Le 03 Août 2023 par SWISSIDOL

La chanson-titre est énorme, dans tous les sens du terme (longueur et qualité). Le son de la caisse claire est enfin agréable après un "Images & words" où elle sonnait affreusement. Parmi les reprises, j'aime notamment "Funeral/ Love lies bleeding". Un bon petit album "récréation" pour faire patienter les fans jusqu'à la prochaine vraie sortie. 3,5/5

Le 02 Août 2023 par SWISSIDOL

J'ai toujours eu un peu de mal avec cet album qui suit le magistral "Images & words". Je trouve l'ambiance générale très froide et je ne retiens pas grand chose des compos, comme l'écrivait DJINN ici même. Il est loin d'être mauvais ("The silent man", entre autres) mais manque cruellement de moments marquants. Il est même déprimant par instants ("Space-dye vest"). Le disque semble avoir la cote auprès des fans mais je ne partage pas cet enthousiasme.

Le 02 Août 2023 par SWISSIDOL

On sent un potentiel un très bon groupe est en train de naître ("Ytse jam", "Fortune in lies") mais on est assez loin des sommets qu'atteindra DREAM THEATER. Le son est relativement amateur, le chant pas forcément engageant et les compos pas toutes passionnantes ("Status seeker"). Le niveau technique est déjà impressionnant mais, trois ans plus tard, le groupe fera un pas de géant avec "Images & words". 2,5/5

Le 02 Août 2023 par SWISSIDOL

Pour un premier album, sans aller jusqu'à parler de chef d'œuvre, c'est tout-de-même de la belle ouvrage. Un bassiste incroyable, un chanteur hargneux mais mélodique, de super compos ("Prowler", "Phantom of the opera", "Remember tomorrow", etc) : le heavy metal légèrement punkoïde fonctionne admirablement. A la limite, c'est presque la cultissime "Iron Maiden" que je kifferais le moins.

Le 02 Août 2023 par CLANSMAN57

J'aime bien faire une petite pause après "Lux Aeterna", chaque écoute s'est faite ainsi me concernant. Histoire de digérer plus facilement. Le tout d'une traite, c'est un peu rude. Burps!
"You Must Burn!" est clairement le morceau de trop pour moi, je le zappe désormais.
Le reste s'écoute sans trop de peine, je maintiens que les introductions ne sont pas très passionnantes, mais bon, faut faire avec:D

Bref, c'est un bon retour auquel je ne croyais plus!
Les nombreuses notes minimales m'étonnent un peu, je trouve ça mesquin pour le coup.
Ou peut-être est-ce de la rancune? "T'as mis 1/5 à Senjutsu? Je vais mettre autant au nouveau Metallica! Na!". Allez, avouez que c'est ça:D

3,5/5

Le 02 Août 2023 par SWISSIDOL

Les premières fois que j'ai écouté cet album, j'ai éclaté de rire. Le chant de Ian Gillan, ses cris de fou sur plusieurs titres me semblaient forcés, comme s'il se contraignait à faire le méchant parce qu'il œuvrait pour BLACK SABBATH. Mais j'ai un peu révisé mon jugement : je pense toujours que c'était une erreur de casting mais certaines compos valent vraiment le coup ("Trashed", "Disturbing the priest", "Zero the hero"...). J'adore la pochette mais le son est vraiment pourri; on dirait une bonne démo mais pas l'album définitif.

Le 02 Août 2023 par SWISSIDOL

Parmi les sept merveilles que les Anglais ont pondues entre 1980 et 1988, ce "Killers" est sans doute le moins fantastique mais il n'en est pas moins sympathique. Des idées comme "Wrathchild", "Murders in the rue Morgue", "Killers" ou "Purgatory" sont formidables. Même la courte "The ides of March" est plaisante et met l'album sur de bons rails. Mais il faut bien dire que quelques morceaux plus faibles ternissent le bilan ("Another life", "Genghis Khan"). MAIDEN dit adieu à Di'Anno et s'apprête à connaitre la gloire.

Le 02 Août 2023 par SWISSIDOL

Un classique d'IRON MAIDEN, un classique du métal. Je ne vais pas être original en disant qu'il n'y a que deux petites baisses de régime avec "Gangland" et "Invaders" (encore que celles-ci me plaisent assez). Pour le reste, c'est du légendaire, de "Hallowed be thy name" à "The number of the beast" sans compter certaines intros elles aussi mythiques ("The prisoner"). Bien sûr, la prod' sonne un peu datée mais on reste sur un grand disque.

Le 02 Août 2023 par SWISSIDOL

Le dernier grand album de MAIDEN; ça commence à dater ! Il conclut une suite magistrale allant de 1980 à 88 et, même si le groupe a voulu tenter des choses avec un peu de clavier, les compos restent largement à la hauteur : "Moonchild", "7th son", "The evil that men do"... Mais que diable est-il arrivé aux garçons pour qu'ils ne soient plus capables ensuite de proposer des disques de cette trempe ?

	Par Forces Parallèles Ce qu'il est arrivé à Iron Maiden, cela s'appelle l'usure. Avec le temps, c'est inévitable. Chaque groupe vit une période dorée, et pour Iron Maiden elle s'achève au moment de cet album dont il constitue un pic. Par la suite, la magie s'estompe... Les fans n'y peuvent rien. Mais Iron Maiden a fourni dans sa période dorée un si grand nombre d'excellentes pépites que ses fans n'ont rien à regretter.

Le 01 Août 2023 par SWISSIDOL

Cet album n'est vraiment pas mauvais mais il marque quand-même le début de la fin pour MAIDEN. Jusqu'ici, le groupe avait sorti une hallucinante suite d'albums imparables; à partir de ce disque, il ne retrouvera jamais cette classe des premières années. Après deux albums aux guitares synthé', on retrouvait le son classique de la bande à Harris qui offre, donc, plusieurs bons moments : "Tailgunner", "Holy smoke", "No prayer for the dying"... J'aime bien aussi "The assassin" ou "Mother Russia" même si celle-ci n'a pas l'éclat d'un "Alexander the Great". Cet album reste sympa, "Fear of the dark" aussi; c'est ensuite que ça va vraiment se gâter.

Le 01 Août 2023 par SWISSIDOL

Un chef d'œuvre absolu. J'ai découvert le groupe avec cet album et il m'en a fallu des écoutes jusqu'à ce que j'arrive à le connaître et à l'aimer. Mais je le trouve toujours aussi époustouflant aujourd'hui même si, naturellement, je l'écoute bien moins souvent. Etonnamment, c'est le single "Pull me under" que j'apprécie le moins mais, pour le reste, des mélodies de "Another day" au solo stellaire de "Under a glass moon", c'est un sans faute. Et ce n'est pas l'ahurissante partie instrumentale au milieu de "Metropolis" qui me démentira. Une des plus belles claques de ma vie d'auditeur.

Le 01 Août 2023 par SWISSIDOL

IRON MAIDEN opte ici pour un son plus moderne et c'est surtout très net sur la batterie. Pour le reste, le groupe persiste dans son ornière heavy metal et le résultat est globalement plaisant. Quand on sait ce que commettront les Anglais plus tard ("Senjutsu", "Final frontier"), c'est même génial en comparaison. "Be quick or be dead" et "From here to eternity" attaquent bille en tête mais c'est évidemment "Fear of the dark" qui mérite le plus d'éloges. Dommage que quelques morceaux fassent baisser la note (l'affreux "Week end warrior", au hasard) mais j'accorde un 3,5/5

Le 01 Août 2023 par SWISSIDOL

Seconde et dernière tentative avec Bailey. Je pense préférer légèrement ce "Virtual XI" grâce à des titres comme "Futureal" ou "Clansman". MAIDEN avait décidé, à cette époque, de répéter 25 fois les refrains mais, heureusement, "The angel & the gambler" et "Don't look to the eyes of a stranger" sont néanmoins réussies. "Como estais amigo", en revanche, est catastrophique (normal, c'est Gers qui l'a écrit). 2,5/5

Le 01 Août 2023 par SWISSIDOL

Grosse erreur de casting avec l'embauche de Blaze Bailey qui n'a ni les capacités vocales ni le charisme de son prédécesseur. Pour autant, je ne rejette pas seulement sur lui le fait que ce disque soit un demi-échec. Le groupe dans son ensemble est moins inspiré qu'avant. L'album débute pourtant très bien avec ce "Sign of the cross" épique comme on aime. Je trouve à Bailey quelques intonations à la Gary Moore. "Lord of the flies", "Man on the edge" ou "Judgement of heaven" ne sont pas mal mais Harris obéit désormais à un schéma bien établi : début en arpège, puis le même plan en accéléré, quelques oh-ouh-oh et retour à l'arpège du début; ça devient chiant. Depuis, MAIDEN oscille entre disques "bons" et d'autres affligeants de lourdeur.

Le 01 Août 2023 par SWISSIDOL

A l'occasion du retour de Bruce et Adrian, le groupe a sorti ce "Brave new world" très encourageant. Il laissait augurer une suite constituée d'albums au moins du niveau d'un "Fear of the dark"; la suite allait doucher cet enthousiasme. Mais, pour l'heure, cet album faisait le taf avec les efficaces "Fallen angel", "Wicker man"ou "Ghost of navigator". Surtout, il contient "The nomad" que je considère comme le dernier excellent morceau de l'histoire de MAIDEN. Quelques baisses de régime en fin de parcours mais, dans l'ensemble, un bon opus.

Le 01 Août 2023 par SWISSIDOL

Meilleur que "Dance of death" (en même temps, c'est pas difficile) mais moins bon que "Brave new world". On trouve quelques idées intéressantes ("Brighter than 1,000 suns") mais aussi de la redite et Nicko McBrain, que je trouvais si inventif, aime appliquer les mêmes recettes d'un disque à l'autre désormais. Et puis, MAIDEN avec Janick Gers, désolé mais j'ai du mal. 2,5/5

Le 31 Juillet 2023 par ELK

Pas du tout d'accord sur le fait que cet album est supérieur au dernier Maiden que, malgré ses défauts, je mets toujours avec plaisir sur ma platine contrairement à celui-ci. Mais chacun ses goûts.

Le 31 Juillet 2023 par SWISSIDOL

J'ai bien conscience que cet album ne fait pas partie des fondamentaux de BLACK SABBATH mais, perso, je l'aime beaucoup. Certes le groupe a fait évoluer son style mais quelques riffs flippants subsistent ("You won't change me") ainsi que des ambiances mystérieuses ("Gypsy"). Il n'y a pour moi aucun mauvais titre ici et même l'étonnante "It's alright" me plait.

Le 31 Juillet 2023 par SWISSIDOL

Lors des premières écoutes, je me suis dit que, décidément, le groupe radotait pas mal sur ses dernières sorties, Kirk Hammett en tête dont on connait par cœur les tics en solo. Mais, au fil des écoutes, je me suis pris au jeu et je trouve cet album "bien sans +", à l'image de "Hardwired". Je trouve même ce "72 seasons" plus homogène en qualité, là où son prédécesseur proposait de l'excellent et de l'exécrable. Après, comme d'habitude, on trouvera certains morceaux trop longs et le jeu d'Ulrich très répétitif mais ce disque est tellement meilleur que le dernier MAIDEN

Le 30 Juillet 2023 par HUG

Merci pour votre article sur cet album. J'ai connu Dorothée dès l'enfance, et pour moi aussi, son retour avec ce disque (Même si j'avais 28 ans en 2010) était attendu, les remixes de ses tubes "Hou ! La menteuse" / "La valise" / "Allô, allô monsieur l'ordinateur" en 2006 / 2007, laissant présager un retour que l'on pouvait espérer comme étant meilleur.

Fin 2009, inscrit sur le site Chère Dorothée à l'époque, c'est comme ça que j'ai su qu'elle allait se produire à l'Olympia et ai acheté mes billets pour aller la voir avec mon père et ma grande soeur, un rêve d'enfant enfin réalisé.

Ensuite, j'ai su, en janvier 2010, qu'elle était entrée en studio pour enregistrer un nouveau disque, puis quelques semaines plus tard, j'ai entendu le premier titre extrait "On m'appelait Dorothée". Après le premier étonnement face à l'évolution de sa voix, encore plus enrouée que dans les années 90, sur les premières notes de la chanson, je l'avais trouvée sympa. Mais début avril, à la sortie de l'album, j'avais acheté le magazine "Platine" du mois, excellent magazine sur la chanson française hélas disparu en 2017, que j'aimais surtout pour les critiques d'albums qui y étaient souvent justes.

Et là, la critique était plutôt très négative, ce qui ne laissait rien présager de bon concernant cet album alors que le magazine avait plutôt encensé Dorothée auparavant, la mettant même en couverture de son numéro de décembre 2007 (Avec Chantal Goya en encadré, prouvant bien que ces deux chanteuses avaient été les fées des enfants dans les années 1980). J'ai découvert toutes les chansons de ce nouvel album à l'Olympia, où ma grande soeur a acheté l'album. Dans ce spectacle, ces nouvelles chansons passaient bien, même si j'aurais préféré qu'elle chante moins de titres de ce nouveau disque au profit d'anciennes de ses albums des années 80.

Le défaut de ce disque, et majeur, et je ne suis pas le seul à le penser (Voire le forum Absolument Dorothée sur ce sujet) est qu'il semble avoir été écrit et composé par Jean-François Porry et Gérard Salesses seulement pour que Dorothée ait de nouvelles chansons à proposer à son public lors de son retour à l'Olympia. C'est un album studio fait en réalité pour un retour à la scène uniquement. Car s'il a fait un flop, c'est tout à fait explicable. Même en tant que fan, j'ai trouvé qu'écouter cet album studio après l'Olympia et tout à fait en dehors du contexte de ce concert s'avérait pénible, car musicalement l'album n'était pas du tout adapté à la mode de 2010, et surtout que certaines chansons sont des redites d'anciennes chansons en moins bien ("Coup de tonnerre" est une redite de "Tremblement de Terre", "Les filles aiment les garçons" une redite de "Faire marcher les garçons" sur l'album "Maman" en 1986) et surtout, je trouve la chanson "Méfie-toi des garçons" à la limite du ridicule.

Faire chanter à Dorothée (56 ans au printemps 2010) "Ma maman m'avait bien dit "Méfie-toi des garçons" ils vont te trouver jolie, te chanter des chansons" alors que sa mère est morte en 1997, était excessif.

De toutes façons, lorsqu'on écoute les productions récentes d'Hélène (Rollès) et même celles d'une artiste produite par Jean-Luc Azoulay depuis quelques années seulement : Elsa Esnoult, on se dit que ce dernier est resté musicalement dans les années 1990. Pas d'évolution du style d'écriture de chansons ni de compositions des musiques depuis.

Sur cet album de Dorothée restent quand même quelques belles chansons : "Dorothée" donc, "En rêvant" sympa avec le recul, "La petite Jeanne", "Sept ans et demi" (Ecrite et composée par Michel Jourdan qui aurait dû avoir plus la part belle sur ce disque. Lui a toujours mieux compris la vraie Dorothée que Jean-Luc Azoulay), "Les chansons du passé" et "La valise 2010". En fait, le problème de ce disque vient du fait que Jean-Luc Azoulay semble avoir occulté que le public de Dorothée qui avait de 5 à 15 ans dans les années 1980 et 1990 avait, entre-temps, grandi et était devenu (En âge du moins, en attitude c'est peut-être autre chose) adulte. Je comprends finalement pourquoi depuis, Dorothée refuse paraît-il sans cesse à Jean-Luc Azoulay un nouvel album.