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LED ZEPPELIN
II


Le 07 Février 2011 par JEAN JACQUES


J'ai toujours préféré le 1er ZEP. Ne me demandez pas pourquoi, je n'en sais rien, une simple affaire de goût, sans doute.
L'âge faisant, ce sont les morceaux les plus calmes du ZEP qui me plaisent le plus ("What is...", "Lemon song", "Thank you"...). Mais tous les morceaux méritent le détour, même si les deux plus connus ("Whole..." et "Heartbreaker"), et bien, ce sont eux que je zappe pratiquement systématiquement. Trop écoutés ou quoi... Je ne sais pas ! La musique du ZEP est en tout cas bien plus fine que ce que l'on peut penser au travers de l'écoute des deux pré cités.







LED ZEPPELIN
II


Le 07 Février 2011 par DARK SCHNEIDER


Autant je trouve les premiers albums de DEEP PURPLE sous-estimé, autant je trouve ce II très, très surestimé.
Le 1er Zeppelin était une claque monumental pour son époque, j'ai l'impression que sur ce 2nd opus le groupe se repose sur ses lauriers, ronronne son blues-rock puissant pompé à droite à gauche. Alors certes, "Whole lotta love" reste un putain de classique, mais il est bien seul sur ce disque, "Heartbreaker", voire "Mobby dick", essayent plus ou moins d'égaler son statut. Mais que je m'ennuie sur la plupart des autres titres blues-rock (ou hard bluesy)! Alors oui, Robert Plant est un chanteur immense, mais quand les compos ne suivent pas il a bien du mal à transcender leur platitude. Et pourtant cet album j'ai essayé, et reessayé, mais rien à y faire, il m'ennuie.

Le début de la chronique évoque les ROLLING STONES, et bah justement, je trouve les Beggar's banquet et autre Let it bleed bien meilleur que ce disque. Les STONES n'étaient pas des virtuoses, mais à cette époque là ils savaient écrire des chansons!





LED ZEPPELIN
II


Le 07 Février 2011 par TERRY


Chef d'oeuvre ! Même si ça n'a jamais été mon préféré du Zep' (je préfère amplement le quatrième sans nom), et même si, à force de l'écouter, je m'en suis un peu lassé. Et même si le dernier titre (et aussi le 6ème) est faiblard. Et même si la prise de son est la moins bonne pour un album du groupe (mais les conditions d'enregistrement, divers studios pendant une tournée, y est pour pas mal).





The ROLLING STONES
EXILE ON MAIN STREET


Le 06 Février 2011 par STARSHOOTER 35


Hey ! Le voici, le voilà, le disque préféré des critiques rock BCBG : j'ai nommé "Exile On Main Street" des ROLLING STONES ! Un peu d'Histoire, avant tout... 1971. Désireux d'échapper aux méchants contrôleurs fiscaux, Jagger et ses copains quittent leur Angleterre chérie afin de s'installer dans une villa du sud de la France. A l'intérieur de cette baraque où règnent la bibine et l'héroïne, nos lascars enregistrent leur seul double-album dans la cave humide qui leur sert de studio. Marqué par des influences nord-américaines aussi diverses que le blues, la country ou le gospel, le produit en question sort en mai 1972. Eh bien, en tant qu'admirateur des STONES, je dois dire que mon avis est mitigé sur "Exile"...

Parce que pour moi, c'est vraiment un album fourre-tout : 18 titres, c'est énorme, et le disque alterne entre temps forts malheureusement peu nombreux et beaucoup de compositions trop similaires à mon goût... "Rip This Joint", "Torn And Frayed", "Turd On The Run", "All Down The Line" ou "Soul Survivor" s'inscrivent dans ce registre-là. Le riff de "Shake Your Hips" se rapproche d'un certain classique de ZZ TOP (à vous de deviner lequel...), tandis que la session vocale de "Casino Boogie" est plutôt un flop. "Loving Cup" est une ballade qui a mal vieilli, "I Just Wanna See His Face" et "Stop Breaking Down" sont des espèces de trip bluesy assez dispensables...
Mais il y a quand même des temps forts, comme je l'ai dit : le premier titre, "Rocks Off", est excellent : ça swingue de tous les côtés, le groupe se surpasse véritablement sur ce morceau. "Tumbling Dice" est entraînant, avec son refrain inspiré et une partie chorale absolument réjouissante. "Sweet Virginia" sent bon la country américaine, "Sweet Black Angel" et "Ventilator Blues" étant deux p'tites compos bien sympathiques. Ceci dit, le meilleur morceau d'"Exile" est pour moi "Happy", qui, en plus d'être chanté par ce bon vieux Keith Richards, bénéficie d'une rythmique excitante et a le mérite de nous rendre vraiment... happy, quoi ! L'autre perle de ce disque est, pour finir, "Let It Loose". Intimiste, cette chanson s'impose comme un gospel étonnant et nous transporte littéralement. Voilà (soupir)...

Franchement, je comprends vraiment pas tout le battage que l'on fait autour d'"Exile On Main Street" (1972). Ce double-album a le don de proposer moult influences musicales s'alliant au rock 'n' roll, mais c'est quand même un disque bâclé. La production de Jimmy Miller est loin d'être réussie, même les membres du groupe disaient que la musique était pas bonne... Y a du bon, mais je m'attendais quand même à quelque chose de plus sensass. Un disque un peu surestimé par tout le monde, je trouve. De toute façon, chroniquer un album des ROLLING STONES n'est jamais chose facile...

Morceaux favoris : "Rocks Off", "Tumbling Dice", "Happy", "Let It Loose".

P.S. : En revanche, la réédition de 2010 vaut le coup d'oreille, car plus réussie niveau son.





SCORPIONS
FLY TO THE RAINBOW


Le 06 Février 2011 par DARK SCHNEIDER


Totalement en accord avec le chro de Gegers. Ce n'est que leur 2ème album, et peut-être sans doute leur véritable 1er album, et SCORPIONS s'impose déjà, étincelant de classe. Leur Hard Rock 70's encore teinté de psychédélisme est terriblement touchant. Oui je dis bien touchant. SCORPIONS était alors un groupe très porté sur l'émotion, la mélancolie était indissociable de leur musique. Evident sur le très mélodique "This my song" et bien sur l'énorme "Fly to the rainbow". Uli Jon Roth est formidable de feeling : certes très inspiré par Hendrix, mais il a une approche beaucoup plus mélodique et virtuose que ce dernier. L'on peut regretter qu'il choisisse parfois de prendre le chant à la place d'un Klaus Meine bien meilleur, mais ce léger défaut ne tue pas les morceaux concernés, et ça apporte une grande variété à l'album.

La prod bien d'époque est excellente, ah c'est sûr que le gros son n'est pas de mise mais j'adore son côté rapeux et organique. Pour moi c'est tout simplement joussif.
En 7 titres, le groupe ne peut pas se planter. Un bon 5/5, car des albums avec une telle qualité de composition il y en a finalement peu. Mon préféré de l'ère Roth avec Taken by Force.





NOIR DéSIR
ONE TRIP ONE NOISE


Le 06 Février 2011 par EL PACHENKA


Je n'aime pas particulièrement le remix de Treponem Pal pour "One Trip/One Noise" (la déception de l'album "Higher" y pousse certainement). "Lazy" (que ce morceau est chiant!), semble meilleur dans la version plus indus-mélancolique que l'originale énervée. Je suis d'accord en ce qui concerne le "666 667 Club" de Tilo qui est vraiment trop long. La touche de Franz Treichler (The Young Gods) est reconnaissable si on a écouté l'album instrumentale "Heaven Deconstruction", tout comme celle de Sloy pour "Les Ecorchés" qui a probablement influencée les bordelais à jouer le titre différemment en concert. Les versions de "Oublié", "Lolita Nie En Bloc" et "A Ton Etoile" m'avaient surpris agréablement la première fois et des deux "Tostaky", ma préférence va toujours pour le remix de Gus Gus.

Un disque dispensable pour les uns, un disque intéressant pour les autres.





Antonio VIVALDI
LES QUATRE SAISONS (IL GIARDINO ARMONICO)


Le 06 Février 2011 par DOMINIQUE BRESSSON


Une de mes deux versions préférées avec celle Anglaise
de Trévor Pinnock. Une vie, un relief, un rythme absolument inhabituel, une prise de son respectant particulièrement
bien la profondeur, les divers plans sonores, transparence
exemplaire. En fait, et j'en ai écouté bon nombre, ma version définitive !





SIMON & GARFUNKEL
SOUNDS OF SILENCE


Le 04 Février 2011 par MASTCARD


Un excellent album de folk.
Il est dommage que sur certaines chansons la production fasse vraiment vieillot : comme sur "Blessed" par exemple.





MCLUSKY
MCLUSKY DO DALLAS


Le 04 Février 2011 par EL PACHENKA


Je n'ai plus les trois disques studios de McLusky (j'ai fait un heureux en les lui donnant). Ce "...Do Dallas" est l'un des électrochocs de 2002, un pain d'explosif sonore qui ne lâche plus après un premier passage dans les cages à miel.





Bruce SPRINGSTEEN
HUMAN TOUCH


Le 04 Février 2011 par EL PACHENKA


Le Boss se sera fait attendre depuis "Tunnel Of Love". Pour le coup, Springsteen sort deux albums, "Lucky Town" et celui-ci, "Human Touch" (et le premier acheté de Springsteen donc. Le choix n'a pas été bon étant donné que je l'ai peu écouté. Mauvaise pioche, si ce n'est que pour écouter "57 Channels And Nothin' On" et "With Every Wish".





Francis CABREL
SARBACANE


Le 04 Février 2011 par EL PACHENKA


De même avis que Terry, "Sarbacane" a lassé à force de me le passer. Un grand retour de Francis Cabrel avec cet album qui est resté longtemps en tête des ventes d'albums. Je préfèrerais "Samedi Soir Sur La Terre" aujourd'hui.





BLIND FAITH
BLIND FAITH


Le 04 Février 2011 par TERRY

Disons qu'elle n'est pas nulle, mais ils ont fait mieux, et la reprise par Blind Faith est largement supérieure aussi.





BLIND FAITH
BLIND FAITH


Le 03 Février 2011 par MASTCARD

Tout de même, cher Terry, la reprise de Santana est de qualité ! ;)





BLIND FAITH
BLIND FAITH


Le 03 Février 2011 par TERRY


Un grand disque ! Chef d'oeuvre absolu !
"Well All Right" de B. Holly a en effet été reprise par Santana, mais au vu de l'album sur lequel cette reprise se trouve ("Inner Secrets"), on ne peut pas dire que c'était le Santana de la grande époque...





TRI YANN
PORTRAITS


Le 03 Février 2011 par TANGI PRIGENT


Seznec est innocent ? Oui. Mais surtout du fait que sa culpabilité n'a pas été formellement établie. Pléonasme ? Sans doute, mais cette affaire est bien plus complexe que le raccourci express que veut nous faire TRI YANN. Non, Seznec n'est pas la martyr de la cause bretonne que l'on veut nous faire croire. Cette affaire est avant tout une sordide affaire de droit commun.
La musique de TRI YANN est sympatoche, mais ce groupe, c'est avant tout une espèce de vulgarisation cul-cul de la culture bretonne, un peu ce qu'est le pinard de supermarché à un grand cru ou la COMPAGNIE CREOLE à la culture des Antilles. Des nantais très surestimés qui ont néanmoins sortis un ou deux bons albums folk-rock à le fin des années 70, il ne faut pas leur enlever cela.
Pour ma part, TRI YANN est surtout un vulgarisateur pour adolescents et parisiens, voire bretons paresseux. Le problème c'est que la superficialité de sa musique convient parfaitement à la masse, pour qui la Bretagne, c'est "la jument de Michao et c'est bon comme ça". Bref, TRI YANN a son utilité, limitée, mais réelle. C'est déjà ça. Ce disque comporte quelques bons morceaux, ou plutôt quelques bons passages, car les compositions sont quand même bien lourdingues et sans grand intérêt. Le seul morceau remarquable est l'instrumental "Anne de Bretagne". Il faut dire que JOSSIC y ferme sa bouche, ce qui n'est pas plus mal, son timbre de voix étant particulièrement désagréable, autant que son jeu de scène ridicule sur lequel plane l'ombre de cette chère Bécassine. Bref, vous l'aurez compris, les nantais de TRI YANN et moi, ça fait deux.





BLIND FAITH
BLIND FAITH


Le 03 Février 2011 par VVVC


A rappeler aussi aux petits jeunes qui découvrent ce groupe de "dinosaure" qu'à l'époque des vinyles c'est à dire à entre autres lors de la sortie de l'album, tout ce qui flashe en CD encore maintenant au format 12x12cm frappait au moins 3 fois plus à la figure à la sortie avant les débuts des années 90 où tout commença à ne sortir qu'en CD (31x31 par rapport à 12x12 on la sent la différence).
Alors en plus à une époque où on était je suppose un peu plus coincé que maintenant c'est clair que ça a posé quelque problèmes ...
Cela dit quand on voit tout ce qui peut sortir comme laideur, et conneries maintenant, je dirais franchement que ce truc là actuellement aux yeux d'un jeune gamin qui ne fait que de découvrir "l'ancien temps" mais qui est un fin connaisseur des années 90 et 00, ça passe presque inaperçu ...







EMERSON, LAKE & PALMER
TARKUS


Le 02 Février 2011 par THEHILLBILLYBLUES


Ahh...ELP, pas l'entrée en matière la plus facile qui soit dans l'univers du "rock prog" mais ce serait une grosse erreur d'omettre ce groupe sous prétexte d'un déluge de notes parfois stérile ("Pictures" leur colle à la peau, c'est vraiment dommage).

Quoi qu'il en soit, cet album démarre très fort avec la pièce maitresse qui pour le coup passe comme un éclair malgré des transitions parfois hasardeuses mais surement voulues (VDGG que je vénère au plus haut point :) faisait sensiblement la même chose). Vraiment une très grande pièce qui ne s'essouffle à aucun moment, même si je ne pense pas que la reprise du thème eut été indispensable (ça casse un peu le final).

La suite, même si je rejoint la chronique, vaut assurément son pesant en cacahuètes à part la merdouille "Are you ready", encore que prise toute seule elle ne soit pas si mauvaise que ça. C'est juste qu'elle gâche un peu le ressentit global de l'album. Cette chanson est d'ailleurs largement éclipsée par "The only way", morceau grandiose qui montre un Emerson presque émouvant (comme quoi...) suivi de 2 compositions également de bonne facture. Par contre j'avoue ne pas trop accrocher sur "Bitches cristal" qui semble un peu baclée avec cette batterie épileptique. Et pour finir il ne faut surtout pas oublier le meilleur morceau de la galette: "Jeremy Bender" (nan je déconne, même si loin d'être désagréable).
En tout cas, à posséder ne serait-ce que pour la pièce éponyme.





Robert WYATT
ROCK BOTTOM


Le 01 Février 2011 par STEELYMAN


M. Stanzor,
Vous n'êtes pas très bon !
Faute de goût, faute de grammaire !
On ne peut pas tenir de tels propos sur Rock Bottom.
Chef d'oeuvre absolu, inusable...





Frank ZAPPA
SHEIK YERBOUTI


Le 01 Février 2011 par THEHILLBILLYBLUES


Comme le dit la chronique cet album est surement le plus connu et vendu de Zappa, compréhensible car sa musique y est plus facile d'accès qu'à l'accoutumée, Zappa surfant sur des styles très populaires à l'époque (ouais c'est surtout son album ayant profité du plus grand coup de pub de toute sa carrière). D'ailleurs ce succès est tout à fait mérité car mine de rien, sans être son meilleur, il est vraiment plaisant à écouter, même (surtout ?) des conneries coutumières pas possible comme "jewish princess" ou "broken hearts".

N'étant absolument pas un inconditionnel des années 80, je trouve pourtant que les synthés sont assez discrets (par rapport à ce qui va suivre) et s'intègrent plutôt bien dans les morceau ("Bobby", "Tryin' to grow a chin").

Après c'est vrai qu'on peut trouver l'album un peu long mais franchement à moins d'avoir affaire à une daube infâme on va pas se plaindre, il suffit de le découper pour les moins téméraires et tout devrait bien se passer (si si je vous jure :))
Pour reprendre le commentaire précédent, le son par contre est pas top, malgré les overdubs, et la batterie sonne pas très bien (putain mais c'est quoi ces cymbales !), mais ça reste quand même un très bon album du stakhanov moustachu.
Une bonne porte d'entrée sans décorations superficielles ni rebutantes.





Alan STIVELL
PARCOURS


Le 31 Janvier 2011 par TéMESTA XANAX

Mais qu'est-il donc arrivé à STIVELL ? Comment sa musique a t'elle pu devenir insipide à ce point, son son, plus exactement ? Une espèce de bouillie sonore vaguement rock, sans saveur, sans odeur, des classiques massacrés. On croirait le bonhomme en pilotage automatique, sous tranxène ou lexomil. STIVELL est mort ! Il n'a même plus barre sur sa musique et sonne... comme un mauvais groupe de reprise, avec autant de charisme qu'un lémurien dépressif. N'achetez pas ce "produit" et procurez vous les premiers albums (jusqu'aux années 80 incluses). A cette époque le "barde breton" représentait encore quelque chose. Il aurait mieux fait d'arrêter !







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