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EUROPE
THE FINAL COUNTDOWN


Le 07 Novembre 2024 par SWISSIDOL


Evidemment, cet album a vieilli (comme nous tous). N'empêche, quelle déflagration à l'époque ! C'est bien simple : les six premiers morceaux sont autant de tueries, qu'elles soient agressives ("Rock the night") ou sucrées ("Carrie"). Le reste du disque est moins passionnant mais, avec un tel chanteur et un tel guitariste, EUROPE frappait un grand coup en 1986.





EUROPE
THE FINAL COUNTDOWN


Le 07 Novembre 2024 par FIGHTITBACK


Chef-d'oeuvre absolu, j'adore "Love chaser" moi même si la mélodie de clavier rappelle étrangement celle de "The final countdown"! Le seul titre qui m'ennuie est "Time has come" & mon préféré (compliqué & ça dépend des jours) sans doute "Heart of stone" (quel solo !) Comme je disais suite aux chroniques des 2 premiers par Gegers, personne ou presque ne connaissait les albums de '83 & '84 quand il est sorti, donc...?! (en particulier chez nous car en Suède et sans doute au Japon, c'était peut-être différent) Enfin, oui, le meilleur reste à venir (bien que j'ai de + en + de mal à départager ceux de '86 & '88 !)





David BOWIE
HEROES


Le 07 Novembre 2024 par NONO


Ce "Moss Garden", quel chef d'oeuvre ! Je ne me lasserai jamais de ce magnifique instrumental... et quand je dis "magnifique" je suis encore en-dessous de la réalité. Il y a quelque chose de profondément spirituel et atmosphérique dans ce morceau, que je mets clairement dans mon Top-10 de Bowie. Quant à l'album, il suit à peu-près la logique du précédent "Low" (morceaux chantés / instrumentaux) , mais ici avec encore plus de contraste qualitativement. Trop de contraste, en fait, ce qui fait de "Heroes" un album trop déséquilibré pour que je l'apprécie pleinement.
5/5 pour "Moss Garden" et "V2 Schneider", mais un petit 3/5 pour l'album dans sa globalité.





Alain SOUCHON
AU RAS DES PâQUERETTES


Le 07 Novembre 2024 par SEB


Deux chansons à l'intérieur de cet album majeur de notre Souche nationale me font un petit pincement au coeur quand je les entends... Une rupture. Comme quoi la musique accompagne les moments de notre vie !

C'était à l'Été 2000. Une belle histoire d'amour de 3 ans venait juste de se finir avec une ex quand passait en boucle "Taille la zone" sur les radios et les clips télé. Coté réconfort j'ai connu mieux, entre cette chanson-là et "Le baiser" qui l'avait précédée j'avais la totale ! Elles évoquent en moi cette période assez compliquée qui me revient en pleine poire quand je les écoute... (Au cas improbable où tu me lirais chère F... le temps a refermé la blessure, sans l'effacer). Voilà, fermons la parenthèse.

Depuis j'ai eu l'occasion d'écouter cet album en entier. Et honnêtement ce petit caviar n'est vraiment pas au raz des pâquerettes, au contraire ! Hormis les 2 titres cités plus haut j'ajoute la chanson-titre aux réussites ainsi que "L'horrible bye-bye" ! Du point de vue musical ces chansons et les autres d'ailleurs sont justes excellentes et prouvent, si c'était encore nécessaire, le talent indéniable d'Alain. Un honnête 5 bien mérité





David BOWIE
THE RISE AND FALL OF ZIGGY STARDUST & THE SPIDERS FROM MARS


Le 07 Novembre 2024 par ARP2600


Avec Bowie, c'est forcément totalement subjectif. Y a pas d'unanimité au sujet de quoi que ce soit, même si c'est Low qui s'en rapproche le plus. Ziggy Stardust ? Je ne sais pas ce que vaut mon avis, mais j'ai quand même été chroniqueur sur ce site, au moins, et je connais bien le rock des années 70. Ce disque m'a toujours laissé assez froid (rien que "Five Years", oh la la, pas du tout mon truc). Hunky Dory me fait bailler, et je déteste Station to station.
D'un autre côté, mes préférés sont The man who sold the world, Aladdin Sane, Low, Lodger, Outside et Black Star. Jamais deux albums consécutifs. Ouais c'est ça Bowie, il a tout essayé en gardant toujours son identité glam, et c'était un personnage unique, une vraie icône du rock ; mais ils doivent être rares ceux qui aiment vraiment tous ses albums, surtout parmi ceux qui n'ont pas connu les années 70 et qui découvrent sa musique avec plus de détachement. Donc je pense que rien n'est surcoté non plus, non... tous ces disques ont leurs partisans sincères, j'en suis persuadé, et il faut respecter ça.





David BOWIE
THE RISE AND FALL OF ZIGGY STARDUST & THE SPIDERS FROM MARS


Le 07 Novembre 2024 par RICHARD

@BLUEMASK, merci pour ton retour.
Grand fan de Bowie, je prends une profonde respiration à l'aune de tes lignes car je suis profondément choqué. Je plaisante naturellement. C'est vrai que l'on a parfois accusé Bowie d'être opportuniste, un vampire qui se nourrit au meilleur des différentes sources d'expression artistique. Il a su toujours bien s'entourer, c'est certain. Les goûts ne se discutent pas et je te rejoins au moins sur le caractère daté d'Earthling. Pour le reste, je ne crois qu'aucun argument ne pourra te faire apprécier l'Anglais sous un autre angle. Je n'ai pas de parts dans la maison d'édition Le Mot et le Reste, mais le livre de Mattieu Thibault, "David Bowie l'avant-garde Pop" à défaut de te faire réévaluer l'oeuvre de l'Anglais pourrait te la présenter sous un autre jour, moins surfait, factice. Sur un malentendu 🙂





U2
ACHTUNG BABY


Le 06 Novembre 2024 par LE VIEUNE

Un album que je ne pouvais plus écouter pendant longtemps. Il fallait laisser reposer. Finalement, l'effet vieillot causé par les années et les changements de goût qui se sont succédés sont passés. Peut-être celui que je préfère après Zooropa.





U2
ZOOROPA


Le 06 Novembre 2024 par LE VIEUNE

L'album mal aimé de U2 et malgré tout l'un de mes préférés sur lequel le temps n'a commis aucun mauvais effet, contrairement parfois et selon l'humeur aux albums contenant des titres plus militantistes.

J'ai toujours autant de plaisir à écouter Zooropa sans problème à des périodes données.





CHEAP TRICK
DREAM POLICE


Le 06 Novembre 2024 par PILGRIMWEN


Il m'est difficile de départager "Heaven Tonight" et "Dream Police", bien que j'éprouve une attirance un chouia plus forte pour le premier. Ce fabuleux mélange de Hard Rock, Rock n' Roll, Pop et musique orchestrale est avant-gardiste pour l'époque. Surtout un mélange aussi décomplexé ! Et dire que j'écoutais adolescent ce disque et ne m'en lasse pas encore aujourd'hui. De ces oeuvres intemporelles !





David BOWIE
THE RISE AND FALL OF ZIGGY STARDUST & THE SPIDERS FROM MARS


Le 06 Novembre 2024 par FOUDROCK

Personnellement, je n'ai pas trop envie de savoir. Trop peur de lire ''Station To Station'' ou ''Low''.





David BOWIE
THE RISE AND FALL OF ZIGGY STARDUST & THE SPIDERS FROM MARS


Le 06 Novembre 2024 par BLUEMASK

@RICHARD, bon... je vais me faire démonter la gueule, moi, si je touche à cette icone...
Je dirais sa période post glam, la fin des années 70/debut 80 en priorité. La trilogie berlinoise est pour moi vraiment surcotée, je n'aime pas, mais c'est la trilogie berlinoise, il y a une légende arty autour de ça, Iggy, toussa toussa, alors que franchement, c'est sympa, voilà, c'est sympa, pas plus. L'Heroes' cache la forêt.
Avant ça, Aladin Sane, puis Diamond Dogs sont super inégaux, mais il y a la pochette iconique. J'adore sa période soul 'Station to Station', 'Young Americans', mais sans non plus crier au génie.
'Sacry Monsters' est un autre exemple de disque surcoté, mais à cette époque, ça y est il est intouchable, ce qui lui permet de sortir des merdes dans les années 80 sans trop souffrir.
'Earthling' et 'Outside' ensuite ont incroyablement mal vieilli. C'est le pire de l'electro-rock des années 90.
Voilà, alors le côté visionnaire, en avance sur son temps... Mouais, peut-être, mais at the end of the day, il reste les chansons. Et j'aime pas bien le personnage. Mais bon, ça c'est personnel
mais je me rassure, le double disque-compil 'Changes' est un de mes disques préférés (sans les quelques titres des années 80, pas récupérables). Pour moi, d'ailleurs Bowie c'est Ziggy et ce best of.






David BOWIE
THE RISE AND FALL OF ZIGGY STARDUST & THE SPIDERS FROM MARS


Le 06 Novembre 2024 par RICHARD

@BLUEMASK, sans ironie, ni esprit de polémique de ma part mais par simple curiosité musicale, tu penses à quels albums lorsque tu précises "sur toute sa carrière, je le trouve tout de même surcôté, avec ce côté arty un poil agaçant qui lui a permis de faire passer quelques albums bien médiocres pour de l'or en barre" ?





Frank GAMBALE
LIVE


Le 06 Novembre 2024 par VIV


Le thème de "Credit Reference Blues" peut surprendre lors de la première écoute. "C'est quoi ce chantier ?" m'étais je dit, comment ça va finir c't'affaire, on est partie pour plus de 13 minutes là !
Jamais entendu un truc aussi barré et mélodieux à la fois. Une fois les oreilles bien plongées dans la grille, c'est le kiff complet. Les chorus guitare et synthé, voire synthé sur le mode "piano" me transcenderont toujours dans leur construction et jeu en dehors des limites.
Ça joue in, ça joue out, ça décolle, ça s’envole, ça passe le relais, ça atterrit je ne sais comment mais ça atterrit, *PAF* c'est déjà fini, re-thème, applause, merci, au suivant !
Le reste du disque est un peu plus sage mais mérite attention.





David BOWIE
THE RISE AND FALL OF ZIGGY STARDUST & THE SPIDERS FROM MARS


Le 06 Novembre 2024 par BLUEMASK


Je ne suis pas un fan transi de Bowie. Sur toute sa carrière, je le trouve tout de même surcôté, avec ce côté arty un poil agaçant qui lui a permis de faire passer quelques albums bien médiocres pour de l'or en barre. Il s'agit pour moi, d'un artiste qui se compile bien, rares étant ses albums consistants de A à Z. Sauf 'Ziggy Stardust', qui fait l'unanimité et qui le mérite bien. 40 minutes, 10 titres parfaits plus un 'It ain't easy' en deça.





SLEAFORD MODS
UK GRIM


Le 06 Novembre 2024 par BLUEMASK


Constant dans la qualité, Sleaford Mods nous assène encore d'un album caustique, abrasif mais aussi aride. L'aridité tient dans les instrumentaux minimalistes un peu raides et pas toujours fous, c'est le point faible. Le talent du groupe tient clairement dans la verve de Williamson. Avec son flow de rapper punk et son accent à couper à la tronçonneuse, il tient autant de Liam Gallagher dans l’attitude pleine de morgue prolétaire, que de Mike Stinner de 'The Streets'.





Claude NOUGARO
CHANSONS NETTES


Le 06 Novembre 2024 par FOUDROCK


Un opus dans la lignée de "Assez !", autrement dit, rien de mauvais, vraiment rien, mais rien de totalement convaincant, mis à part peut-être "Vieux Vienne". L'album suivant sera, en comparaison, une vraie purge. L'Âge d'Or de Nougaro est hélas définitivement révolue.





The ART OF NOISE
THE SEDUCTION OF CLAUDE DEBUSSY


Le 06 Novembre 2024 par SEB


The seduction of Claude Debussy, une galette qui a déjà 25 ans (waouh ça passe) et qui sera malheureusement le dernier album original des britanniques et discrets Art Of Noise. A moins d'un come-back, ils ne sont plus ensemble depuis quelques années. Et en gros ce disque c'est quitte ou double, on aime ou pas, mais au moins on sait pourquoi !

Un album qu'on pourrait qualifier de bizarre, mal aimé par à peu près toute la palette musicale des gens : les fans de Art Of Noise ont été plutôt déçus (sa volonté novatrice n'a pas été payante), les fans de musique classique n'y ont pas trouvé leur compte (ce n'était pas de la musique classique à proprement parler). Quant aux autres, ils n'ont juste pas compris le concept, à raison d'ailleurs et j'en fais partie. Désolé pour le fan-club de Claude Debussy (s'il y en a ?), mais qui aujourd'hui se passionne pour Debussy ?

Sans en être fan absolu, j'aime bien Art Of Noise, groupe mythique dont certaines oeuvres sont désormais des incontournables de la musique électronique (les célèbres Peter Gunn ou Moments in love par exemple, sans oublier sa reprise de Kiss). Mais là, j'avoue ne pas avoir compris où il voulait nous emmener. Même si les morceaux sont plutôt bien maîtrisés, dans la veine qu'on leur connaît. Notamment "Il pleure", mon préféré de la galette (Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville). Voilà un titre qui passe bien, superbe à écouter, ma foi. L'alliance entre la Drum and Bass, le piano-synthé et le chant lyrique est élégant. Mais tout un album à ce régime si on n'aime pas la musique classique, ça déçoit, d'autant plus quand ça n'en est pas.

Abstraction faite de ce concept étrange, l'ensemble est plutôt agréable à l'écoute, même s'il demeure un ovni que je ne pourrai jamais écouter d'une seule traite, désolé. Point trop n'en faut. Un 2.5 relevé malgré tout à 3 pour la qualité du travail toujours impeccable d'Art Of Noise.





The BEATLES
REVOLVER


Le 06 Novembre 2024 par ARMOIRE EN PLASMA

Pour Got To Get You Into My Life, il y avait la reprise de Cliff Bennett and the Rebel Rousers la même année, qui était mieux réussie.





The BEATLES
REVOLVER


Le 05 Novembre 2024 par MASTERFAN


En 1966 tout change, les Beatles grandissent, stoppent les concerts, découvrent les merveilles des possibilités de studio, des rajouts d’effets et d’instruments, et même leurs impôts, ce qui conduit George à nous produire en ouverture de REVOLVER le célèbre « Taxman ».

Changement de dimension dès le second titre avec « Eleanor Rigby » de Paul, bien aidé par John. On quitte carrément les Beatles et les instruments pop-rock pour se tourner plus du côté de chez Mozart ou Bach : ce morceau OVNI sera encore écouté dans 300 ans si, d’ici-là, les Russes, Chinois ou Coréens n’ont pas encore fait péter la planète.

« I’m only sleeping » est une compo très réussie de John, sans être la plus mémorable de l’album. Retour de George ensuite avec le monocorde mais pas monotone « Love you to » sortie des premières brumes psychédéliques des années 60. Avant que Paul ne nous ressorte une autre mélodie de tout premier plan : le délicieux « Here, there and everywhere».

Lorsqu’on va à Liverpool et qu’on visite l’un des musées Beatles (celui situé près du port), on peut se retrouver (j’ai réussi à y rester cet été seul pendant quelques secondes) à l’intérieur du Yellow Submarine reconstitué. Un peu mastoc, certes, mais ça fait son petit effet. Enfin pour Ringo un morceau charismatique (il était temps), qui s’il n’est pas d’une très grande richesse, n’en constitue pas moins une des plus belles chansons pour enfants de tous les temps. Pour finir la face, « She said she said »… Que dire… Super-morceau là encore, issu d’un des tous premiers trips des Beatles.

Petite surprise lorsqu’on retourne le disque avec ce « Good day Sunshine » (Paul) au refrain, il faut bien le dire, un peu trop facile, heureusement que le couplet est charmant. Grosse cartouche ensuite avec l’un des ancêtres de la Power-Pop, « And your bird can sing » (John), qui précède le second moment de grâce de REVOLVER, encore dû à Paul, ce magique et délicat « For no one ». Certainement un des secrets les mieux gardés des Beatles, surtout depuis sa non-retenue sur l’album rouge.

Hommage de John ensuite à son « Dr Robert », dealer notoire des stars de l’époque. Le refrain onirique ne trompe personne excepté les censeurs, pas encore super-pointus à l’époque. Ultime retour de George qui essaie de se mettre au niveau des autres avec « I want to tell you », mission accomplie. « Got to get you into my life » (Paul) est quelque peu abîmé par l’une des premières utilisations de cuivres dans la pop-rock. Paul aurait pu s’en passer, ça passe sur ce coup-là, mais cela donnera beaucoup de mauvaises idées à bien d’autres.

Au même titre que « Eight miles high » des Byrds à la même époque, le dernier titre « Tomorrow never knows » (John) est fondamental car précurseur, faisant le lien avec tout ce qui suivra dans la musique et ouvrant de multiples portes, comme cela avait pu être le cas, en peinture, pour les premiers Picasso ou Dali.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Eleanor Rigby, For no one, Tomorrow never knows. DELECTABLE (4,5) : Here there and everywhere, She said she said, And your bird can sing. SEDUISANT (4) : Taxman, I’m only sleeping, Yellow submarine, Love you to, Dr Robert, I want to tell you. PLAISANT (3,5) : Good day sunshine, Got to get you into my life. Bilan 4,25 et Top 5 à 4,80. REVOLVER cote pour moi 4,53 soit 18,12 /20.

Sans surprise, c’est du très haut calibre ici, REVOLVER n’est pas un disque qui vole au ras des pâquerettes mais au contraire dans les plus hautes sphères de la Pop.

Par rapport à RUBBER SOUL, Paul reprend l’avantage sur John en termes de chefs-d’oeuvre. De même pour le 45 tours hors album, la bombe « Paperback writer » (5) confirme son ascendance sur le psychédélique et peu connu « Rain » (4) placé en face B (mais dont le couplet reste une tuerie). Et sur un autre trip concernant ce single, il est bien évidemment interdit de ne pas connaître la version française des Beadochons (ou Rolling Bidochons) : « Pas d’papier water ».





Devin TOWNSEND
POWERNERD


Le 04 Novembre 2024 par BORAHKRETH


Pas d'accord sur les meilleurs titres de l'album (Jainism est le moins beau morceau pour moi), mais parfaitement d'accord avec la conclusion globale, à savoir que y a rien d'intéressant et qu'on se fait chier : y a pas UN SEUL classique, rien qui donne de frissons. Ça fait bien longtemps que je n'attends plus de chefs d’œuvres comme à la grande époque (même si Empath a été une magnifique surprise), mais au moins un ou deux morceaux qui donne envie de ressortir l'album tellement il tue.

C'est pas mauvais, y a des passages sympas (sur Ubelia et Goodbye notamment), mais le monsieur a déjà fait tellement mieux, y a aucune raison d'écouter cet album plutôt que n'importe lequel de sa discographie... j'avais tenu le même discours pour Lightwork, il donnerait presque envie de lui redonner sa chance.

Et il faut qu'il arrête de recycler des trucs. Ou alors qu'il arrête de publier ses démos, parce que là les deux derniers albums, j'ai la désagréable impression de ré-entendre des trucs déjà entendus ailleurs, et je pense que c'est pas une impression. Des fois c'est tiré des CD bonus, mais là, Glacier, c'est à 50% Before We Die de Sky Blue.

J'écouterai quand même avec attention les futurs albums parce que c'est Devin (et parce que c'est de toute façon en écoute gratuite), mais la baisse de qualité est vraiment palpable. Si on excepte Empath, le dernier "grand" album, c'est au choix Epicloud ou même encore plus vieux avec Addicted. Donc ça date, quand même. Et depuis, chaque album est un peu moins bon que le précédent. Y a toujours eu des morceaux excellents pour contrebalancer, mais franchement, après Empath, c'est la disette.

Un 1,5/5 arrondi au supérieur parce que ça reste quand même sympa à écouter, mais il rejoint la liste des albums que je ne ressortirai probablement jamais et où j'ai peu de chances de changer d'avis, donc c'est quand même triste.

PS : Namaste est sur Physicist, pas Infinity







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