Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 ...>...>>... 1159
Comment poster un commentaire ?


PSY
GENTLEMAN


Le 26 Janvier 2025 par NONO

L'occidentalisation mondialisée à marche forcée... voilà ce que ça donne ...





PSY
GENTLEMAN


Le 26 Janvier 2025 par RICHARD

Et la torture mentale qu'est "Baby Shark", vous en faites quoi ???





PSY
GENTLEMAN


Le 26 Janvier 2025 par NONO

C'est peut-être PIRE que Crazy Frog, il y sont arrivés ! .... vachement balaise !!!
Pour la note, je préfère changer de sujet...





PSY
GENTLEMAN


Le 26 Janvier 2025 par SEB


J'ai eu l'occasion/le privilège/le malheur (rayez la mention inutile mais à priori gardez la 3ème !) au détour d'un clip sur une chaîne musicale de voir et surtout d'entendre cette sombre plaisanterie Made In Corea il y a quelques jours. Sniff.

Bon je n'ai rien de particulier contre la Corée du Sud au contraire, dans la K Pop la petite dernière "Rosé" est même plutôt intéressante (Apt...). Les pays asiatiques notamment le Japon ont offert ces dernières décennies des artistes musicalement ouverts à mon sens, en musique électronique entre autres (petite préférence pour Shingo Nakamura, Takkyu Ishino ou encore Ken Ishii par exemple dans des styles très particuliers et complexes). Mais là, LÀ !

Alors...

Euh comment décrire...

Donc vous vous habillez de votre plus beau costume (ou bel ensemble pour les dames), vous prenez la soupe "Gangnam Style", versez dans une vieille casserole de grand-mère et faites réchauffer mais pas trop fort attention aux projections ça serait dommage de tâcher votre beau costume. Bien chaude vous servez ladite soupe poliment à vos invités ou à votre public très crédule dans des bols bien décorés avec couverts en argent et voilà, Gentleman !

La soupe est toujours aussi insipide et fade mais bon qu'importe c'est de la conserve ! Autant le gag "Gangnam Style" prodigieusement ridicule a fait peut-être rire (moi oui j'avoue au début, devant cette connerie de 3 minutes), c'était passable, autant là devant ce "Gentleman" on perd son humour... Quelle tristesse devant pareille affligeance réitérée. À moins que Psy se catégorise en chanteur rigolo ce dont je doute fort ! La K Pop est un genre musical à part entière porté par la nouvelle génération, Psy me parait plutôt contrenature dans ce registre, qu'il persiste plutôt dans le Rap...

Est-ce besoin de noter l'intérêt musical de ce truc ? Va pour le minimum autorisé, 1. C'est déjà trop.





Neil YOUNG
TIME FADES AWAY


Le 26 Janvier 2025 par SCHLOUQ


Time Fades Away est un album à part, peu connu, mal aimé, mais beau. On n'est pas dans la même veine, façon de parler, que After The Gold Rush ou Harvest (qui néanmoins présentait de premières piqûres avec son ambiance crépusculaire), c'est plus sombre, plus éraillé, bien que toujours aussi honnête. Cette période est, à mon sens, assez intéressante : un son plus écorché que ses précédents albums, mais plus complexe que les épopées ultra-saturées auxquelles le Loner et son Crazy Horse nous habitueront plus tard. Aux guitares grésillantes se mêlent le piano et la pedal steel, et c'est beau.
Cela dit, Time Fades Away est un album inégal, et d'autant plus inaccessible que ses titres ne sont pas d'une immédiateté à toute épreuve et que les meilleurs sont placés à la fin.
Assez bon : 1) Time Fades Away ; 2) Journey Through The Past ; 3) Yonder Stands The Sinner
Très bon : 6) Don't Be Denied
Excellent : 4) L.A. ; 5) Love In Mind
Exceptionnel : 7) The Bridge ; 8) Last Dance.

"Time Fades Away" et "Yonder Stands The Sinner" sont deux blues rock bien crasseux chantés par un Neil Young qui part en vrille, le titre éponyme lorgne même vers le hard rock. "Journey Through The Past" n'était pas inconnue des fans, et pour cause : elle avait déjà été jouée en 1971. Un piano-voix agréable, même s'il n'arrive pas à égaler son criant et brillant modèle "After The Gold Rush".

"L.A." joue avec les contrastes et les nuances entre un riff d'ouverture un peu bourrin et des circonvolutions mélodiques délectables, sublimées par les dialogues entre le piano, la batterie et la pedal steel. Autre piano-voix - la guitare folk étant inhabituellement absente de l'album -, "Love In Mind" sonne comme une parenthèse enchantée. C'est le seul morceau à ne pas avoir été enregistré pendant la tournée qui suivit Harvest : durant à peine deux - courtes - minutes, la voix du Loner redevient douce et vierge, habillant d'une autre façon la beauté des harmonies. "Don't Be Denied" nous ramène à la réalité par un riff écorché, mais pas déprimant. Un excellent morceau, bien que son côté répétitif finisse par altérer son effet au fil des écoutes.

Enfin, les chefs-d’œuvre finaux, j'ai nommé "The Bridge" et "Last Dance". L'avant-dernier titre est remarquable de par... ce qu'il confine à la perfection ? Dans ce piano-voix, les accords et la mélodie sont juste fabuleux, tandis que l'harmonica et le chant accroissent cette sensation d'une sereine déchirure. À moins que ce soit la sérénité qui soit déchirante ? De sérénité, on ne trouve plus aucune trace dans "Last Dance", conclusion terrassante, dont le charme mortifère des riffs brutaux, des mots gueulés et des harmonies écorchées met plusieurs écoutes avant de se révéler. Une espèce de crescendo à la structure complexe et répétitive, joué avec un feeling particulier, le genre de morceau qu'on trouve "blues un peu bourrin" au début, puis cruellement addictif, sorte de délivrance dans la peine. No, no, no...





The ROLLING STONES
AFTERMATH


Le 25 Janvier 2025 par NADINE

Goin' home me fait beauoup penser à ces deux autres longs morceaux :
- LOVE avec "Revelation" (album Da Capo (1966))
- SEEDS avec "Up in her room" (album The Web of sound (1966))
Répétition de phrases "I feel so good" et/ou "I feel alright" tout au long de la partie "impro".





OPETH
THE LAST WILL AND TESTAMENT


Le 25 Janvier 2025 par ANIMAL 974

Quel gâchis ! Sans le "chant" d'outre tombe, cet album serait un must de prog, encore mieux que les 2 merveilles que sont Heritage et Damnation. Dommage !!





SPARKS
KIMONO MY HOUSE


Le 25 Janvier 2025 par H.M.

Les premiers Sparks, "poussifs" ? Pas d'accord. Mais pas d'accord du tout... Le premier, produit par Rundgren, grâce à qui ils peuvent se lancer, reste un de mes 5 Sparks préférés. Avec Kimono, Angst, Gratuitus Sax et Lil'Beethoven.





The STRANGLERS
NO MORE HEROES


Le 24 Janvier 2025 par MASTERFAN


Et de deux ! Franchement, ce morceau titre, « No more heroes » (‘heroes’ est décidément le mot de l’année 1977 avec ‘punk’), quelle bombe ! La version à la TV hollandaise (‘Dutch TV 77’ sur le Net) est incroyable et jouissive. Pour se moquer des play-backs, les Stranglers échangent leurs instruments et font n’importe quoi. JJ prends la batterie avec de drôles de baguettes, Hugh sautille sur les synthés, Jet quitte ses fûts pour prendre la guitare (et termine avec une bouteille en guise d’archet), seul Dave est crédible (de loin) à la basse et au micro. Personne n’avait encore osé ça. Aucun doute, ces mecs-là savaient s’amuser et se foutre, en direct, de la gueule des médias. Visionner ça, franchement, ça fait du bien.

Si on en reste sur la voix et le chant de Dave, ils sont flippants sur « Dead ringer » ou le revenant « Peasant on the big shitty », avec toujours le côté pervers qui va bien. Et son petit numéro sur la fin de « Dagenham Dave » est délicieux. Quant à la censure, elle n’était encore pas trop en forme sur « Bring on the nubiles », les gars ont tenté, c’est passé, ils s’en marrent encore (enfin, ceux qui restent…).

Ce second album mérite la qualification de punk-rock bien plus encore que le précédent, et ce avec l’excellent « Something‘s better change » en porte-drapeau. Je rejoins à fond ARP2600 dans sa chronique : l’essence et le génie plutôt pour le premier album, et plus la ‘posture’ pour le second. A une ou deux exceptions près, ‘RATTUS’ dépassait le cadre du punk, il y avait autre chose, de la nouveauté, de l’inspiration. NO MORE HEROES fait surtout le job punk, comme il sied en 1977 pour pouvoir tenir la comparaison avec les Pistols ! Il le fait drôlement bien, on peut citer en plus des précédents morceaux : « Bitching », «Burning up time », « English towns », solides cartouches du genre, bien loin de « Always the sun » et « Golden brown », trop souvent les seules connaissances strangleriennes hexagonales.

Je suis juste surpris d’apprendre que NO MORE HEROES aurait la faveur des critiques et des fans, puisque j’ai souvent constaté l’inverse. Peu importe, comme le dit justement Waltersmoke, il faut écouter les deux dans la foulée de toute façon, et ça fait 2-2 sur ce site, pour l’instant...

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : No more heroes. DELECTABLE (4,5) : Something’s better change. SEDUISANT (4) : Bitching, Dagenham Dave, Bring on the nubiles, English towns. PLAISANT (3,5) : I feel like a wog, Dead ringer, Peasant in the big shitty, Burning up time, School mam. Bilan 3,90 et Top 5 à 4,30 : NO MORE HEROES cote pour moi 4,10 soit 16,40 /20.

J’ai l’impression qu’il y a plus ou moins le même rapport entre RATTUS NORVEGICUS et NO MORE HEROES qu’entre THE DOORS et STRANGE DAYS. Certains préfèrent le second jet au modèle initial, ça peut se défendre. Pour les plus aventuriers, « Straighten out » (4) et « Five minutes » (4), provenant de la même session, complètent bien cet album.





MALICORNE
LE BESTIAIRE


Le 24 Janvier 2025 par MADELEINE


Un bon 4 étoiles car j’aime beaucoup ce "Bestiaire", dernier disque dans la veine pure de Malicorne avant le perturbant "Balançoire en feu".

A tout seigneur tout honneur, le dernier morceau : "Jean des loups", car cette bal(l)ade nocturne en forêt résume pour moi toute l’âme de Malicorne. D’abord il y a cette HISTOIRE racontée par Gabriel Yacoub. On y est vraiment, dans cette forêt ! On les voit ces loups réunis dans la clairière sous la lune, on entend Jean des loups murmurer son chant pour les calmer puis raconter sa rencontre avec eux, dans ce lied solo de la belle VOIX de Gabriel au milieu du morceau (pour le côté voix du groupe, on notera aussi celle, magnifique, de Marie, par exemple sur "Le luneux"). Puis il y a la MUSIQUE de Malicorne, traditionnelle comme dans les premiers disques alternée avec du rock comme dans les derniers, avec ce final rock solide et cette guitare aérienne. Tout Malicorne en huit minutes.

Avec "La mule", on retrouve la polyphonie maîtrisée de nos chanteurs de sornettes. Avec "Le branle des chevaux" on démarre en douceur le mariage tradi-rock, un peu du style Tri Yann. "Les transformations" est un peu longuet, mais cette musique envoûtante est vraiment à écouter, comme une sorte de transe musicale, avec là aussi la guitare qui s’envole et un final joyeux.

"La chasse gallery", autre morceau plus rock que j’aime beaucoup ainsi que "Le ballet des coqs" plus traditionnel qui le suit. J’aime moins "Les sept jours de mai" et "Alexandre" donc une étoile en bémol, mais un vrai 4 étoiles pour ce disque réussi.

A part ça, je note que les fans se retrouvent souvent sur trois groupes : Malicorne, Tri Yann et Ange. Ça promet de belles soirées en ehpad… dans quelques années, hein ;)





SHEILA
SEULEMENT POUR TOI


Le 24 Janvier 2025 par MARTIN LA BOTTE


C'est élégant comme le visuel mais la plupart des versions d'origine se suffisaient à elles-mêmes et surtout, comme la dame avait très peu fourni d'inédits entre la parution initiale des titres retenus et celle de leur réenregistrement sur ce mini-CD, ça pouvait donner l'impression de morceaux pas si vieux que ça, déjà revus et corrigés.
Tant qu'à reprendre des titres devenus confidentiels en 2002, je serais plutôt allé puiser dans le lointain répertoire CARRÈRE 68/70 pour exhumer de jolies mélodies à l'interprétation ou au son un peu datés. "Long sera l'hiver" ou "Love Maestro Please" classieusement réorchestrés avec le timbre de SHEILA désormais plus chaud, ça aurait pu avoir de la gueule et donner quelque chose de plus inattendu.
Cependant, rien de mauvais dans le lot final. La revisite qui m'emballe bien plus que son modèle, c'est "Le Film à l'envers", extrêmement séduisante dans cette nouvelle mouture jazzy. J'aime bien aussi "Partir" en bossa.

Au rayon "SHEILA propose aussi du neuf !": "Toutes ces vies", superbe chanson courte qui, avec le poids des années, m'émeut de plus en plus. Fort honorable incursion de la chanteuse dans le folk avec "S'envoler".





EMERSON, LAKE & PALMER
LOVE BEACH


Le 24 Janvier 2025 par FOUDROCK


On ne va pas tirer sur l'ambulance, mais il faut le dire : cet album n'aurait jamais, jamais dû voir le jour. Rien que la pochette et son titre donnent envie de fuir très loin. Ils sont sur la plage de l'amour ? OK, je file à la montagne.





EMERSON, LAKE & PALMER
EMERSON, LAKE & POWELL


Le 24 Janvier 2025 par FOUDROCK

E et L se sont sûrement cassé la nénette à trouver un batteur les intéressant, étant intéressé, et dont le nom commence par P (et ne se termine pas par -almer) afin de reformer le groupe tout en conservant les sacro-saintes initiales. Bande d'escrocs. Je n'ai pas écouté le disque, et, curieusement, je n'en ai pas envie. Pas de note, donc.





EMERSON, LAKE & PALMER
EMERSON, LAKE & PALMER


Le 24 Janvier 2025 par FOUDROCK


2 étoiles pour ces deux merveilles que sont "Take a pebble" et "Lucky man". Le reste entre dans mon oreille gauche, en ressort par la droite, et n'a pas glandé grand-chose dans l'intervalle.





EMERSON, LAKE & PALMER
TARKUS


Le 24 Janvier 2025 par FOUDROCK


L'exemple parfait de l'album inégal. Une face A remarquable, une face B qui ne mérite pas qu'on en parle (et surtout pas le dernier titre).
Je ne l'écoute jamais, pour tout dire. Et pourtant, le long morceau-titre vaut le coup.





EMERSON, LAKE & PALMER
TRILOGY


Le 24 Janvier 2025 par FOUDROCK


Argh... "From thge Beginning" est sublime, et rien que pour ce morceau et la "Fugue", je donne 2 étoiles. Pour moi, le reste ne vaut pas plus que ça. Meilleur que "Tarkus", mais pas génial.





EMERSON, LAKE & PALMER
BRAIN SALAD SURGERY


Le 24 Janvier 2025 par FOUDROCK


5/5 quand même malgré que "Karn Evil 9" est tout de même sacrément long (29 minutes ! En live, ça en durera facilement 35...), que les claviers d'Emerson, parfois, vieillissent mal, et que "Benny the Bouncer" est une infâme mairde, un morceau tellement nul et puant qu'il aurait pu en ruiner l'album entier, heureusement qu'il ne dure que 2 petites minutes et que le reste de cet album est réussi. Les 3 premiers morceaux sont à tomber.
La pochette de Giger est culte. En vinyle, la pochette était en die-cut (découpée) et s'ouvrait en deux panneaux, pour montrer l'intérieur de pochette tout aussi gigérien. Vous avez remarqué la b*te sous le crâne ? Forcément, ça saute au paf, comme on pourrait le dire (et puis la chronique y fait allusion) !





NOIR DéSIR
ELYSéE-MONTMARTRE


Le 24 Janvier 2025 par BLUEMASK


Noir Désir a fait des albums studios superbes, puissants et aventureux, mais c'est bien sur scène que le groupe prend son plein envol. A ce titre, le 'En public' de 2005 est l'un des meilleurs lives qu'il m'ait été donné d'écouter, 'Dies Irea' un des plus rageurs, malgré qu'il soit desservi par un son brouillon.
Ce dernier live est antérieur, c'est fort logique, à un moment donné après le split inéluctable du groupe à cause de Vousavékoi, il faut bien payer le gaz (la recherche permanente du bon goût, mais aussi la peur de subir une dose de cancel-culture, m'empêchant d'ajouter 'pour faire fonctionner le radiateur').
Antérieur, mais tout aussi essentiel pour re-ecouter les titres des albums de jeunesse du groupe dans l'univers où il excelle. Et nous avons droit encore à un live quasi parfait. Le son est parfait, puissant, proche tout en mettant en valeur chaque instrument. Et le groupe, comme il l'a toujours été sur scène, est en symbiose, chaque membre semblant se surpasser pour livrer un set bouillant, gorgé d'électricité, de fureur et de conviction. Habité.
Je dis 'quasi' parfait, parce que les titres en anglais, c'est pas le point fort du groupe.





VAN DER GRAAF GENERATOR
GODBLUFF


Le 24 Janvier 2025 par FOUDROCK


Quel chef d'oeuvre que cet album, mon Dieu...
Quatre morceaux, quatre merveilles, douceâtres ("The Sleepwalkers"), agressives ("Arrow"), passionnées (toutes).
Un essentiel absolu et le meilleur du groupe (même si le suivant est monumental aussi, dans le même genre). A mettre (et "Still Life" aussi) à côté de la trilogie d'albums solo que Hammill a sorti entre 74 et 75 dans un Panthéon prog-arty exempt de tout défaut.





EMERSON, LAKE & PALMER
PICTURES AT AN EXHIBITION


Le 24 Janvier 2025 par FOUDROCK


J'adore le prog, mais ELP, mis à part "Brain Salad Surgery" et le triple live de 74, merci, mais je n'accroche pas. Trop poussif, caricatural des pires excès du prog, et ça transpire la suffisance et la prétention de ces trois musiciens (dont deux qui, depuis quelques années, sont morts) certes virtuoses, mais qui ne sont pas étouffés par la modestie. Il faut lire leurs interviews d'époque, dans le genre "on ne se prend pas pour des merdes", ça se pose là.
Reprendre l'oeuvre phare d'un compositeur bien plus modeste qu'eux (c'était même son prénom, Modeste ; oui, je sais, c'était facile, mais si tentant), il faut oser à condition d'être sûr de sublimer le truc. Or, ici, entre les claviers horripilants (ces sonorités datées, ces effets insupportables) et ces rajouts vocaux inutiles, c'est un authentique naufrage. A FUIR.







Commentaires :  1 ...<<...<... 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 ...>...>>... 1159






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod