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Etienne DAHO
TIREZ LA NUIT SUR LES ETOILES


Le 30 Septembre 2024 par MR TINKERTRAIN


J'avais pris un album de Daho à la médiathèque, pour essayer. Le son était infâme mais le reste tenait la route. Alors j'ai pris celui-ci en nouveauté pour pas rester sur une mauvaise impression et j'arrête pas de l'écouter, ce qui est gage de qualités nombreuses. Titre préféré : Virus X...





Mylene FARMER
INNAMORAMENTO


Le 30 Septembre 2024 par SEB


Quand j'ai vu cette pochette bleu azur de Mylène échappée de cette cage semi-immergée, je me suis dit "Ah, on va à nouveau changer d'univers !" et ça s'était confirmé, côté musical. On revient à de la pop française et l'électro entre dans la danse, doucement. Ce n'est pas encore le massacre qu'on connaîtra une dizaine d'années plus tard. Ca reste à mon avis d'un très bon niveau et bien maîtrisé.

D'une manière générale, j'ai plutôt bien aimé ce nouvel opus des inséparables Farmer/Boutonnat : Innamoramento, il reste une masterpièce de sa discographie. Après, malgré sa qualité et pour une raison qui m'échappe encore, il m'avait un poil moins accroché que les autres. Pourtant, comme souvent jusque là les musiques servent avantageusement les textes, toujours bien travaillés par ailleurs ! Mais voilà, c'est ainsi.

Ainsi, le dernier album du millénaire engrange une fois encore des tubes ("Optimistique-moi", "Dessine-moi un mouton", "L'âme-Stram-Gram" -ma préférée de l'album-, "Je te rends ton amour"...). Même si l'électro est présente, elle interagit avec les paroles de façon intelligente et franchement agréable ! Ça ne sera pas toujours le cas plus tard. Après, je suis plutôt de l'avis de plusieurs personnes : la fin de l'album traîne un peu en longueur ! Deux ou trois titres en moins, ma foi...

Mention spéciale au grand gratteux Chris Spedding, un talentueux guitariste (mais pas que) qui a accompagné Mylène Farmer sur cette galette ainsi que plusieurs pointures dans sa carrière dont Johnny Hallyday ou encore Robert Gordon, qui sera peut-être chroniqué un jour dans les colonnes de FP (?).





Bernard LAVILLIERS
LE STEPHANOIS


Le 30 Septembre 2024 par X

Tombée sur votre site passionnant par hasard, en faisant une recherche sur la chanson "L'Espagne" de Bernard Lavilliers. En général, je ne pinaille pas trop sur l'orthographe mais là ça m'a fait rire en lisant la citation :

"Et le Français moyen/Se sentant enfin riche/
Achève son décor/Rustique et ses galops/Sur la desserte horrible/Il cloue entre ses biches/Un vilain Christ noir/A tête de taureau"

parce que ce n'est pas "son décor rustique et ses galops" mais "Ségalot" du nom d'un fabricant de meubles très "petit bourgeois" des années 50.

J'ai trouvé ça drôle, vu que je n'avais pas du tout compris non plus le sens de la phrase, jusqu'à ce que bien plus tard j'entende parler de la faillite de ces magasins dans les années 90 je crois. Une illumination! J'ai mieux compris les biches et le vilain christ noir.

Merci pour toutes les infos en tout cas!





The NOTORIOUS B.I.G.
READY TO DIE


Le 29 Septembre 2024 par BLUEMASK


Un grand classique du rap. On peut ne pas aimer le personnage, la sphère de branleurs gangsters misogynes gravitant autour (dont le fameux puff daddy de l’actualité du moment), mais il est difficile de ne pas succomber au groove contagieux de ce disque, au flow agressif et chaud de l’artiste et à sa vision d’un rap à la fois festif et identitaire. Superbe!





INDOCHINE
BABEL BABEL


Le 29 Septembre 2024 par VINCENT


Bonsoir,

Pour ma part, je maintiens que c'est un excellent album. Je n'avais pas autant accroché sur un album d'indochine depuis La République des Météors. D'ailleurs, les fans ne s'y sont pas trompés car toute la tournée a été 'sold out' en moins d'une heure.

Après chacun se fera sa propre opinion, mais j'invite vraiment toutes celles et ceux qui n'ont pas encore écouté cet album à le découvrir.

Après tout, le processus de création est quelque chose de très personnel et Indo se savait attendu au tournant après 7 années sans album original (hormis nos célébrations).

Respect pour ce groupe.





MODERN EON
FICTION TALES


Le 29 Septembre 2024 par K-ZEN

Merci Richard !

Tu as raison, ce projet est vraiment unique en son genre. J'étais d'ailleurs étonné que tu ne l'aies pas déjà traité :)





Christina AGUILERA
CHRISTINA AGUILERA


Le 29 Septembre 2024 par RICHARD


Ce qu'on a pu en manger en 1999-2000, de ce "Genie In A Bootle" ! Ceci en fait presque pour moi un traumatisme auditif. C'est l'archétype du disque pour enfant - ado de la middle class américaine. Alors, certes, Aguilera a peut-être une belle voix, mais tout ceci est si balisé que l'ensemble en est tristement désespérant. Il n'empêche que j'en profite pour saluer la constance et la qualité des chroniques d'Archangel. Je ne connais pas un dixième des noms exposés par ma collègue, mais ses mots m'incitent toujours à aller sur le net. L'essentiel est sans doute là.





Christina AGUILERA
CHRISTINA AGUILERA


Le 29 Septembre 2024 par CLANSMAN57


Trouvé en occase, acheté, écouté une fois et offert à une intéressée.
Fantasme d'ado, le clip de "Dirrty"(sur l'album suivant je crois) y est pour quelque chose.





TEN YEARS AFTER
RECORDED LIVE


Le 29 Septembre 2024 par YAN LE COADOU


T.Y.A. n'était pas programmé pour jouer devant des stades et de grandes salles, mais I'm going home et le film Woodstock ont changé cela. Il suffit pour s'en convaincre de regarder les vidéos du groupe (bouton rouge, swing in 69 Germany) d'avant les années 70 pour le comprendre.
Alvin a dû faire évoluer son jeu tout en souplesse, basé sur un mix de blues et de jazz pour un son plus rock et satisfaire son nouveau public.
Ce qui m'a frappé le plus chez ce guitariste, c'est sa faculté à jouer très fort tout en gardant une maîtrise parfaite du son et une note claire, s'appuyant sur une section rythmique impeccable (écoutez "Leo Lyons" et "Ric Lee" sur l'album Watt).
J'ai eu l'occasion de le voir sur scène au début des années 8O, lors d'un festival en Bretagne, et au cours des années 90 dans de petites salles. Il jouait vraiment très fort en comparaison des groupes d'ouverture qui le précédaient.
Sa place de grand guitariste a été souvent contestée voire moquée par certains critiques. Ce dont je suis sûr, c'est qu'il a donné l'envie à de nombreuses personnes de jouer de cet instrument, et c'est bien là l'essentiel.
Ce musicien, influencé par Chuck Berry et Charlie Christian pour le style Jazzy, par les grands bluesmen et les attaques tranchantes de Steve Gallup, guitariste de Gene Vincent, a effectué un parcours irréprochable, jalonné par des enregistrements majeurs et sans jamais trahir ses racines.
Alvin Lee n'était pas un novateur, mais il a su mixer ses infuences et y apporter son propre style, et souvent très bien entouré après son parcours avec le T.Y.A.





INDOCHINE
LE CHANT DES CYGNES


Le 29 Septembre 2024 par RICHARD


@LE VIEUNE, Quel bien fou de lire ce type de propos pour cet album quelque peu oublié ! C'est dommage, car il est sans doute avec 'Le Baiser' le plus abouti musicalement de toute la carrière d'Indochine. On pourrait croire que je suis l'avocat de Dominik Nicolas ici et là dans mes chroniques, mais ces 9 neuf titres sont pourtant en effet l'occasion d'exposer son talent où se conjuguent facilité mélodique et diversité des ambiances. Il suffit de se pencher sur 'La Machine à Rattraper Le Temps' (version longue, encore meilleure) pour le constater sans difficulté. Quant à la voix de Nicola, plus poussive que jamais, elle gâche quelque peu l'ensemble, c'est certain. Le tir sera rectifié avec 'Le Baiser' où aux qualités musicales habituelles viendront cette fois-ci se placer une voix plus mesurée. Ce sera un grand disque Pop. Quant à 'Tes Yeux Noirs' (version longue encore une fois), elle est tout simplement hors-sol.





URIAH HEEP
WONDERWORLD


Le 28 Septembre 2024 par MASTERFAN


A partir de WONDERWORLD, 7ème album de Uriah Heep en 1974, j’ai toujours pensé que le groupe a brûlé les étapes et commis une erreur stratégique. Plutôt que de sortir un album par an, voire deux, le Heep aurait dû n’en sortir qu’un tous les deux ans, en prenant à chaque fois le meilleur de chaque, afin de pouvoir affermir sa légende et moins « diluer » son œuvre.

« Wonderworld » l’éponyme fait penser à du Bowie de l’époque, ce qui n’est pas rien. S’en suit « Suicidal man », rock plus conventionnel avec un Gary Thain au mieux de sa forme (ça ne durera pas) à la basse. « The shadows and the wind » monte progressivement en intensité pour finalement se terminer par une partie vocale entraînante et bien heepienne. Même lorsque les couplets (voire les refrains) sont moins bien, le groupe trouve toujours le moyen de nous faire dresser l’oreille par des petits breaks ou autre ponts bien aguichants, c’est le cas pour « So tired », par exemple. Ken Hensley a pris l’habitude de nous sortir sa ballade à chaque album, j’aime bien celle de WONDERWORLD, « Easy road ».

L’autre face commence par le single « Something or nothing », qui ne sera pas leur meilleur. « I won’t mind » tente de s’inspirer de la rythmique de « Dirt » des Stooges, ça ne démérite pas mais c’est beaucoup moins réussi, il faut bien le dire. « We got we » ne restera pas non plus à la postérité malgré un refrain plutôt sympa. Il faut arriver au dernier morceau, « Dreams », pour parvenir à quelque chose de vraiment consistant.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Wonderworld, The shadow and the wind, The easy road, Dreams. PLAISANT (3,5) : Suicidal man, So tired, something or nothing. INTERESSANT : I won’t mind, We got we. Bilan 3,61et Top 5 à 3,90 : WONDERWORLD cote pour moi 3,76 soit 15,04 / 20.

Pour un groupe rentré « à poil » en studio, dans des conditions difficiles, avec des addictions diverses ou encore des manager et producteur cupidement zélés, on ne peut qu’être étonné du résultat final qui se révèle loin d’être catastrophique et même très digne. Par contre, on peut oublier le pied pris à l’écoute des précédents crus.

Pas de quoi pavoiser du côté B-sides non plus avec « What can I do » (3), Love, hate and fear (2,5) ou Stones Throws (3) qui ne seront à jamais que des seconds choix. La période 74-75 s’apprête à être un peu difficile avec l’accident subi par Gary Thain, mais le Heep saura garder le cap.

Eval exacte 3,5






INDOCHINE
LE CHANT DES CYGNES


Le 28 Septembre 2024 par LE VIEUNE

@Nono : "7000 Danses" reste un des meilleurs disques d'Indochine, musicalement superbe, taré hélas dans des moments par la voix de Nicolas Sirkis quand elle monte et force vers les aigus.

De l'album, "3", j'aime "Tes Yeux Noirs".





Katy PERRY
143


Le 28 Septembre 2024 par LE VIEUNE

Hum... J'ai regardé son clip supposé "féministe" de "Woman's World" dont les auteurs seraient de sexe masculin, d'après des commentaires lus sur la page TuTube. Bref, j'ai toujours trouvé cette chanteuse aguicheuse vulgaire avec ses maquillages luisants comme camouflant une hygiène douteuse.

Un clip qui est dit satirique selon la Katy avec de l'humour gras et des gros lolos en gros plans (soupir). Cette chanteuse est foutue. Wonder Woman ici ? Non, Vulgar Woman plutôt et depuis longtemps.





Bob SEGER
AGAINST THE WIND


Le 28 Septembre 2024 par YAN LE COADOU


Tiens! Je ne l'ai pas écouté celui-là depuis un bon moment. Il faut que je le recherche dans le fatras de mes CD.
Ecoutez un titre comme "Against the Wind" et vous comprendrez que vous êtes là devant un petit bijou.





Mylene FARMER
ANAMORPHOSEE


Le 28 Septembre 2024 par SEB


"Anamorphosée", qu'on considère comme l'album de son accomplissement. Celui qui souligne l'arrivée à une maturité artistique personnelle. Pour moi, il traduit aussi à ce moment une volonté de Mylène d'explorer d'autres horizons. Comme elle essaiera de le refaire plus tard, cette fois en Électro-bouillasse-popcorn pour suivre ses copines du show-biz généraliste, mais malheureusement avec beaucoup moins de réussite, je trouve que cet album explosif sus-nommé...

La 'Farmer/Boutonnat Company' se relevait à peine d'une baffe monumentale avec l'échec de Giorgino (ouh ça fait mal), et rien de tel qu'un changement d'air salutaire pour éclaircir les horizons ! Et apparemment, les United States chères au coeur de la rousse Canadienne avaient cette fois bien inspiré une Mylène revencharde, qui surprend par ce virage où les guitares vibrent bien et ont droit aux partitions sur certains titres ("California", "XXL" par exemple) et ma foi tant mieux ! Il n'y a aucun titre faiblard, pas de texte bâclé, musiques imparables et un album franchement orienté pop/rock (une nouveauté dans l'univers de l'artiste) qui aura bien tranché dans le vif ! C'est à coup sûr un 'Magister Record' dans la carrière de Mymy qui en offrira par la suite de belles prestations live... Mention spéciale à mon préféré de ce caviar Farmerien "California" !

Franchement, rien à dire et à redire, un sans-faute ! Dommage que ce rocking virage ne fut pas réitéré par la suite car l'essai était plus que réussi ! Mais qui sait ?





Robert PALMER
SOME PEOPLE CAN DO WHAT THEY LIKE


Le 27 Septembre 2024 par COYOTE DE L'ESPACE


Moi, je l'aime encore bien, cet album. Bon, ce n'est pas exceptionnel, mais il est agréable à écouter, calme, sans prétention, parfois un peu trop "banal", sans rebond, sans prise de risque. C'est un peu ça, son gros défaut, mais à part ça, il n'y a pas de morceaux bouche trou. Bref, il n'y a pas de passage réellement ennuyeux, sans toutefois être exceptionnel.





Phil MOGG
MOGG'S MOTEL


Le 27 Septembre 2024 par YAN LE COADOU

L'un des meilleurs chanteurs du hard-rock mélodique avec celui de LED ZEPPELIN, des WHO et de DEEP PURPLE, véritable initiateur et référence du genre.
Phil Moog en est le Rod STEWART de ce genre musical, peut-être aussi dans la lignée d'un groupe comme WISHBONE ASH.
Je ne connais pas cet album, mais j'ai découvert UFO à travers l'excellent "Force It" paru au milieu des seventies.





Mylene FARMER
DANCE REMIXES


Le 27 Septembre 2024 par SEB


Ça, c'est de la pochette ! Pose TRÈS suggestive, elle affichait tout ce que la loi lui permettait d'afficher. Force est de constater qu'elle n'est pas vilaine, la fermière. Alors qu'elle s'apprêtait à 'prendre des couleurs' sous les projos d'un tournage au milieu des paysages enneigés, Mylène sortait l'album "Dance remixes", sa jolie lettre d'excuses pour son absence qui devait se prolonger encore un peu avant son nouveau projet discographique. Car le cinéma avait pour l'instant priorité ! Et pas pour le meilleur. Serais-je le seul à avoir vu des extraits de Giorgino à l'époque et à m'être félicité de ne pas claquer de pognon pour voir ça au cinoche ?

Il a beaucoup tourné sur mes platines, ce double cd. Sans être exempt de tout reproche, je ne lui trouve au final pas de faiblesse : les instrumentations sont assez fidèles aux versions originales, les arrangements permettent de travailler les morceaux différemment sans les déstructurer à aucun moment ("We'll never die" par exemple, pas mal du tout) ! Parfois, il faut bien avouer que certains spécialistes du genre s'en donnent à coeur joie aujourd'hui avec un simple log pour littéralement décomposer un morceau complet, l'éclater piste par piste, et remixer certaines bribes dans une nouvelle ligne rythmique pour assembler la mouture ! Et au final, ça n'a plus rien à voir ! Parfois, ça matche bien quand c'est bien fait, parfois ça foire lamentablement.

Ici pas de tout ça. Les titres sont connus, tout est millimétré. Même remixés, ils restent dans le style artistique proche des originaux, on les reconnaît très rapidement, et pour certains titres ce sont juste des genres de versions longues, comme "Ainsi soit-je". Le tout reste bien homogène au fond, sans surprise. Et c'est peut-être là le reproche que je ferais à ce "Dance Remixes" : pas de surprise. Une forme de prise de risque minimale. Oh pas que je voulais absolument écouter des titres Farmeriens massacrés à la presse hydraulique ! Mais certains ("Libertine", "Tristana"...) auraient peut-être gagné en profondeur et en dynamique s'ils avaient été sortis un peu des sentiers tranquilles de leurs partitions.

Cela dit, pour avoir souvent fait tourner ce "Dance remixes" ça reste très agréable à l'écoute, je trouve et, à défaut de remix intégral pur et dur on pourrait plutôt le catégoriser comme un genre de bon petit best-of amélioré. Je le considère comme tel.





MARILLION
SOUNDS THAT CAN'T BE MADE


Le 27 Septembre 2024 par MASTERFAN


SOUNDS THAT CAN’T BE MADE est le seizième album de Marillion en 2013 si on ne tient pas compte de l’intermède acoustique (Less is more) qui a suivi HAPPINESS IS THE ROAD. Il est moins fourni que ce dernier, mais suffisamment riche en climats pour nécessiter plusieurs écoutes attentives avant de pouvoir donner un quelconque avis.

Le titre introductif « Gaza », fait plus de 17 minutes. ‘It just ain’t right’, c’est sûr, Steve, tu as raison. Je ne sais pas si on doit plus retenir la compassion sur un sujet déjà grave en 2013 (et bien avant!) ou un certain opportunisme de Marillion là-dessus. Politiquement, c’est correct, textuellement c’est bien écrit, musicalement, ça oscille entre le réussi et le parfois long. Le groupe a peut-être vu un peu trop grand et aurait certainement gagné à moins diluer la chose (notamment ces 4 minutes inutiles au milieu du morceau).

Le motif introductif de « Sounds that can’t be made » revisite celui de « This is hardcore » de Pulp en 1998. Bon feeling, après le titre n’est pas de ceux qui tiennent le mieux les réécoutes. Le gentillet « Pour my love » non plus, le début ayant le défaut de me rappeler ce truc chiant des années 80, comment ça s’appelait déjà… Simply Red ?

Avec « Power », on revient sur du Marillion plus pop et un vrai refrain qui percute. Nouveau moment prog très long, le voyage au coeur de « Montreal » alterne classiquement lui aussi des passages très bons et d’autres où on s’ennuie. « Invisible ink » est plus trivial : ça devient décidément une habitude un peu fâcheuse de devoir se taper le début pour mériter une fin un poil plus intéresante.

Il faut atteindre la piste 7 pour avoir enfin un morceau quasi-continuellement puissant, c’est « Lucky man », il était temps. Et pour finir un « The sky above the rain » plutôt agréable. Voilà, y a plus qu’à demander l’addition.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Lucky man. SEDUISANT (4) : Power. PLAISANT (3,5) : Gaza, Sounds that can’t be made, Montreal, The sky above the rain. INTERESSANT (3) : Pour my love, Invisible ink. Bilan 3,56 et Top 5 à 3,80 : SOUNDS THAT CAN’T BE MADE cote pour moi 3,68 soit 14,72 /20.

Cet album globalement plaisant à défaut d’être excitant me rappelle un peu l’esprit et la qualité d’AFRAID OF SUNLIGHT. Les gars font le job avec maîtrise mais sans grande surprise. On se contentera de ça.





NEW RIDERS OF THE PURPLE SAGE
POWERGLIDE


Le 26 Septembre 2024 par TOMMY_CALE


Les NRPS sortent ce deuxième album Powerglide de 1972, et se montrent bien plus convaincants par rapport à leur premier oeuvre. Si Jerry Garcia qu'on le retrouve sur un morceau au banjo avait un jeu de steel guitar standard, le virtuose Buddy Cage (quelle classe il avait) qui débarque à sa place démontre - lui - que cela est son poste de prédilection et nous régale de ses soli. La vraie valeur ajoutée réside là, le piano (peu présent sur le premier album) de Hopkins donne également de l'épaisseur aux titres et les compos sont plus accrocheuses grâce à l'apport d'autres auteurs (Torbert et Dawson en plus de Nelson) et de certaines reprises réussies (excellents I Don't Need No Doctor et Willie and the Hand Jive). Produisant un son plus countrysant et cool, le groupe détient ici son meilleur opus. Parmis les originaux, Contract et California Day sont ceux qui se démarquent.
Note quelque part entre 3 et 4.

Hommage à Eric.







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