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Devin TOWNSEND
POWERNERD


Le 15 Janvier 2025 par KENNY


Moi je trouve que cet album est un condensé de ce que Devin sait faire de mieux. Je situe cet album entre Accelerated Evolution et Synchestra (Powerned et Jainism) avec une touche de ghost (Dream of Light) et transcendance (Falling Apart) et même deconstruction (Ruby Quaker) en passant par Epicloud (gratitude). Putai, ce mec arrive encore à donner le frisson malgré toute sa discographie. Pas besoin de double pédale et de riff trash à la SYL. Son vocal à lui seul vous propulse haut, très haut, et ce mur sonore qui vous fait découvrir une nouvelle subtilité à chaque ecoute. Une main de fer dans un gant de velour comme dans Addicted (knuckedragger). C'est planant, enivrant. On ne s'en lasse pas. Chaque album de Devin marque une période de ma vie, comme si c'était écrit pour moi. On s'identifie à cet artiste. On le vit !
Je mets 4 car il peut toujours nous surprendre.





David BOWIE
LOW


Le 15 Janvier 2025 par MASTERFAN


A l’époque, découvrir le nombre de morceaux (seulement 6 !) composant STATION TO STATION avait eu un petit côté traumatisant. Sur le suivant LOW, ce sera 11 morceaux, on est rassuré d’entrée. Ce qu’on ne sait pas encore (chose nouvelle et mauvaise blague pour certains), c’est que Bowie s’avance dans un nouveau trip de titres instrumentaux qui vont prendre d’assaut ce onzième album, début 1977.

Sur la pochette, Bowie joue encore avec nous : on pense confirmé sur la photo qu’il est redevenu complètement humain, alors que celle-ci provient de son film ‘L’homme qui venait d’ailleurs’, comme un joli clin d’oeil du support à l’histoire de son artiste.

Quatre catégories de morceaux ici. Pour commencer, les instrumentaux 'chauds', au nombre de deux. D’abord l’introductif "Speed of Life", belle leçon de sagesse pour musicos, puisque lorsqu’on n’arrive pas à placer une mélodie sur un morceau, mieux vaut ne rien y mettre plutôt que tout chant foireux. De toute façon, les percus sont tellement trafiquées par Tony Visconti que c’est déjà une curiosité en soi. Même topo pour "A New Career In a New Town", parfois décrit comme un ancêtre de la New-Wave, qui démarre à froid pour se réchauffer très vite. 100 % instrumentaux garantis pas chiants.

Deuxième catégorie, les trucs un peu zarbis. Deux morceaux complètement biscornus mais étrangement séduisants que l’on retrouve en début d’album, le court "Breaking Glass", réminiscence d’une scène de ménage avec Angie sous fond d’adultère, et l’étonnant "What In the World". J’aurais aimé être une petite souris dans le studio, rien que pour voir la tronche du batteur (habitué à enregistrer des trucs soul funk style YOUNG AMERICANS), lequel n'a pas dû comprendre ce qui lui arrivait.

Ensuite, les instrumentaux 'froids', ceux qu’il faut se forcer au début à ne pas zapper, car l’envie peut parfois être grande, toute la seconde face. Celui qu’il serait triste de zapper - car se dévoilant magnifique aux réécoutes - est "Warszawa". Il n’est pas complètement instrumental, Bowie plaçant un chant incantatoire en fin de morceau (qui trouve parfaitement sa place, dans l’esprit). On est à des années-lumières de Ziggy, ce n’est d’ailleurs ni plus ni moins que du Eno (voir "Becalmed" sur ANOTHER GREEN WORLD) avec la signature de Bowie. Comme Bowie, Eno s’était un peu perdu à partir de 1975 après pourtant deux classiques post-départ de Roxy Music (HERE COMES THE WARM JETS ou le suivant, TAKING TIGER MOUNTAIN où il fait du post-punk – Third uncle - alors que les punks n’existent pas encore).

Par chance, Eno n’en est ici pas encore à ambiancer les chiottes des Airports (ouf!) et pour l’heure, le jeu est d’arriver à ‘ambiancer Berlin’.  "Art Decade" est bien dans la continuité de "Warszawa", l’intensité en moins. "Weeping Wall" et "Subterraneans" (retour du chant incantatoire) sont très particuliers : on adhère à ce trip ‘musique de film’ (réalisée au départ pour « L’homme qui venait d’ailleurs ») ou on n’adhère pas. Me concernant, moyen, je trouve même perturbante l’excitation récurrente que donne à certains le dernier morceau.

Le meilleur de LOW reste pour moi de loin le coeur de l’album, constitué de trois petites tueries addictives. L’enchaînement "Sound and Vision" (du funk ça ? Ah ben j’aime le funk, merde alors), "Always Crashing In the Same Car" (qui a probablement dû traumatiser Jarvis Cocker de Pulp) et "Be My Wife" (titre étrange, Bowie étant en pleine rupture avec Angie) est un grand panard. Et ben, le voilà le retour en forme olympique qu’on attendait depuis Diamond Dogs ! Ce trio-là est en acier inoxydable, je pourrais l’écouter chaque jour, il ne s’use pas.

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : "Sound and Vision", "Always Crashing In the Same Car", "Be My Wife". DELECTABLE (4,5) : "What In the World", "Warszawa". SEDUISANT (4) : "Speed of Life", "Breaking Glass", "A New Career In a New Town". PLAISANT (3,5) : "Art Decade". INTERESSANT (3) : "Weeping Wall", "Subterraneans". Bilan 4,14 et Top 5 à 4,80 : LOW cote pour moi à 4,47 soit 17,88 /20.

Dans ce qu’on appelle (à tort car LODGER a tout autant à voir avec SCARY MONSTERS qu’avec les deux autres) ‘la trilogie froide’, LOW surpasse pour moi de très loin HEROES et LODGER. Et si mon coeur bat principalement pour la période glam de Bowie, j’avoue que LOW, même si je ne vais pas toujours jusqu’au bout du bout, est l’un des disques qui ressortent le plus souvent de ma discothèque : impossible de mettre moins de 5 ici.





OPETH
THE LAST WILL AND TESTAMENT


Le 14 Janvier 2025 par KID66


Je n’ai quasiment rien écouté de la période rock progressif d’Opeth je l’avoue… Est-ce que c’est le retour du growl ou la petite hype autour de The Last Will qui m’a fait l’acheter ? Je ne sais pas mais en tout cas grand bien m’en a pris, j’aime beaucoup ce 14e album du groupe d’Akerfeldt. Ce n’est pas vraiment un retour à la période pré-Heritage, quoique certains passages m’évoquent Watershed, mais plutôt un album de rock/metal prog avec un peu de chant death. L’album étant un peu complexe et sinueux j’ai toujours un peu de mal à me mettre dans l’ambiance, mais il est réussi, avec une mention spéciale pour un cœur particulièrement inspiré (« §4 », « §5 », « §6 ») et une ballade finale magnifique.





OPETH
THE LAST WILL AND TESTAMENT


Le 14 Janvier 2025 par CLANSMAN57

FP: Nous avons changé l'étiquette sous la pochette suite à ton message, c'était une erreur de notre part.
Merci beaucoup pour ta vigilance, heureusement que t'es là:)

Réponse: Oh de rien, ça arrive, personne n'est parfait:D







Claude FRANÇOIS
JE VAIS à RIO


Le 14 Janvier 2025 par SEB


L'année 1977 s'annonce faste pour Cloclo, déjà heureux comme un pape. Un nouvel album, de nouvelles ambitions à moyen terme qui lorgnent clairement vers le pays de l'Oncle Sam, sans oublier sa nouvelle compagne qui partage sa vie depuis peu, Kathalyn Jones, ses enfants, son moulin, sa carrière... Oui vraiment tout va bien, les planètes semblent enfin s'aligner ! S'il avait su à l'époque...

Toujours aussi "chanteur populaire", Claude continue dans son domaine de prédilection : le répertoire de chansons grand public. "Je vais à Rio", l'un de ses derniers albums, sort donc dans une certaine osmose positive. À part la jolie "Les roses les anges et la pluie", chanson triste qui traite d'un père devenu veuf et son fils, ayant perdu une femme pour l'un, une mère pour l'autre... Elle s'avère être un peu (faussement) cafardeuse, selon l'interprétation que l'on en fait. Heureusement elle est à la fin, pour ne pas plomber l'ensemble. Ça serait un comble pour une galette optimiste transpirant le soleil dans son titre !

Il était coutumier des titres beaucoup plus sombres où il évoquait ses propres déboires sentimentaux. Ici, malgré deux ou trois titres plus introspectifs dirons-nous, on sent moins de mélos, les chansons sont beaucoup plus enjouées ! Évidemment on en retient de suite les plus connues "Je vais à Rio", le duo "C'est comme ça que l'on s'est aimé" avec sa chérie, "Comme une chanson triste", "Toi et le soleil"... Les autres titres s'écoutent aussi agréablement ("Statues sans coeur", "Enfin"), même si pour moi "Drame entre 2 amours" est une faiblesse de la galette.

"Quand tu souries je m'envole au paradis...". Ce perfectionniste aura réussi là un album à l'atmosphère plutôt chaleureuse. La bonne humeur de cet opus porte ma note initiale de 3,5 à un 4 rayonnant.





The MISFITS
WALK AMONG US


Le 14 Janvier 2025 par BLUEMASK


Les Misfits ont tout du groupe que l'on peut qualifier de culte, un bon gros culte.
Musicalement proche des Ramones en plus simple (si si...), ils sont la source du punk mélodique qui irriguera les années 80 et 90.
Ils avaient compris aussi que la musique rock n'est pas que de la musique et leur univers baigné d'horreur de serie Z, leur logo, leur mascotte sont référentiels. Moi, perso, tout gamin, ça me faisait peur.
Et bien entendu, succès limité à l'époque, toujours d'ailleurs, mais voilà, les Misfits, tout le monde les a croisé un jour. Sur une reprise, sur un t-shirt, dans une BO...
Tout cela ne serait rien sans la qualité de leur disque et celui ci est sciant. 25 minutes et une série de tubes punk-hardcore pop, aussi intransigeant que mélodique. Glenn Danzig est tout autant un Elvis punk qu'un Roy Orbison hardcore et il a un talent fou pour pondre des mélodies bubblegum imparables sur une musique simplissime. La production est médiocre, instruments sous mixés, voix très en avant, mais sert admirablement le propos et ce halo de malaise rigolo-gore.
25 minutes essentielles






Henri DES
CACHE CACHE VOL 3 - FLAGADA


Le 13 Janvier 2025 par BERTRAND

Il a bien raison, notre cher chroniqueur: dans cet opus, chaque titre est pétri de tendresse. Une qualité que l'on retrouve dans le dessin de la pochette, signé Etienne Delessert, le regretté dessinateur lausannois qui aura accompagné et illustré presque toute la discographie d'Henri DÈS.





Iggy POP
PRELIMINAIRES


Le 13 Janvier 2025 par FINISHERFRANKY


Amateur de "rock high energy", des Stooges à Slayer, ET de cet album, je ne me reconnais donc pas dans la conclusion de la chronique. J'écris ici suite à ma déception à l'écoute du plus récent Free. Devant ce dernier je me suis souvenu que j'avais par contre bien aimé Préliminaires dans le même genre pause musicale dans la disco d'Iggy Pop. A le réécouter je l'aime encore plus. A part A Machin For Lovin qui me gonfle pas mal et les titres incongrus aux accents jazz New Orleans ( King Of Dogs), je retrouve dans le reste une cohérence et une assez bonne homogénéité entre rock contenu (Je Sais Que Tu Sais, Party Time, Nice To Be Dead) et les titres calmes et méditatifs (le beau Spanish Coast).





Iggy POP
FREE


Le 13 Janvier 2025 par FINISHERFRANKY


Pour moi c'est l'ennui profond. Passé Free, planant et laissant espérer du bon, mon plaisir s'arrête à Loves Missing et un peu Glow In The Dark. Le reste, entre vocalises sans mélodies mémorisables (Sonali, Page), textes parlés indistingables, cuivres ennuyeux, tout me parait bien snob. Ayant aimé la pause Préliminaires, j'espérais une sorte de suite, ce n'est pas du tout le cas.





Piotr TCHAÏKOVSKI
SYMPHONIES N° 4, 5 & 6 (KARAJAN)


Le 13 Janvier 2025 par LE MERLE MOQUEUR


La Pathétique… Une première.

En effet c’est, je crois, la première fois dans l’histoire de la musique symphonique qu’une symphonie s’achève sur un mouvement lent. Pas de « Presto final » mais un « Adagio lamentoso. Andante ». Il faudra attendre la troisième et plus particulièrement la neuvième symphonie de G. MAHLER pour retrouver cette démarche alors encore inhabituelle.

Le compositeur décède 9 jours après la première donnée à Saint Pétersbourg le 16 octobre 1893. Sa mort reste aujourd’hui encore sujet à des controverses.

Est-il mort du choléra suite à un verre d’« eau douteuse » ? Dès lors il aurait été mieux inspiré (si je puis dire) de boire une coupe de champagne à la place de ce satané verre d’eau ou s’est-il suicidé pour éviter de vivre le scandale dû à son homosexualité avec un jeune officier de 17 ans (neveu d’un prince, maréchal du Palais) ?
Un tribunal d’honneur lui aurai-il soufflé le suicide par l’absorption d’arsenic ?

Toujours est-il qu'en Russie « On ne badine pas avec l’amour » !

Cette mort fait que pour pratiquement l’ensemble des critiques de l'époque et peut-être encore de nos jours cette symphonie est une œuvre prémonitoire augurant le décès de son créateur, au même titre d’ailleurs que le Requiem de MOZART pour Amadeus ou que le concerto pour violon de BERG pour Alban.

Ne lisant pas dans le marc de café je ne partage pas cet avis dernier et pour plus de sûreté siroterai à l’écoute de cette symphonie que je n’apprécie que par Michael GIELEN (car j’ai horreur des interprétations d’où suinte le pathos) un verre de Whisky dont je tairai la marque.





OPETH
THE LAST WILL AND TESTAMENT


Le 13 Janvier 2025 par CLANSMAN57

Bon, la valse des batteurs chez Paradise Lost continue, le jeune finlandais officie désormais chez Opeth. Je m'en doutais qu'il ne tiendrait pas longtemps chez PL (le temps de deux albums). Ils ont vraiment un problème avec les batteurs:D

Opeth ferait donc du Black Metal Progressif sur ce nouvel opus? Etonnant.
(Je ne pense pas l'écouter, ce groupe ne m'intéresse plus trop.)













OPETH
THE LAST WILL AND TESTAMENT


Le 13 Janvier 2025 par REPLICANT


Album sans aucune faute de goût, bien inspiré, libre à l'évidence de toute ambition mercantile, très technique mais accessible et jamais pompeux. A mes oreilles, c'est un chef d'oeuvre. Les plus attentifs reconnaîtront certains influences bien digérées de zeulh chez le bassiste.
Je n'ajoute rien tant je suis d'accord avec la chronique.






VIOLENT FEMMES
THE BLIND LEADING THE NAKED


Le 13 Janvier 2025 par BLUEMASK


Violent Femmes est un groupe un peu oublié, je trouve, alors qu'au creux des années 80's il était un des rares groupes de rock à proposer autre chose que de la new-wave, tout en étant incroyablement créatif et toujours étonnant.
Après 2 disques de folk-punk fous et assez secs, le groupe signe ici un disque plus produit, signe peut être de la volonté d'élargir son audience. Ici donc, les instruments électriques, auparavant utilisés par touche, sont plus massivement présents, les claviers apparaissent, comme sur 'Children of the Revolution' où ils mènent la danse, avec des choeurs féminins bien d'époque, et d'une manière générale le ton est moins sombre. Ainsi, quand le groupe se frotte au blues, ce n'est pas au delta blues des griots, mais au Chicago Blues grand format, comme sur 'Faith'.
Ne prenons pas peur, le groupe ne devient pas Eric Clapton. Cela reste du VF: ça part dans tous les sens, c'est varié, ça reste minimaliste, souvent punk, expéditif régulièrement et la voix de Gano est toujours délicieusement canardeuse.





Neil YOUNG
FREEDOM


Le 13 Janvier 2025 par BLUEMASK


Neil Young a eu la crise de la quarantaine un peu sévère avec une série de disques dans les années 80's franchement médiocres. Finalement, il aura eu un peu le même parcours que Dylan à cette période, se réveillant la même année avec un disque plus solide. Encore loin de son histoire, mais solide.
10 ans après 'Rust Never Sleeps', 'Freedom' en reprend les couleurs avec un disque assez sombre, où alternent décharges d'électricité assez typiques et douceurs à la mélancolie infinie. Malgré la présence de grands morceaux ('Crime in the city', le sublime 'Wrecking ball', 'Too far gone' par exemple), du déchet il y a. Dans les compositions pas toutes pertinentes (la valse 'the way of love'), mais aussi dans un traitement encore parfois vachement 80's, dans ce qu'il y a de pire. 'Somedays' fait pâlir les campeurs avec ses affreux motifs de synthés déjà datés à l'époque (quasi identiques à ceux de 'Fatigué' de Renaud, même si je doute que Young se soit inspiré de la cuve à Pastis), et le refrain fédérateur neuneu de 'Rockin' in a free world' appuie là où ça fait mal.
Ca reste quand même un bon album de Neil Young et à l'époque, ce devait être une renaissance





Britney SPEARS
BABY ONE MORE TIME


Le 13 Janvier 2025 par COMIC SANS MS

Merci à Archangel pour son travail de fond qui donne un autre regard sur ce genre de personnes/artistes qu'on adore détester, mais dont le comportement excessif ne s'est pas fait tout seul, sans interventions ni dérives (familles, approches masculines) qui ont porté leurs coups, généré leurs traumatismes avec lesquels elles doivent compenser...
Et bien que les réalisations studio gomment souvent l'authenticité des voix, alors si elles ont quand même des perles musicales à leur actif, tant mieux.





Britney SPEARS
BABY ONE MORE TIME


Le 13 Janvier 2025 par SEB

Un ptit paraphe pour tirer un coup de chapeau à #RED ONE pour cette chronique ! Ah la la je me suis bien marré, comme souvent. Sur FP on peut lire des chroniques, s'informer, apprendre des choses... Et aussi rigoler quand on peut et franchement il y avait de quoi au sujet de cette euh... chanteuse ? Jamais pu encadrer cette bimbo qui a vraiment vrillé à un moment donné. Faut croire que sa période Disney l'a marquée ! Mais il faut reconnaître que maintenant on la connaît plus pour ses scandales, ses frasques, que pour sa carrière...





DEPECHE MODE
THE SINGLES 81-85


Le 12 Janvier 2025 par RICHARD

@ MARTIN LA BOTTE, excellente réponse :)
Tu te doutes bien qu'il n'y avait aucun reproche de ma part. Cette compilation est effectivement excellente et je ne vois pour ainsi dire aucune faiblesse. Pour être honnête, je ne partage pas pour ce groupe le même enthousiasme que celui que j'ai pour The Cure par exemple (cf mes différentes chroniques ici), mais je lui reconnais une chose essentielle. C'est qu'il cherche en permanence à se renouveler (lui) sur chaque album, quitte parfois à trébucher. Mais lorsqu'il est profondément inspiré, ceci peut donner Memento Mori, et c'est assez surprenant après tant d'années d'existence. Puis sur scène, objectivement, c'est un régal. Le temps ne semble pas avoir de prise sur Gahan et Gore.





DEPECHE MODE
THE SINGLES 81-85


Le 12 Janvier 2025 par MARTIN LA BOTTE

@Richard : Très juste, même si je suis bien obligé de reconnaître que je fus et reste avant tout un consommateur des tubes de ce groupe (et de tant d'autres). C'est pour ça que je l'ai abordé ici timidement par le biais de cette compil et que je serais donc bien en peine s'il me fallait commenter l'intégralité de leur production, a fortiori, à partir des années 90.
Disons qu'il y avait une autre interprétation possible de ma petite réflexion que je pourrais traduire par quelque chose comme "Qu'est-ce que c'était bien d'être jeune dans les 80' au son de D.M !"
Cela dit, après cette regrettable maladresse qui a dû heurter tous les autres fans sur ce site, je mérite de me faire très prochainement "Memento Mori" de bout en bout. Ce qui, à en croire ton jugement, devrait me faire davantage l'effet d'une récompense que d'une punition. Je n'en doute pas, Richard ! ;)





Jean-michel JARRE
TEO & TEA


Le 12 Janvier 2025 par SEB


Ah, le cas "Téo & Téa". Un album vraiment raté ! Un album de Jarre qui ne sonne pas comme du Jarre, ça c'est plutôt singulier mais voulu ! Problème la qualité musicale est clairement en deça de ce à quoi il nous avait habitué...

Les années passant, après une trentaine d'années de carrière il arrive parfois qu'un artiste s'égare. Enfin se paume littéralement en forêt vierge sans boussole ni compas. Il était tentant de prendre une nouvelle route. Le soir arrive, c'est le noir il n'y voit plus rien. C'est ce qui est arrivé au célèbre Lyonnais qui nous a sorti cette vaste plaisanterie, tellement affligeante...

Enfin ceux qui ont acheté la galette sans écoute préalable n'ont peut-être pas eu le sourire après remarquez ! Il y avait pourtant un signe avant-coureur : le single éponyme sorti sur les ondes. Quand je l'ai entendu celui-là, une catastrophe pitoyable, indigne de Jarre ! De la variété de bas-étage, au rabais. Le pire pour moi c'est qu'à l'époque on m'avait offert ladite galette. Merci du cadeau ! Et à l'écoute mes pires craintes étaient confirmées, ce disque est une daube intersidérale ! Pourtant J.M.Jarre est plutôt bankable, dans la musique électronique il n'a plus rien à prouver, mais là en voulant innover il avait clairement vrillé !

Y a t'il quelque chose à garder ? Pour moi "Vintage" est le seul morceau que j'arrive à sauver de la curée, en étant gentil. Le reste, oubliable, est à conchier fermement ! Particulièrement "Beautiful agony" dont je cherche encore une quelconque qualité. Et la voix insupportable de Parillaud par-dessus alors là... Pour le coup ce sont nos oreilles qui agonisent !

Ce cd je songe parfois à le revendre ! Il prend une place inutile dans ma disco, je ne l'écoute jamais. Ce qui m'attriste c'est la note, je ne peux me résoudre à mettre plus que 1. Hélas, comment défendre un fiasco pareil ?





DEPECHE MODE
THE SINGLES 81-85


Le 11 Janvier 2025 par RICHARD

"Qu'est-ce que c'était bien D.M !!!"...@MARTIN LA BOTTE, pourquoi employer le passé :) Un album comme Memento Mori prouve que les Anglais ont encore artistiquement des choses à dire, ce qui reste assez rare après 40 ans d'existence.







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