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The BEATLES
THE BEATLES


Le 17 Novembre 2024 par FACE 242

Évidemment que c'est Paul au chant (et à la batterie aussi). Par contre perso je suis pas fan de cet album, trop de morceaux bouche-trou je préfère nettement Abbey Road.





The BEATLES
THE BEATLES


Le 17 Novembre 2024 par ELK

@ Masterfan : bravo pour ta série sur la discographie des Beatles qui mériterait de rester comme Kro express sur le site !





INDOCHINE
3


Le 16 Novembre 2024 par RICHARD


Je crois bien Jean que vous mettez le doigt sur ce qui caractérise pour la plupart des gens le cas Indochine : sa (prétendue) ringardise. Il est même encore totalement honteux d'estimer ce groupe. Qui n'a jamais ressenti cette légère gêne lorsqu' adolescent,on disait aimer Indo. On se faisait gentiment charrier, mais c'était quand même dit. Si je partage votre passion pour ce projet, la mienne s'arrête à Dancetaria, la suite n'étant plus l'histoire d'un groupe et d'une recherche artistique mais indubitablement plus celle d'une florissante entreprise. Je pars du principe que je suis toujours le ringard de quelqu'un, donc j'écoute Indochine avec plaisir et recul. C'est peu de dire que passion et haine irraisonnées sur un même groupe dans notre hexagone est plutôt rare. S'il est des plus légitimes de trouver Indochine peu intéressant, vide de sens (quoi de plus normal, avec des arguments) je crois que par paresse et par un manque flagrant de curiosité, il est toujours jugé à l'aune d'arguments totalement caricaturaux et surannés.

Je vois par exemple depuis des décennies que le quatuor initial, puis les entités suivantes ne seraient qu'une pâle copie de Cure. En quoi objectivement ? Mais en quoi ? Pas de chance, je suis fan des deux groupes et musicalement je ne vois que deux très lointaines similitudes. L'introduction de «3ème Sexe» qui pourrait se rapprocher de celle de «A Forest» et les guitares très curistes de «Dark» (2002). Après, pas une seule similitude, pas une. La discographie des Néerlandais de The Essence, le premier, Fra Lippo Lippi ou Bloc Party, entre autres, eux, sonnent Cure. Le style, l'esthétique ? La choucroute capillaire de Robin Guthrie de Cocteau Twins ou de Ronny Moorings de Clan Of Xymox rappelle plus celle de Smith que Sirkis. Ce sont peut-être des détails pour vous comme dirait l'autre, mais c'est cette platitude qui décrit depuis des décennies le groupe...et j'allais oublié naturellement «Isabelle a Les Yeux Bleus », mais les Inconnus avaient du talent à la différence de certains.

Le problème est qu'il est très rare de voir une critique qui ne se résume pas à dire du travail d'Indochine, bah, c'est de la soupe, une soupe indigeste, et c'est tout. Musicalement, de 1981 à 1999, il y a pourtant de quoi contenter celles et ceux qui aiment une Pop simple, mais pas simpliste. On pioche au hasard quelques titres extraits des albums «7000 Danses» ou «Un Jour Dans Notre Vie» et on peut objectivement être agréablement surpris. Encore faut il faire l'effort de les écouter et de ne pas avoir d’œillères. Rebelote pour les textes. Jusqu'en 1999, les mots de Sirkis trouvent un certain échos chez pas mal de personnes. Est-ce à dire que ces dernières sont dénuées de bon goût ? Les textes de Sirkis n'ont pas vocation à entrer dans la Pléiade, personne ne dit le contraire, mais ils ne sont pas aussi détestables que cette réputation savamment entretenue le laisse supposer. Tout ceci est de l'ordre du subjectif, mais force est de constater que l'on tire parfois à boulet rouge juste pour le plaisir. Passer pour un ringard sur le plan musical est le cadet de mes soucis, mais j'aimerais parfois que la critique argumentée (je parle de façon générale, pas de méprise) prenne le pas sur des généralités émises par des personnes qui pour 95% d'elles n'ont jamais écouté un seul disque d'Indochine. C'est un peu comme si je réduisais U2 à la superbe coupe mulet de Bono ou Gainsbourg à ses Repetto. C'est léger.





The BEATLES
ABBEY ROAD


Le 16 Novembre 2024 par MASTERFAN


Pour se faire photographier sur le seul passage piéton classé de la planète, mieux vaut y aller un dimanche matin à l’aube. A défaut, il faut attendre son tour pour connaître son instant de gloire, et en même temps bien emmerder les riverains, lesquels sont de toute façon depuis 55 ans tous devenus fous, terrassés par des rêves d’écrasement.

Même si je les apprécie, j ‘avoue ne pas porter un culte particulier aux morceaux d’entame de faces de John et George, les emblématiques “Come together” et “Here comes the sun”. Par contre, j’ai dû être conçu sur le second morceau de George, “Something” car depuis la première écoute ce morceau m’a toujours fait frissonner.

Paul fait du Paul sur “Maxwell’s silver hammer” avant de faire clairement du John sur “Oh Darling”. Ringo tente une nouvelle fois de renouveler le coup du “Yellow submarine” sur “Octopus’s garden”, ce sera son meilleur morceau perso (pas compliqué, avant il n’y a eu que “Don’t pass me by” - et pas “Back in the USSR”, je le précise parce qu’il arrive que certains se trompent). Le “I want you” de John vraiment entêtant. En 1993 sur le DIES IRAE LIVE, Noir Désir emmène ce morceau sur une dimension différente et très intéressante aussi.

Le véritable clou de l’album reste la diabolique seconde face, ce medley en majorité à l’initiative de Paul, ces ‘collages’ successifs qui s’enchaînent subtilement jusqu’au merveilleux “The end” final. Le “Because” de John nous fait comprendre ce qu’on aura perdu après la séparation des Beatles, ces choeurs sublimes… Il n’y a guère qu’avec le mélange des voix d’Agnetha et Frida de Abba que l’on retrouvera des choses aussi célestes. Même constat sur le charmant mais très court “Sun king”, comment rester insensible à un truc comme ça. Entre les deux, c’est “You never give me your money”, Paul se plaint de ne pas avoir eu son fric, c’est aussi ça les Beatles, ils pouvaient chanter n’importe quoi, c’était toujours mélodiquement avec classe et efficacité...

Je préfère considérer les deux triptyques qui suivent comme des entités d’un seul tenant. Pour “Mean Mr Mustard / Polythene Pam / She came in through the bathroom window”, on pense que l’enchaînement s’est fait naturellement entre les deux premiers morceaux tant leur complémentarité paraît une évidence, mais comme pour “A day in the life”, ce n’était pas le cas, ‘Polythene’ ayant été incorporé bien après coup. J’aime bien la version de travail en ligne de “She came in through the bathroom window” où on voit les Beatles plaisanter en la jouant, ce qui prouve qu’il y avait encore régulièrement une belle ambiance malgré tout, contrairement à ce que peut dire la légende.

Le second tryptique “Golden slumbers / Carry that weight / The end” est tout aussi mémorable, avec le premier (court) solo de Ringo gravé sur vinyle, et on pleure toujours à la fin quand on comprend que c’est fini. Enfin pas vraiment, car le déjà enregistré LET IT BE sortira derrière, et il y aura les albums solos ensuite, mais ceux-ci souffriront du manque de collaboration entre les deux génies, laquelle apportait systématiquement quelque chose de grandiose à chaque morceau.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : “Something” , “Because” , “Mean Mr Mustard / Polythene Pam / She came in through the bathroom window”. DELECTABLE (4,5) : “You never give me your money”, “Sun king”, “Golden slumbers / Carry that weight / The end”. SEDUISANT (4) : “Come together”, “Maxwell’s silver hammer”, “Oh Darling”, “Octopus’s garden”, “I want you”, “Here comes the sun”. Bilan 4,38 et Top 5 à 4,80 : ABBEY ROAD cote pour moi 4,59 soit 18,36 /20, bizarrement la même cote que SGT PEPPER, ce qui là encore correspond exactement à mon ressenti subjectif, puisque je les aime autant l’un que l’autre.

ABBEY ROAD comporte encore en lui ce soupçon de magie que l’ultime LET IT BE, enregistré antérieurement mais sorti après, n’aura plus.

J’oubliais, dans la famille : « les Beatles ont tout inventé », je voudrais le ‘morceau à la con planqué à la fin’. Les 23 secondes inutiles de « Her majesty » ont réintégré la tracklist aujourd’hui, ce qui à mon sens dessert la cohérence d’ensemble.





The BEATLES
THE BEATLES


Le 16 Novembre 2024 par MASTERFAN

@ELK. Mais oui tu as raison, putain ça pique !!! Merde alors, 40 ans je pense que c'est Ringo qui chante Back in the USSR, je sais pas pourquoi, c'est un mystère, c'était ancré en moi...

Comment ai-je pu faire une telle erreur, My God... je n'en reviens pas. Je n'ai plus qu'une solution, m'auto-flageller comme le mec du Da Vinci Code, ça vaut au moins ça !

Toutes mes plates et sincères excuses aux lecteurs de FP pour cette magnifique boulette complètement inacceptable.

Et merci beaucoup ELK pour ta vigilance !










INDOCHINE
3


Le 16 Novembre 2024 par JEAN


Je le répète j'adore Indochine depuis l'aventurier jusqu'à aujourd'hui même dans sa période creuse , cet album est incroyablement jouissif donc pour moins 5 étoiles . Je sais bien que nous sommes traités de ringards et pourtant j'ai vu une tonne de concerts de groupe rock comme Procol Harum , Bob Seger , New York Dolls , les Variations sans oublier les trois jours du festival d' Orange etc ... Pour les paroles d'Indochine je comprends les critiques mais après tout comme beaucoup de mon âge ( 74 ans ) je ne pige pas tout des paroles des artistes étrangers d'ailleurs il vaut mieux ! En Juin j'irai prendre mon pied encore une fois au concerts d'Indochine ( clin d'oeil à Vincent ) .





The BEATLES
THE BEATLES


Le 16 Novembre 2024 par ELK

@masterfan : Ringo au chant sur « Back In USSR » ça pique…
C’est ce bon vieux Macca qui s’y colle, il fait (presque) tout sur ce titre, même la batterie car Ringo s’était barré en vacances, saoulé par ses compères.





INDOCHINE
3


Le 16 Novembre 2024 par RICHARD


Comme je le pense depuis toujours, le vrai repoussoir plus que la musique ou les paroles, voire les deux en même temps pour Indochine est sans aucun doute Sirkis. C'est dommage quand même car à l'image de cet album, la bande des quatre expose une Pop de qualité, simple, mais pas simpliste qui s'exprimera de façon encore plus aboutie sur le somptueux " Le Baiser" cinq ans plus tard. Ni Cure, mais vraiment pas, comme le répètent les plus paresseux depuis des décennies, ni Depeche Mode pour les plus conciliants, Indo sonne ici comme aucun groupe. C'est encore l'occasion de souligner l'importance cruciale de Dominik Nicolas. Comme on dit, seuls les vrais savent...et il n'est pas oublié. 3 est incontestablement l' un des albums marquants de Pop hexagonale de cette décennie.





Phil COLLINS
...BUT SERIOUSLY


Le 15 Novembre 2024 par NONO


@SGT JAKKU : Je suis d'accord que cet album, bien que très bon dans l'ensemble, possède une chiée de balades à ne plus savoir qu'en faire ! C'était sans compter Genesis qui, à l'époque, faisait du "Phil", donc double-ration de balades. On ne savait d'ailleurs plus vraiment si c'était Philou ou Genesis. Bref, sa voix était partout. Imaginez, en 6 ans (1985-1991), on a eu successivement, en termes de balades :
* One more night (Collins)
* In too deep (Genesis)
* Throwing it all away (Genesis)
* A groovy kind of love (B-O de "Buster")
* Another day in paradise (Collins)
* I wish it would rain down (Collins)
* Do you remember (Collins)
* Hold on my heart
J'aime l'album, certes, mais a un moment j'ai saturé des ballades au Philou. Je me souviens très bien, ça devait être en 1990 ou 1991 sortait "Do you remember" en radio, là j'ai pensé "ENCORE une ballade ? Ce truc c'est vraiment la ballade de trop !" LOL
L'album est bon, je le préfère de peu au précédent de 1985 car sonnant plus acoustique, plus roots". Mais c'est aussi un album un peu long et indigeste, qui manque quelque peu d'un concept global. Il faut plutôt prendre cet album pour une sorte de compilation de hits je pense.
Note 3,5/5





INDOCHINE
3


Le 15 Novembre 2024 par SEB


Indochine, un groupe si emblématique des 80's, adoré, détesté, parfois décrié pour ses textes voire moqué (tout le monde connaît la célèbre parodie qui fera tant de mal, Les Inconnus voulant en fait se payer le groupe Partenaire Particulier), mais dont les tubes passés ad nauséam sur les radios ont fini par lasser/lacérer/martyriser (au choix) bien des oreilles ! L'abus d'Indochine serait-il dangereux pour la santé ? Euh...

Durant ces années 80 Indo nous sort l'album 3, la petite tuerie qui fera passer à la postérité ce groupe de légende avec pas moins de 4 méga-tubes "Tes yeux noirs" "Canary Bay" "3ème sexe" et "3 nuits par semaine". Petite anecdote lue au hasard de mes escapades webesques concernant ce dernier titre, il aurait été inspiré par le roman L'Amant de Marguerite Duras. Info qui va changer le cours de l'Humanité n'en doutons pas...

N'empêche, malgré qu'il nous aura bien pris la tête cet album il n'en demeure pas moins un incontournable de la discographie Indochinoise. Donc ce sera un big 5 pour le souvenir ! Mais sinon j'en suis dégoûté désolé, j'ai juste envie de me scarifier le corps rien qu'en entendant l'intro de "Tes yeux noirs"...





The BEATLES
THE BEATLES


Le 15 Novembre 2024 par MASTERFAN


Il était bien sympa à l’époque ce Double Blanc en 33 tours : étaient jointes 4 magnifiques grandes photos des Beatles offertes + le poster avec les paroles, je ne sais pas si c’est encore le cas aujourd’hui (j’espère vu le prix!)

À Ringo le privilège de lancer l’album avec « Back in the USSR » (de Paul) et ce Hou-HOU-hou-hou à la Beach Boys que recyclera sans scrupule notre Plastic - c’est fantastique - Bertrand dans son «  Ça plane pour moi ». On enchaîne direct sur deux grosses cartouches de John, « Dear Prudence » et « Glass Onion ». Paul essaie de renouer avec l’esprit de son « Yellow submarine » pour une compo au titre infiniment subtil « Ob-la-di-Ob-la-da »... C’est rigolo et pas désagréable, c’est déjà ça car ce qui suit, l’anecdotique « Wild honey pie » ne fait pas vraiment avancer le schmilblick.

Tant qu’à faire, restons-en dans la bonne blague avec « The continuing story of Bungalow Bill » où les fans des Beatles ont l’immense bonheur de découvrir la charmante voix de Yoko, ça pique. George ramène un peu de sérieux dans tout cela avec son merveilleux « While my guitar gently weeps » pour lequel il invite Eric Clapton, qui en remerciement lui piquera sa gonzesse, la vie est vraiment injuste. John se fait pardonner lui aussi pour finir la face A, avec son redoutable « Happiness is a warm gun ».

La seconde face débute avec des morceaux excessivement courts, ses extrémités étant fort calmes. « Martha my dear » laisse à penser que Paul va de nouveau nous embarquer dans un trip « cordes », puis le morceau évolue sur une structure plus pop et même légèrement cuivrée, tout cela étant de bon aloi. Etrange compo que le léthargique « I’m so tired », pour lequel John réussit le tour de force de ne pas endormir aussi l’éditeur. « Blackbird » est une belle petite mélodie de Paul, mais comme Yesterday, un peu surcotée à mon sens. A l’inverse certains chient sur Piggies, je ne suis pas d’accord, George réussit à créer une ambiance pop médiévale bien accrocheuse (qui sera hélas mal interprétée quelques temps plus tard par un certain Charles Manson).

En un éclair, on passe au western avec « Rocky Racoon » de Paul puis une curiosité, la première compo de Ringo « Don’t pass me by », laquelle resterait sûrement inaperçue n’importe où ailleurs, mais voilà, elle est sur le double blanc. « Why don’t we do it in the road » n’est pas le morceau le plus sensationnel de l’album. « I will » est d’une légèreté déconcertante tandis que « Julia », à la « Macca », reste un bel hommage de John à sa maman décédée.

La troisième face est bien dense, probablement la plus forte, avec déjà sur « Birthday » (de Paul) une belle énergie communicative. « Yer blues » ressemble fort à ce que fera John en solo par la suite, idem pour Paul et son « Mother Nature’s son ». La fin de la face monte en émotion avec d’abord un titre hautement philosophique : « Everybody’s got something to hide except me and my monkey » (et oui, les Beatles ont aussi inventé les titres ‘longs comme ceux de Morrissey’), puis un triptyque d’enfer, le savoureux « Sexy Sadie », le dément « Helter Skelter » (où Macca fait du Lennon), et le petit trésor méconnu de George, « Long, long, long ». Waooh...

La quatrième face, sûrement la moins forte des quatre, débute avec la version la moins électrique (et la moins bonne des deux) du classique « Revolution I ». S’en suit un improbable retour à l’ambiance d’avant-guerre pour « Honey pie ». On y trouve aussi la dernière chanson de George, vraiment à son avantage sur cet album, « Savoy truffle ». Pour finir, le superbe « Cry baby cry », le bullshit-collage « Revolution 9 », puis une petite douceur sans prétention (et étonnamment de John) pour Ringo, lequel termine cet album par « Good night », après l’avoir ouvert 30 titres plus tôt.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : While my guitar gently weeps, Sexy Sadie, Helter skelter, Long long long. DELECTABLE (4,5) : Dear Prudence, Glass onion, Happiness is a warm gun, Piggies, Birthday, Cry baby cry. SEDUISANT (4) : Back in the USSR, Martha my dear, I’m so tired, Blackbird, Rocky racoon, I will, Julia, Yer blues, Mother nature’s son, Everybody’s got something to hide except me and my monkey, Revolution I, Savoy truffle. PLAISANT (3,5) : Ob-la-di-Ob-la-da, The continuing story of Bungalow Bill, Don’t pass me by, Why won’t we do it in the road, Honey pie, Good night. INTERESSANT (3) : Néant. EMOTION LIMITEE (2,5) : Wild honey pie. AUCUNE EMOTION (2) : Néant. DEPLAISANT (1,5) : Revolution 9. PENIBLE (1) : Néant. Bilan 4 et Top 5 à 4,90 : le WHITE ALBUM cote pour moi 4,45 soit 17,80 /20.

Une fois encore, tout le génie des Beatles transparaît sur cette œuvre pop baroque et gargantuesque. Le Double Blanc est une démonstration de talent(s) et de force mélodique. Tout est organisé ici sur un seul concept, le contraste, chaque morceau devant trancher avec son prédécesseur. Après quelques absences, George se remet au diapason, avec des compos qui annoncent le futur chef-d’oeuvre ALL THINGS MUST PASS.

Certains disent que ce ne sont plus ici les Beatles, qu’il s’agit de Macca-Lennon-Harrison & Starkey, comme il y aura deux années plus tard Crosby-Stills-Nash & Young. Peut-être, mais passés les premiers accrochages, il subsistait toujours un minimum d’amitié et de collaboration au sein du groupe, et heureusement.

Si le Double Blanc tourne parfois en fête du slip (toutes les ambiances différentes possibles y sont répertoriées, excepté l’orchestre mexicain heureusement, que seul Robert Smith osera), l’une de ses forces est peut-être aussi que les quelques nanars qui y sont présents sont assez fréquentables (même le titre de Ringo, si, si), on se surprend finalement à ne jamais les zapper, ils se fondent bien dans l’ensemble. À part évidemment le gros foutage de gueule de l’avant-fin, ces plus de huit minutes qui plombent forcément le ressenti final, mais on ne va pas pour autant leur en vouloir.





JOURNEY
ARRIVAL


Le 15 Novembre 2024 par PILGRIMWEN

Un disque rempli à ras-bord, c'est le point que je trouve le plus dommageable à ce sympathique disque. Ainsi, aucun titre ne ressort réellement du lot. Pourtant, j'en conserve un agréable souvenir, surtout en compagnie du talentueux chanteur Steve Augeri. De l'AOR post bug de l'an 2000, pour le meilleur (ici, la qualité de leur musique) et pour le pire (là, la quantité de chansons). Album à écouter en plusieurs séances, histoire de ne pas se farcir une soixante-dizaine de minutes d'une traite !





The DOORS
AN AMERICAN PRAYER


Le 15 Novembre 2024 par FOUDROCK


Je dois être cinglé, car j'adore cet album.
J'assume.
Mais je dois sûrement être cinglé. Mais c'est parfois bon d'être cinglé.





The DOORS
MORRISON HOTEL


Le 15 Novembre 2024 par FOUDROCK


C'est devenu mon préféré du groupe, devant "L.A. Woman" qui en reprend la trame "rock bluesy à gogo".
Un album juste parfait, de "Roadhouse blues", hymne de la route (à deux roues, ou à quatre roues) à "Maggie M'Gill" en passant par "Land Ho !", "Peace frog" et "Waiting for the sun".





ALICE COOPER
MUSCLE OF LOVE


Le 15 Novembre 2024 par FOUDROCK


La photo d'Alice, sur la sous-pochette, le montrant en marin s'apprêtant à s'encanailler dans un club de strip-tease, sourire vicieux et dollars en main, me fera toujours rire. Très cartoon.

L'album ? Moyen. Je suis fan de "Big apple dreamin", "Hard hearted Alice" et de la tentative désespérée de faire une chanson de James Bond ("The man with the golden gun") est sympathique. Le reste est pas mal, mais pas transcendant, à l'image de la pochette très fainéante. Le Coop' arrive en bout de piste avec son groupe, et va bientôt se relancer, en vrai solo, s'apprêtant à nous inviter dans son génial cauchemar...





ALICE COOPER
LACE & WHISKEY


Le 15 Novembre 2024 par FOUDROCK


Je n'ai pas envie d'être aussi méchant envers ce disque qu'il le faudrait. Parce qu'il faut bien admettre que cet album, surtout après une telle brochette de classiques, c'est pas génial.
Mention pas spéciale à "(No more) Love at your convenience", Alice Cooper lui-même en parlera comme de sa pire chanson. Je déteste aussi "My God".
Mais les deux premiers titres, le slow "You and me" et "I never wrote those songs" sont plutôt acceptables. Et j'adore le concept de la pochette.
Un disque très médiocre.





ALICE COOPER
ALICE COOPER GOES TO HELL


Le 15 Novembre 2024 par FOUDROCK


La "suite" à "...Nightmare". Un disque incroyable, à la fois pop, disco et heavy, sorti sous une des plus ridicules et répulsives pochettes qui soient. Moins mythique que le précédent, ce deuxième opus mettant en scène Steven ne mérite pour moi que des éloges, musicalement parlant. "Give the kid a break" me fera toujours bien marrer ("Hey guys, I thought you were on my side !" - No. - Well, thanks a lot, "Pals" !").





AEROSMITH
TOYS IN THE ATTIC


Le 15 Novembre 2024 par FOUDROCK


Un gros classique, très gros classique.
Bon, "Big ten inch record", pas fan du tout, mais ça ne dure que 2 minutes...
Les 4 premiers morceaux sont tuants. Tuants. "'Sweet emotion" aussi.





AEROSMITH
GET YOUR WINGS


Le 15 Novembre 2024 par FOUDROCK


Un peu supérieur (mais je donne la même note) au précédent, ne serait-ce que pour "Lord of the thighs" et la triplette finale. Excellent opus.





AEROSMITH
AEROSMITH


Le 15 Novembre 2024 par FOUDROCK


Un premier opus pas parfait, mais déjà, des classiques, déjà le son Aerosmith, déjà des morceaux qu'on voudrait écouter à vie sans s'arrêter ("Make it", "Dream on")...







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