Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 ...>...>>... 1159
Comment poster un commentaire ?


Alan PARSONS
FROM THE NEW WORLD


Le 19 Janvier 2025 par MALKO23


Bon, nous sommes loin des grandes heures d'APP, du progressif, mais l'album n'est pas désagréable.

Je suis assez d'accord avec Elk. Les mélodies restent bien et sont sympa même si je trouve aussi qu'elles sont assez mollassonnes.

J'accroche sur les deux mêmes premiers titres, "Fare Thee Well", "Urobos", "Don’t Fade Now".
Je garde aussi les deux morceaux avec en featuring Joe Bonamassa dont l'apport est trés appréciable.

Je trouve aussi que la fin est à la limite du remplissage. "Goin' home" est limite supportable et la reprise de "Be my baby" n'apporte rien et dénote avec le reste.

2,5 est la bonne note.





Katy PERRY
143


Le 19 Janvier 2025 par MALKO23


Je confirme la chronique d'Erwin, cette livrée est bien pauvre et trace dans une direction qui n'est pas pour moi. Le premier morceau, "Woman's world", est de loin le plus sympa, entrainant, très pop. Ensuite, le refrain de "All the love" est vraiment pas mal, mais le reste est moyen. Enfin, "Lifetimes" se laisse écouter gentiment mais sans plus. Pour le reste, je passe mon tour.





LEVEL 42
RUNNING IN THE FAMILY


Le 19 Janvier 2025 par NONO


J'avais été un peu trop sévère dans mon dernier commentaire de 2017. Malgré sa prod très ancrée "80" (plus que pour leurs autres albums), "Running in the family" est quand même un sacré bel album. Le miracle est que malgré la grande présence de machines, le son de la batterie est très "live" (sans compression ni "reverb" à tout crin) donc ça sauve déjà bien le tout.
Je reste sur la réserve pour "Two solidtudes" et "Fashion fever" un peu en-deçà, et ironiquement je préfère le remix de "Lessons in love" que l'original. Mais dans l'ensemble cet album se défend encore très bien aujourd'hui. 4 étoiles.





Henri DES
CACHE CACHE VOL 4 - L'ANE BLANC


Le 19 Janvier 2025 par LE MERLE MOQUEUR


Ah ce petit âne blanc qui pliait sous le poids du labeur journalier n'est pas encore au Paradis,

AUJOURD'HUI on le retrouve dans l'île de Santorin tout l'été chargé de touristes souriants alors qu'il présente des plaies non traitées ou des tissus cicatriciels preuves de blessures non soignées au niveau de la tête et des pattes. Une enquête révèle que les ânes de Santorin sont encore utilisées comme taxi. Une centaines de ces pauvres bêtes sont obligées de monter et descendre toute la journée sous un soleil de plomb (40 degrés) les 500 marches abruptes qui mènent à la vieille ville de Firá., souvent avec deux touristes en croupe par animal.
En attendant les touristes ils sont attachés si proche les uns des autres qu'il ne peuvent chasser les mouches gênantes et ils ne peuvent accéder à leur ration d'eau qui est un seau d'eau placé en haut et bas des 500 marches.

Si vous allez sur cette île magnifique de grâce montez ces 500 marches à pied ou prenez le téléphérique je suis sûr que Henri DES ne pourra que vous approuver.

Belle et tendre chanson que L'Âne Blanc mais la maltraitance est toujours actuelle.





BANDE ORIGINALE DE FILM
SATURDAY NIGHT FEVER


Le 19 Janvier 2025 par SEB


Ah mais ne serait-on pas Samedi soir ? Allez faisons un petit clin d'oeil à un phénomène musical en son temps !

Il y a des livres sur l'Histoire de France, des tuttos pour réparer tout et n'importe quoi, des livres de recettes à en faire déborder des hangars, des partitions de musique qui ont traversé les siècles, des encyclopédies pour vous apprendre le Monde et ses mystères, ou encore internet et tutti quanti etc. Bref on a l'intégralité de l'Humanité dans tout son sens matériel et immatériel répertorié sur pleins de supports physiques ou numériques. Et puis on a "Saturday night fever".

Cette galette est légendaire. Dans son genre elle devrait servir d'oeuvre référence. Si un jour on devait expliquer aux enfants ce qu'est le Disco, ce rythme binaire qui fait irrésistiblement danser, "Saturday night fever" serait une excellente anthologie. Le film bien sûr, mais aussi l'album. Et vu son contenu pas étonnant qu'il soit devenu incontournable !

Ce caviar contient des grands classiques des Bee Gees, qui ont été vendus par millions et qui ont fait leur fortune :

"Night fever" la tuerie,
"Stayin' alive" une autre tuerie devenue un hymne, un leitmotiv,
la tendre "How deep is your love",
"Jive talking",
"More than a woman",
ou encore "You should be dancing".

Mais aussi des titres d'autres pointures, comme Kool And The Gang "Open sesame" ou encore KC And The Sunshine Band "Boogie shoes", sans oublier Les Trammps avec un "Disco inferno" en apothéose !

Bon le film se démode fatalement. Waaah les costumes ! Et Travolta n'est plus si svelte aujourd'hui. Mais grâce à des compos de qualité l'album lui ne vieillit pas trop mal musicalement parlant et il contient des pépites bougrement efficaces qui vous font irrésistiblement bouger les pieds... Un 5 pour ce fièvreux album !





Jacques BREL
MARIEKE


Le 18 Janvier 2025 par MADELEINE


On arrive doucement dans les meilleures années des disques de Jacques Brel. Celui-ci comprend plusieurs chansons parmi celles que je préfère. C’est un album étonnamment aigri pour un homme qui n’avait tout de même que 32 ans lors de sa sortie ! C’est là que l’on se rend compte à quel point Jacques Brel vivait tout intensément, trop vite peut-être, toutes antennes déployées et dans l’urgence, quitte à y brûler des ailes à peine déployées (comme certains poètes "maudits"), sans patience et sans apprivoiser la tolérance (un mot qu’il aurait détesté).

"Vivre debout" : une réussite, autant pour la musique épurée aux airs de flamenco que pour le texte. "Voilà qu’on s’agenouille alors que notre espoir se réduit à prier, alors qu’il est trop tard, qu’on ne peut plus gagner à tous ces rendez-vous que nous avons manqués. Serait-il impossible de vivre debout ?"

Tout aussi fataliste et désabusé, "Le prochain amour" : "Je sais pourtant que ce prochain amour sera pour moi la prochaine défaite. Je sais déjà, à l’entrée de la fête, la feuille morte que sera le petit jour." Puis il se reprend, c’est trop bon d’y croire un peu : "On a beau faire, on a beau dire, ça fait du bien d’être amoureux !"

"L’ivrogne" est un petit chef d’œuvre, une sorte d’ode à l’alcool. J’ai toujours adoré cette chanson, autant pour la musique que pour les paroles lancinantes : "Je serai saoûl dans une heure, je serai sans tristesse." "Je serai saoûl dans une heure, je serai sans colère." "Je serai saoûl dans une heure, je serai sans rancune." "Je serai bien dans une heure, je serai sans espoir !"

Enfin "Les singes", une de ses meilleures ! S’il vous plaît, écoutez-la. Une chanson incisive et sans concession sur les états policiers, les religions et les cons, mais les cons !!! Des singes, quoi. Ah, rien que pour celle-là, complètement déjantée et avec une progression musicale délirante des cuivres, des cordes et de la batterie (comme un train qui démarre gentiment puis accélère et finalement devient fou) et tellement réaliste, je mets 5 étoiles à ce disque, zou !





The STRANGLERS
RATTUS NORVEGICUS


Le 17 Janvier 2025 par MASTERFAN


Le 4 avril 1977, le JT de 13 heures d’Yves Mourousi fait découvrir le punk aux Français, le reportage montrant un groupe ‘témoin’ en concert. Les Stranglers y jouent une version désaccordée et peu aguichante de « Something’s better change ». Notre Jean-Jacques Burnel binational témoigne, déclare notamment que l’une des chansons parle d’un mec qui tape sa copine, qu’une autre dit ‘merde’ à la Reine, que les Stones sont dignes des Folies Bergères... A revisionner le sujet, on imagine aisément la tête horrifiée de tous les fans de Danièle Gilbert, dont l’émission musicale précédait le 13 heures.

C’est quasiment à ce moment que sort RATTUS NORVEGICUS, le premier album. La question de la ‘punkitude’ des Stranglers a toujours posé débat car ces quatre-là n’avaient au départ aucunement le profil de jeunes désoeuvrés ‘crachant sur les passants’ : JJ s’intéressait à l’histoire sociale et économique (et au karaté), Hugh Cornwell à la biochimie, Jet Black à divers business (dont la vente de glaces). Quant à Dave Greenfield, il était probablement le seul autiste ’Asperger’ du monde du rock.

Vestimentairement moins punks que les punks, beaucoup plus techniques que les punks, utilisant un élément détesté par ceux-ci (les claviers), ils avaient toutefois en commun une certaine rage (comme la plupart des bons groupes, les Stranglers se sont fait jeter de quasiment toutes les maisons de disque) qui ressortait sur scène, une situation financière parfois compliquée, des textes et comportements provocateurs, une base de fans violents.

Ce raccrochage au mouvement punk ne franchira musicalement pas le cap du 4ème album déjà mi-expérimental, avant que le groupe ne revienne à la pop plus consensuelle de ses débuts. Quiconque connaît leur histoire conviendra pourtant qu’à cette période, en matière de baston en particulier, il n’y avait pas plus punk que les Stranglers. Ils n’avaient peur de rien et surtout, il ne fallait pas les faire chier. Ils le paieront d’ailleurs, en se faisant interdire de pas mal d’endroits, parfois de manière fort injuste.

La couleur est clairement annoncée avec « Sometimes ». Basse et claviers sont clairement mis en avant, comme JJ et Dave sur la pochette. L’ensemble, qui sonne un peu comme du Doors speedé, est aussi passionnant musicalement qu’effrayant textuellement. Mais bon, mais comme le dit fort justement ARP2600, c’était le punk (et aujourd’hui avec le rap, on en voit d’autres).

« Goodbye Toulouse » ne parle pas de descente en ligue 2 mais d’une prédiction de Nostradamus, une explosion censée ravager la ville (nous sommes 25 ans avant AZF). IL s’agit d’un premier clin d’oeil à la France comme le seront « Nice in Nice », « Let’s tango in Paris » ou « La Folie ». On comprend vite avec ce groupe qu’après Ray Manzarek ou Jon Lord, on tient en Dave Greenfield un nouveau ‘keyboard hero’, qui sait même parfois s’effacer et intervenir à bon escient, comme sur le plus punk « London Lady » (où c’est cette fois - entre autres - une journaliste pas sympa qui paie la note).

Le rythme ralentit mais la qualité ne faiblit pas avec un « Queen of the Street » toujours aussi peu subtil textuellement (‘peace of meat’). Autre morceau brillant, « Hanging around », grand classique du groupe. Ensuite JJ tout émoustillé sur la plage nous fait une fixation sur les protubérances féminines, réussissant même au passage à caser le mot ‘clitoris’, chapeau. Cette façon de faire ressortir la basse, tout au long des trois premiers albums, est quelque chose de nouveau et fascinant.

« Get a grip on yourself », jeunes cons, bougez-vous un peu quoi. L’occasion d’une nouvelle démonstration de virtuosité de Dave (pas mal de versions existent sur le Net, dont une bien sympa avec Simple Minds en 2015). « Ugly » est peut-être un poil plus bourrin, pas grave, car le top du top derrière est « Down in the sewer », hommage aux longs morceaux finaux des Doors, c'est ici du 'punk progressif', on aura tout vu. La dernière partie en particulier est géniale.

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : Down in the sewer. DELECTABLE (4,5) : Sometimes, London Lady, Princess of the Street, Hanging around, Peaches, Get a grip on yourself. SEDUISANT (4) : Goodbye Toulouse. PLAISANT (3,5) : Ugly. Bilan 4,39 et Top 5 à 4,60 : RATTUS NORVEGICUS cote pour moi 4,50 soit 18 /20.

Même avec certaines paroles parfois ‘hors-jeu’ , la critique de l’époque n’a pu que s’incliner devant ce scud hors-norme et puissant. En même temps, ils avaient intérêt, sinon mon bassiste préféré leur réglait leur compte. Un premier album essentiel.





Jacques BREL
LA VALSE à MILLE TEMPS


Le 17 Janvier 2025 par MADELEINE


Pour ceux qui l’ignoreraient, Jacques Brel est parti de ce monde à seulement 49 ans. En cette année 1959, il a tout juste 30 ans. Ses disques se suivent et ne se ressemblent pas : après une première période "boy-scout" décevante d’où n’émergent que quelques pépites éparses, on assiste enfin ici au démarrage de son talent propre, désinhibé du regard des autres et d’un égocentrisme encombrant.

Même si "Ne me quitte pas" raconte une rupture personnelle, chacun peut s’y retrouver dans les méandres de sa vie amoureuse. Même si "Isabelle" est une ode à sa petite fille qui vient de naître (chanson très joliment reprise à la fin du film "Itinéraire d’un enfant gâté" de Lelouch), ce petit bout de chou qui dort pourrait être le nôtre.

Et cette universalité des chansons de Jacques Brel éclate au grand jour quand il parle de la guerre : "On est mille contre mille à se croire les plus forts, mais à l’heure imbécile où ça fait deux mille morts, on se retrouve seul." ("Seul") Ou encore : "Pourquoi ce train de pluie, pourquoi ce train de guerre, pourquoi ce cimetière en marche vers la nuit ?" ("La colombe")

Sans transition : "Pour faire une bonne dame patronnesse, mesdames, tricotez tout en couleur caca d’oie. Ce qui permet le dimanche à la grand-messe de reconnaître ses pauvres à soi !" ("La dame patronnesse")

Quand on aimerait commenter un disque et que les mots de l’artiste suffisent, ça vaut bien un 4 étoiles.





RED NOISE
SARCELLES - LOCHèRES


Le 17 Janvier 2025 par FOUDROCK


Un disque totalement barge, proche du Zappa première époque (la moustache de la pochette ne fait-elle d'ailleurs pas penser à lui ?), pas totalement maîtrisé, mais vu la façon dont il a été enregistré, ce n'est pas étonnant. Culte, bien dans l'air de son temps, avec ce "Petit précis d'instruction civique" bien fendard et osé (en gros, tout est de la merde !), et cette belle précision, dans les crédits de pochette, qui explicitent le titre du (long) dernier morceau : Sarcelles, c'est l'avenir, parce qu'on s'y suicide plus que partout ailleurs en France.





GRETA VAN FLEET
FROM THE FIRES


Le 17 Janvier 2025 par SWISSIDOL


Bien sûr que GVF sonne comme LED ZEPP, il faudrait être sourd ou malhonnête pour le nier. Mais les compos restent fort séduisantes pour des gamins de vingt ans. Évidemment, si dans une décennie ils sonnent toujours pareil, il sera temps de les jeter aux oubliettes. Mais, en attendant qu'ils acquièrent une vraie personnalité, pourquoi ne pas profiter de ces premiers pas prometteurs.





SANTANA
AMIGOS


Le 16 Janvier 2025 par FOUDROCK


Que dire ?
"Europa" est une pure splendeur (cette accélération finale est le genre de truc qui, même après toutes ces années et écoutes, ne manque jamais de me faire tripper ma race bien comme il faut), mais le reste de l'album est à vomir. Enfin, non, "Dance sister dance" est bien, mais surtout en live, sur "Moonflower".
"Let it shine" m'a limite donné envie de gerber, physiquement, tellement c'est nul.





Jacques BREL
QUAND ON N'A QUE L'AMOUR


Le 16 Janvier 2025 par MADELEINE


Avec sa progression rythmée et son texte si bien construit, "Quand on n’a que l’amour" est une des chansons incontournables de Jacques Brel. Il en a enregistré ensuite une autre version que je préfère à celle-ci.

Plus jeune, j’aimais bien aussi "Heureux" (avec un beau violon solo au début) mais aujourd’hui je trouve cette chanson assez convenue. Beaucoup de chansons faibles pour le reste du disque, son plus mauvais pour moi. Une seule étoile donc, pour le morceau-titre.

Plus tard viendront mes chansons préférées de lui : "Mon enfance", "Regarde-bien petit", "Le plat pays" et "La quête", et tant d’autres magnifiques ! Ceci pour terminer sur une note optimiste ;)





SANTANA
CARAVANSERAI


Le 16 Janvier 2025 par FOUDROCK


Une pure splendeur. Ce fut mon premier Santana, il paraît que cet album n'est pas idéal du tout pour découvrir l'oeuvre du bonhomme, mais personnellement, je n'ai pas eu de mal à entrer dedans, et à avoir envie de découvrir les autres albums (attention ! à partir de 1978, ça devient terriblement médiocre, parfois, et même totalement insauvable à partir de 1999, année qui, pourtant, marqua son retour).
Ce cru 72 est inoubliable et divin. Son meilleur opus studio, sans aucun doute.





SANTANA
LOTUS


Le 16 Janvier 2025 par FOUDROCK


Un triple live anthologique à la qualité sonore exceptionnelle, visuellement sublime (il faut voir le vinyle d'époque, avec sa pochette dépliante, avec ses deux livrets à glisser dans les rabats pour transformer l'ensemble en oeuvre d'art chamarrée), avec des morceaux de choix. Parfait.





SANTANA
WELCOME


Le 16 Janvier 2025 par FOUDROCK


Un disque soufflant (le duel Santana/McLaughlin de "Flame-sky" !), sorti sous une pochette aux allures de paillasson, ce qui est à la fois sympa (le disque nous invite à entrer et à le découvrir) et particulièrement feignant. En plus, en vinyle, le carton de pochette, avec l'usure, ne reste pas longtemps d'un blanc virginal, demandez au "Blanc" des Beatles si ses exemplaires d'époque sont encore totalement blancs en 2025...
Un excellentissime album méconnu, je ne vois strictement rien à jeter ici.





SANTANA
MOONFLOWER


Le 16 Janvier 2025 par FOUDROCK


Quel album, franchement... Celui-là, "Caravanserai" et le live "Lotus", je ne m'en lasserai jamais.
Ah !, et "Welcome", aussi, toujours adoré celui-là également.





LINGUA IGNOTA
CALIGULA


Le 16 Janvier 2025 par RICHARD


Artiste découverte lors de la (très) petite hype qui a sévi il y a quelques années dans l'underground relatif... Si on peut naturellement souscrire à son propos et à cette catharsis, on peut également rester quasiment de marbre face aux ambiances proposées par l'Américaine. Lors des premières écoutes, j'ai instinctivement pensé à une Diamanda Galas industrielle (ce qui n'est pas le cas sur la longueur). C'est un disque intimidant, angoissant mais qui patine. Suite à cette chronique, j'ai réécouté les 2-3 albums de Lingua Ignota, et je dois dire à l'exception de Sinner Get Ready qui ouvre de nouvelles portes, Kristin Hayter ne me parle pas ou très peu.


Par Forces Parallèles

Hum, Galas, j'ai jamais accroché à vrai dire, c'est très peu musical en général et ses cris ressemblent plus à des hennissements, donc mis à part quelques bruitages et percus de type indus c'est peu ressemblant entre ces deux artistes (après je ne connais pas toute sa discographie).
Streetcleaner.





Mike OLDFIELD
CRISES


Le 15 Janvier 2025 par BAKER

Un grand bravo à un certain Laback pour son remix de Moonlight Shadow. Vraiment, vraiment, j'y tiens, c'est sincère, enfin aussi sincère que ledit remix.

Encore un grand génie de notre temps, original, fin et tout à fait à sa place. Et naturellement ça contribuera très largement à ce qu'une nouvelle génération découvre Ommadawn, car passer dix fois par jour sur toutes les ondes, ça contribue à la diversité, c'est bien connu.

Allez encore trois chiasses comme celle-ci et je me fais un Double Van Gogh.





Jacques BREL
LA HAINE


Le 15 Janvier 2025 par MADELEINE


Déjà de belles chansons : "Grand Jacques", "Il nous faut regarder" et des petits bijoux impressionnistes : "Il pleut (Les carreaux)" et le magnifique "Sur la place" (dont Jacques Brel a enregistré deux versions musicales différentes mais toutes les deux belles).

Et une chanson-poème d’une lucidité prophétique (qui fut interdite sur les ondes en Belgique) : "Le diable (ça va)". Le diable revient d’être allé voir ce qui se passe sur Terre et prononce un discours satisfait :

"Ça va ! Il y a toujours un peu partout des feux illuminant la Terre, ça va. Les hommes s’amusent comme des fous au dangereux jeu de la guerre, ça va. (…) Les États se muent en cachette en anonymes sociétés, ça va !"





David BOWIE
LOW


Le 15 Janvier 2025 par RICHARD


Cet album qui vient de fêter ses 48 ans il y a quelques jours est tout simplement fantastique. Il est le meilleur de la fausse trilogie berlinoise et sans conteste l'un des plus marquants de la carrière de l'Anglais. Même si tout a été dit, analysé, décortiqué, je n'en ai pas encore fait le tour. Chaque écoute est une immersion et une possibilité pour découvrir ces titres sous un autre angle. Oui, on ne peut effectivement et définitvement que mettre 5 étoiles froides. Superbe !







Commentaires :  1 ...<<...<... 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 ...>...>>... 1159






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod