Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 ...>...>>... 1134
Comment poster un commentaire ?


KRAFTWERK
EXPO 2000


Le 14 Novembre 2024 par SEB


C'est factuel, depuis les années 70, Kraftwerk a marqué d'une empreinte indélébile l'histoire de la musique électronique du 20ème siècle. Créateur de quelques-uns de ses propres instruments mais aussi précurseur, le groupe n'a eu ensuite de cesse pendant des années de repousser les limites de la création et a vulgarisé l'utilisation du Vocoder.

Ainsi, il était naturel que le groupe allemand soit invité à l'expo 2000 d'Hanovre. Pour l'occasion, sort "Expo 2000", un single qui se veut événementiel. En effet, cela faisait une dizaine d'années, 13 exactement, que Kraftwerk n'avait pas fait chauffer le studio Kling-Klang pour une œuvre originale (la compil' ratée "The Mix" de 1991 mise de côté). C'est dire que ce retour était attendu !
Au premier abord, même si le morceau est très agréable à l'écoute, point de surprise au rendez-vous. Le précédent album de 1986 "Électric café" avait fait la part belle à la nouveauté avec son univers techno-pop ouvrant la voie à ce nouveau rythme. Mais là, rien de consistant hormis une mélodie planante qui reste en tête. Ce qui n'est déjà pas mal, vous me direz ! Mais bon, 13 ans pour ça !

J'entends partout les plus exigeants se plaindre que le côté précurseur ne transparaît plus, signe non pas d'une usure mais plutôt d'une complaisance à se reposer sur ses acquis. Ce qui n'est pas faux. Après, qui va reprocher aux allemands Kraftwerkiens de ne pas trop s'être cassé le c.. sur ce coup ? La démocratisation de la musique électronique c'est eux, les balbutiements de la techno, c'est eux aussi ! Techniquement, ils ont tant apporté à la musique moderne qu'ils vont plutôt chercher à en tirer parti désormais, s'amuser à en dégager la quintessence au travers de leurs morceaux. Un peu à l'instar d'un Jean-Michel Jarre qui a connu son âge d'or jusque dans les années 80 avant que son côté novateur soit noyé dans la masse de l'industrie musicale : il ne peut plus proposer grand-chose qui n'ait pas été inventé ! Mais il lui reste sa musique.

Alors, 25 ans après, reste une petite galette qui s'écoute encore (ma pochette diffère de celle ici chroniquée), un peu datée à cause du thème, avec des 'mix' trop légers pour en être vraiment, à part le 3ème morceau. À moins d'être fan acharné de Kraftwerk, difficile de dire qu'il y avait là matière à renverser la table : pour son grand retour créatif un simple single, on pouvait espérer plus et plus couillu, même si "Expo 2000", bien que décevant à mon avis, s'écoute sans déplaisir. Heureusement, 4 ans plus tard, il composera ce qui semble bien être son chant du cygne créatif, beaucoup plus consistant et bien meilleur. Chant du cygne car il semble depuis vivoter sur sa discographie existante qu'il décline ad libitum.

Un 2.5 bof, ramené à 2 pour ce retour un peu raté.





VIOLENT FEMMES
HALLOWED GROUND


Le 14 Novembre 2024 par BLUEMASK


Un an après un premier disque essentiel, Violent Femmes remet le couvert pour le même résultat enthousiasmant. Le même résultat ? Quasiment, mais "Hallowed Ground" est un poil plus musical et chaleureux, et donc moins punk et âpre. Ainsi du folk hillbillie "Jesus Walking On the Water", du blues gospel réconfortant "It's gonna Rain", ou des délires free de "Black Girls".





The WHO
LIVE AT LEEDS


Le 13 Novembre 2024 par FOUDROCK


Réédité à de nombreuses reprises, avec à chaque fois plus de morceaux que précédemment. Le vinyle original, de seulement 6 titres, reste cependant tellement meilleur...malgré qu'on a l'impression que ce n'est pas un live, tellement l'ambiance live (clameurs du public, applaudissements...) manque à l'appel.





The WHO
WHO'S NEXT


Le 13 Novembre 2024 par FOUDROCK


Album démentiel (même si je n'aime pas "Going Mobile") construit à partir des meilleurs morceaux tirés du projet avorté "Lifehouse". Bref, un disque fait rapidement par un groupe déçu de l'échec d'un projet auquel il tenait nettement plus.
Comme quoi, on peut fabriquer des chefs-d'œuvres n'importe quand, n'importe comment. Avec en plus la pochette qui marque.





The WHO
QUADROPHENIA


Le 13 Novembre 2024 par FOUDROCK


Je ne peux que donner la note maximale à cet album pour quatre raisons totalement valables :
1/ Ce fut mon premier Who, et rien que pour ça...
2/ C'est un des plus percutants double-albums conceptuels de l'histoire du rock.
3/ C'est le meilleur double-album conceptuel de 1973 (ne cherchez pas, il n'y en a qu'un autre, "Tales From Topographic Oceans" de Yes).
4/ Il s'appelle "Quadrophenia", un titre tellement curieux, et qui sonne si bien qu'il donne envie d'écouter le bouzin directos.

Si on ajoute à ça le fait qu'il a été adapté au cinéma (comme "Tommy" des mêmes Qui) et qu'il était commercialisé avec un épais livret de photos illustrant le concept (le livret du CD est tellement épais que le boîtier reste un gros fatbox à l'ancienne : il ne passe pas dans les charnières, ce livret), et si on rajoute le fait que les Who étaient censés être au fond du trou à l'époque alors qu'en fait, ils assuraient encore, et si en plus on ajoute l'âge du capitaine et le carré de l'hypoténuse du chef-lieu de la Haute-Vienne divisé par les couilles de ma sœur au carré, alors le doute n'est plus permis : cet album bute.

Non, je n'ai pas bu.





The WHO
THE WHO BY NUMBERS


Le 13 Novembre 2024 par FOUDROCK


Clairement un des meilleurs Who, un des plus sous-estimés aussi, enregistré durant une très difficile période (Townshend n'arrivait quasiment plus à écrire, miné par l'alcool), et ça se ressent, le groupe est au bord du gouffre. Mais des morceaux comme "Dreaming from the waist", "However much I booze", "In a hand or a face" ou "Success story" (d'Entwisle) sont remarquables.
Album chiant à dénicher en vinyle d'époque : trouver un exemplaire dont la pochette n'a pas été reliée est difficile... la tentation est grande de ne pas les relier, ces points, en même temps !





L'IMPERATRICE
MATAHARI


Le 12 Novembre 2024 par BLUEMASK


Bof… Dans le sillage d’un semblant de revival pop new-wave français, avec La Femme, Grand Blanc, sort ce genre de groupe. Soit une pop 80´s funky, bien disco par moment mais franchement inoffensive et d’un intérêt assez court. On lève bien l’oreille sur "Erreur 404" ou "Le masque" mais pour fermer les écoutilles lors des affreux instrus disco caricaturaux mais surtout assez mauvais. Bref, l’attitude c’est bien, la consistance dans la composition, c’est mieux.





Neal MORSE
THE RESTORATION - JOSEPH PT 2


Le 12 Novembre 2024 par SWISSIDOL


Comment Neal Morse fait-il pour avoir autant d'idées ? Pour pondre autant d'albums-fleuves ? C'est presque trop et on finit par reconnaître des tics de composition entre TRANSATLANTIC, THE NEAL MORSE BAND et consorts. Tout n'est pas passionnant sur cet album, dont l'intérêt met un peu de temps à décoller. Mais, de "The argument" à "I hate my brothers" inclus, on a un sans faute. De grands moments nous attendent aussi sur "Bring Ben", "The brothers repent" ou "Everlasting", entre belles parties de clavier, chant en canon ou breaks salsa.
Dommage que l'album s'achève sur un titre un rien banal dans le sens où Neal nous a déjà soumis ce genre de conclusions emphatiques.





Alan STIVELL
LIBERTE - ROAZHON


Le 12 Novembre 2024 par BAKER

Dvd bonus ? Ça existe encore, ça ?  :) ça m intéressait mais, dans ce cas, pourquoi pas en plus le concert filmé ?





Michel LEGRAND
LES DEMOISELLES DE ROCHEFORT


Le 12 Novembre 2024 par BRADFLOYD


Et que dire de cette "Arrivée Des Camionneurs", le morceau le plus chouette du disque. Enfin, c'est mon avis perso et je le partage ;-)





Tino ROSSI
C'EST LA BELLE NUIT DE NOëL


Le 12 Novembre 2024 par SEB

Oh oui BAKER, c'est bien dit ! Hauts comme des chiens assis on ne pouvait jamais imaginer la chance qu'on avait ! "Quand je s'rai grand, quand je s'rai grand..." Quand on est petit on rêve d'être grand, mais c'est quand on est grand, qu'on en sait un peu plus sur ce qu'est la vie qu'on aimerait bien redevenir petit. La conscience de l'innocence de son enfance perdue peut même conduire à un sentiment de mal-être ! Par exemple Renaud je crois en avait parlé il y a quelques années. Bref ainsi évolue l'être humain dans toute sa contradiction...

La chanson que vous évoquez c'était l'une de mes préférées. Étant gamin, combien de fois je remettais le saphyr sur la galette pour l'écouter ! Et mazette on savait faire des mélodies à l'époque, et l'idée qu'un morceau aussi féerique dans ses accords s'est d'abord faite connaître dans un mélodrame peut déconcerter un peu. Ce qui n'enlève rien à ses qualités : l'émotion transporte, les paroles imagent, c'est tout ce qui compte !





The CURE
SONGS OF A LOST WORLD


Le 11 Novembre 2024 par LEO


J'ai écouté ce dernier album par pure Curiosité (avec et sans jeu de mot), n'étant plus amateur de THE CURE depuis quatre décennies (je n'ai découvert Wish que sur le tard et même si j'ai apprécié celui-ci dans son ensemble, je n'ai pas souhaité y revenir depuis huit années et n'ai même pas tenté de m'attarder sur les albums suivants par manque d'envie).
D'emblée, le son ultra compressé et sans nuances m'a rebuté et il m'a fallu diminuer le volume à son strict minimum.
Ce qui m'a frappé ensuite, fut la présence trop envahissante des synthés, tout comme ce fut le cas jadis sur Disintegration qui donnait cette sonorité massive, quasi-indigeste tout du long.
Je n'ai pas aimé également ce procédé récurrent de faire traîner les intros en longueur inutilement, comme THE CURE le fait régulièrement depuis au moins Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me (le formidable "All Cats Are Grey" sur Faith jouait là dessus aussi, mais c'était fait avec goût et la compo n'atteignait pas les six ou dix minutes comme c'est le cas sur la moitié des morceaux de Songs of a Lost World).
Enfin, je trouve que l'écriture des textes et des musiques de Robert Smith ne s'est pas renouvelée depuis toutes ces années et que cela tourne un peu à la formule usée jusqu'à la corde (chose qui plaira sans doute aux fans du groupe mais beaucoup moins aux auditeurs occasionnels qui souhaitent peut-être un peu plus de diversité et d'inattendu).
Au final, je ne retiens rien à la sortie de ces quelques écoutes successives. Ce n'est même pas mauvais, mais lassant et sans surprises car tous les morceaux baignent dans la même torpeur surfaite. Perso, cela me laisse de marbre.
J'en reste donc définitivement au CURE des tout débuts: la compile US Boys Don't Cry, Seventeen Seconds et Faith (Pornography commençant déjà à tomber dans l'excès et la redite selon moi).





The BEATLES
YELLOW SUBMARINE


Le 11 Novembre 2024 par MASTERFAN


Pour poursuivre la discographie, il faut bien passer aussi par cet autre non-album des Beatles, encore un projet parallèle fait de bric et de broc. L’unique œuvre des Beatles qui dans l’histoire fasse consensus : le seul intérêt de l’album serait « Hey bulldog » (4,5) de John. « Only a Northern song » (3) de George n’est pourtant pas inintéressant, meilleur en tout cas que son barré « It’s all too much » (2,5). Quant à Paul, il nous gratifie d’une de ses pires compos, « All together now » (2), qui a à peu près autant d’intérêt qu’un morceau de Patrick Sébastien.

« Yellow submarine » et « All you need is love » se trouvent donc ici recyclées, Sir George Martin lui même étant de son côté mis a contribution pour remplir la face B. Je ne pense pas trop m’avancer en disant que cette face ne doit pas être beaucoup jouée chez tous les (rares) possesseurs de l’album (dont je suis).

Le seule utilité de la chose est de pouvoir faire découvrir les Beatles en dessin animé à un gamin qui n'aurait jamais entendu parler d'eux.

Sur la période, il y a eu un peu mieux que ça tout de même, évidemment le célèbre « Hey Jude » (4,5) de Paul écrit pour Julian Lennon, le fils de John. Le single plus rock « Lady Madonna » (3,5) a eu aussi son petit succès, personnellement ce n’est pas un de mes morceaux préférés. Sa face B, « The inner light » (3) de Georges, ne fera jamais partie des grands classiques des Beatles.

La suite sera heureusement plus substantielle.





Véronique SANSON
INDESTRUCTIBLE


Le 11 Novembre 2024 par MARTIN LA BOTTE

Ce qui est embêtant quand on apprécie moyennement une artiste et qu'on est encore loin d'avoir exploré tout son répertoire (ce qui est le cas pour moi avec la disco de SANSON dont je connais surtout les incontournables que je suis loin de détester, même s'il serait très exagéré de dire que j'ai été un jour envouté par son fameux vibrato, je sais c'est sacrilège de l'avouer), c'est qu'on a envie de se laisser guider par ceux qui sont plus fans que soi. Mais si ces derniers sont eux-mêmes modérément emballés par un de ces albums qui n'a rien ajouté à son prestige (ici, seules "Un être idéal" et "Je me suis tellement manquée" ne m'étaient pas inconnues), la curiosité s'estompe et la bonne surprise est alors peu probable. J'ai quand même testé 3 autres titres un peu plus mis en valeur par Erwin et Gribouille. "J'ai l'honneur d'être une fille" : bof bof (on faisait encore rimer "garçon" et "cheveux longs" comme du temps de Sylvie VARTAN ?). "Dans la même ville" : c'est vrai que ça peut faire penser à GALL sur les couplets et à BERGER sur les refrains mais j'aime pas du tout. "Un Amour qui m'irait bien" : peut-être au dessus du lot si je lui accordais 3 ou 4 écoutes supplémentaires. Mais le désir d'insister n'est pas assez fort. Donc c'est pas pour moi et je resterai sur l'idée que la meilleure, c'est "Je me suis tellement manquée" (sans être ma chanson préférée de la dame, loin s'en faut).





EUROPE
THE FINAL COUNTDOWN


Le 11 Novembre 2024 par NONO


@Marco : Avec le fameux morceau-titre, EUROPE a subi le même phénomène que Van Halen avec "Jump". Enorme succès mondial, mais oui : devenant le "groupe d'un tube" et aussi transformant, du même coup, un groupe de hard authentique en groupe Hard FM /AOR.
C'est aussi ce "passage" qui a transformé SCORPIONS : il y a un avant et un après "Still loving you"...
4/5 pour l'album.





Tino ROSSI
C'EST LA BELLE NUIT DE NOëL


Le 11 Novembre 2024 par BAKER

Merci SEB.

Je suis légèrement plus Opeth que Tino Rossi, cette vieille crapule prostatique, mais je trouve "Petite étoile de Noel" absolument sublime. Les harmonies glissantes angéliques, le son à la Disney 1937....

Souvenirs de gosses, quand on était innocents.... traduction : pas encore coupables....





Tino ROSSI
C'EST LA BELLE NUIT DE NOëL


Le 11 Novembre 2024 par SEB


Noël ? Non sans blague ! Eh oui comme chaque année Noël s'en vient bientôt ! On bourre le crâne des écoliers dès la rentrée de Septembre avec ça, soit-dit en passant. En même temps on a tous été gosses, naïfs et innocents, les cadeaux, le sapin à décorer, les spectacles d'écoles pour les parents, le Père Noël... Même si on le constate tous, la magie se perd et fait place au coté purement mercantile, force est de reconnaître que Noël fait toujours autant recette ! Mariah Carey en connaît un rayon... Mariah, un grand big up !

À ce propos, au même titre que la diva millionnaire Carey, cette galette de Tino "Père Noël" Rossi : voilà un disque qui se vend toujours bien chaque année ! Ses ayants-droits existants sont comblés et ceux à venir ne s'en plaindront pas non plus je pense ! À titre perso je possède la galette familiale 25 cm microsillon de 1957 de mes grands-parents (Nuit de noël pour les connaisseurs). Mes enfants en hériteront dans le patrimoine. Bien que la chanson star soit datée de 1946 Tino Rossi chantait Noël en 78 tours dès les années 1930, par exemple "Noël en mer" ou encore "Minuit chrétiens", non présents sur cet album ici chroniqué. C'était déjà un coutumier des chants dédiés à cette fête des enfants.

À la fin de la 2ème guerre mondiale il a su flairer le bon filon avec l'adaptation sage de la version de 1944 de "Petit Papa Noël", devenant ainsi l'emblème musical national des enfants depuis bientôt 80 ans. Pas fou le Tino ! Un autre titre de cette galette mieleuse "Petite étoile de Noël", créé pour le film "Son dernier Noël". Une belle chanson, tirée d'un film pourtant dramatique de 1952 qui pour le coup pourrait facilement flanquer la sinistrose à une troupe de carnavaleux brésiliens ! Mais encore faut-il le savoir, les titres dans l'ensemble sont bien consensuels de cette période festive ! "Vive le vent", "Le Noël des petits santons", "Mon beau sapin", "Noël blanc" etc...

Un jour arrivera peut-être où le "Petit Papa Noël" sera détrôné par un autre hymne fédérateur ! Mais j'en doute, déjà par rapport au contexte initial, la chanson sus-mentionnée est arrivée dans sa forme actuelle au sortir de la Guerre 1939-1945, marquant durablement les enfants qui avaient alors besoin de rêves. En outre elle est tellement forte et identitaire, elle se transmet depuis tel un flambeau, bien servie par un Tino Rossi qui aura incarné le vieux bonhomme en rouge durant des années sur nos écrans télés les soirs de réveillon ! Ça sera en tout cas très compliqué ! Elle va certainement continuer à bercer d'illusions et de magie les générations futures... En attendant comme chaque année on va pouvoir se lancer dans l'emballage des cadeaux, ouais youpi !

Évidemment le gosse en moi note un 5 emprunt de nostalgie assumée !





EUROPE
THE FINAL COUNTDOWN


Le 10 Novembre 2024 par MARCO


Ma porte d'entrée dans le monde du (hard) rock! De l'aveu des membres du groupe eux-mêmes, cet album et surtout sa chanson titre, sont à la fois une bénédiction et une malédiction.

Ils sont devenus archi célèbres, mais du fait de la popularité de "the final countdown", ils sont également condamnés à passer pour le groupe d'un seul morceau. Une injustice, tant ce morceau n'est pas représentatif du style pratiqué par ce groupe (globalement plus incisif qu'un Bon Jovi, en particulier depuis 20 ans).

À noter qu'un 12ème album et un documentaire devraient sortir en 2025.





The CURE
SONGS OF A LOST WORLD


Le 10 Novembre 2024 par K-ZEN

Allez, à mon tour d’ajouter mon grain de sel…

Tout en prenant garde au syndrome de la longue attente, ce nouveau CURE me semble bien se tenir à la première écoute. Dense et hypnotique, avec la voix de SMITH totalement figée dans le passé tel un Peter Pan ne souhaitant pas vieillir (je m’étais fait exactement la même réflexion quand je l’avais vu en 2022 à Montpellier).

Bien sûr, rien de totalement inédit, on songe ainsi inévitablement à Disintegration mais on aurait aimé le faire sur les albums précédents, assez neutres. Et puis "Endsong" rejoint aisément le Panthéon des grands morceaux épiques des Anglais, à fortiori si jamais il devait être l’ultime chanson enregistrée par les CURE.

Pas de note pour l’instant mais je suis plutôt enthousiaste.





ZZ TOP
FANDANGO


Le 10 Novembre 2024 par TONIO


Je rejoins l'ensemble des avis précédents qui jugent la face live dispensable. Cette première partie live est sympa a écouter une fois mais vraiment pas mémorable, quel dommage ! L'idée était plutôt chouette de couper le disque en deux parties, mais il aurait fallu pour cela que le groupe propose des inédits en concert, ou au moins des versions live intéressantes de leurs morceaux. Ici, ZZ TOP s'embourbe dans un boogy rock bourrin et sans finesse, tout le contraire de la face B qui est absolument délicieuse. Que se soit le délicat "Blue Jean Blues" ou les hyper entraînants "Tush" et "Heard It On The X", en passant par le countrysant "Mexican Blackbird", les 5 titres studio sont vraiment superbes. Si le groupe nous avait proposé un album entier de cette trempe, nul doute qu'il serait placé sur le même piédestal que Tres Hombres.







Commentaires :  1 ...<<...<... 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 ...>...>>... 1134






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod