Le 18 Juillet 2022 par CHRISNAKE

Fan du groupe je trouve la note surestimée: Hair of the dog,A
Razamanaz et d'autres lui sont mieux et décisifs. Les 2 titres d'ouverture sont efficaces mais Turn on your receiver et la reprise Teenage...sont un cran dessous quant à Freewheeler le titre le plus faible qui piétine et dénué de refrain. La face B débute sur le magistral "This flight tonight " tube dans de nombreux pays européens. On peut reprocher au groupe d'user fréquemment de reprises mais à chaque fois ils font des versions très différentes et sublimées comme la version Heavy métal de Hollis Brown de Bob Dylan. La ballade chantée en partie par le bassiste Pete Agnew préfigure Guns n roses 🌹 qui indique que Nazareth a beaucoup influencé le groupe en particulier le chanteur Axl Rose 🌹

Le 18 Juillet 2022 par THE NEW ANGEL D

Un peu déçu par cet album que je trouve assez moyen. C'est dommage car, musicalement, on retrouve moins cette pop trop calibrée pour de la musique plus funk. Je ne passe pas un mauvais moment mais c'est juste qu'à mon sens, les morceaux ne sont pas franchement mémorables. Pour moi, c'est un peu le brouillon du disque suivant (que j'aime beaucoup) qui sera dans le même style mais avec de bien meilleurs morceaux.

Le 17 Juillet 2022 par BAKER

Ah il est clair qu'Elfman a un style d'écriture très particulier et reconnaissable. Le Nino Rota américain.

Dire qu'il a été très longtemps peu apprécié de l'industrie, pour rester poli...

Le 17 Juillet 2022 par LE GLAUDE

Disque volé lors d’Un cambriolage. Il figure parmi les premiers vinyles rachetés.DEux musiciens méconnus et pas forcément bien compris, mais une galette essentielle au registre jazz fusion.

Le 17 Juillet 2022 par CHIPSTOUILLE

J'ai en effet découvert bien après la rédaction de cette chronique que Danny ELFMAN lui-même était le compositeur du thème principal de Fable, et non Russel SHAW. Donc pour ceux qui débarqueraient après la bataille, je précisais dans la première version de cette chronique "On enchaînera avec une musique de noël que le Danny ELFMAN de l’étrange noël de monsieur Jack n’aurait pas renié".

Comme quoi, ELFMAN a une patte bien à lui !

Le 17 Juillet 2022 par LE GLAUDE

Je connaissais la pochette qui m’a toujours intrigué, le disque est tout simplement énorme.

Le 16 Juillet 2022 par FINISHERFRANKY

J'hésite beaucoup à donner mes impressions sur ce dernier album, d'autant que j'ai quelques trous dans la disco de Klaus Schulze (que pourtant j'adore). La 1ère pièce "Osiris" de 18 minutes en nappes circulaires donne une sensation de voyage planant, façon ambient évocatrice de grands espaces très agréables. Les sonorités sont modernes et c’est bien.

Puis, le démarrage de "Seth", puissant, amène une tension angoissante qui impressionne à fort volume. La suite me semble plus conventionnelle, avec un rythme que j’ai déjà entendu sur d’autres albums. Ensuite, le rythme se casse pour laisser la place aux cordes de Tiepold et donc a une très forte impression de déjà entendu. J'ai tout de suite cru entendre la série Ballet de 2006. Ça m’a déçu. De plus, les différents mouvements de "Seth" me semblent mis bout à bout sans lien. La fin du titre est tellement minimaliste que c’en est ennuyeux, en tout cas à la 1ère écoute.

Le 3ème titre "Der Hauch Des Lebens" débute longuement aussi sur une veine minimaliste et c’est le sentiment de vacuité qui m’envahit. Il faut attendre la seconde partie avec le retour de rythme et d’ambiances planantes, très mélancolique avec une lente montée en puissance à l’aspect moderne. Là, j’ai vraiment aimé en trouvant personnellement des accointances avec Nils Frahm dans ses enregistrements les plus ambient (comme sur les titres "Says" et "All Melody").

Je retiens donc 2 titres sur 3 et un beau visuel contemporain pour un point final plutôt réussi pour moi.

Le 16 Juillet 2022 par THE NEW ANGEL D

Je vais mettre une note un peu sévère, mais je n'ai jamais trouvé d'albums d'Imagination où je m'éclate du début à la fin. J'ai un peu de mal généralement avec leurs ballades. Celui-ci pourtant me semble être dans le haut du panier et correspond à mes attentes en terme de morceaux et de production.

Le disque vaut surtout le coup à mon avis pour sa face A. Je mets de côté la ballade "All Night Loving" mais j'aime beaucoup le reste, en particulier le classique "Music And Lights". On ajoute le titre "Just An Illusion", l'autre grand moment de l'album, et ça fait 4 très bon titres.
Pour le reste, "Changes" est correct (il a un air de déjà entendu) et je m'ennuie sur les trois ballades. Un bon album dans l'ensemble pour moi mais pas plus, hélas !

Le 14 Juillet 2022 par YAN LE COADOU

De mémoire, l'un de mes albums préférés d'Hendrix que j'écoutais beaucoup dans les années 70.

Le 14 Juillet 2022 par THE NEW ANGEL D

Le problème avec "Triumph", c'est qu'il est le successeur de "Destiny" et de "Off The Wall". Et il précède également "Thriller". Pas une position confortable donc pour cet album qui s'inscrit dans la lignée des deux disques précédents.

A la nuance près que celui-ci privilégie les up-tempo. C'est d'ailleurs le disque à conseiller pour ceux qui veulent entendre Michael sur un matériel bien funky. Il n'y a qu'une seule ballade ici, c'est "Time Waits For No One", et elle est plutôt réussie.

Le contenu dans l'ensemble est solide et c'est bien là l'essentiel. Il n'y a pas que le classique "Can You Feel It" qui vaut le coup. L'autre single de l'album, "Walk Right Now" est une pure tornade. Sur "This Place Hotel", Michael offre un titre imparable et original avec une ambiance qui fait penser à son futur "Thriller". Un classique qu'il interprètera assez souvent en live par la suite.

J'aime beaucoup aussi le swing du léger "Give it Up", avec un duo Marlon-Michael qui fonctionne au poil. Sinon, "Your Ways" et "Everybody" me font penser aux meilleurs titres que Quincy a pu produire sur "Off The Wall".

Un très bon disque pour conclure. Et puis qui fait mieux dans le même genre, à la même époque ? Pas grand-monde.

Le 14 Juillet 2022 par RICHARD

Renaud n'est pas encore 'Métèque et Mat' comme aurait dit Akhenaton en 1995.
Belle chronique, Ramon, qui relève avec pertinence les multiples visages de Renaud et l'intérêt de cet album. Et bien vu pour la scansion. Sa voix ne m'a jamais gênée à vrai dire, elle est lui. Puis, ayant grandi grâce à mon père dans les années 80 au son de ses mots et de ses notes, je n'ai jamais de peine à retrouver Renaud. Il vieillit comme nous tous et c'est donc toujours un plaisir de le retrouver.

Le 14 Juillet 2022 par MARCO STIVELL

Grands mercis à toi d'avoir relancé l'envie de me refaire l'intégrale studio des albums des CORRS, surtout maintenant qu'il y a sept albums et non plus seulement cinq.
Pendant une autre forme d'écriture intensive, ça aide bien, je dois dire.

Il y a eu d'abord Forgiven Not Forgotten, l'éclosion, la découverte et un album que je réécoute avec de plus en plus de plaisir. Quelle fougue, quelle beauté dans les refrains pas forcément tous chantés, quelle jeunesse exceptionnelle pour l'époque en 1995 (entre coolitude et identité historique par leur culture natale) au milieu des rappeurs, des "rave-eurs", des cheveux gras et jeans troués, des chanteuses pop-eurodance loin d'être aussi raffinées !
Ensuite, Talk on Corners en 97, des tubes incroyables mais hélas aussi des sons trop froids, boîtes à rythmes etc. qui déteignent sur les titres moins connus en particulier.
In Blue en 2000, à la conquête du marché américain, et autant "Radio" est génial, autant "Mutt" Lange fait des merveilles avec l'énorme "Breathless", autant je peux être indulgent avec "Irresistible" et d'autres, autant ce disque souffre des maux du précédent en pire du côté de la production, et baisse dans l'inspiration.
Petit saut vers le cinquième album, Home, hommage à l'Irlande mieux ancré, très joli par certains aspects, même s'il aurait pu être encore meilleur, moins léché.
Plus tard, beaucoup plus tard, les albums plus "adultes", White Light (2015) qui reprend les choses là où elles étaient restées dix années plus tôt, un excellent disque de retour avec quelques thèmes moins adolescents (quarantaine d'âge dépassée pour les soeurs Sharon & Andrea oblige) ; Jupiter Calling (2017) enfin, très beau, plus exigeant, avec la finesse dont manquait Home parfois. Deux disques qui n'ont pas eu le succès mérité. Pas assez d'Auto-Tune, de rap, de zouk etc. sans doute.

Et puis, au beau milieu de tout cela, il y a comme tu l'as très bien décrit ce disque incroyable, le grand oublié de l'histoire, y compris par moi-même ces dernière années, alors que je le citais encore parmi mes favoris !
Borrowed Heaven (2004), j'y reviens en me disant : waouh, des tubes ! "Angel", "Summer Sunshine", le slow "Long Night" beau à pleurer. Des titres bien cool comme "Humdrum" (qui ouvrait la tournée subséquente), "Hideway", "Even If", "Babe Be Brave". Se prendre une bonne patate dans la figure avec le son du refrain énervé de "Confidence for Quiet", comme l'avait déjà fait "Summer Sunshine", de quoi valoir les moments similaires du premier album près de dix années plus tôt. Les CORRS revenaient alors à un son organique et cela faisait le plus grand bien !
Ah et puis quand on vient de faire "Goodbye", un morceau si épique en studio qu'on a l'impression d'être déjà dans une fin de concert, avec tous les frissons possibles et l'envie que ça s'arrête pas, sauf qu'on l'a calé en milieu-début d'album, comment est-ce qu'on peut relancer, qu'est-ce qu'on peut bien proposer ensuite ? "Time Enough for Tears", complètement différent, sans nul autre pareille dans la discographie, et autrement gracieux.

Ah la la, quel groupe !

Le 13 Juillet 2022 par THE NEW ANGEL D

Un album pas parfait mais c'est du solide, un incontournable d'Hendrix. C'est même carrément l'album de Jimi que Miles Davis préfère. Et à mon avis, je peux vous garantir que ça doit être un incontournable d'Uli Jon Roth aussi.

Sinon, pour les points négatifs, on sent effectivement que le groupe n'est pas rodé à 100 %, le final de "Changes" déçoit un peu tout comme le feu d'artifice de fin : "we Gotta Live Together". Mais ça passe.

Après, je rentre facilement dans le groove de "Who Knows". Le "Machine Gun" est un véritable chef-d'œuvre. Et le reste est de qualité. J'apprécie le choix des titres qu'on ne retrouve pas sur ses précédents albums, l'orientation groovy et funk de l'ensemble et le fait qu'Hendrix partage le chant avec Buddy Miles. D'ailleurs, la chronique le souligne : c'est pas Hendrix and his Band Of Gypsys mais Band Of Gypsys.


Je possède le Live At The Royal Albert Hall et j'ose le dire, je m'ennuie sur ce disque. Alors, si vous avez de meilleurs lives à conseiller que Band Of Gypsys, c'est avec plaisir.

Le 13 Juillet 2022 par BLUEMASK

Testament s'était noyé dans la moyenne basse de la banalité du thrash...
Signe de son statut d'artisan éternel, il suit ici le mouvement en ralentissant le tempo pour passer à un Heavy aux léger relents thrash par moment mais, en tout cas, beaucoup plus mainstream.

Et là... miracle. Il réussit son coup. Son manque d'éclat et de génie en matière de thrash qui tabasse devient ici de la finesse. En ralentissant le tempo, les mélodies apparaissent et elles sont bonnes. Les guitares restent abrasives, le groupe semble soudé, c'est bien produit.
Chapeau bas pour la ballade 'Return to Serenity' qui, là, enfin, est de l'ordre du talent.

Malheureusement, c'est un four. Les suiveurs sont rarement récompensés. Ils vont ensuite donc suivre autre chose, le death.

Testament, c'est un peu la loose. Seul le temps lui permettra d'accéder à autre chose. Mais The Ritual est un bon album.

Le 13 Juillet 2022 par BLUEMASK

Testament confirme son statut de tâcheron assidu mais sans talent avec cet album qui se standardise. Belle pochette, mais on commence à ne retenir que cela. Le premier titre fait illusion, le dernier est original. Entre les 2, c'est la morne plaine, il faut même se cogner une ballade affreuse avec ses arpèges entendus mille fois, et qui s'appelle en plus 'The Ballad'.

Le 13 Juillet 2022 par BLUEMASK

Testament corrige les défauts de son premier album avec une production digne et efficace et une musique devenant plus directe et efficace. La pochette, enfin, n'a pas été dessinée par le petit-fils de ma voisine.

Il y a quelques pépites intégrales sur ce disque : "Trial", "Into the Pit", "Disciples", "The Preacher" mais aussi quelques compos inutiles : une reprise d'Aerosmith pas géniale, un instru' de fin sans intérêt et long comme un dimanche sous la pluie, et un autre instru' au milieu sans aucun intérêt.

C'est le drame de Testament dans sa jeune période : il n'a jamais su faire quelque chose percutant de A à Z. C'est le signe de l'artisanat et non du talent.

Le 13 Juillet 2022 par BLUEMASK

Un album qui aurait pu, aurait dû devenir un grand classique, mais :
- la production brouillonne dessert l’énergie d'un groupe qui joue velu
- la pochette, moche parmi les moches, ne donne vraiment pas envie, et les pochettes, ça compte.

A titre de comparaison, 'Kill 'em all' de qui vous savez, dans un registre similaire, avait une production pas démente mais maîtrisée, et une pochette qui avait une personnalité. Et accessoirement aussi des titres plus marquants.

Le 13 Juillet 2022 par BLUEMASK

Un album pénible, mal produit, mal composé, avec aucun titre qui ne sorte du carcan du thrash ultra-classique. Ca s'écoute en faisant autre chose

Le 13 Juillet 2022 par BAKER

A noter l'existence de l'album remix VULNICURA STRINGS qui est uniquement cordes + voix. Ca ne fonctionne pas autant que j'aurais aimé, c'est assez "tiède", mais la tracklist est maligne et on finit sur "Family" qui dans cette configuration est toujours aussi excellente.

Le 12 Juillet 2022 par BLUEMASK

Je l'avais écouté à la sortie, et j'avais le streaming de m'avoir economiser 20 balles pour un format physique qui aurait servi au mieux à caler un meuble
Et là, je l'ai ré-ecouté 3 fois, un an après. Parce que j'écoute Maiden depuis 1990, et que même si je n'ai plus rien trouvé de bon chez eux depuis un très long moment, je souffre desormais d'accès de nostalgie...
Et ben... merci Apple. encore un fois... Quelle boursouflure de la part d'une bande de boursouflés, desormais... le temps est un naufrage...