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The BEACH BOYS
STILL CRUISIN


Le 23 Septembre 2024 par FOUDROCK


Cette salo*erie de "caca mou"... Une des pires chansons de l'Histoire de l'Humanité depuis la bataille de Bouvines. Me donne envie de vomir à chaque fois.





YES
OPEN YOUR EYES


Le 22 Septembre 2024 par FREDDYROTTEN


Merci beaucoup Baker, car tes propos résument parfaitement mon sentiment pour cet album. Il fut clairement le premier album de trop de leur discographie (et malheureusement pas le dernier). Déjà, le deuxième volume de "Keys to ascencion" me semblait poussif. Mais là, Yes est passé en mode "roue libre", et ça sent sent vraiment..





INDOCHINE
BABEL BABEL


Le 22 Septembre 2024 par RICHARD

Merci Vincent pour votre retour mais c'est aussi la richesse de la musique que de ne pas être d'accord et heureusement qu'il en est ainsi. Je crois néanmoins que le pire qui soit arrivé à Indochine et je le souligne dans ma chronique est ce principe de consensus mou qui enveloppe désormais le groupe. Parce qu'il a 40 ans d'existence, ses productions si elles ne sont pas dignes d'intérêt sur le plan artistique sont obligatoirement dignes de considérations au vue de sa carrière. C'est pour moi une forme de paresse. D'ailleurs, pour Babel Babel, il est très difficile de trouver un article de presse qui s'exprime réellement sur l'album et non sur le parcours du projet de Sirkis. C'est très révélateur. Un exemple vaut parfois mieux que mille mots. Le morceau qui sonne comme la quintessence d'Indo tant sur le plan des mots que des notes est 'Girlfriend'. Il a été écrit et composé il y a plusieurs mois par Marion Brunetto de Requin Chagrin. Moralité, Brunetto sonne plus Indo qu'Indo. Un comble.





GAZPACHO
NIGHT


Le 22 Septembre 2024 par MR TINKERTRAIN


Le premier opus de la trilogie ultime du Néo prog.... Marillion n'y pourra rien.





Daniel BALAVOINE
LES AVENTURES DE SIMON ET GUNTHER...


Le 22 Septembre 2024 par NADINE

Remarques sur la chanson "Ma Musique, c'est mon patois" : en effet, cette chanson débute par un air à la "Dreamer" de Supertramp. Elle est aussi dotée d'un final à la "Sugar Baby love" des Rubettes.





INDOCHINE
BABEL BABEL


Le 22 Septembre 2024 par VINCENT


Bonsoir,

Je souhaitais vous en dire un peu plus sur l’album « Babel Babel » et partager mes impressions.

Indochine a nommé son 14ième album studio « Babel Babel » référence biblique à la tour de Babel reliant le ciel à la terre, l’humanité au divin. Voilà qui donne un côté mystique, presque sombre, comme un air de fin du monde souligné par la pochette de l'album.

Le titre « Showtime » qui ouvre l’album balaye immédiatement cette atmosphère pesante. On est là face à un titre taillé pour les dancefloor. Le contraste avec la pochette de l’album est saisissant. Ce titre est une sorte d’ovni et tranche radicalement avec le reste de l’album.

Pour la suite, on revient en terre connue même s’il faut l’avouer cet album est assez dansant, suscitant une envie irrépressible de taper du pied. De ce point de vue, c'est une réussite. Chaque titre est accrocheur et séduit dès la première écoute. Certains diront que le groupe a céder à la facilité mais je ne partage pas cette opinion.

Cet album est tout simplement « solaire », une sorte d’hymne à la vie, résolument optimiste. Il nous invite à affronter nos peurs et à aller de l’avant malgré le chaos qui règnent dans le monde à l’image des titres « La vie est à nous » ou encore « les nouveaux soleils ».

Mais cet album est aussi un hymne à l’amour, l’amitié tels les titres « ma vie est à toi » ou encore « no name ».

Certaines chansons sont un peu plus intimes. Je pense à « L’amour Fou », sorte de comptine pour enfant dans laquelle Nicolas parle de sa paternité. « Seul au paradis » se veut un clin d’œil à son frère Stéphane mort d’une hépatite foudroyante en 1999.

« Annabelle Lee », inspiré du poème d’Edgar Poe du même nom, évoque la mort et la finitude inéluctable de nos vies. Ce n’est pas la première fois que Nicolas fait référence à des écrivains. Je pense notamment au titre « des Fleurs pour Salinger »sur l’album le baiser sorti en 1990.

« Victoria » avec son rythme martial dénonce l’absurdité de la guerre et fait allusion en toile de fond au conflit en Ukraine.

« Sanna sur la croix » salue le courage de Sanna Marin première ministre finlandaise jusqu’en 2023 qui a tenu tête à Vladimir Poutine. Nicolas salue son courage.

Même si ce disque est résolument électro-pop, certains morceaux sont un peu plus rock à l’image de « Babel Babel » ou « Tokyo Boy ». Les guitares sont un peu plus appuyés. D’ailleurs « Babel Babel » commence par une intro électro puis nous balance son gymnique de guitare. Ce titre me fait penser à « l’aventurier » d’une certaine façon.

Outre « Showtime » dont j'ai parlé un peu plus haut, un autre titre se démarque du reste de l’album, c’est « la belle et la bête » avec son rythme reggae.

On notera également la présence de cuivres sur les titres « Victoria » et « Annabelle Lee » qui apportent une certaine chaleur et une couleur particulière à ces deux morceaux, un peu comme pouvait le faire le saxophone de Dimitri dans les années 80.

Ce 14ième opus est assez éclectique finalement, très dense. Cela foisonne de toute part.
Les mélodies composées par Olivier Gérard font mouche à chaque fois même si il y a des morceaux un peu plus faibles tels que« En route vers le futur » ou encore « Girlfriend ».


Mais avec 17 titres et près d’1h30, Indochine a placé la barre haut et on saluera la performance du groupe qui nous propose un album honnête et d’excellente facture.










PARIS HILTON
INFINITE ICON


Le 22 Septembre 2024 par CLANSMAN57


Bon, elle a bien le droit de faire de la musique si elle en a envie, mais ça ne passe pas, malgré la présence de Sia. Peut-être que c'est purement psychologique, car cette "star" fait partie des plus insupportables me concernant.
Franchement, elle n'a jamais eu aucun talent... Pourquoi tant de foin pour une telle personne? Comme Nabilla chez nous, à titre d'exemple... Il suffit de dire des conneries pour être célèbre. C'est sans doute un talent qui m'échappe.
M'enfin, si son album cartonne, tant mieux pour elle et merci à son équipe.

Icône(s) de rien du tout en ce qui me concerne.






Harry NILSSON
DUIT ON MON DEI


Le 21 Septembre 2024 par I AM THE GROWL


Pourvu d'une pochette assez géniale où l'artiste nargue sa propre maison de disques, ce NILSSON-là est un bon cru qui suit avec plus de légèreté les moments crus du précédent "Pussy Cats". Sa voix est toujours cassée des abus récents mais il sait toujours s'amuser. La présence de Van Dyke Parks parmi les musiciens doit avoir joué sur les influences caribéennes omniprésentes ici - les marimbas et les steel drums viennent égayer les compositions déjà joyeuses, à l'exception de l'ultra-morose "Easier for Me", dans la lignée de "Black Sails". Certes, la joie s'accompagne en permanence d'une forme de "gentil" sarcasme chez Nilsson. Mais c'est ce qui rend l'artiste et ce disque intéressants !





URIAH HEEP
SWEET FREEDOM


Le 21 Septembre 2024 par MASTERFAN


On attendait le Heep au tournant en 1973, après une année 1972 incroyable pour le groupe, voilà donc que débarque ce 6ème album SWEET FREEDOM, à la superbe pochette rouge coucher de soleil.

Pour une fois, le morceau d’ouverture n’est pas une tuerie, ça fait tout drôle. « Dreamer » est simplement « pas mal », ce qui suffirait largement à beaucoup de groupes, mais c’est un peu léger pour une ouverture du Heep. « Stealin’ » et son fameux « Ouh-ouh, ouh-ouh, ha ha ha », plus dans les standards hauts du groupe (et considéré lui comme un « classique »), aurait certainement dû le précéder pour simple raison de capacité d’appel du disque, même si ce morceau n’est pas selon moi le sommet de l’album. « One day » et son intro très ‘heepienne’ l’égale déjà largement.

Le superbe « Sweet freedom », encore un classique du groupe (quelle basse!) nous renvoie aux ambiances épiques de DEMONS AND WIZARD. tout comme le raffiné « If I had the time » qui le suit. « Seven stars » assure aussi, dommage juste cette fin un peu bizarre. « Circus » change complètement d’ambiance et vient un peu casser la dynamique de l’album, comme « Rain » l’avait fait sur le précédent.

Heureusement, il reste un morceau, « Pilgrim », et quel morceau. Je n’ai pas déjà de mot pour cette intro magique qui me laisse cloué sur place à chaque fois. Musicalement, tout est exceptionnel, jusqu’au bout. Mélodiquement, seul le début du couplet est peut-être très légèrement en deçà (et encore), ce qui est compensé par la suite par une performance prodigieuse du chant. Une fin magistrale pour un album de très grande qualité.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Pilgrim. DELECTABLE (4,5) : Sweet freedom. SEDUISANT (4) : Stealin, One day, If I had the time. PLAISANT (3,5) : Dreamer, Seven stars, Circus. Bilan 4 et Top 5 à 4,30 : SWEET FREEDOM cote pour moi 4,15 soit 16,60 / 20.

SWEET FREEDOM n’a pas perdu grand-chose par rapport aux précédents disques (à part la moustache de Mick Box). Très cohérent, il m’apparaît même supérieur au précédent THE MAGICIAN’S BIRTHDAY, d’autant qu’il y a encore une autre petite gâterie dispo, « Sunshine » (4) offerte en bonus track. A consommer donc sans modération.





YES
OPEN YOUR EYES


Le 21 Septembre 2024 par BAKER


Un des plus épouvantables disques de ma pourtant rutilante collection.

Des Sabrina, des Modern Talking (hurgh !!!), des Glenn Medeiros sonnent mieux et avec plus de créativité que cet abominable salmigoulis de sons pourris, de fautes de goût inacceptables, de paroles atroces, de mélodies fûmeuses et, pire, de tentatives de 'breaks prog à la 80s" foirées de la tête aux pieds.

Ce n'est pas nul pour un album de Yes, ce n'est pas minable pour "un album d'un groupe de prog", c'est pathétique tout court, peu importe d'où ça vienne.

Vous avez détesté, haï, conchié "In The Hot Seat" de ELP ? Vous n'avez encore rien entendu.





Lou REED
ROCK 'N ROLL ANIMAL


Le 21 Septembre 2024 par BLUEMASK


Au lycée, mon premier amour s’appellait Nathalie. Elle etait pas specialement belle mais avait un charme fou, elle était naturelle, un peu garçon manqué et j’étais raide dingue. Ma première fois était avec elle et je me souviens encore de la douceur de mon premier téton, contre un poteau dans ma rue. Mais un soir, à une soirée dont j’ai tout oublié, elle est venue avec des copines et s’était maquillée, avait mis une robe, des talons, avait fait un bordel dans ses cheveux. Tout le monde la félicitait. Elle était manifestement plus belle aux yeux des autres, plus sophistiquée… Moi, j’étais plus mitigée. Oui, elle était belle… mais différente ainsi aprêtée. Je lui trouvais moins de charme avec cette feminité presque caricaturale.
C’était son soir ‘Rock n’roll animal’





Harry NILSSON
PUSSY CATS


Le 21 Septembre 2024 par I AM THE GROWL


C'est foutraque comme les évènements autour du disque (le divorce de Nilsson, la séparation de Lennon, les tromperies qui ont mené Starr à virer sa femme...), et complètement désespéré, mais c'est beau. "Don't Forget Me", c'est du Céline DION dans le lyrisme, sauf que c'est noyé sous l'alcool, et c'est extrêmement poignant. Pour la noirceur pure, y a "Black Sails"(JOY DIVISION ne s'est jamais approché de ces ténèbres-là). Sur tout le reste, souvent des reprises, Nilsson balade ou hurle ce qu'il lui reste de voix. Jimmy CLIFF est repris avec hargne et désespoir, une fois encore. "Save the last dance for me" est détourné de son sens initial, joué sur un rythme carré, raide, pas propice du tout à la danse joyeuse. "Loop de Loop" et "Rock Around the Clock" sonnent kamikazes. Chef d'œuvre involontaire.





ROXY MUSIC
ROXY MUSIC


Le 21 Septembre 2024 par IRMA BARBE RAICHE


On en dit tellement de bien de ce "fameux" premier album de Roxy Musics, que je l'ai écouté, connaissant les suivants, je reste sur ma faim, je m'attendais à bien mieux que ça, on sent bien la presence de Eno etc comme sur le suivant, mais c'est plus décousu ça part dans tout les sens et tout est moins bien construit, le groupe se cherchait encore même si le style était déjà établi.
Pour moi il est pas meilleur que For Your Pleasure, je dirais même plus lassant à écouter.






INDOCHINE
BABEL BABEL


Le 21 Septembre 2024 par ERWIN


Hey,

En réponse à Vincent : je suis moi même fan depuis 1983 et l'aventurier, qui revêt pour moi une importance considérable dans l'histoire du rock français, je pèse mes mots et j'assume : Rock !
Tu nous demandes de ne pas écrire de chronique si nous n'aimons pas l'album, mais cher camarade, il est de notre devoir d'écrire la chronique, que l'album nous plaise ou non, nous sommes plusieurs afficionados d'INDOCHINE dans l'équipe, j'aurai moi même mis un 1 a ce dernier album après avoir mis un 2 - très juste - à l'avant dernier.
Tu as parfaitement le droit d'aimer cet album mais force est de constater que la plupart des critiques sont attérées devant la nullité affligeante de cet album a notre sens, cela n'enlève rien a l'importance du groupe pour moi le premier groupe hexagonal. mais ton role de fan est de soutenir ton opinion dans les commentaires et d'argumenter bien entendu, c'est le jeu.

Bien à toi
Erwin





VAN HALEN
5150


Le 21 Septembre 2024 par NONO

@FEELGOOD : En effet; j'avais d'ailleurs oublié cette dualité Templeman / Landee, dans la production, qui avait d'ailleurs surgi durant les sessions de "1984"... Si je ne me trompe pas : Templeman voulait un son "heavy" intégral, sans (ou avec le moins possible) de claviers, alors que Landee voyait une évolution vers un rock plus "FM". C'est un fait qu'on oublie trop souvent, les gens pensant que tout était de la seule volonté d'Eddie, mais il y avait aussi la pression des producteurs... et celle de Roth ! Cela ne fait que confirmer le fait que pour "1984", même si l'album fut un triomphe, les conditions de son élaboration furent plus qu'inconfortable !





Bernie BONVOISIN
AMO ET ODI


Le 21 Septembre 2024 par THI

Chouette, une chronique sur le dernier album de Bernie.
Trust étant mon groupe préféré, je m'intéresse de près à la carrière solo du chanteur. Je connais ces 5 œuvres. Cependant, rien de grandiose.
"Amo et odi" est intéressant, bien joué, bien chanté. J'ai le même ressenti que le chroniqueur, ça pourrait être mieux, plus varié, plus clair (au niveau des textes).
Je relève une curiosité. Il y a le titre "Drôles De Gens" qui était paru chez Trust, sur l'album "Ni Dieu ni Maître", en 2000, retiré rapidement des ventes. C'est "drôle" de le retrouver publié officiellement.
Ca s'écoute, ce n'est pas désagréable, mais rien de transcendant.





Steve VAI
PASSION AND WARFARE


Le 21 Septembre 2024 par ELK

@ED VAN PETRUCCI
Bien d’accord avec toi concernant la place d’Yngwie (voir mes Kros Express sur le site). Si je ne l’ai pas cité (mea culpa), c’est probablement parce que je considère son ascendance plus européenne et son influence tout aussi prégnante sur le style des compos. Mais son impact est en effet immense. PS : bravo pour ton surnom.





YES
TALK


Le 21 Septembre 2024 par FREDDYROTTEN


"Talk" fait probablement partie des albums les plus sous-estimés de Yes. Et de la plus injuste des manières.

Les critiques avaient rapidement observé que le nom des musiciens ayant participé à l'enregistrement de "Talk" étaient mentionnés de manière plus évidente que le titre même de l'album. Quid de Wakeman, Bruford, Howe, ont-ils demandé? C'est sûrement ce qui a provoqué l'arrivée très inespérée (mais tout aussi discutable, avec le recul) de "Keys" un an plus tard.
Aux chiottes Rabin et Kaye, qui ont littéralement porté Yes durant les années 80? Trop facile pour ne pas être tellement évident.

Cela fait 30 ans qu'il ne se passe pas une seule année sans que je réécoute "talk" en regrettant tellement ce que le groupe est devenu par la suite, une fois l'effet "Keys to Ascention" dissipé. Une descente aux enfers digne de Gervaise et Coupeau se retrouvant à l'Assommoir. Rien que ça, voilà ce que représente Yes depuis 1995, à mes yeux.

Aujourd'hui, il est devenu facile de trouver sur le net des enregistrements audio corrects de la tournée de "Talk". Ces bootlegs révèlent le potentiel caché des compositions de l'album. C'est ainsi qu'on peut entendre Rabin au sommet de sa forme, singeant même Steve Howe à de nombreux moments avec une facilité déconcertante.
L'album comprend son ventre mou, évidemment, mais dont l'interprétation au rasoir demeure remarquable malgré tout.

Depuis, nous pouvons pleurer à chaudes larmes. Des titres comme "Changes", "Hearts", "Shoot High Aim Low", "I'm Waiting", "Talk" (bien entendu) ne seront plus jamais honorés sur scène. A la place, nous avons droit aux versions intégrales (et ralenties, simpifiées) d'albums entiers en concert. Ventre mous compris.

Je me demanderai toujours ce que Yes serait devenu sans l'idée saugrenue de reformer le line-up soi-disant classique (mais sans Bill Bruford tout de même) en 1995.
Je me souviens comme si c'était hier de l'effet que cette reformation a eu pour moi. Mais qui a fait rapidement un gros pschiiiiit, même pas délicat. A la limite, pourquoi ne pas avoir proposé une alternance entre les deux line-up, et donc on aurait eu un "Open your eyes" enregistré avec la bande de "90125", j'imagine. Ou pas, qui sait. En attendant, 30 ans plus tard, je regrette tellement que "Talk" n'ait pas eu de vraie chance et encore moins de vraie filiation.
Mais quid de "Close to the Edge"? de "Awaken"? de "Heart of the Sunrise"? De toute façon, Steve Howe ne sait plus jouer la partition de ces titres depuis un moment. On n'aurait vraiment rien perdu.

PS: je n'oublierai jamais Peter Banks, Chris Squire et Alan White. Merci d'avoir participé à mon éducation musicale, les gars !





Mylene FARMER
AINSI SOIT-JE


Le 21 Septembre 2024 par SEB


"Ainsi soit-je", un album de référence de Farmer, tout comme plus tard "Anamorphosée" qui sera celui de son apogée artistique.

Bien qu'aujourd'hui je ne sois plus un inconditionnel de Mylène, à l'époque je le passais quasi tous les jours. Ma petite amie de l'époque l'adorait. On avait fait un spectacle de fin d'année au collège avec son tube "Sans contrefaçon" et sa chorégraphie de ouf... Bref, je le connais quasi note par note. Tant et si bien que j'en suis aujourd'hui un peu dégoûté. Je ne lui trouve aucun défaut, textes à nouveau soignés, mélodies accrocheuses, des tubes mémorables devenus des classiques de Mymy, la reprise de Gréco osée mais une appropriation réussie, sans compter quelques perles et bijoux comme le dark "Jardin de Vienne", "Allan" ou encore la fameuse et sulfureuse "Farmer's Conclusion", un titre où ça cochonaille sec.

Oui, une 2ème livraison de très haute volée, confirmant une énorme période de succès !





Steve VAI
PASSION AND WARFARE


Le 20 Septembre 2024 par MR TINKERTRAIN


Novateur et profondément chiant à part 3 titres, le reste est cliché et redondances... Steve Vai est un des guitariste le plus surestimé du Rock.







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