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ABBA
ARRIVAL


Le 11 Juillet 2024 par NONO

@Masterfan : A propos du clip de "Fernando" , on notera que cette prise de vue des chanteuses : montrant l'une de face et l'autre de profil, est récurrente dans leurs clips. Je crois que le clip de "Knowing me knowing you" est filmé pareil. Et quant au charme des chanteuses, je fais partie de très rares à plutôt pencher pour Anni-Frid... Agnetha est évidemment sublime aussi mais je trouve son charme un peu trop "évident" (oui ça fait bizarre de dire ça mais bon... le stéréotype de la blonde filiforme ne "prend" pas entièrement sur moi... c'est ainsi... "Les brunes comptent pas pour des prunes, Aiaiaiaia... !" LOL)





MARILLION
SEASONS END


Le 11 Juillet 2024 par MASTERFAN


Les années 80 tirent à leur fin lorsque Marillion dégaine son 5ème album SEASONS END, le premier sans Fish, remplacé par Steve 'H' Hogarth. Les fans se trouveront désormais à jamais divisés en deux camps, les pro Fish et les pro H.

Un seul morceau, "The king of Sunset Town", suffit pour se faire une première idée : le nouvel entrant a idéalement trouvé sa place. Le second, "Easter", laisse peu de doute : avec ce premier classique, Steve Hogarth semble même largement meilleur que Fish en matière de technique vocale et plus agréable dans le grain.

Avec le convaincant, "The uninvinted guest" et surtout le superbe "Seasons End", l’affaire semble déjà entendue : Marillion a réussi sa mue et l’émotion qui s’était parfois perdue en cours de route du côté de "Clutching" fait son retour : on n’avait plus vibré comme ça depuis le phénoménal troisième album.

On reste dans des ambiances assez tranquilles avec "Holloway Girl" et "Berlin" où l’on découvre petit à petit la palette de H. "After Me" enfonce le clou. Les musiciens jouent superbement bien, l’inspiration est bien là, la symbiose de groupe prégnante.

Le passage obligé du single un peu plus rock est "Hooks In You", beaucoup plus supportable que "Incommunicado". On termine sur la bien jolie pièce "The Space", au refrain imparable : cela fait plaisir de revoir Marillion à ce niveau.

Le seul doute à ce moment de leur carrière subsiste dans la variété des climats que H saura aborder, la force de Fish étant de savoir nous emmener à peu près partout là où il voulait, dans des ambiances différentes. Ici, à l’exception de "Hook In You", plus rock, le climat reste relativement uniforme sur tous les titres. Il faudra donc voir pour la suite. Pour l’heure, tous les voyants sont au vert.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "Season Ends", "The Space". SEDUISANT (4) : "Easter", "The Uninvited Guest", "After Me". PLAISANT (3,5) : "Holloway Girl", "Berlin". INTERESSANT (3) : "Hooks In You", "The king of Sunset Town". Bilan 3,77 et Top 5 à 4,20 : SEASON ENDS cote pour moi 3,99 soit 15,96 /20.

On aurait bien repris un peu de rab à la fin de cet l’album. De cette session, la version Double CD apportera les très honnêtes "The Bell in the Sea" (3,5) et "The Release" (3,5).





ABBA
ARRIVAL


Le 11 Juillet 2024 par MASTERFAN

Une précision concernant la différence de traitement entre "Why did it have to be me" et "Happy Hawaï", la première version avec une production aseptisée plus les voix pénibles des garçons est largement rehaussée par les voix des filles et une production plus adaptée sur "Happy Hawaï".





The CURE
BLOODFLOWERS


Le 10 Juillet 2024 par FOUDROCK


Un excellent cru, sans être non plus totalement exceptionnel. Mais le morceau-titre se place carrément au top en ce qui me concerne, c'est le morceau que je préfère de Cure (pas un de mes groupes préférés, même si leur "Pornography" est, lui, un de mes albums préférés), une splendeur totale (ce solo de guitare... cette fin...) qui ne cesse jamais de me faire frissonner et de me filer les larmes.





The CURE
JAPANESE WHISPERS


Le 09 Juillet 2024 par RICHARD

Entièrement d'accord avec toi MASTERFAN pour dire aussi que 'Lament' est sans conteste le morceau le plus intéressant de cette compilation. Il n'a qu'un seul petit défaut en fait. Il a été rendu plus lisse, plus pop, moins abrasif que la version originale parue pour le magazine Flexi Pop en 1982. Cette version, on la retrouve sur la généreuse compilation ' Join The Dots' (2004). Le fait que Severin le bassiste des Banshees y tienne la basse et participa à la composition n'est sans doute pas étranger à ce sentiment d'étouffement bizarre. Le projet The Glove est en marche.





James BROWN
THE PAYBACK


Le 09 Juillet 2024 par BLUEMASK


Gros album de James Brown, probablement un de ses meilleurs, même sans titre 'classique'. Ca groove velu tout du long, sur de longs morceaux aux allures de jams hypnotiques. Moins incendiaire qu'un album/compilation comme 'In the jungle groove', il développe un funk globalement un peu plus cool, à l'image de l'opener 'The Payback', avec son riff en cocotte qui tourne, tourne et tourne encore. Certains titres se rapprochent même de l'afro-beat à la Fela Kuti, comme sur 'Time is running'.
On peut trouver l'ensemble un poil long, mais en tout cas un poil bon aussi.





ABBA
ARRIVAL


Le 09 Juillet 2024 par MASTERFAN


ARRIVAL est le quatrième album d’Abba, sorti en 1976. “When I kissed the teacher” commence bien l’album, avec une inspiration “Rubettes” (Sugar baby love) qui permet de dater le morceau aussi précisément que le carbone 14. Suit le classique “Dancing queen”, un peu trop overdosé en ce qui me concerne.

“My love, my life” part dans le sirupeux avant d’être sauvé in extremis par l'alliage bien senti des voix du refrain. Le danger de nanardisation, pas encore ressenti tant que ça jusque-là, semble menacer.

De fait, cette nouvelle impression de facilité, comme si Benny et Björn expédiaient les affaires courantes, sans trop se fouler, est clairement ressenti sur le refrain de “Dum dum diddle” très typé (quelle coïncidence !) Eurovision de la chanson. Heureusement, ce retour en arrière est aussitôt corrigé par “Knowing me, knowing you”, titre pour lequel j’ai toujours eu un gros faible : le travail mélodique effectué ici m’a toujours émerveillé.

Seconde face. Grosse cartouche pour commencer avec “Money, money, money”, mais j’avoue que ce n’est pas ma préférée. Re-danger de facilité ensuite avec “That’s me”, qui ne m’a jamais convaincu, et “Why did it have to be me” encore moins. Si “The tiger” est meilleure, la sauce a du mal à remonter.

Reste le cas “Arrival” qui, quel qu’en soit l’interprète, fait toujours illusion lors de la découverte (et c’est peut-être un classique) mais au bout de 4 ou 5 écoutes, je l’ai personnellement suffisamment écouté pour toute une vie.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "Knowing me, knowing you". SEDUISANT (4) : "Dancing queen", "When I Kissed the teacher". PLAISANT (3,5) : "Money money money". INTERESSANT (3) : "My love my life", "Tiger", "Arrival". EMOTION LIMITEE (2,5) : "That’s me", "Dum dum diddle". AUCUNE EMOTION (2) : "Why did it have to be me". Bilan 3,20 et Top 5 à 3,80 : ARRIVAL cote pour moi 3,50 soit 14/20.

Ce quatrième opus dispose de très beaux atouts mais compte aussi une poignée de compos bien en-deçà. Il m'apparaît beaucoup moins puissant dans sa globalité que le précédent album éponyme.

Vraiment dommage qu’un autre blockbuster n’ait pas été à l’époque (c’est parfois réparé aujourd’hui) intégré à l’album : “Fernando” (4), chanté en lead par Frida. En 1976, je défie QUICONQUE qui est un garçon aimant les filles (ou une fille aimant les filles), de ne pas tomber immédiatement amoureux(se) de Frida lorsqu’elle chante Fernando (voir sur le Net la version Musikladen). Jamais les filles n’auront été aussi sublimes qu’à cet instant, comme le prouve le halo angélique qui les couvre pendant tout le morceau.

Bon revenons sur terre, les autres B-sides : "Crazy world" (2,5) me rappelle l’air d’un morceau de Dutronc et "Happy Hawaï" (3) n’est pas un chef d’oeuvre mais se tient.





The CURE
JAPANESE WHISPERS


Le 09 Juillet 2024 par MASTERFAN


En 1983, The cure fait sa mue avec les singles 'commandes', qui seront compilés sur cet album, plus considéré comme une compilation. Robert Smith a parfois eu l’impression de vendre son âme au diable, mais il assume. C’est le retour du gros synthé (je ne dirais pas 'qui tache') et on pourrait se poser la question du nombre de crises cardiaques chez les aficionados de la 'trilogie froide'. Au final, opération blanche car Cure gagne de nouveaux fans.

Bon, ça n’a jamais été la période ni le disque que je préfère chez les Cure, mais il faut bien admettre avec le recul que tout cela ne vieillit pas si mal. "Let’s go bed" se révèle plutôt avenant, même s’il ne mérite pas à mon sens le succès que "Charlotte sometimes" n’a pas obtenu l’année d’avant, ce qui posait question à Robert Smith et on le comprend.

Le motif introductif de "The Walk" a toujours eu le don de m’énerver prodigieusement (le son atroce du synthé plus que les notes d’ailleurs), dommage car le morceau au global est pas mal du tout. The "Lovecats", emmené par la basse, est du Cure léger, enjoué et rigolo. Voir Robert Smith minauder là-dedans, ça faisait vraiment contre-nature, un peu comme à l’inverse s’imaginer De Funès jouer un personnage de Zola.

Bizarrement, ce sont finalement les B-Sides que je retiens le plus. En particulier "Lament", objet étrange, sorte de synthèse hybride entre la période noire et le début de cette nouvelle période que certains fans n’hésitent pas à qualifier de 'putassière'. Je pense que c’est mon morceau préféré de JAPANESE WHISPERS.

"The dream" annonce les morceaux tordus de THE TOP. Le second titre que je sors du lot est "Just one kiss" qui préfigure plutôt THE HEAD ON THE DOOR. Restent "The upstairs room" et "Speak my language" qui se laissent bien écouter aussi sans être des chefs-d’oeuvre.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Lament, Just one kiss. PLAISANT (3,5) : The walk, The love cats, Let’s go to bed, The dream, The upstairs room, Speak my language. Bilan 3,62 et Top 5 à 3,70 : JAPANESE WHISPERS cote pour moi 3,66 soit 14,64 /20.

Tant qu’ils y étaient, et vu le peu de longueur de l’objet, ils auraient pu en effet y rajouter la dernière B-Side, « Mr Pink eyes » (3).

Ce ne serait pas honnête de crier au génie ici car il y a beaucoup de choses peu essentielles. La nostalgie opère toujours, c’est déjà ça.





EELS
BEAUTIFUL FREAK


Le 08 Juillet 2024 par BLUEMASK


Un disque assez emblématique de cette période des 90's où le rock indé devient mainstream. En gardant le goût des guitares parfois lourdes mais inoffensives, en faisant preuve d'une sensibilité voire douceur pop exacerbée, en s'ouvrant par petites touches à d'autres styles, country, hip hop, trip-hop ici notamment... Derrière Beck, il y a donc Eels, qui finalement aura une carrière bien plus longue.
Je n'ai jamais vraiment accroché à la voix trop voilée de 'E', comme un Lemmy Kilmister pop en peluche, mais il faut lui reconnaître son talent de songwriter, avec plusieurs titres superbes, 'Rags to rags', 'Flower', 'My beloved Monster' et le titre final qui termine superbement et en douceur ce bon disque.





The CULT
CHOICE OF WEAPON


Le 07 Juillet 2024 par BLUEMASK


Superbe disque à la première écoute, après… il manque un truc mémorable qui permet de passer outre qu’il s’agit du nieme album de The Cult. Peut être est ce le problème de ce groupe hyper attachant par ailleurs.





TRI YANN
MASTER SERIE


Le 07 Juillet 2024 par MARCO STIVELL

Bonne idée IEN, merci pour la demande, même si ce ne sera pas forcément pour ces artistes-là !





The CULT
CHOICE OF WEAPON


Le 07 Juillet 2024 par CLANSMAN57


Une sorte d'album bilan (pochette entre celles de "The Cult" et "Ceremony") qui m'avait bien emballé à l'époque (les chroniques de la presse étaient très positives), mais bon sans plus au final.
Du niveau d'un "Beyond Good And Evil", en plus varié.
L'édition limitée comprenait un CD bonus que je n'écoutais jamais.







MARILLION
CLUTCHING AT STRAWS


Le 06 Juillet 2024 par MASTERFAN


Pas facile de passer derrière MISPLACED CHILDHOOD... Pourtant, CLUTCHING AT STRAWS, quatrième album de 1987, a toujours eu une forte cote chez les fans, surtout ceux de l’époque Fish évidemment. On ne peut que constater que les thèmes abordés ici font penser aux pétages de plomb et au mal-être dont a été victime le chanteur lui-même à cette période.

Le modèle de concept-album de 2 x 5 titres ayant fait merveille deux ans plus tôt, il est reconduit à l’identique, jusqu’à reprendre la suite initiale de trois morceaux. Si « Hotel hobbies » ne vaut pas « Pseudo silk kimono » en intro, il reste une entame correcte avant que « Warm wet circle » et « That time of the night » ne laissent planer l’espoir d’un album aussi fort que le précédent, ce qui ne sera pas le cas.

« Just for the record » et « White Russian », voient surtout sur les couplets ressortir l’ombre de Peter Gabriel, qu’on avait complètement perdu de vue sur le précédent opus. Mark Kelly s’exprime avec talent à la fin du premier, et Steve Rothery assure à la fin du second, mais tout cela n’est guère subjuguant.

Changement de climat d’entrée en face B avec « Incommunicado », dont le côté rock-FM un peu balourd me gonfle : je comprends le désaccord des quatre contre Fish sur ce coup-là. « Torch song » ne rétablit pas spécialement l’enthousiasme, pas plus que « Slàinte Mhath ». L’intérêt remonte finalement avec un « Sugar Mice » bien enlevé et un «  The last straw » consistant.

A l’arrivée, CLUTCHING AT STRAWS, qui a été élaboré dans une grande tension, reste un album très correct, homogène, bien joué, bien produit, parfois brillant, et pourtant, au bilan, il m’emporte beaucoup moins loin que les trois précédents. De fait, l’album vieillit moins bien, a un coté plus lisse (Steve Rothery y est moins fulgurant), présente moins de points d’orgue, d’étincelles, d’émotions.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Warm wet circle, That time of the night , Sugar Mice, The last straw. PLAISANT (3,5) : Hotel hobbies, White Russian. INTERESSANT (3) : Just for the record, Torch song, Slàinte Mhath. EMOTION LIMITEE (2,5) : Néant. AUCUNE EMOTION (2) : Incommunicado. Bilan 3,40 et Top 5 à 3,90 : CLUTCHING AT STRAWS cote pour moi 3,65 soit 14,60 /20.

Sur le CD, « Going under » (3,5) a été rajouté en 4ème position. Les autres morceaux enregistrés à l’occasion de la session ont tous un intérêt, mais de même, un éclat limité.

Je me demande si l'éviction de Fish qui suivra n'aura pas été, au final, salvatrice pour la nouvelle dynamique d’un groupe qui commençait peut-être à tourner en rond avec lui.





MARILLION
CLUTCHING AT STRAWS


Le 06 Juillet 2024 par BLUEMASK


Le pendant de ´Childhood’s end’. J’ai du mal à les mes deux disques, celui-ci est le versant sombre on va dire… le Prog, c’est chiant et nul, c’est une musique pour peine-a-jouir, tout le monde le sait, mais disons que parfois, parfois, rarement, le edging a du bon.





TRI YANN
MASTER SERIE


Le 06 Juillet 2024 par IEN

Je profite de cette chronique pour dire tout le bien que je pense des compilations « Master Série ».

Elles m’ont fait découvrir beaucoup d’artistes avec une sélection intelligente de leurs chansons.

En vrac, voici celles que j’ai le plus écoutées : Marie Laforet, Brigitte Bardot, Jeanne Moreau, Brassens (plusieurs volumes), Jane Birkin, Graeme Allwright…

D’ailleurs Marco, je ne serai pas contre des Chroniques de ces disques qui sont l’occasion de faire découvrir ces artistes :-)





The BEACH BOYS
SURF'S UP


Le 05 Juillet 2024 par MARCO STIVELL

Mais merci infiniment à vous (deux) pour ces commentaires fidèles et tout aussi enthousiastes !!

Si seulement il y en avait autant en quantité que pour les artistes de metal, parce que c'est d'accord, les BEACH BOYS le valent bien (mieux). :)

Déjà le fait de voir la pochette de Surf's Up en page d'accueil était une fin en soi.
La suite arrive !





ARCADE FIRE
REFLEKTOR


Le 05 Juillet 2024 par FOUDROCK


Si on met de côté le dernier morceau, trop long (disons en fait qu'il se termine à 6 minutes et que les 5 suivantes sont inutiles), cet album est parfait. Notons l'amicale participation, aux choeurs, sur le premier morceau (vers la fin), d'un certain David Bowie.
Ambiance entre les années 1980 et les années 2080, c'est juste parfait, rien d'autre à dire. Ah ! si : l'intro de "It's Never Over" ne finira jamais de me faire tripper loin, très loin. Ces synthés, puis cette guitare...





The OFFSPRING
IXNAY ON THE HOMBRE


Le 05 Juillet 2024 par BLUEMASK


Un album de transition entre le punk-hardcore tubesque du précédent et le punk-pop tubesque du suivant. Peut-être moins tubesque, même si 'Gone away' s'en approche, mais la qualité suit. Après, il est difficile de tartiner des pages sur Offspring, il s'agit de musique immédiate, sympathique, le groupe sait écrire dans le registre catchy sans non plus déployer une personnalité confondante.





ARCADE FIRE
THE SUBURBS


Le 05 Juillet 2024 par FOUDROCK


Un des rarissimes albums qui me bouleversent de la première à la dernière seconde. Un doublé inaugural à tomber par terre ("The Suburbs"/"Ready to start"), un final ("Sprawl II") immense, de grands moments disséminés un peu partout ("City with no children", "We used to wait", "Deep blue", "Half light II"...), ce troisième album du groupe est probablement leur meilleur. Et les autres sont remarquables.





The BEACH BOYS
SURF'S UP


Le 04 Juillet 2024 par DEJAVU


Je place "Surf's Up" en deuxième position derrière "Sunflower" sur la liste de mes albums favoris des Beach Boys, mon seul regret est l'absence de titres signés Dennis Wilson, pourtant à cette époque celui-ci était très prolifique, la preuve en est les inédits ajoutés à la réédition de "Sunflower" et de "Surf's Up" en 2021 sous forme de double album intitulé "Feel Flows". Mon titre préféré est le nostalgique "Disney Girls" de Bruce Johnston que Art Garfunkel reprendra en 1975 sur son album "Breakaway". Merci pour cette brillante chrono.







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