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MC5
BACK IN THE USA


Le 29 Janvier 2025 par FOUDROCK


Je ne peux pas donner la note maximale en raison de la production, tellement plate qu'à côté, une sole passée sous un convoi de trucks aurait l'air d'une baudruche sur le point d'exploser. Il me semble que dès la sortie de l'album, ça lui sera reproché, ce son sadiquement plat, sans relief. Ca et le virage rock'n'roll à l'ancienne (jusqu'à la durée rikiki de l'album, 28 minutes), comparé à l'incendiaire premier album du groupe, forcément, ça peut coincer dans la braguette.
Mis à part le problème de la production, je ne peux qu'adorer ce disque aussi efficace que sans chichis.





David BOWIE
LODGER


Le 28 Janvier 2025 par MASTERFAN


Après un HEROES ambitieux à défaut d’être véritablement convaincant, Bowie revient en 1979 avec un 13ème album, LODGER.

Le premier titre « Fantastic voyage » nous réconcilie avec ce que Bowie sait faire de mieux, de la pop simple, mélodique, et surtout efficace. Nous sommes en 2025 et jamais les paroles de ce morceaux n’auront été aussi actuelles. A l’époque c’était la guerre froide, aujourd’hui c’est notre modèle de l’après-guerre 39-45 qui se disloque sous les coups de boutoirs des dictateurs et autres populistes, qui fait rajeunir notre monde de 100 ans et fait à nouveau peser une menace sur le ‘fantastique voyage’ que sont les millions d’années de l’évolution humaine.

Le second, « African night flight », est une tentative d’incorporer la world-music dans la pop. Me concernant, que ce soit les fanfares boliviennes, les chants esquimaux, les chorales bulgares ou comme ici les mélodies tribales africaines, dans la pop, ça ne fonctionne jamais. Ça me laisse de marbre, j’y peux rien, c’est comme ça. C’est un peu comme pour le morceau qui débute FEAR OF MUSIC des Talking Heads, ça fait vraiment partie des trucs expérimentaux que je ne supporte pas chez Eno.

« Move on », l’un des bidouillages les plus fous de la pop, sur la base de bandes diffusées à l’envers, donne curieusement un résultat plutôt avenant. Je ne peux pas en dire autant de « Yassassin », pour les mêmes raisons qu'au second titre.

« Red sails » est un autre exemple d’incorporation de plans aléatoires, mais comme pour « Move on », les multiples écoutes en dévoilent un semblant de consistance.

La seconde face démarre avec trois morceaux plus directement accessibles. D’abord « DJ », féroce pour le métier, que j’ai toujours trouvé un poil surestimé. Son successeur « Look back in anger » est pour moi deux crans au-dessus. « Boys keep swinging » ne m’irrite pas du tout, rien à foutre que le batteur et le bassiste aient échangé leur rôle et que leur jeu soit donc limités du moment que le morceau fonctionne, et là pour le coup il fonctionne sans souci.

Dommage que l’album se termine sans grande intensité avec deux morceaux assez quelconques. D’abord le passable « Repetition », puis l’un des premiers cas de recyclage assumé de l’histoire de la pop, ce « Red money » quand même moins réussi que son modèle « Sister midnight ».

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Look back in anger. SEDUISANT (4) : Fantastic voyage, Boys keep swinging. PLAISANT (3,5) : Move on, Red sails, DJ. INTERESSANT (3) : Red money. EMOTION LIMITEE (2,5) : Yassassin. Repetition. AUCUNE EMOTION (2) : African night flight. Bilan 3,30 et Top 5 à 3,90 : LODGER cote pour moi 3,60 soit 14,40 /20.

Il y a à boire et à manger dans ce restaurant LODGER. Particulièrement clivant, il fait allègrement le grand écart entre les cinq étoiles Duchemin et la non-étoile Tricatel. J’avoue avoir un peu de mal à comprendre toutes ces positions aussi tranchées, mon impression globale ici étant que quelques fautes de goûts font face à certains moments beaucoup plus inspirés.





Jean-michel JARRE
CHRONOLOGIE


Le 28 Janvier 2025 par BAKER

Oups je n'ai jamais répondu à mon collègue de commentaire mais oui évidemment, Amphibia de Patoche.

D'ailleurs j'en profite, je recherche TOUTES les interviews et chroniques de cet album d'époque. Ne serait-ce que pour avoir des commentaires sur Jarre qui produit (une vraie production, dans le studio et tout) un album de metal prog. Liens bienvenus car je n'en trouve quasi-pas.





13TH FLOOR ELEVATORS
THE PSYCHEDELIC SOUNDS OF THE 13TH FLOOR ELEVATORS


Le 28 Janvier 2025 par FOUDROCK


Tuerie psychédélique (c'est, par ailleurs, sans doute le premier album à utiliser ce terme dans son titre) qui sera massacrée par la maison de disques à sa sortie, le groupe avait en effet prévu de sortir l'album avec les chansons placées dans un certain ordre, et cet ordre ne sera pas du tout respecté.
Une réédition propose l'album dans l'ordre initialement prévu (en plus de l'album dans l'ordre de parution 1966), il paraît que cet ordre, voulu par le groupe, fonctionnait comme une aide pour la découverte de son "moi" cosmique (j'imagine que l'absorption de buvard de LSD devait aider également)...





REACH
THE PROMISE OF A LIFE


Le 27 Janvier 2025 par MADELEINE


Difficile de passer d’un opus 3 vers un 2 (essayez avec les pikmins, vous verrez) donc venir de "Prophecy" vers cet album précédent est un pari risqué.

"New frontier" est vraiment trop bordélique pour moi, et même impression pour les quatre premiers morceaux. On sent qu’ils cherchent encore une unité. Et puis arrive le très structuré "Motherland" qui aurait pu être extrait de "Prophecy" tant il s’y glisserait sans problème, breaks compris. Et j’aime beaucoup ! Aussi l’étrange "The seventh seal" et "Higher ground" dont il faut tout de même attendre le dernier tiers pour avoir un petit frisson. C’est d’ailleurs juste avant le troisième tiers des morceaux que se situent - un peu trop régulièrement pour moi - les breaks intéressants…

"The streets" bien énervé et "Promise of a life" à la Muse ne m’accrochent pas plus que ça. Donc seulement un 2 étoiles mais avec la gourmandise d’attendre le prochain album de ce groupe qui manifestement avance en se bonifiant !





Jean-michel JARRE
EQUINOXE


Le 27 Janvier 2025 par FINISHERFRANKY


Comparé à Oxygène, JM Jarre démarre son album comme moins à la découverte de son instrument, moins expérimentateur enfantin : on a moins de ces gimicks électroniques, bruitages divers à la limite du ridicule (vu avec le recul) qu’il joue à faire passer de gauche à droite comme l’aurait fait un enfant jouant avec les potentiomètres (sauf en plein centre d’Equinox 4, qui me gâche presque le titre). D’Equinox 1 à Equinox 4, 1ère face donc, JM Jarre m’apparait plus adulte que sur Oxygène et soutient la comparaison avec les compositeurs du genre d’outre-Rhin.
Mais, dommage, la seconde face démarre sur cet Equinox 5 disco tellement bateau et à nouveau truffé jusqu’à l’agacement de ces effets stéréophoniques puériles. Equinox 6 annonce avec tellement d’avance les sonorités des jeux électroniques à la Mario Bros qu’il faut lui reconnaitre cet intérêt novateur, sans quoi cette séquence me fatigue. Cette seconde partie d’album est à l’image du JM Jarre que je n’aime pas, popisant et niais. Elle me gâche la première.





WIRE
154


Le 27 Janvier 2025 par FOUDROCK


Encore plus structuré que le précédent, moins punk, plus new-wave et arty. Moins attachant, mais rien que pour "The 15th", "A Touching display" et "I should have known better", c'est à écouter.
Le titre de l'album ? Le groupe, au moment de l'enregistrer, avait fait 154 concerts depuis sa formation...





WIRE
PINK FLAG


Le 27 Janvier 2025 par FOUDROCK


Parvenir à faire un disque de 35 minutes offrant 21 titres, fallait le faire. Wire l'a fait, et l'album, qui plus est, a été majoritairement enregistré live en studio.
Le morceau-titre à lui seul est un monstre punk.
Je ne donne pas la note maximale parce que, quand même, par moments, ça fait un peu vite expédié (des morceaux semblent se finir sur un coup de frein brutal).





Jean-michel JARRE
OXYGENE


Le 27 Janvier 2025 par FINISHERFRANKY


Cet album, musique et pochette, me replonge comme beaucoup dans ma jeunesse (j’avais 13 ans en 1976) et il fait remonter les souvenirs personnels de l’époque, famille, matériel HiFi , TV, voitures ... une grosse madeleine de Proust. Jarre innovait et ses ambiances faisaient rêver. Mais très peu de temps après, ayant plongé dans les précurseurs, Klaus Schulze et Tangerine Dream, Jarre m’ayant ouvert la porte et se sera son mérite, j’ai relativisé. Je lui donne ses étoiles pour la nostalgie et la magie qu’il crée encore dans mon esprit mais je modère quand je retrouve dans Oxygène Part 3 et Part5 trop de Tangerine Dream créateur de ces ambiances depuis Phaedra…. Bien qu'elles étaient je pense dans l’air du temps je résiste mal à trouver un côté suiveur à Jarre à ce moment-là … Oxygène Part 4 et sa mélodie veloutée, plus typique de Jarre, me ramenant à la raison.





WIRE
CHAIRS MISSING


Le 27 Janvier 2025 par FOUDROCK


Un chef d'oeuvre de new-wave punkysante (le groupe vient de là, il vient du punk), des morceaux moins courts et expédiés que sur le vif "Pink Flag", plus structurés, mais toujours un peu branques. Un régal.





Jean-michel JARRE
REVOLUTIONS


Le 27 Janvier 2025 par BAKER


Même chose que pour Cousteau : je comprends le désintérêt surtout que l'album est très inégal, mais outre que la suite Revolution est quand même bien agréable (si à 50 ans t'as pas joué la part I sur un vrai D-50, t'as raté ta vie), je trouve que le titre Révolution, Révolutions (en version remixée, le second pressage CD donc) est purement génial.

Le son est immense, les relances à se damner (très difficile de ne pas air-drummer), et cette idée de séquence à laquelle on rajoute une note à chaque cycle est géniale. Gros, gros coup de coeur à tel point que c'est le titre qui ouvre mon best-of du monsieur histoire de bien brouiller les pistes.





Jean-michel JARRE
EN ATTENDANT COUSTEAU


Le 27 Janvier 2025 par BAKER


Je comprends qu'on n'aime pas cet album, et que les sonorités fassent hérisser le poil. En revanche j'attire l'attention sur la qualité d'écriture du premier morceau : au niveau des harmonies, de la mélodie, des relances, des breaks, des transposes, c'est complètement millimétré. J'ai essayé pendant des heures de faire un édit de ce morceau, je n'ai pas réussi à couper une seule mesure, c'est de l'architecture.

Et puis ça ne me concerne pas du tout, mais ce morceau a fait danser un million et demi de personnes un beau soir de 14 juillet, ça compte.





Julien DORé
Løve


Le 27 Janvier 2025 par BLUEMASK


On peut ne pas aimer le personnage, son maniérisme, sa nonchalance très étudiée, son goût pour le name-dropping agaçant. Mais avec un minimum d'objectivité, si tant est que cela est possible en musique, il faut avouer que Julien Doré sait écrire des chansons, des mélodies et faire de la pop grand public de qualité. Finalement c'est assez rare, les albums qui peuvent parler à la fois à Tata Monique, au cousin Leo, fan de pop indé US, et à la voisine Camille, fan d'electro funky.





Jean-michel JARRE
REVOLUTIONS


Le 27 Janvier 2025 par FINISHERFRANKY


J'ai voulu lutter contre mes aprioris en m'intéressant à cet album à la vue de la chronique. Mais les titres annoncés comme intéressants me semblent tellement sans intérêt que je retourne à mes aprioris. Pour l’anecdote, London Kid, avec sa batterie métronomique ennuyeuse à mourir et ses mélodies aux notes détachées me rappelle des musiques que j’entendais enfant dans les rues piétonnes sonorisées et les marchés de Belgique des années 80.





Beth GIBBONS
LIVES OUTGROWN


Le 27 Janvier 2025 par STREETCLEANER


C'est un très bel album, presque parfait, une des plus belle sorties de 2024 (que j'ai d'ailleurs oubliée de mentionner dans mon top -pourtant je l'avais acheté en vinyle- car elle remonte déjà à quelques mois). Note : 4.5/5.





SONIC YOUTH
EXPERIMENTAL JET SET, TRASH AND NO STAR


Le 27 Janvier 2025 par BLUEMASK


L'album avec lequel Sonic Youth a vraiment voulu percer, après 2 albums déjà plus construits, moins bruitistes. Donc, en tant que parrain du grunge, on prend Butch Vig, producteur d'un vague succès de Nirvana, et il applique la recette: de l'indie oui, mais avec un bon gros son bien poli, soyeux et pop.
Ainsi, 'EJSTANS' est bien l'album le plus pop du groupe, le moins hermétique. Cela reste Sonic Youth, on retrouve ces embardées bruitistes, cette volonté de sortir du chemin et déraper dans la boue, mais ici de manière plus mesurée, moins centrale.
L'alchimie prend, et si nous avons là l'album le plus accessible du groupe, il reste une des meilleurs également.





Neil YOUNG
ZUMA


Le 27 Janvier 2025 par SCHLOUQ


Zuma représente en quelque sorte l'achèvement de l'élaboration du style de Neil Young, et non pas son accomplissement (le Loner poussera le bouchon largement plus loin en matière de dualité acoustique/électrique et de saturation à partir de Rust Never Sleeps). C'est le deuxième album co-crédité avec le Crazy Horse, après Everybody Knows This Is Nowhere (1969). Frank "Poncho" Sampedro a remplacé Danny Whitten, décédé d'une overdose trois ans plus tôt. En réalité, le Crazy Horse avait déjà avec Neil Young depuis 1969 : sur quelques titres de After The Gold Rush, et sur Tonight's The Night et sa tournée sous le nom des Santa Monica Flyers, où Nils Folgren assure la guitare en remplacement de Danny Whitten, augmenté de Ben Keith à la pedal steel.
Le son de Zuma est plus dense, plus saturé que celui d'Everybody Knows This Is Nowhere : on sent que le hard rock est passé par là, mais aussi une forme de mûrissement musical. Ça reste plus doux que sur Ragged Glory, Weld, ou même Rust Never Sleeps, mais le Loner a trouvé son son, celui qu'il ne quittera plus.

L'ambiance du disque est celle d'une mélancolie amère mais sereine, moins tourmentée, plus réaliste que celle de la ditch trilogy. Les compositions sont pour la plupart très agréables sans être transcendantes, ritournelles rock doucement mélancoliques comme "Lookin' For A Love", "Stupid Girl" ou le plus heavy "Drive Back". Dans le même style, l'introductif "Don't Cry No Tears" et "Barstool Blues" sont deux titres particulièrement plaisants, à la beauté diffuse sécrétée par un rythme entraînant ou une harmonie au tournant d'un refrain. On trouve deux titres acoustiques, le final "Through My Sails", enregistré avec Crosby, Stills & Nash, et le magnifique "Pardon My Heart", abîme de quiétude nostalgique.

Mais les meilleurs moments du disque sont, à mon sens, ailleurs. "Danger Bird" est bâti sur une progression d'accord solaire, jouée avec une grâce indescriptible. Les soli de Neil Young, qui n'a jamais été aussi inventif (ce larsen au début, puis le motif mélodique principal...) et son chant fragile augmenté par les chœurs du Crazy Horse expédient ce titre parmi les tous meilleurs du canadien. À l'instar de "Cortez The Killer". Cette épopée de plus de sept minutes (souvent dix en concert) s'inscrit dans l'excellence la plus stricte de sa musique. Bâti sur seulement trois accords, répétés en boucle sur un rythme lancinant, à partir desquels se construise une mélodie d'une simplicité déconcertante et des soli longs, mélancoliques, à la sensibilité accrue par leur niveau de saturation troublant, ce titre est une anomalie. Une très bonne anomalie. Personnellement, je regrette qu'il n'existe pas une version définitive, ultime, du morceau : la version studio est structuré de façon un peu bancale, tandis que les versions live (mention spéciale à celle de Weld, à écouter absolument) sont mieux construites, présentent des ajouts au niveau des solos et du chant, mais pâtissent d'un son avec à mon sens trop de reverb.
Reste que Zuma est un album imparfait, un peu inégal mais très attachant.





REACH
PROPHECY


Le 26 Janvier 2025 par MADELEINE


J’ai cru rêver tant "Prophecy" commence comme "Supremacy" de Muse. On sent d’ailleurs parfois la même influence (sur leurs deux disques) mais ça part ensuite vers un rock plus solaire et musclé, voire hard rock pour certains ("Psycho violence", qui l’eût cru). Un vrai coup de cœur pour ce groupe découvert grâce à la sélection 2024 de Gegers. Merci !

Je trouve quelques morceaux un peu longuets et répétitifs, passé l’originalité des premières mesures. Mais l’album dans son ensemble est assez classe. Mes préférés dans l’ordre : "Prophecy", "Save the world" (j’adore), "Mama Mama" (pour se réveiller en douceur), "Grand finale" et "Eviga natt". Ce qui revient à un bon 4 étoiles.





The ROLLING STONES
GET YER YA-YA'S OUT


Le 26 Janvier 2025 par BLUEMASK


Avec ´Brussels Affairs’ le bootleg de 73, on tient là le meilleur live des Stones, avec quelques versions définitives de leurs meilleurs titres. Intemporel, court, essentiel, pas besoin d’en faire 1000 pages





PSY
GENTLEMAN


Le 26 Janvier 2025 par CLANSMAN57

"Après avoir apporté à l'humanité l'une des pires chansons virales, Kim Min-seok a continué son œuvre en montant un véritable empire médiatique. Avec ses 13 milliards de vues, le morceau Baby Shark (toudoudoudoudou), est LA vidéo la plus regardée de tous les temps sur Internet."

C'est beaucoup de monde avec qui je ne pourrais pas parler, car je n'ai jamais entendu ce méga tube.
Toi aussi, ressens la tristesse de l'inculte, ainsi que le rejet:D












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