions d'unités vendues et un tube "Love hurts" classé dans le Top 15 ainsi que dans de nombreux pays européens. C'est Manny Charlton le guitariste qui se charge de produire le disque après 3 albums produits par Roger Glover le bassiste de Deep Purple. Une Face A orientée Hard rock et une ballade magistralement interprétée par Dan Mac Cafferty qui sait moduler son chant "Guilty" de Randy Newman. La maison de disques américaine AM Records a préféré mettre "Love hurts", reprise des Everly Brothers à la place. Un choix judicieux. La face B est plus expérimentale avec "Beggars day" de Nils Lofgren, on croirait entendre Brian Johnson en plus énervé. 2 titres planants aussi et le blues-funky très rock sudiste avec "Whiskey drindin woman". Un Must !

Le 18 Février 2025 par FOUDROCK

Le seul album que j'aime de la part des RHCP, groupe que, sinon, je n'arrive pas à encadrer. M'énervent, ceux-là.
Mais cet opus 95, pardon, quel monstre de hard-rock funkysant... Dave Navarro n'a pas fait l'unanimité parmi les fans. M'en fous, j'en suis pas un, et je trouve qu'il fait un boulot super réussi ici, on a affaire à un album de grande qualité. Clairement un des sommets des années 90.

Le 18 Février 2025 par FOUDROCK

Là, je ne rejoins pas du tout la chronique. On a quelques bons trucs ici ("Hollywood" et les deux premiers titres) mais dans l'ensemble, quelle baisse de niveau après toute cette série (depuis 1974, et en incluant "Chinatown") d'excellents opus. La pochette est une vraie réussite, en revanche.

Le 18 Février 2025 par FOUDROCK

Aussi bon que "Nightlife", avec une excellente reprise de Bob Seger en intro, un "Suicide" magistral, et un morceau sublime, sans doute mon préféré du groupe au final, "Spirit slips away". Un album un peu oublié, et c'est bien dommage...

Le 18 Février 2025 par FOUDROCK

J'adore la pochette, vraiment.
Musicalement, ce quatrième opus est le premier à être vraiment recommandable, non pas que les trois précédents soient nuls (certainement pas le précédent direct "Vagabonds..." en tout cas), mais ils leur manquent un truc.
Là, franchement... Ce n'est pas encore parfait, mais entre "Still in love with you", "Showdown", "Sha la la", "She knows" et "Philomena" en hommage à la mère de Lynott (qui lui survivra), c'est superbe.

Le 18 Février 2025 par FOUDROCK

Le morceau final est légendaire. Quel album. Et si c'était celui-là le sommet de la carrière du groupe ? Enfin, entre celui-là et "Johnny The Fox", mon coeur balance...

Le 18 Février 2025 par MARTIN LA BOTTE

ATTENTION, je spoile la fin du film !!!

Superbe chronique, Emma ! Je prendrai toujours plus de plaisir à écouter les b.o plus enjouées, plus joyeusement jazzy, plus "féériques" des "Demoiselles" ou de "Peau d'Âne" mais je suis toujours bluffé par le tour de force accompli ici par Jacques DEMY et Michel LEGRAND. Car, contrairement aux deux autres, "Les Parapluies" est chanté de bout en bout. Et là où rêveries, légèreté et optimisme dominent à Rochefort, tout est douleur, destin contrarié et résignation pragmatique à Cherbourg. Avec cet incroyable challenge de faire chanter chaque émotion, chaque réaction, chaque petite phrase la plus banale. Dans un final somptueux et hautement émotionnel, on est face à 2 anciens amants se retrouvant fortuitement dans une station service des années après leur bouleversante séparation (subie et souhaitée ni par l'un ni par l'autre) ayant envie de parler mais n'ayant plus grand chose à se dire, interrompus par le pompiste qui demande (fredonne) à la dame si elle veut du "super" ou de "l'ordinaire"... Ce qui donne forcément tout au long du film ces "paroles un peu désuètes et vides par moment" qui rendent aussi les situations tellement plus (hyper)réalistes. Mais une fois qu'on a accepté le concept ou qu'on s'y laisse prendre, et j'avoue y être moi-même parfois encore rétif, on peut réellement être emporté. Notamment par ce sublime thème des amoureux qui, à chaque retour, fera monter les larmes d'un cran ou de plusieurs jusqu'à la fin.
Pour donner une idée du caractère sans concession de l'entreprise, si vous recherchez la plus célèbre chanson (et scène) du film dans la track list (♪ Mais je ne pourrai jamais vivre sans toi...♫), il faudra vous rendre à la piste 11 "Devant le garage"...

Emma, même si je reste un éternel amoureux de Catherine DENEUVE, ne penses-tu pas qu'il serait légitime de citer quelque part sur ta fiche-chronique les chanteuses et chanteurs qui la doublent, elle et ses partenaires, à commencer par la grande Danielle LICARI ?

Le 18 Février 2025 par FOUDROCK

Une pure merveille et un album, j'ai l'impression, un chouïa oublié de nos jours (comme le groupe ? Peut-être bien, hélas...). J'ai l'impression que l'on ne parle pas assez souvent de "Bad Reputation" quand on parle de Thin Lizzy. Alors qu'il n'y à rien à retirer de ces presque 36 minutes certes pas terriblement heavy, mais très très fortement mélodiques. J'aime ce genre de hard-rock !

Le 18 Février 2025 par POPOLOUTCHO

Je venais d’entrer au lycée en 79. À l’époque avec mes potes, on ne jurait que par le Rock et les Musiques Anglo-Saxonnes. Par contre, on méprisait tout ce qui passait dans les émissions de variétés type Guy Lux. Avec le recul il faut reconnaître que tout n’était pas à jeter, loin de là… Mais bon, on était « jeunes et rebelles », c’était comme ça.
Dans cette seconde moitié des années 70, une nouvelle forme de chanson française est apparue. Si elle n’était pas toujours typée Rock, on sentait bien que les influences étaient là et du coup, on a adhéré. Il y a eu d’abord les Souchon, Higelin, Lavilliers, Voulzy, Renaud, suivis de près par Cabrel, Thiéfaine et d’autres. Jean-Patrick CAPDEVIEL faisait partie de la vague. Mais chez lui, il y avait des choses qui nous dérangeaient. Son côté un peu forcé, poseur, à la rigueur ça passait. Par contre, ce qui ne passait pas, c’était que ses chansons étaient parfois calquées sur celles de Bruce Springsteen. Il faut savoir qu’à l’époque en France, le Boss n’était pas connu du grand public. Mais voilà, nous autres lecteurs de Rock & Folk, Best et autres mensuels de la presse Rock, on connaissait. D’ailleurs, on adorait « Darkness on the Edge of Town » qui était sorti l’année d’avant. Et il faut bien le reconnaître, quand on écoute par exemple « Prove it all Night » et juste après « Tout au bout de la ville », il y a plus que des similitudes. Dans les deux premiers albums de CAPDEVIEL, on peut en noter quelques-unes comme ça : des bouts de mélodies par ci, des morceaux d’arrangements par là… Au fur et à mesure, ça a fini par vraiment se remarquer. Les Rock-critiques s’en sont agacés et l’intérêt pour CAPDEVIEL a sans doute décliné aussi à cause de ça. Dans les années 80, il a essayé de sonner autrement, mais ça n’a pas collé. Pendant que les autres chanteurs de la vague s’imposaient largement, lui a disparu. Dommage, car il y avait des côtés intéressants et sympathiques chez lui. Il lui manquait juste un peu plus d’authenticité.

Le 18 Février 2025 par FOUDROCK

Un autre grand opus de Lizzy. La face B, notamment, est absolument parfaite, rien à jeter.

Le 18 Février 2025 par FOUDROCK

Le plus grand live de l'histoire du hard-rock, à égalité avec le "Made in Japan" de Deep Purple.
Et un des plus grands lives au monde, tous genres confondus.
Un sacré monument. Peu importe s'il a été (contrairement au Deep Purple) refait en studio. Il bute sa grand-mère en slip léopard troué, ce live.

Le 18 Février 2025 par FOUDROCK

Un de leurs meilleurs albums. J'ai longtemps pensé (et c'est peut-être même bel et bien le cas, au final) qu'il s'agissait d'un album conceptuel (le titre de l'album, le titre de certaines chansons), et ça a un peu freiné mon amour pour le disque, non pas que je n'aime pas les albums conceptuels, loin de là, mais comme je ne voyais pas en quoi consistait ce concept, ça me faisait un peu ch.er. Au final, je me suis dit que peu importe s'il y a un concept ou pas : cet album bute, tout simplement.

Le 18 Février 2025 par FOUDROCK

Un des meilleurs albums du groupe et de punk-rock. Un album incroyable et très chelou, qui se revèle de plus en plus à chaque écoute. Et rien que pour "Down in the sewer"...

Le 18 Février 2025 par FOUDROCK

Surtout que le punk-rock, ce n'est pas seulement un chanteur qui bave : le guitariste bave aussi, souvent !
Trève de conneries, c'est un des meilleurs albums du groupe, presque aussi quintessentiel que le premier opus et "The Raven", et rien que le morceau-titre et "Bitching" font qu'il mérite totalement plusieurs écoutes.

Le 18 Février 2025 par PATAPAY

Je vais pas me faire d'amis avec ce commentaire, mais franchement cet album me rappelle pourquoi contrairement à la new wave je n'aime pas le punk, car comme ici ça se limite à quoi ? Une petite musique d'accompagnement et un chanteur qui bave.

	Par Forces Parallèles Bonjour, juste une petite question au passage, difficile de se faire des 'amis' de toute façon puisque tu (permets-moi de te tutoyer) changes de pseudo à chaque message. D'où ma question c'est quoi l'intérêt ? Tu n'assumes pas tes prises de position ? Il y a sur ce site des lecteurs qui interviennent régulièrement et ce qui fait l'intérêt et la valeur de leurs commentaires c'est justement qu'on les connait, on sait ce qu'ils aiment, leurs goûts, leurs visions etc, mais toi ? Et pourquoi envoyer tous ces messages (qu'on supprime évidemment) sans queue ni tête ? Bois-tu ou dois-tu prendre des médocs à certaines heures ? Si c'est autre chose, comme de l'ennui dans l'existence, sache que c'est pénible et pas drôle en plus. Donc perso je ne suis pas psy mais que peut-on faire ici pour toi ? Allez ressaisis-toi ou évite simplement certaines heures pour laisser des commentaires. Bien à toi, Streetcleaner

Le 18 Février 2025 par DANCE TO THE GROWLS

Une musique qui sonne comme le futur. Y a déjà tout George Clinton et le disco là-dedans, sauf que la touche énorme de pop à la BEATLES, la batterie organique (on croirait entendre Ringo jouant chez James Brown), et la production au poil (la stéréo est parfaite pour un disque de 1967, on est loin des séparations abusives gauche-droite qui prévalaient alors) portent le disque au-delà de son époque jusqu'à maintenant et plus loin. C'est accrocheur et ça fait danser mais c'est aussi bourré de subtilités musicales qui font qu'on peut écouter sagement assis en appréciant l'interaction entre les instruments.

Sly, c'était le Mozart de la soul. Il ne l'a pas inventée, mais de la même façon dont le prêtre se souvient avec tendresse devant Salieri de "la Petite Musique de nuit" dans "Amadeus", la fraîcheur et la joie qui émanent naturellement de ce son unique demeureront.

Le 18 Février 2025 par SWISSIDOL

A force de voir le clip du morceau "Espresso" (et de craquer sur une paire d'yeux absolument fabuleuse), j'ai écouté l'album de la belle.
Bon, tout cela n'atteint pas des sommets. Quelques morceaux bien troussés dans le genre ("Espresso ", "Please please") mais aussi des passages bien girly, voire franchement orientés tres jeune public.
Côté belle petite blonde qui fait de la pop, j'ai préféré Britney, en son temps, et Christina Aguilera dont les prouesses vocales dépassent nettement celles de miss Carpenter.
Mais quand même, quels yeux elle a !!

Le 18 Février 2025 par PSYCHODIVER

@MARTIN : Salut. Effectivement, mon père est natif de 1971. Il a assisté au phénomène Capdevielle et y aura adhéré sans grand mal dans sa jeunesse avant de pouvoir enfin mettre la main sur l'album lors de l'avènement du CD. Vous êtes d'ailleurs sur la même longueur d'onde à propos de l'anecdote relative aux standards de l'époque rapidement balayés par l'homme du désert ... qui s'est ensuite évaporé pour revenir bien plus tard en succombant à la variétoche la plus nocive.
Pour ce qui est de la personnalité du Monsieur, je ne pense pas qu'il surjouait. La gouaille, la dégaine, c'était peut-être d'un autre temps (Daniel Darc et Éric Débris rassemblaient déjà les plus radicaux via des approches bien moins fédératrices) mais ça me semble honnête. Je vois vraiment JP comme un Thiéfaine en plus clean et en plus rigolard (à froid) qui souhaitait tout ... sauf l'exposition médiatique. Il n'aurait pas atteint (ni tenté d'atteindre) les sommets de provocation bien calculés du jurassien, je pense notamment au faux playback de "113 Ème Cigarette Sans Dormir" chez la mère Sinclair (malaise TV destroy).

Enfin, au sujet du "hit facile", je me base sur les déclarations de Jeannot lui-même lorsqu'il réapparu dans les années 2000. Il fut particulièrement étonné d'entendre "Quand T'es Dans Le Désert" diffusé en boucle sur la bande fm en 79 et affirmait qu'il s'arrangeait pour que les chansons qu'il estimait faciles ne sortent pas en single. Mais la maison de disques en avait décidé autrement ...

Le 17 Février 2025 par RICHARD

Bien vu Nono !
'Caribbean Sea' est pour moi sans doute l'une des plus belles chansons de Daho. Il faut dire qu'avec Edith Fambuena comme compositrice et Armande Altaï aux chœurs, il y a de quoi faire. Cet album demeure depuis toujours mon préféré du Rennais car il réussit l'alliance quasi-parfaite de la (fausse) légèreté Pop et de la mélancolie.

Le 17 Février 2025 par SWISSIDOL

Je me suis quelque peu lassé du sieur Manson et de son cirque : clips sombres, où il porte un dentier en or, un "œil de verre" ou que sais-je. Son de basse trafiqué et crade. Textes désabusés et déprimants. Comment peut-on se complaire depuis des décennies dans la crasse, les égouts et le sang?
Ce nouvel album se situe dans la moyenne plutôt basse des productions de notre névrosé préféré. Pas mauvais ("Meet me in sanctuary ") mais pas bouleversant. 2,5/5