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MARILLION
HOLIDAYS IN EDEN


Le 17 Juillet 2024 par MASTERFAN


[i]Hoù là ! D’où qu’il est, le logo Marillion ? Et c’est quoi s’te prod soft-FM ?[fi]. En forçant le trait, on a ici un résumé des principales réactions suscitées en 1991 par HOLIDAYS IN EDEN, le sixième album de Marillion. Quant aux pro-Fish, déjà pas forcément honnêtes avec le dernier opus, il se gaussaient d’autant plus.

HOLIDAYS IN EDEN est à la fois très proche et très loin de SEASON ENDS. Même équipe, même justesse, même savoir-faire. Pourtant, l’impression qui domine est d’écouter un SEASON ENDS qui serait en partie passé dans une machine à laver les émotions. Le jeu de batterie standardisé serait-il le seul responsable de cette 'aseptisation' ? Ou les claviers moins imaginatifs ? Difficile à dire. Les compos en elle-mêmes sont moins lumineuses, la plupart des couplets sans grand intérêt, et les refrains ne sauvent pas toujours la mise.
"Splintering Heart" reste une très bonne entame malgré tout. Les très propres sur eux "Cover My Eyes" et "No One Can" prennent le train U2-SIMPLE MINDS qui commençait déjà à l’époque (surtout pour les seconds nommés) à accuser un certain retard, tandis que "The Party" réussit lui à conserver sa dose d’émotion. "Holidays in Eden" est la partie obligée plus rock et, comme on dit en foot, ça reste là aussi un peu 'téléphoné'.

"Dry Land" est sauvé de l’ennui par la vista vocale de H sur le refrain. Un peu plus compliqué pour "Waiting to Happen". Allez, voilà Steve Rothery qui s’énerve sur "This Town". Comme dirait Anémone dans [i]Le père Noël est une ordure[fi] (et sans vouloir me moquer), je ne peux pas dire que je n’aime pas. On ne voit pas passer "The Rakes Progress" et on ne se rend même pas compte qu’on est déjà arrivé au bout du chemin sur "100 Nights", jusqu’à ce que Steve nous réveille au milieu du morceau, les autres se lâchant enfin avec lui. On pense alors à une fin épique et bien non, l’album se termine finalement gentiment, renforçant l’impression globale.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : "Splintering Heart", "The Party". PLAISANT (3,5) : "Cover My Eyes", "No One Can". INTERESSANT (3) : "Dry Land", "Holidays in Eden", "100 Nights", "This Town". EMOTION LIMITEE (2,5) : "Waiting to Happen", "The Rakes Progress". AUCUNE EMOTION (2) : Néant. Bilan 3,20 et Top 5 à 3,60 : HOLIDAYS IN EDEN cote pour moi 3,40 soit 13,60 /20.

Voilà un album typique porteur du syndrome SSP (Sympa Sans Plus). C’est embêtant à cette période où le rock indé explose et commence à explorer des tas de nouvelles contrées, bien plus excitantes que les resucées des 80’s. Ce disque est surtout pour les fans souhaitant se faire 'la totale'.





Rickie Lee JONES
RICKIE LEE JONES


Le 17 Juillet 2024 par IEN


Je suis né en 78 et aussi loin que je me souvienne ce disque m'a accompagné. Je ne m'en lasse pas. Pas de titre à faire ressortir du lot, pour moi tout est bon.

Je ne me rends compte que maintenant des noms des musiciens qui ont joué sur cet album, c'est impressionnant !





PHANTOM WAVE
BONFIRE SECRETS


Le 16 Juillet 2024 par RICHARD

Oui, car au-delà de ce manque de professionnalisme (je reste optimiste), le groupe mérite vraiment une écoute attentive. Comme je l'indique dans ma chronique, le trio dépoussière quelque peu les meubles shoegaze et c'est plutôt salvateur.





SATAN JOKERS
ADDICTIONS


Le 16 Juillet 2024 par SWISSIDOL


Un bon album écrit sous l'égide du désormais célèbre addictologue Laurent Karila (que j'aperçois sur France 2 de temps en temps) ; une sorte de concept album sur la drogue. Musicalement, ça le fait avec la hargne de "Appétit Pour L'Auto-Destruction", "Dealer" ou les plus 'F.M' "Une Semaine En Enfer" ou "Substance Récompense". Entre les deux, quelques ambiances mystérieuses comme sur "Puzzle Cérébral" et on obtient un bon album de Hard français. De Hard tout court.





PASSENGER
LIVE FROM SAN FRANCISCO


Le 16 Juillet 2024 par BORAHKRETH

Je n'avais jamais entendu parler de cet artiste, et ne comprenait pas très bien à quoi faisait référence le chroniqueur, jusqu'à aller sur Youtube et découvrir que le morceau "Let Her Go" a PLUS DE 3,6 MILLIARDS DE VUES. Ceci explique pas mal de choses. Je ne comprends pas comment j'ai pu ne jamais en entendre parler, là où un MUMFORD AND SONS, bien que n'ayant jamais de tels chiffres, soit pourtant beaucoup plus connu, ou en tout cas, médiatisé.

Je n'ai pas encore creusé ni l'album de 2012, ni ce live, mais au moins par curiosité, je vais y jeter une oreille attentive





ROXY MUSIC
MANIFESTO


Le 16 Juillet 2024 par BLUEMASK


Le Roxy Music dans son incarnation rock de dance-floor, assez loin des experimentations de Brian Eno, mais toujours près du talent et de la classe internationale. Pas le meilleur, mais quand Bryan Ferry faiblit, est ce un signe de mediocrité?





PHANTOM WAVE
BONFIRE SECRETS


Le 16 Juillet 2024 par MR TINKERTRAIN

"Pas un mot de remerciement, une faute sur mon nom et mon adresse et le disque dans une simple pochette cartonnée totalement vierge avec en prime 10 euros de taxe" c'est juste qu'ils aiment pas la France eux non plus. Bref ça me donne bien envie d'aller écouter ça sur bandcamp si existant....





The BEACH BOYS
CARL AND HIS PASSIONS - SO TOUGH


Le 15 Juillet 2024 par FOUDROCK


Un excellent album, le premier avec la paire Fataar/Chaplin, un disque assez peu connu des masses, mais qui renferme de très bonnes choses (même si je ne suis pas fan du tout de l'ode à la masseuse de Brian, "Marcella").





MATMATAH
LA OUACHE


Le 15 Juillet 2024 par PAGANIZER


Un excellent premier album !
Ce qui m'a toujours impressionné concernant ce dernier, c'est le nombre de gens qui pensent que c'est le seul et unique album du groupe. Certains pensent même qu'ils n'ont sorti que 3 titres. ("Emma", "Lambé an Dro" et, bien sûr, "L'apologie").
Ceux qui ne se sont pas arrêtés au phénomène de 1998 savent que c'est sur les albums suivants que les Bretons ont commencé à proposer de bien meilleures choses, en prenant plus de risques et en s'appuyant plus sur les textes.
"La Ouache" se devait de frapper fort. L'album a donc ce côté 'accessible' afin de ratisser large dans un premier temps.
Le groupe a pu ensuite passer aux choses sérieuses, quitte à perdre une partie du 'grand public'.
Résultat : "Rebelote", l'album suivant, est une oeuvre qui n'a pas eu besoin du même 'effet WOW' que son prédécesseur pour devenir un indispensable.
Et que dire de leur dernière production en date, si ce n'est que c'est une petite merveille ?





ABBA
THE ALBUM


Le 15 Juillet 2024 par NONO


@Masterfan : THE ALBUM est une fois encore un mélange de fulgurances incroyables et de nouvelles tendances quelque peu douteuses" : C'est exactement cela !
On a l'impression que plus Abba avance dans sa carrière, plus il y a d'écart entre, d'une part, une amélioration continue (mélodies plus finement ciselées, meilleure production), mais aussi d'autre part cette volonté de toujours garder un pied dans le passé, mais un passé qui n'est pas du meilleur goût : ce côté bal populaire, de la variétoche bavaroise limite 'la Mélodie du Bonheur'. Bon là, je vais loin mais vous voyez ce que je veux dire ? Le groupe va définitivement lâcher ce style à partir de l'album "Voulez-Vous", quoique ça reviendra un peu après avec "Andante Andante".





BLANKENBERGE
EVERYTHING


Le 15 Juillet 2024 par BORAHKRETH

La publication d'une nouvelle chronique de Blankenberge m'a poussé à me remettre dans ce groupe qui pour ma part me transcende (j'en profite pour remercier Richard, le chroniqueur, pour m'avoir fait découvrir ce groupe qui m'est très cher et pour ses chroniques récentes qui m'ont poussé à creuser le reste de la discographie).

Je pense au concept 'd'âmes soeurs' quand j'écoute Blankenberge. Instantanément, c'est comme si je les avais toujours connus, comme si on me prenait dans les bras, comme une présence familière et rassurante.

Je veux bien croire les experts en shoegaze qu'il y a mieux et qu'ils ne réinventent rien. Mais pour ma part, les Slowdive et consorts m'emmerdent, je ne ressens rien. Je trouve ça joli mais ça s'arrête là.

Je me réécoute à l'instant "So High", et j'espère de tout mon coeur que, s'il y a une vie après la mort, on nous accueille avec au moins ça. Ou 'Different'. Sinon, ça ne m'intéresse pas.

Je ne remets pas de note, et l'album mérite sans doute un 4/5 plutôt qu'un 5/5, mais des groupes qui dès la première écoute m'ont fait pleurer et dont je veux la musique à mon enterrement, il n'y en pas des masses, donc merci à eux.





The CURE
THE TOP


Le 14 Juillet 2024 par MASTERFAN


THE TOP est le 5ème 'vrai' album de Cure en 1984. Il s’agit d’un album totalement barré, situé entre les monuments que sont PORNOGRAPHY et THE HEAD ON THE DOOR.

La pochette et ses couleurs psychédéliques ne trompent pas, on sait d’où provient l’essentiel de l’inspiration, par contre le résultat ne débouche pas sur quelque chose de morbide comme deux ans auparavant. L’esprit reste assez proche de celui d’HYAENA, autre sujet du moment de Robert Smith avec les Banshees (sorti en juin 1984), pour un autre trip kaléidoscopique.

On n’a pas ici affaire à un album 'coup de foudre' immédiat où toutes les couleurs pourraient apparaître très vite (pour cela, il faudra attendre le suivant). C’est difficile de se faire une idée fixe sur cette œuvre assez unique en son genre, où Robert Smith semble inventer un nouveau concept, le 'n’importe quoi' cohérent.

"Robert in the Sky With Diamonds" commence par le superbe "Shake Dog Shake", création à la Frankenstein, sorte de mix contre-nature entre PORNOGRAPHY et JAPANESE WHISPERS. Je ne vois aucun autre grand morceau ici. Et au final, honnêtement, pas grand-chose à jeter non plus. Le temps lui-même ne parvient toujours pas à me donner de certitudes sur cet album qui me laisse surtout en tête :

- l’ambiance particulière de "Wailing Wall",

- l’énergie belliqueuse de "Give Me It", d’ailleurs sûrement du fait de la présence de ce morceau sur une de mes madeleines personnelles, le The Cure Live 1984, je ne suis donc peut-être pas très objectif là-dessus.

- la folie de "Bananafishbones" dont les versions live sont plus convaincantes que celle de l’album.

- le retour aux fondamentaux de l’éponyme "The Top", pour lequel Robert Smith semble dire à sa base de fans désabusés : 'Bah, au fait je suis toujours là, restez pas trop loin quand même'.

On est surtout content ici de voir que Robert va plutôt pas mal, aussi déçu que "The Caterpillar" reste dans la lignée 'pépère' des singles de JAPANESE WHISPERS.

Mon impression finale est que ça reste du solide, qu’on n’est loin de s’emmerder, mais que le Robert a dû tripper, en le faisant, un peu plus que nous en l‘écoutant.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "Shake Dog Shake". SEDUISANT(4) : "Wailing Wall", "Give Me It", "Bananafishbones", "The Top". PLAISANT (3,5) : "Bird Mad Girl", "Dressing Up", "The Caterpillar", "Piggy In the Mirror", "The Empty World". Bilan 3,80 et Top 5 à 4,10 : THE TOP cote pour moi 3,95 soit 15,80 /20.

L’investissement sur la version Deluxe de l’album me paraît discutable. Quelques démos intéressantes, dont celles de "Happy the Man" (3,5) et "Throw Your Foot" (3,5), les faces B de “Caterpillar”, et aussi quelques versions live. La seule certitude que j’ai ici, c’est qu’il vaut mieux éviter de tenter de découvrir les Cure par ce chemin. THE TOP est un vrai album de fans du groupe.





ABBA
THE ALBUM


Le 14 Juillet 2024 par MASTERFAN


En 1977, un an après ARRIVAL, Abba continue sa cavalcade à un rythme effréné en nous balançant THE ALBUM. "Eagle", le premier titre au refrain limpide, est très rafraîchissant. Il y a beaucoup à dire sur ce titre. C’est le plus long de l’oeuvre d’Abba, l’un des favoris des fans ‘hardcore’ du groupe et à l’inverse l’un des moins connus du grand public. Compo riche, aux arrangements d’une grande finesse, tout cela était certainement beaucoup trop recherché musicalement et mélodiquement pour atteindre les sommets des charts en France. "Eagle" ne ressemble donc à aucun autre titre d’Abba et tire clairement sur la fin vers le rock progressif. Certainement (avec "The visitors" sur l’éponyme) l’un des morceaux les plus fins et profonds (les détracteurs diront 'respectables') des 2 B, qui ne s’use pas avec le temps.

Virage à 180 degrés, "Take a Chance On Me" voit le retour d'Abba à une évidence et une efficacité désarmantes, déconcertantes. Inusable aussi, mais dans un autre genre. Arriver à composer un truc comme ça, avec toujours ce travail sur les voix et les harmonies, ce n’est pas donné à tout le monde et on sait désormais que les garçons peuvent jouer dans la cour des autres B (Beatles, Bee Gees, Beach Boys).

Si le début de "One man, one woman" n’échappe pas au côté 'guimauve', les filles parviennent à se surpasser lors du refrain. C'est moins le cas de 'The Name of the Game" qui m’a toujours semblé surestimé par rapport à son intérêt réel.

Seconde face : ceux ou celles qui arrivent (et franchement ce n’est pas facile) à supporter la première minute de "Move on", d’une ringardise assez insurpassable, seront récompensés : les réécoutes donnent au refrain un répondant exceptionnel, magnifique perf encore de ces dames qui un peu comme sur "One Man, One Woman", finissent presque par transformer la citrouille en carrosse. Un refrain dangereux, une fois qu’il est en tête, difficile de s’en débarrasser.

Déception en revanche avec "Hole in Your Soul", variéto-rock sans grande profondeur. Pas désagréable mais inoffensif (sur mes neurones en tout cas), caractéristique d’un autre groupe mixte qui cartonnait en cette même année 1977.

THE ALBUM s’achève par une pièce de trois morceaux intitulée "The Girl With the Golden Hair". L’entame, "Thank You For the Music" est assez connue dans le répertoire du groupe, je ne les remercierai pas spécialement pour celle-là (le côté 'Hollywoodien des années 50', pareil, ça me fait très peu vibrer). Et encore moins pour le gnan-gnan "I Wonder".

Pour terminer, un grand ouf, Björn et Benny, comme pour "Eagle", ont la bonne idée de sortir de leur zone de confort avec "I’m a Marionnette" qui pourrait évoquer l’esprit de certains morceaux du SCHOOL’S OUT d’Alice Cooper, lorgnant eux-mêmes sur Leonard Bernstein : ce titre atypique chez Abba est une réussite et clôture en beauté l’album.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "Eagle". SEDUISANT (4) : "Take a Chance on me", "Marionnette", "Move on". PLAISANT (3,5) : "One man, one woman". INTERESSANT (3) : Néant. EMOTION LIMITEE (2,5) : "The name of the game", "Hole in my soul", "Thank you for the music". AUCUNE EMOTION (2) : "I wonder". Bilan 3,28 et Top 5 à 4 : THE ALBUM cote pour moi 3,64 soit 14,56/20.

Même sentiment au final que pour ARRIVAL. THE ALBUM est une fois encore un mélange de fulgurances incroyables et de nouvelles tendances quelque peu douteuses, qui vont renforcer le clivage naissant entre fans définitifs et détracteurs du groupe.





NO-MAN
LOVE YOU TO BITS


Le 13 Juillet 2024 par MR TINKERTRAIN


Ce mini-album se laisse bien écouter, court, rythmé et électro. Seul un passage avec solo de guitare juste atroce fait souffrir les oreilles et fait louper le coche. Surtout que Steven Wilson, merde !





ABBA
ARRIVAL


Le 13 Juillet 2024 par NONO

... pour ajouter ceci : Effectivement, Agnetha a chanté davantage de 'gros tubes' que Frida qui chantait souvent les chansons moins connues voire les 'fillers'. Néanmoins, je ferai 2 exceptions : Frida chante "Super Trouper", qui est vraiment un de leurs meilleurs hits, et également "Me and I" (titre très peu connu) que je place dans mon Top 5 (oui, je dis bien Top 5) de mes chansons favorites du groupe.





ABBA
ARRIVAL


Le 13 Juillet 2024 par NONO

@Martin La Botte : En fait, Frida change beaucoup d'une époque à l'autre, notamment sa coiffure, ce qui lui donne des styles totalement différents... alors qu'Agnetha est restée plus "constante" dans son apparence je trouve.





ROXY MUSIC
MANIFESTO


Le 13 Juillet 2024 par BLUEMASK


Le Roxy Music dans son incarnation rock de dance-floor, assez loin des experimentations de Brian Eno, mais toujours près du talent et de la classe internationale. Pas le meilleur, mais quand Bryan Ferry faiblit, est ce un signe de mediocrité?





ABBA
ARRIVAL


Le 12 Juillet 2024 par MARTIN LA BOTTE

@Nono : les gars (ou filles) qui craquaient plus pour Frida que pour Agnetha ne sont pas si rares que ça, je pense en avoir croisé autant qui louaient le chien de la rousse (car Frida n'était pas franchement brune et "les rousses ne comptent pas pour des pamplemousses") que la joliesse de la blonde. "Filiforme", ce n'est pas immédiatement ce que m'évoque Agnetha, elle avait au contraire des formes épanouies, notamment de dos.
Perso, je ne suis jamais arrivé à trancher. Des fois, je préfère Frida, des fois, je préfère Agnetha, des fois, Bjorn...
En revanche, et malgré mon plaisir toujours intact à écouter "Fernando", "Money, Money, Money" ou surtout "Knowing me, knowing you", je me suis rendu compte que j'avais tendance à préferer les morceaux avec Agnetha en lead : "The Winner takes it all", "One of us", "Take a chance on me", "Lay all your love on me", "Head over heels", "Gimme, gimme, gimme", "Dance (while the music still goes on)" et ce qui est pour moi le MUST absolu d'ABBA, "SOS".
Si on ajoute les titres que les 2 filles se partagent et que j'aime bien ou beaucoup ("Dancing Queen", "Waterloo", "Mamma Mia" ou "Bang a boomerang"); si les tubes que j'aime pas trop de chacune en lead "Chiquitita" (Agnetha) et Super Trouper (Frida) se neutralisent et s'il n'y a pas photo entre les 2 seuls titres que je connais réellement de chacune en solo "Wrap your arms around me (Agnetha) que j'aime beaucoup et "There's something going on" (Frida) que j'aime un peu, la victoire musicale est sans appel à mes oreilles et revient à AGNETHA. ;)





UK
NIGHT AFTER NIGHT


Le 12 Juillet 2024 par CHRISNAKE


Notation sévère du chroniqueur, album acheté au début des années 80 que j'ai énormément écouté. Le titre d'ouverture est loin d'être un navet et préfigure un style plus FM à la Asia. "Time to kill" est aussi un très bon titre (peu apprécié aussi du chroniqueur sur le premier album). Si Jobson a tendance à en faire un peu trop, il faut prendre en compte l'absence d'un guitariste et son violon électrique le remplace avantageusement. On peut désormais trouver en version Deluxe l'intégrale du concert avec pas mal de titres en bonus et aussi des solos comme celui de basse de John Wetton assez dispensable.





Rod STEWART
BODY WISHES


Le 11 Juillet 2024 par NONO

Je viens de réécouter les quelques titres que j'aime dans cet album... (ils ne sont pas nombreux !). Pour revenir à "Baby Jane", ça me désespère et ça me frustre. Pourquoi ? Car au demeurant cette chanson est bonne, mais voici l'archétype d'un bon titre gâché par une production absolument épouvantable. Le son est vraiment terrible, y a pas à tortiller. Cette caisse claire sans aucune profondeur, au son métallique, et ce son global bien trop dans les aigus, me fait limite mal aux tympans.
Ca vaut aussi pour un autre titre plutôt sympa : "What am I gonna do", mais "Baby Jane" sonne encore plus mauvais je trouve.
Oui c'est 1983 mais bon... Il y avait des albums de cette période qui ont bien mieux vielli.
Pour Baby Jane, je mets un 2.5, mais je ne change pas pour l'album : ça vaut toujours un petit 2.







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