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AEROSMITH
DONE WITH MIRRORS


Le 24 Août 2022 par CRUCHOT


Je l'ai réécouté, il est pas mal en fait ce disque.

A l'époque quand je l'ai découvert (début 2000's), je sortais de Toys, Rocks, Permanent, Pump, etc... donc inutile de dire que je l'avais trouvé un peu fade, tout comme ses compagnons d'infortune d'ailleurs, les mal-aimés Night In The Ruts et Rock In A Hard Place. J'avais donc passé mon chemin et j'étais resté sur les classiques.
20 ans après, du Aerosmith j'en ai bouffé, mon oreille a évolué, et finalement celui-là je lui trouve pas mal de charme, ça rock bien et Tyler est en forme, c'est agréable à écouter, même si pas renversant on est d'accord. Mais on retrouve bien le son et l'attitude des albums des 70's, et sûr que s'il était sorti en 78 après Draw The Line son destin aurait été tout autre.... Bref.

Je vais redonner une chance aux crus 79 et 82 tiens.





The CLASH
LONDON CALLING


Le 24 Août 2022 par IEN


Ecrire une tonne de chroniques ici et chercher juste de la violence dans un album des Clash, c'est assez étrange; et les comparer à Slayer ou Carpenter Brut, c'est assez loufoque. Strummer était avant tout amateur de reggae, pas de hard-rock.

Ils ont fait un premier album vaguement Punk pour surfer sur cette vague mais, dès le deuxième album, c'était quasi oublié, les morceaux étaient plus produits et plus mélodiques.

Il me semble que les Clash cherchaient surtout à être les plus éclectiques possible.
Si "London Calling" est un double sorti au prix d'un simple et possède des titres aussi différents les uns des autres, c'était certainement pour faire découvrir aux jeunes d'autres types de musiques tout en restant accessibles grâce aux accents pop présents dans chaque chanson. Voire même tout simplement pour se faire plaisir, non ?

Plutôt que chercher une quelconque violence dans leur musique, appréciez le talent de ces modestes musiciens (dans le sens pas des virtuoses) capables d'appréhender tout type de musique populaire, de le digérer et de le rendre accessible.

Globalement, il y a quelques titres un chouïa moins bons, mais l'ensemble reste admirable sur bien des titres : "London Calling" - "Jimmy Jazz" - "Lost in the Supermarket" - "Clampdown" - "The Guns of Brixton" - "Death of Glory" - "The Card Cheat" - "Lover's Rock" - "Revolution Rock" - "Train in vain" (mon chouchou).





Kim WILDE
KIM WILDE


Le 24 Août 2022 par FRED

Pour info, c'était en 1984 à Saint-Pabu (29).
Alors que les autres groupes acceptaient de voir capturer un extrait de leur concert par les journalistes "télé" locaux, dont les STRAY CATS et NINA HAGEN, la seule à jouer à la Star, c'est la miss qui refuse même de se faire photographier à son arrivée, lunettes noires et renfrognée, entourée d'un groupe de gardes du corps. Du jamais vu à ELIXIR !
Le concert fut à l'avenant, soit médiocre, la belle se faisant huer et siffler durant une bonne partie de sa prestation.
Conclusion ? À votre appréciation. Me concernant, c'est parfaitement éclairant quant à la nature du phénomène Kim, dont le succès fut certes important, mais aussi bien limité dans le temps. Le prototype même du produit marketing.





The CORRS
FORGIVEN, NOT FORGOTTEN


Le 23 Août 2022 par MR TINKERTRAIN


Foutre 2 à cet album est juste insultant pour ce groupe qui fera de la daube bien plus tard. C'est le meilleur mélange pop et musique celte que je connaisse ! Et puis les instrumentales sont super. Pour l'anecdote, et ça me rajeunit pas : mes copains et moi, nous bavions pas mal pour les sœurs CORRS qui, avouons-le, ont un côté assez sexy. Aujourd'hui, j'écoute cet album avec grand plaisir et sans prise de tête.





Kim CARNES
CAFé RACERS


Le 23 Août 2022 par BRUNO


Disque sympathique mais, comme dit dans la chronique, c'était le minimum syndical avec le niveau des musiciens qui accompagnent Kim Carnes sur cet album. Dommage, au vu de la qualité des compositions, que le producteur n'ait pas lâché la bride à Steve Lukather et autre Waddy Wachtel pour envoyer du bois et faire décoller un peu plus certains titres, notamment le 1er morceau ("You Make My Heart Beat Faster (And That's All That Matters)".

Finalement, cet album reste dans son époque (1983), 4 étoiles quand même en souvenir de mes années lycée.





Kim WILDE
KIM WILDE


Le 23 Août 2022 par FRED


Je cite Guillaume The Elder. "Il l'avait vue en concert au Festival breton Elixir en 83 ou 84 : "Une Catastrophe, une horreur made in USA !"
En fait, elle n'avait fait que traverser la Manche, elle est britannique. Londonienne, pour être précis. Et puis, tout le monde fantasmait sur elle à l'époque. Même Laurent Voulzy en faisait des cartes d'Australie dans son caleçon, le cochon !
Sinon, que de tubes marquants !





The BEACH BOYS
ENDLESS SUMMER


Le 22 Août 2022 par LE MERLE MOQUEUR


@ VAIR.

je rebondis sur votre commentaire du 17 aout 2022. Je m'en veux aujourd'hui d'avoir été trop moralisateur à votre égard. Nous avons tous des défauts, un des miens, car j'en ai d'autres, c'est d'être parfois trop rapide dans mes jugements à l'encontre de mon entourage, qu'il soit en chair et en os, à mes côtés ou sur des réseaux sociaux.

Les mots, les phrases, les idées et les concepts ne sont pas toujours aisés à saisir et à conduire. Leurs sens nous coulent entre les doigts. Leurs manipulations s'avèrent
souvent plus que difficiles. Je suis loin d'être exempt d'erreurs grossières.

Ainsi pour "Ultracrépidarianisme" je vous en suis redevable (mot dont j'ignorais l'existence) et me demande, nous sortons du cadre musical, mais ce genre de propos peut faire beaucoup de bruit mais le bruit n'est-il pas un son et le son nous invite à repenser... la musique. Donc, je me demande si ce conflit à nos portes ne produit pas chez nous un effet Dunning-Kruger, j'englobe là la bien-pensance de certains médias.

Mais remettons les pendules à l'heure, c'est un commentaire sur THE BEACH BOYS et je me pose la question de savoir comment ils ont perçu l'hymne national, "Star Spangled Banner" de Jimi Hendrix qu'il joua à Woodstock en 1969. THE BEACH BOYS la même année sortait l'album 20/20.

Peut-être une chronique sur Jimi HENDRIX "Live at Woodstock" avec quelques notes noires et blanches pour cette époque manichéenne touchée par l'ultracrépidarianisme.

Moqueur le MERLE !

3 avec un sourire pour ce groupe à connotation familiale.





Kim WILDE
KIM WILDE


Le 22 Août 2022 par GUILLAUME THE ELDER


Kim Wilde... J'aimais bien, j'ai le LP "Close" qui est intéressant avec notamment l'excellent "Never Trust a Stranger". En revanche, je note la remarque de Erwin lorsqu'il écrit "d'oublier le réel niveau de la blondinette". Mon oncle me charriait de ma "passion" Kim Wilde à mes 14 ans en 88. Il l'avait vue en concert au Festival breton Elixir en 83 ou 84 : "Une Catastrophe, une horreur made in USA !". Apparemment, elle chantait comme une casserole ! Malgré ça, elle est toujours là. Elle a certainement pris des cours de chant...





Stanley CLARKE
SCHOOL DAYS


Le 22 Août 2022 par LE MERLE MOQUEUR


Me revoilà au collège, avec ces SCHOOL DAYS.

" Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus"...

Il est vrai qu'à "amis" je m'en vais placer un e muet entre le i et le s et rester silencieux dans ces "devenus" et "tenus" qui prendront aussi un e ! RUTEBEUF je crois sera loin de m'en tenir rigueur lui qui ne tombait pas...des nues.

Comme HEART OF STEELE, cette pochette me plonge quelques lourdes décennies en arrière.
J'ai apprécié CLARKE avec RETURN TO FOREVER où Joe FARRELL, FLORA PURIN et AIRTO MOREIRA étaient présents. Mais ce RETURN FOREVER ne me combla qu'une petite année car un ancien camarade de collège débarquait avec des WEATHER REPORT sous l'bras dans mon trois pièces de banlieue... et d'un coup de Saphir magique mon logement s'illumina.

Clarke, l'homme à la technique du SLAP qui m'avait déroutée et enthousiasmée, prenait une gifle imméritée lorsque je découvrais Miroslav VITOUS et JACO PASTORIUS avec WEATHER.

Aujourd'hui, comme je l'ai déjà mentionné pour WEATHER REPORT, je reste avec ces années fusion sur ma faim. Techniquement parfait mais... il y a un manque... puis parfois on frise le "commercial".

Stanley Clarke est et reste un grand jazzman que j'apprécie dans d'autres formations.

Pour cette école que je veux buissonnière avec George DUKE et Billy COBHAM, je vais être bon prince et me souvenir de ROMANTIC WARRIOR où Stanley m'émotionne encore ainsi que ses deux compères...

car tous ont fait école !





The CLASH
LONDON CALLING


Le 22 Août 2022 par PSYCHODIVER


"London Calling", c'est une concordance de stratégies fumeuses par des producteurs/experts en marketing habiles, aboutissant à la publication d'un bidon de lessive remplie de flotte, sur lequel on aurait disposé un autocollant "danger" pour lui conférer une aura sulfureuse. Un coup de pub finement orchestré pour une œuvre relativement bancale mais qui encore aujourd'hui déchaîne les passions.

Le fait est qu'en 1979 ceux qui ne juraient que par un rock énergique voire borderline avaient le choix. Contrairement à ce que laisse supposer le matraquage médiatique autour de "London Calling" dépeint comme le dernier grand album de rock. Cette plaisanterie. En matière de hard/métal : MOTÖRHEAD avec "Överkill", THIN LIZZY avec "Black Rose", TED NUGENT avec "State Of Shock", JUDAS PRIEST avec "Unleashed In The East"... Du côté du punk anglais, beaucoup étaient passés à autre chose. Quelque chose de plus soft. Les DAMNED et les STRANGLERS sortaient respectivement les mous du genou "Machine Gun Etiquette" et "The Raven". Le hardcore demeurait encore embryonnaire, même aux US. Et seuls les UNDERTONES avec leur premier opus gardaient une ligne directrice rock sans compromis. UK SUBS et dans une moindre mesure les RUTS, également. Il n'y avait donc que la scène post punk qui pouvait s'avérer menaçante musicalement et humainement. PIL, GANG OF FOUR, JOY DIVISION, KILLING JOKE... Tous rivalisaient de dédain et de mépris pour leur époque. Sachant pertinemment que l'avenir ne serait pas rose et que le salut ne se trouverait pas dans le rock à papa ou dans l'exploitation des standards préhistoriques. Sans parler des originaux tels HAWKWIND et CHROME qui, en dépit des modes, ont toujours su s'adapter en préservant leur férocité.
Tout l'inverse du CLASH. Groupe rincé de chez rincé après une aventure "Rock Against Racism" riche en désillusions et un passage aux États-Unis qui l'a dévitalisé, pour qui le punk moribond devait être remplacé par... De la pop rock pour avocats/notaires du XVIème ? Du pseudo punk pour spectateur de CNEWS/BFMTV, Ruquier et Barthès ? Le genre d'album qui donne bonne conscience au premier cadre de la Défense et autres prédateurs financiers venus ? Ah d'accord.

Donc oui. En 79, il y avait bien plus authentique que "London Calling". Album boursouflé et prétentieux qui, au-delà de quelques belles pépites (il en fallait pour que le mythe soit un tant soi peu légitime) n'est que discours racoleurs et rébellion de comic books, bien aidés par des textes pour la plupart en forme de tracts peu pertinents et de récitations d'ouvrages trotskistes pour adulescents.

John Lydon, qui fut un grand ami de Joe Strummer, déclarait ne pas apprécier son positionnement "socialiste de façade" post 77 et affirmait l'avoir vu surligner des parcelles de textes de Marx pour ensuite les incorporer aux lyrics.
Quant à Robert Calvert, punk avant l'heure et qui fut très proche des groupes 77, il n'aimait pas le CLASH. Le considérant comme un groupe de pop beuglant de vulgaires slogans politiques.
Quand on écoute "London Calling", on ne peut que lui donner raison.

Le seul CLASH de valeur : c'est le premier. Album raw, déterminé et fédérateur, signé par un combo jeune et libre qui n'a pas encore été souillé par les miasmes du music business et de la politique politicienne stérile, sans fond et par conséquent inhumaine.
Même le fourre-tout qu'est "Sandinista" est plus agréable à l'écoute que "London Calling". Sans doute parce qu'il s'assume en tant qu'oeuvre inégale et ne repose sur aucune fausse mythologie snob.

Et "Clash City Rockers" est LA chanson ultime du CLASH. Celle qui ne risque pas de passer un jour dans un sitcom débile (ultime pléonasme) ou une pub pour parfum, bagnole ou tourisme. À l'inverse de "London Calling", "Clampdown" ou "Lost In The Supermarket".





SCORPIONS
HAMMERSMITH


Le 22 Août 2022 par ZOMBIEMAN


Pour ma part, l'album passe très bien. C'est vraiment agréable à écouter. Bien sûr, pas de grande originalité ou de renouvellement particulier de la part du groupe. Mais bon, l'essentiel du boulot est fait, à mon sens. Je n'en demande pas plus.





The CLASH
LONDON CALLING


Le 22 Août 2022 par BAKER

Je me sens tout particulièrement flatté  :D

Concernant le disque, je ne peux rien dire, ne l'ayant jamais écouté comme il faut. Une chose est sûre : je n'aime pas le punk mais, à chaque découverte au hasard d'un titre, j'aime bien les Clash.

Les Clash sont-ils donc punk ?





The CLASH
LONDON CALLING


Le 22 Août 2022 par CHIPSTOUILLE

Je ne comprends rien à cet album.
Quand on me vend un mec prêt à casser sa guitare sur scène sur la pochette, la dernière chose que je m'attends à écouter, c'est un truc qui me fait penser au bal des pompiers ou à la Merguez Party des MUSCLES (réécoutez "Wrong 'em Boyo", sérieux... ces "pouets" au saxo, c'est le summum du ringard pour moi!).
Il y a des influences reggae, ska, un peu de rap, j'entends même du disco (j'ose un emprunt : "on dirait du SHEILA"). Ca préfigure The POLICE, super... Des trucs qu'en général je n'aime pas.
Je sais bien que tout est relatif, qu'il faut applaudir cet album pour son éclectisme. Au moins, c'est mélodique, pas de soucis là-dessus, mais à part le batteur qui fait l'effort de frapper fort, et beaucoup plus rarement le chanteur qui sort parfois les tripes, il n'y a franchement ici pas de quoi s'énerver (allez... Je vous accorde "Death or Glory"... Mais pff... c'est poussif), si ce n'est pour l'arnaque commise.

Bref. Comme pour les RAMONES qui me font plus penser aux BEACH BOYS en mal joué qu'autre chose, je trouve que la violence du Punk des débuts nous est bien trop souvent survendue. C'est surtout une question d'attitude et de paroles, plus qu'une histoire musicale au final, et du coup j'en ressors chaque fois déçu. Quand on a voulu tout défoncer à l'écoute d'un Screaming for Vengeance (JUDAS PRIEST), d'un Chemical Warfare (SLAYER), d'un Battery (METALLICA), de Speak (QUEENSRYCHE) - c'est plus particulièrement ce genre de titre qui me viennent en tête quand je vois quelqu'un défoncer une guitare électrique - , de Turbo Killer (CARPENTER BRUT), ou de High Speed Dirt (MEGADETH) : ici on s'ennuie. Le combat Punk contre Metal ne date pas d'hier. Il y a bien des groupes de Punk dans les années 90/2000 qui ont fini par me convaincre du bien fondé du genre. Mais là, c'est long, c'est même parfois "feutré", c'est souvent mou, ça m'emmerde. Ca manque de muscle, si vous me permettez ce jeu de mot.

Et venez pas me parler de dates ou d'histoires de production. La même année sortait Overkill de MOTORHEAD, donc au revoir, merci. Ce n'est pas une question de genre ou d'instruments non plus. Sans parler de BEETHOVEN, le premier mouvement de la première symphonie de BRAHMS défonce tout ça. Même un "Paris en colère" de Mireille MATHIEU est plus intense que cet album dont la forme n'a donc rien à voir avec le fond.

Bref, je n'ai toujours rien compris à cet album, et ce n'est pas bien grave. :)
Je dois être "perdu perdu dans le supermarché!" (au secours!)





AEROSMITH
DONE WITH MIRRORS


Le 22 Août 2022 par JASPER LEE POP

@David
Il semble effectivement que le morceau "Darkness" figure ou pas sur les vinyles selon les pressages.





AEROSMITH
DONE WITH MIRRORS


Le 22 Août 2022 par DAVID


Précisions : j'ai la version vinyle de cet album et "Darkness" figure bien dessus. Un titre dont j'apprécie beaucoup l'agressivité et son piano endiablé, par ailleurs !
Sinon, au fil des années, mon avis sur "Done With Mirrors" n'a pas changé, un bon album, un bon 3/5. Rien d'exceptionnel sur ce disque, loin d'être le meilleur album d'AEROSMITH, mais je le préfère au très commercial et tape-à-l'oeil "Pump" par exemple. Meilleur aussi que "Nine Lives", ce qui n'est pas difficile en soi... !





Kim WILDE
KIM WILDE


Le 21 Août 2022 par MARCO STIVELL


Un disque excellent, qui plus est avec pour 'backing band' le groupe anglais de rock progressif symphonique The ENID (Robert John Godfrey, Stephen Stewart, Francis Lickerish, Martin Russell, Chris North). Collaboration hélas non reconduite.

"Kids in America" restera à jamais la bandeson des soirées-fêtes en famille durant l'enfance, au milieu d'autres tubes des années 80. Une chanson extrêmement bien faite et c'est toujours un plaisir de la réentendre, de la fredonner (en faisant tout à la fois bien sûr : chant, choeurs, orgue, basse... hé hé).





The LICKERISH QUARTET
THREESOME VOL. 3


Le 20 Août 2022 par LONG JOHN SILVER


Ah mais c'est vachement drôlement bien ce truc dont j'avions (à réaction) point entendu parler avant. Heureusement que notre Kamarad gréviste nous en a causé entre deux piquets de grève et trois AG. C'est de la pop tout comme j'aime, un machin 60's/70's qui fait du bien, du coup l'équivalence style avec les LEMON TWIGS colle parfaitement.
De fait, moi aussi je revendique une augmentation depuis des lustres !
TOUS ENSEMBLE ! TOUS ENSEMBLE ! (avec The LICKERISH QUARTET)





The ROLLING STONES
EXILE ON MAIN STREET


Le 20 Août 2022 par IEN


A noter la très belle exposition à St Remy de Provence du Photographe Dominique Tarlé qui a accompagné les Stones lors de ces sessions.

Pas possible d'intégrer un lien dans les commentaires mais c'est assez facile à trouver sur le net, pour vous donner une idée.

Sinon l'album lui est intemporel.





ARCHIVE
CALL TO ARMS AND ANGELS


Le 19 Août 2022 par MAGNU


Pas d'accord. J'ai dû écouter une 50aine de fois cet album (et je l’écoute toujours régulièrement d'ailleurs). Je ne m'en suis toujours pas lassé alors que les premières m'avaient laissé.... mitigé on va dire. Ça n'égale pas pour moi "Londimnium" ou "Controlling Crowds" qui étaient pour moi leur s summum créatifs. Mais, plus je l'écoute et plus cet album me plaît. Chacun son avis après tout, cela n'a aucune espèce d'importance.

Un grand 3.5.





Elvis PRESLEY
68 COME BACK - NBC TV SPECIAL


Le 17 Août 2022 par BLUEMASK


Ce disque est effectivement incroyable...
On peut être fatigué d'Elvis Presley, du rockabilly des débuts ou de la chantilly gospelo-countro-varietoche de la fin, mais quelqu'un qui aime un tant soit peu le rock ne peut qu'être bluffé par ce disque: interpretation habitée, musiciens compris, morceaux killers, prise de son chaude et précise...







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