Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 ...>...>>... 1159
Comment poster un commentaire ?


CHICAGO
HOT STREETS


Le 21 Juin 2025 par BAKER


Un album étonamment "chill" vu les circonstances.

Assez bon et logiquement la fin d'une époque.

Enter David Foster, mais ça j'espère que ce sera une autre longue et sanglante chronique !





The STRANGLERS
WRITTEN IN RED


Le 21 Juin 2025 par MASTERFAN


Il y a des choses avec lesquelles il ne faut pas plaisanter. En se passant du logo ‘Stranglers’, le 13ème album WRITTEN IN RED s’autorise tous les outrages, c’est mal parti. Une suppression pas si illogique que ça, tant Paul Roberts et John Ellis donnent l’impression sur cet album d’avoir pris possession du groupe qui les a accueilli, aussi ne reste-t-il pas grand-chose de la patte « Stranglers » initiale, qui faisait la singularité du combo de Guilford.

A cette époque, JJ était plus préoccupé par sa vie de famille, Dave à faire des reconstitutions historiques en costume. Quand à Jet, on peut le supposer déjà pas très loin de la pré-retraite. La question sera donc ici : garde-t-on de cet opus quelque chose de mémorable? Un refrain qui reste en tête ?

Je n’en suis pas sûr. Ce ne sera déjà pas le cas de « Valley of the birds », avec son intro ‘petits oiseaux’ plus vraiment révolutionnaire depuis « More » de Pink Floyd  en 1969. « In heaven she walks » ? Guère plus marquant. « In a while » ? Bof bof bof. « Silver into blue » et « Blue sky » sont écoutables sans plus, comme si l’inspiration du groupe avait rétro-pédalé jusqu’à l’inoffensif IN THE NIGHT. Il faut donc attendre « Here » pour récupérer un peu plus de substance et encore, on ne dira pas que ça séduit.

C’est avec « Joy de viva » qu’on a l’impression de toucher le fond en matière de qualité de refrain : très léger, trop léger. « Miss you » est un peu plus respectable mais le soufflet retombe vite derrière avec un « Daddy’s riding the range »peu passionnant.

Le plus déprimant reste sûrement « Summer in the city », beau numéro d’aseptisation du chef d’oeuvre des Lovin’Spoonful, faut le faire quand même. Et on ne peut pas dire que « Wonderful land » permette de terminer l’album en beauté.

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Néant. PLAISANT (3,5) : Here. INTERESSANT (3) : Valley of the birds, In heaven she walks, Silver into blue, Blue sky, Miss you. EMOTION LIMITEE (2,5) : In a while, Joy de viva, Daddy’s riding the range, Summer in the city, Wonderful land. Bilan 2,86 et Top 5 à 3,10 : WRITTEN IN RED cote pour moi 2,98 soit 11,92 /20.

L’impression ressentie à l’écoute de cet album est que les mecs se sont trompés d’époque. Ils nous balancent en 1997 un truc très années 80, pas catastrophique mais très édulcoré. Au moment où Radiohead sort O.K COMPUTER, évidemment, ça fait mal, surtout après le très réussi ABOUT TIME.





TRANSATLANTIC
BRIDGE ACROSS FOREVER


Le 20 Juin 2025 par BAKER


Tiens, je n'eûsse point osé mettre de note ? Ah bah 5:5 : Stranger, je veux que ce soit ma chanson de funérailles. Rien que ça. (la version de 22 minutes, pas les 4 minutes de bonus).

Il y a tout : mélodies qui s'auto-citent, grosse batterie, vocalises à la Beatles, coté live assumé (ouais Roine, sur le premier titre tu fais des pains, pour pas dire des baguettes !!!), les deux epics sont magnifiques mais e sont les deux autres morceaux qui font de cette oeuvre un grand bijou. Je ne vois pas un amoureux des Beatles ne pas écouter Suite Charlotte Pike une fois dans sa vie. Et je ne suis PAS un amoureux des Beatles.

Grand disque, et au cas où vous ne le sauriez pas, la plus grande et efficace mélodie est signée du bassiste Pete Trewavas. Ce n'est pas la première fois mais ce ne sera surtout pas la dernière.





VAN HALEN
VAN HALEN 2


Le 20 Juin 2025 par IEN


Un peu plus pop que l'album précédent.

Je l'ai beaucoup écouté à cause de tout ces petits trucs musicaux géniaux :

- l'intro sans attaque de la guitare sur le premier titre
- L'intro simple mais efficace du deuxième ( et les chœurs du refrain bien sûr)
- La basse et la batterie de "outta love again"
- L'intro (encore?!) déglinguée, les couplets et la fin de "light up the sky"
- Découvrir ce qu'il est possible de faire avec une simple guitare classique sur "spanish fly" (franchement c'est pas humain).
- Les harmoniques suivies de l'entrée simple de la batterie de "Women in love".

La pochette n'est pas terrible, dommage.





VAN HALEN
OU812


Le 20 Juin 2025 par IEN


46 minutes qui passent bien vite.
L'album est très varié, aucun titre faible et Alex a arrêté de faire le con avec sa batterie.
Pour moi c'est parfait.





VAN HALEN
5150


Le 20 Juin 2025 par IEN


Dommage que le son de batterie d'Alex soit si pénible.
La plupart des chansons sont excellentes mais je préfère largement les écouter sur le live "right here right now".

La pochette est excellente, j'ai toujours aimé ce vert.





MONOLAKE
STUDIO


Le 20 Juin 2025 par LEEK


Robert Henke c'est l'anti Ibiza : tout à fait juste, musique cérébrale, riche, profonde, très soignée, loin des boom booms commerciaux et putassiers.
Tous ses albums me plaisent, avec une préférence pour le très ambient "Silence".





ORELSAN
PERDU D'AVANCE


Le 20 Juin 2025 par BLUEMASK


A ses début, Orelsan avait fait un mini-scandale dans la cour de récré médiatique. Il est vrai que ce disque regorge de références en apparence bien misogynes, avec un respect à géométrie variable du sexe féminin. A géometrie variable, car finalement les paroles parlent du même ton autant les mecs et les filles. Mais Orelsan est un homme.
Les paroles sont bien le point fort du disque. Ce mec a du talent, dans ses punchlines, dans ses textes, et sait utiliser son flow maladroit pour les renforcer. Pas de géopolitique ni de colère des cités, Orelsan est un peu le Titeuf du rap, l'Olivier Adams du hip-hop, en racontant les délires nazes des ados des banlieues pavillonnaires, entre glandes entre glandeurs, beuverie à la despé, fixette sur le cul se terminant en branlette dans les chaussettes. C'est assez limité en soi, mais vraiment, le disque s'écoute pour le plaisir des textes cyniques, drôles, vulgaires avec cette naïveté et cette touche de tendresse qui en font tout le sel.
Pour le reste, les instrus sont relativement médiocres, et la plupart des morceaux sont à un moment gâchés par des voix trafiquées et/ou des refrains niveaux maternelle grande section. D'ailleurs 'Courez courez' avec sa musique cocotte funky sympa, son refrain sobre et sans effet est le seul titre excellent de bout en bout.





BLACK SABBATH
CHILDREN OF THE SABBATH


Le 20 Juin 2025 par CLANSMAN57

Allons-y pour un Top 5, puisque c'est si gentiment proposé:)
Sans ordre de préférence:
1) Black Sabbath
2) Sign Of The Southern Cross
3) Die Young
4) Children Of The Grave
5) Solitude





DALIDA
MANUEL


Le 20 Juin 2025 par CLANSMAN57

"Gigi L'amoroso" fait partie de ces titres que je n'appréciais guère étant plus jeune. Maintenant, c'est un plaisir de l'écouter.
Un des grands tubes de Dali, bien que je préfère sa suite, le terriblement dansant et quasi épique "Gigi in Paradisco".





The SEX PISTOLS
NEVER MIND THE BOLLOCKS : HERE'S THE SEX PISTOLS


Le 20 Juin 2025 par BLUEMASK


Quand on donne son avis sur un disque, doit on ne considérer que sa stricte qualité musicale ou doit on embrasser sa position dans l'histoire du genre? Il est délicat de séparer le blanc du jaune d'oeuf.
Musicalement, avec 'NTB' on tient là un bon disque de punk rock, direct, bien produit avec ces couches de guitares, avec de vraies accroches mélodiques et son lot d'hymnes. Les Sex Pistols n'ont rien inventé, mais ils font bien, sans toutefois atteindre l'excellence, avec notamment quelques titres bien moyens ('Problems', 'New York', 'Seventen', 'Liar')
Si on se place dans le roman du rock, par contre, ce disque est une icône. Pour pleins de bonnes ou mauvaises raisons, c'est un disque essentiel, quintessensiel, qui ferait probablement partie des 10 albums permettant de retracer l'histoire du rock.
Ca va se décider à plouf plouf entre 3 et 5 'Plouf plouf, ma grand-mère a 3 cochons, un qui pue, un qui pète, un qui sent la cigarette, mais comme le roi et la reine ne veulent pas ce ne sera pas toi'.





SIMPLE MINDS
ONCE UPON A TIME


Le 20 Juin 2025 par NONO

@Bruno : à comparer les deux albums que vous citez (celui-ci et le précédent), je préfère largement celui-ci. Le précédent (Sparkle in the rain) amenait, certes, une certaine "standardisation tube", mais de manière assez maladroite (production brouillonne, disparité) , alors que celui-ci est plus homogène, bien que varié. Un équilibre bien plus digeste.





SIMPLE MINDS
ONCE UPON A TIME


Le 20 Juin 2025 par BRUNO

@nono vous avez parfaitement raison, et comme disent certains artistes de l'époque (même 60 et 70) : "c'est plus difficile de faire simple que complexe" (sous entendu pour avoir du succès évidement).
Sur cet album et le précédent le style est beaucoup plus direct, ça déçoit les fans de la première heure mais ça n'enlève pas le fait qu'ils sont tout de même intéressant à écouter.





DALIDA
JULIEN...


Le 19 Juin 2025 par MARTIN LA BOTTE

"Vado Via (je m'en vais)" avait bidé en 73, contrairement à la version originale italienne de DRUPI qui avait cartonné, DALIDA et ses auteurs n'en ayant fait qu'un doublon sans intérêt.
"Paroles, paroles"... en voilà une cover extrêmement habile et séduisante et quelle lumineuse idée d'avoir fait appel à DELON pour les débiter.
"Il venait d'avoir 18 ans", peut-être la chanson la plus forte et la plus audacieuse de DALIDA, je la situe au même niveau que "Comme ils disent" d'AZNAVOUR : très haut.





EMEZI
30°


Le 19 Juin 2025 par JOVIAL

Je suis, un peu contraint et forcé pour plusieurs raisons, la carrière de Perynn Bleunven depuis quelques années et si je dois bien reconnaître qu'elle a beaucoup de talent, j'ai toujours eu du mal avec son approche. Je trouve sa musique d'une niaiserie absolue, à tel point que j'ai pris ses premières compositions (de même que sa série Youtube "C'hwi a Gano") pour une parodie. Je ne note pas, je n'aime pas, même si je dois reconnaître que l'album est admirablement bien composé et produit.





DROID BISHOP
ELECTRIC LOVE


Le 19 Juin 2025 par BORAHKRETH

Surpris mais heureux de voir du DROID BISHOP ici. Je ne connais pas cet EP, mais par contre j'ai beaucoup écouté le suivant, "The Irrelevance of Space & Time", qui est très fortement recommandable. Le premier morceau en particulier est un éclair de génie.





ALICE COOPER
TRASH


Le 19 Juin 2025 par BLUEMASK


Un album à classer dans la catégorie "plaisir coupable".
Cela commence avec "Poison", point d'orgue du disque et qui donne le ton. ALICE COOPER est là pour fracasser la banque et tout est fait en ce sens. Le titre est monté autour de son refrain imparable, on expédie bien vite les couplets pour s'en péter les tympans de plaisir et quand le 3ème refrain est doublé d'un 4ème avec les guitares lead derrière, attention devant, ça colle au doigt, c'est l'extase.
Ce titre est génial, est d'une putasserie finie, s'assume comme tel et tout le reste est l'avenant.

Tous les titres sont des monstres tapineurs de Hard Glam FM, avec des refrains à chanter sous la douche, des riffs catchy, des solos débridés. Les ballades sont lourdes et jouissives comme des pâtisseries tunisiennes.
Parfois, on frise l'embardée, le hors-jeu, le plaquage haut, comme sur ce "House Of Fire" au refrain "Bon Jovien" un poil trop niais.

Alors, oui, les pisse-froids peuvent juger que ce n'est pas le ALICE COOPER des 70's et même d'ailleurs ce n'est pas vraiment ALICE COOPER tant "Only My Heart Talkin'", "House Of Fire", "This Maniac..." sont des titres d'AEROSMITH, de BON JOVI, de DEF LEPPARD... Mais on peut aussi s'en cogner, la musique ce n'est pas qu'un cours d'Histoire, c'est aussi du plaisir. Coupable.





Bruce SPRINGSTEEN
NEBRASKA


Le 19 Juin 2025 par BAKER

Un biopic va sortir, se concentrant sur cette période du Boss et le façonnage du disque. J'espère qu'ils vont consacrer une petite partie aux nombreux soucis techniques car ils sont aussi passionnants, quand bien expliqués, que les tourments du Boss à l'écriture. En gros : les studios de CBS (encore eux !) sont trop technologiques pour pouvoir dupliquer une pauvre cassette 4 pistes amateur.

Je rêve debout.... mais sait-on jamais.





JOURNEY
FREEDOM


Le 19 Juin 2025 par SPI


Il s'agit bien de Narada Michael Walden qui avait travaillé avec Mahavishnu et Jeff Beck (Wired) entre autres. Narada Walken, je ne sais pas qui c'est.

Sinon, "Freedom" est un très bon album de Journey (que j'écoute encore régulièrement)





DALIDA
IL FAUT DU TEMPS


Le 19 Juin 2025 par MARTIN LA BOTTE


Je ne peux pas reprocher à DALIDA de dénaturer ou de massacrer les grands classiques du répertoire, ce serait totalement injuste, puisqu'elle est indéniablement une belle interprète. Il n'empêche que je préfèrerai toujours, et de très loin, "Que reste-t-il de nos amours" par TRENET ou "Avec le temps" par FERRÉ ! Et je n'ai pas plus envie que ça de me repasser les propositions de DALIDA après découverte et réécoute.
Même "Je suis malade" sur le suivant, en dehors du fait que j'apprécie très modérément cette chanson, je la préfère par LAMA (et en 2025, on ne doit plus être nombreux dans ce camp) que par tous ceux et celles qui s'y sont collés après lui. Dans les autres reprises quasi immédiates qui ont moins accédé à à la postérité, "L'amour qui venait du froid" qui n'est en fait que le pendant masculin de "Sonia" (devenue "Illia" pour la dame) du débutant JUVET; là encore, je préfère la version néo-yéyé du damoiseau suisse. Et "Mamina", là, il n'y a pas photo, je l'ai toujours aimée par son créateur, Pascal DANEL, toute en sensibilité retenue, moins tragique que par DALIDA, mais finalement plus forte par son acceptation de la fin proche, cachée sous l'apparent calme des douces recommandations du fils à la mère.
Au rayon plus créatif, je n'aime pas du tout l'opportuniste "Jesus Kitsch". C'est pas parce que DALIDA a fait de son rapport amoureux à ses cheveux la marque de ses prestations scéniques qu'elle va me paraître crédible sur cette parodie de "Hair". "Ma mélo-mélodie", le couplet me fait penser à du Marcel AMONT et le refrain à celui de "En frappant dans nos mains" (Mireille MATHIEU, la même année), bof. Et bof aussi pour "Et puis... c'est toi" qui ressemble à toutes ces chansons plus ou moins efficaces dont étaient friands la France, le Luxembourg et Monaco dans les années 70 pour remporter le Concours Eurovision. Là, ça serait plutôt moins et je parie rétrospectivement que DALIDA aurait fini entre la 7e et la 11e place.

Mais il y a aussi du bon, voire du très bon ! Dans celles qu'on ne présente plus, la chanson du "Parrain", "Parle plus bas", superbe. "Pour ne pas vivre seule", forte, courageuse, lucide avec une très belle interprétation. Et puis la jolie surprise qui donne son titre à l'album "Il faut du temps", avec le grand Guy MARCHAND, inattendu à l'écriture. Je la trouve magnifique cette chanson sur le manque douloureux de l'être aimé vécu au présent avec comme seule dérisoire bouée de sauvetage, la pensée que le temps fera son affaire et estompera ce chagrin-là, mais pas forcément pour des jours meilleurs : "car il me reste bien des pleurs pour affronter d'autres malheurs..."







Commentaires :  1 ...<<...<... 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 ...>...>>... 1159






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod