Le 04 Septembre 2023 par CROQUIGNOL

« Nous ne saurons probablement jamais complètement ce qu’il advint au cœur de cette nuit balte ». Une déclaration intéressante et symptomatique. Parce que l’on sait ce qui s’est passé. Mais visiblement, certains ne veulent pas le savoir. Alors pour info:

« D’après le rapport d’autopsie, Marie Trintignant avait reçu une vingtaine de coup très violents à la tête, ce qui montrait un acharnement, et pas seulement deux gifles données de manière impulsive. Les nerfs optiques étaient quasiment détachés, comme dans le cas de « bébé secoué », et l’os du nez éclaté. Elle avait une plaie à l’arcade sourcilière et portait aussi des traces de coups sur les jambes, les bras, dans le bas du dos et sur le ventre. »

« Affaire Bertrand Cantat: le document inédit » Enquête exclusive, M6, 24 novembre 2019. Cité dans Réinventer l’amour, Mona Chollet, Ed. Zones, p.111.

	Par Forces Parallèles Bonjour, C'est le premier et dernier commentaire que nous validons sur ce sujet. Saskatchewan

Le 04 Septembre 2023 par HUG

"Moi vouloir toi" est un peu imbuvable c'est vrai, mais "V.I.P." je ne trouve pas. Le texte n'est peut-être pas excellent, mais la mélodie du refrain est très gracieuse. Pour moi, "V.I.P." annonçait très bien cet album sorti deux ans plus tard, et qui se situe dans la lignée.

Le 02 Septembre 2023 par DARK STAR

A mon avis, bien inférieur à SUnshine Superman et au HUrdy Gurdy MAn. Un hit multi entendu qui fait office de rabâchage, le reste des titres est moins inspiré, les barrières entre Folk, Rock Psy et Pop sont moins franches et finissent par un amalgame peu captivant.

Le 02 Septembre 2023 par DEATH BY CLIMATE

J'adore les Kro express encore plus longue que la Kro normale 😂. Sinon il faut vraiment que j'écoute ce CD, je l'ai réservé à la médiathèque !

	Par Forces Parallèles Salut. Petite explication juste en passant. Effectivement la KE est plus longue que la chronique principale. La raison est toute bête : elle a été rédigée comme une chronique principale avant qu'on se rende compte qu'il y en avait déjà une. Elle a donc été basculée en chronique expresse. Bien à toi. Streetcleaner.

Le 01 Septembre 2023 par LE MERLE MOQUEUR

"Mauvaise qualité du son". Pour une fois, je ne suis pas à l'unisson avec le "croque-coeur" DERWIJES. Si un album est vraiment brouillon en ce qui concerne le son, c'est bien YESSONGS, pourtant adulé par le public et les critiques.
J'aime ce disque live où la Canadienne, si elle n'étincelle pas, ne nous laisse pas non plus dans une pénombre déroutante. C'est du J. MITCHELL entre 3 et 4. Plus près du 4 que du 3. Il est vrai que son charme vocal peut nous "hypnotiser".

Le 01 Septembre 2023 par M. HOUTES

Abolument pas d'accord avec la chronique de Derwijes.
Ce live de Joni est un de mes albums préférés de la dame, que je préfère actuellement à  "Shadows and Light" que j'ai beaucoup écouté à une époque.
Le début de sa période Jazz avec ses classiques folk magnifiés par des musiciens comme Tom Scott, Robben Ford, Larry Nash, Max Bennett, John Guerin : que des pointures.
L'interprétation est tellement bonne, si ce n'était les applaudissements du public, qu'on pourrait croire à un album en studio.
Joni Mitchell au sommet de son art dans le chant, ses grands classiques, avec des super musiciens, que demander se plus?
Je donne la note max 5 et plus.

Le 30 Août 2023 par RéPLICANT

Album formidablement inoffensif…

Le 30 Août 2023 par TOMTOM

Fun fact : acheté en braderie en vinyle, je l'ai écouté en rentrant, sans faire attention, avec la platine réglée en vitesse 45t. Je m'en suis rendu compte à la fin.
Fun fact 2 : mon chef m'a appelé la dernière fois alors qu'il y avait le disque en fond, il m'a dit : "Oulah, c'est de la mobylette ?"
Tout ça pour dire que c'est pas le genre de disque qu'on pige tout de suite, mais qui donne envie de s'y perdre. La pochette est sublime.

Le 30 Août 2023 par BRADFLOYD

Sauf erreur de ma part, ce concert est disponible en quadruple CD sous le titre "Palais des Congres-Paris March 1978 & Palast Der Republik-East Berlin January 1980" et fait partie de "the Official Bootleg Series" Volume Two après le volume 1 comprenant le "Reims Cathedral December 1974 + Mozarthalle Mannheim October 1976".
Ne l'ayant pas encore écouté, je ne peux en donner mon avis. Cependant, je fais partie des auditeurs qui apprécient fortement l'album "Cyclone", étant entré dans le monde de TD à cette époque via ce disque et "Zeit". Très intéressé pour me pencher sur cette sortie.
Petite surprise et étrangeté à cette heure, les CD ne sont pas référencés sur le site DISCOGS alors qu'ils le sont sur AMAZON.

Le 29 Août 2023 par STEVEN 24

Énorme disque avec en tête de proue the man.un album à découvrir.

Le 29 Août 2023 par MR TINKERTRAIN

Très loin de la perfection en ce qui me concerne.... Les gars s'éclatent c'est sûr, et la version remaster possède un son clair et agréable. Mais on s'emmerde rapidement je trouve. Question de goût. Je préfère 1000 fois Promised Land qui m'a fait découvrir le groupe.

Le 29 Août 2023 par LE MOUNGEPEDOUN

The warning + Rage for order = la magie à l'état pur, difficile de faire mieux en terme de heavy metal intelligent et raffiné.

Le 29 Août 2023 par CLANSMAN57

J'ai adhéré à la première écoute. Il est plus court que certains autres grands concertos pour violon, ça aide à la digestion. Le thème du premier mouvement est superbe, pas trop rabâché.
Sur l'ensemble de l'oeuvre, quelques passages sont forts originaux, grâce à des techniques de jeu peu usitées.
Le mouvement conclusif est atypique et ça fait du bien.

Le temps passe vite à son écoute et rien ne m'a paru désagréable à l'oreille.

Le 27 Août 2023 par VOX POPULI

Après la sortie de "Time" en 1995 et une tournée plutôt chaotique, le groupe propose à Buckingham et Nicks de reprendre leur place pour une grande tournée qui affiche complet en 1997. Malheureusement, Christine McVie annonce vouloir prendre sa retraite, prétextant une phobie des avions. L'histoire aurait pu s'arrêter là, mais comme toujours avec Fleetwood Mac, l'avenir est imprévisible. Au début des années 2000, Lindsey se lance dans la composition d'un nouvel album solo. Lorsque Mick Fleetwood entend les chansons, il propose au compositeur d'en faire la colonne vertébrale du nouvel album de Fleetwood Mac. Nicks accepte le défi et compose la seconde moitié du disque.
Résultat ?
Les légendes ne meurent jamais ! Après deux albums loin d'être déshonorants mais clairement pas au niveau de ce qu'on peut attendre du groupe, "Say You Will" est une véritable résurrection ! Attention cependant, ce disque se mérite. Une écoute superficielle ne vous permettra absolument pas d'en saisir toute la force et la qualité. Tout d'abord, parce que "Say You Will" est long (18 chansons pour 1h15 de musique), très long, trop long pour être écouté d'une seule traite. Ensuite, si l'album contient des tubes immédiats ("Say You Will", "Peacekeeper", "What's the World Coming To", "Miranda", "Thrown Down"), la moitié des chansons, au moins, sont des labyrinthes dans lesquels vous pouvez vous perdre longtemps avant de trouver la lumière. "Say You Will" est en quelque sorte le prolongement direct de "Tusk" sans en être une pâle copie. Lindsey Buckingham ne s'est fixé aucune limite dans la composition et s'aventure dans de nombreux univers sonores, tous plus réussis les uns que les autres. "Murrow Turning Over" est un voyage en soi avec un travail sur les ambiances tout à fait exceptionnel. "Come" est un chef-d'œuvre bruitiste qui me rappelle certains travaux des Beatles. "Say Goodbye" et "Rover" sont des bijoux pop rehaussés par un léger arrière-goût psychédélique absolument parfait, au sens où les trouvailles sonores ne font jamais d'ombre aux mélodies de la chanson. Et que dire des solos de guitare sur cet album ? Les meilleurs que Lindsey ait enregistrés pour le groupe, ni plus ni moins. Vous l'avez compris, si Nicks a écrit quelques belles chansons pour ce disque, c'est bel et bien Lindsey Buckingham qui rend l'album merveilleux et captivant.
"Say You Will" est une des grandes œuvres du groupe, sans nul doute possible à mes yeux. Pour vous en rendre compte, il vous suffit d'accepter de prendre le temps d'apprivoiser ce disque qui, je le répète, ne se dompte pas facilement et c'est aussi l'une de ses qualités.

Le 27 Août 2023 par LE MERLE MOQUEUR

Il faudrait m'y remettre... Long ?

MORTON FELDMANN et son "For Bunita Marcus" de 1985 s'étend sur plus d'une heure d'écoute. Il est vrai qu'il a aussi composé "un morceau très court "Half a Minute It's All I've Time For" Oeuvre de moins d'une minute... Un condensé musical qui s'écoute en vidant son expresso "To Go". Donc pour les pressés.

Quant à ce morceau de REICH je m'y recolle dès maintenant.

Le 27 Août 2023 par CHIPSTOUILLE

Pour info, en creusant un peu dans les bonus du Bluray (et j'imagine que c'était le cas pour le DVD auparavant), on peut trouver quelques chansons coupées de la version finale (dont 2 mettant Jafar à l'honneur), et en particulier une magnifique "Proud of your boy" qui résume bien tout le talent qui avait pu émerger de l'association Menken et Ashman.

Le 26 Août 2023 par IEN

J'ai peut être enfin trouvé ma porte d'entrée à l'univers de Nick CAVE.

Des années que j'écoute un disque de lui de temps en temps sans trop accrocher, même si "let love in" me plait pas mal.

Cette fois ci c'est le coup de coeur total, un album très sombre et épuré.
Pas de titre à faire ressortir en particulier, c'est l'ensemble qui est superbe.

Le 26 Août 2023 par FOUDROCK

Mais quel chef d'oeuvre ! Deux heures de régal, bien que l'album ne soit pas super facile d'accès, entre la durée des morceaux (il n'y en à que 8 ici, dont deux de 32 minutes) et leur aspect très expérimental parfois (et "He Loved Him Madly" n'est pas à écouter un soir de pluie en novembre).
Dire que ce n'est pas un "vrai" album mais plus une compilation d'inédits issus de diverses sessions entre 1970 et 1974. Bref, logiquement, aucune cohérence, mais cet album fonctionne totalement. Mon préféré de Miles Davis et dans le jazz en général.

Le 24 Août 2023 par GAHELL

Ce double album est certes longuet, facile peut-être mais... le descendre de la sorte me laisse un peu perplexe. Le choix des morceaux repris n'est pas non plus toujours judicieux (UFO, Rainbow... l'ont été maintes fois ) mais ceux-ci sont parfaitement enregistrés. Ca vaut bien... Allez At Vance.

Le 23 Août 2023 par LE MERLE MOQUEUR

Il fallait oser !

Écrire une chronique sur le "remscheidien" n'est pas un exercice de style... facile
et pour cause le barbu à la coupe en brosse avec ses premiers vinyles "For Adolphe Sax"
et " Machine Gun" a dynamité le monde du jazz européen à la fin des années 60.

Vous voulez des structures musicales reconnaissables ? Foutez moi le camps ici on n'est pas dans la mélodie, bordel de merde !

"Machine Gun" fut pour la scène de jazz allemande ce que fut pour les américains : "Free Jazz" de ORNETTE COLEMAN et " Ascension" de JOHN COLTRANE.
Quant à "For Adolphe Sax" avec ses 2 compères PETER KOWALD à la contrebasse et SVEN-ÄKE JOHANNSSON à la batterie, la brutalité voulue, recherchée et cultivée par le saxophoniste se démarqua une fois pour toutes de la spiritualité afro-américaine véhiculée par ALBERT AYLER.

Oui avec la fin des années 60 comme le signale JASPER LEE POP avec les révoltes des étudiants , la guerre au Vietnam PETER ne pouvait rester de bois.

Ajoutons pour clore la liste, le malaise de la jeunesse allemande qui se posait en boucle la question, mon père, mes parents étaient t-ils nazis actifs ? Ce fut un héritage lourd à porter dans une Allemagne fédérale qui se blottissait dans les salles de cinéma avec Romy Schneider dans le rôle des "Sissi" et qui ne répondait pas à cette question cruciale. Aussi l'apparition d'écrivains comme Arno SCHMIDT, d'artistes comme JOSEPH BEUYS, de peintre comme ANSELM KIEFER et bien-sûr de musiciens comme Peter BRÖTZMANN était inévitable.

Dans les années 60 il disait et c'était sa devise : "Pour une société brutale, une musique brutale."

Avec "MACHINE GUN" la puissance destructrice est à l'action "contre toutes les habitudes d'écoute, les conventions du jazz, les stratégies de marché".C'est un rugissement permanent, de l'énergie pure, des pans entiers de murs massifs effondrant les fréquences d'un saxophone muté en un bruit tonal qui perfore de béton et l'acier. "Avec son instrument, Peter BRÖTZMANN a mis le couperet sur le jazz tel qu'on le connaissait jusqu'alors."

Plus tard le toujours barbu avec des cheveux blanc coupés à ras mettra une goutte d'eau dans... sa bière.
Ironie de l'histoire ce souffleur démoniaque, cracheur de feu s'éteindra suite à une broncho-pneumopathie chronique obstructive...