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JAMES BOND
MOURIR PEUT ATTENDRE (HANS ZIMMER)


Le 21 Novembre 2021 par DERWIJES


Je l'ai vu pour la deuxième fois le week-end dernier, mais c'est encore trop tôt pour en tirer une opinion définitive. A chaud, c'est un super film et un excellent Bond. Je ne vais pas trop en parler pour éviter de spoiler, mais je dis juste que c'est un film hommage, mais un bon ! Contrairement aux derniers Star Wars par exemple, qui pensent que citer aveuglément les anciens films suffit à faire le travail, les références dans Mourir Peut Attendre sont nombreuses, très nombreuses, mais toujours bien amenées. Et le côté "woke" ? On en a beaucoup parlé, mais au final ça passe. D'accord avec Marco sur Lashana Lynch par contre. Pour finir, ce qui m'a le plus gêné étaient certains dialogues qui trahissent le fait que Phoebe Waller-Bridge a été appelée pour en réécrire certains, la couture est grossière et on voit les fils.

Ma plus grosse crainte était la présence d'Hans ZIMMER à la musique. Je l'aime bien, mais je me méfie de lui, il a tendance à vite s'auto-caricaturer. Mais pas ici ! Alors oui on reconnaît ses "BOOM BOOM BOOM" signature, mais ça passe crème, et après Thomas NEWMAN, trop subtil pour son propre bien, on avait besoin de quelque chose plus bourrin. Son leitmotiv d'action que l'on retrouve sur "Cuba Chase" et "Opening the Doors" est excellent. Et puis, il n'est pas si bourrin que ça, il est parfaitement capable de montrer de superbes émotions sur "Matera", "Home" et "Final Ascent". Et que dire de la citation de "On Her Majesty's Secret Service" sur "Good To Have You Back" et du 007 thème sur "Gunbarrel" et "Back to MI6" ? Ce n'est pas beau de tordre mon coeur d'artichaut comme cela Hans !

Et la chanson de Billie EILISH dans tout cela ? Je l'avais écoutée lorsqu'elle avait été présentée en amont du film et je ne l'avais pas du tout aimée. Après l'avoir entendue au cinéma avec les images du générique (le plus beau de la saga avec Skyfall) je l'apprécie plus. A moins que ce ne soit parce que ma compagne l'écoute en boucle non-stop depuis une semaine ? Mais je reste persuadé qu'elle n'aurait pu que bénéficier d'une chanteuse donnant plus de coffre !

Allez, maintenant on va mettre de l'argent de côté en attendant la sortie de l'inévitable coffret Blu-Ray avec les 25 films !





JAMES BOND
SPECTRE (THOMAS NEWMAN)


Le 21 Novembre 2021 par DERWIJES


Skyfall ayant ranimé la flamme entre 007 et moi, j'attendais Spectre de pied ferme, c'est d'ailleurs le premier film de la série que j'ai vu au cinéma. Je l'ai vu trois fois depuis, mais j'en garde toujours la même impression : moins bien que Skyfall ! Sam Mendes et son directeur de la photographie Hoyte Von Hoyteman nous ravissent toujours autant les pupilles mais le scénario est décevant. J'ai cru comprendre qu'à l'époque ce devait être le dernier film avec Daniel Craig et qu'il avait donc la lourde charge de finir son histoire et d'emballer le tout avec un joli nœud. Ca expliquerait la fin du film qui fait office de happy ending mais qui reste ouverte à un retour. Le scénario est quand même tiré par les cheveux. Il est dévoré par ses ambitions et n'échappe pas à quelques facilités scénaristiques grossières (la mort de C complètement nulle, Bond qui laisse Madeline partir seule à Londres alors qu'il sait que Blofeld les surveille, comment trouve-il la maison de Mr. White perdue dans la montagne) et puis Léa Seydoux, qui honnêtement me sort par les trous de nez, tant son personnage qu'elle en tant qu'actrice (c'est bête et méchant, je sais, mais je rigole toujours quant à sa scolarité à l'école de la vie).
En bref, Spectre est 50/50 : le début du film est excellent, ça part un peu en cacahuète en Autriche mais pourquoi pas, puis on baille sévère lorsque Christoph Waltz cabotine méchamment au Maroc.

50/50 aussi sur la musique. Comme toujours, il y avait beaucoup de spéculations sur qui ferait la musique. Les rumeurs disaient, sans se tromper, que RADIOHEAD avait proposé un morceau et que Noel GALLAGHER était aussi dans la course. Des choix très intéressants qui rendaient décevant celui de Sam SMITH. Ca sentait un peu trop la facilité de prendre un artiste qui cartonnait à l'époque, et dont on n'a plus de nouvelles depuis. "Writing's on the Wall" est excellent sur le plan orchestral, mais la voix de falsetto de Smith casse vite les co...oreilles, bien sûr. Pour le reste, Thomas NEWMAN s'en sort mieux que sur Skyfall, notamment avec un joli thème pour Madeleine. "Blindfold" est ma favorite de l'album, classe et subtile ! Il y a du mieux, mais j'aurais quand même aimé voir ce que David ARNOLD aurait pu proposer à Mendes, ça aurait été sympa.





JAMES BOND
SKYFALL (THOMAS NEWMAN)


Le 21 Novembre 2021 par DERWIJES


Skyfall est une bombe.
Le coup de génie des producteurs a été d'embaucher Sam Mendes. Sans être mauvais, il faut bien admettre que tous les autres réalisateurs de la saga sont des faiseurs, des réalisateurs compétents mais interchangeables, alors que Mendes apporte sa propre patte issue du cinéma d'auteur. Avec lui derrière la caméra, on peut dire que "every frame is a painting".

Les attentes étaient si hautes après Casino Royale que la chute a été rude lors de la sortie de Quantum of Solace, et il allait y avoir du boulot pour remettre l'espion en selle. Rien de moins que le 40ème anniversaire de la saga et une apparition avec la Reine pour les J.O. ! Et puis surtout un bon film. Non, plus qu'un bon film, le meilleur de la saga sur le plan qualitatif : l'histoire est bien troussée, les scènes d'action intenses, les personnages intéressants, les hommages intelligents et puis c'est beau, boudiou que c'est bien filmé.

Que dire de plus sur "Skyfall" d'ADELE ? Enfin, depuis le temps qu'ils essayaient, ils ont trouvé un morceau capable de rivaliser avec le "Goldfinger" de Shirley BASSEY !
Bon, comme la perfection n'existe pas dans ce bas monde, il fallait bien que le bât blesse quelque part. Et c'est tombé sur la musique. Thomas NEWMAN est un excellent compositeur, son travail sur Les Sentiers de la Perdition et American Beauty, toujours de Mendes, le prouve. Sinon, écoutez "Rock Island, 1931" issu des Sentiers de la Perdition pour vous en convaincre. Il écrit dans un style élégant et raffiné, mais qui ne colle juste pas à 007. Et même selon ses standards, Skyfall est plutôt faible. Les moments émotionnels ne résonnent pas juste et surtout les scènes d'action manquent de punch, il parvient difficilement à les accompagner. Les exceptions à la règle étant "Grand Bazaar, Istanbul", "Komodo Dragon" et surtout "Tennyson", la meilleure piste du disque.
Mais sinon, c'est le calme plat, morne désespoir, etc. La musique est là mais discrète, effacée, timide, dirons-nous, comme si Newman n'avait pas osé trop se révéler, comme s'il avait eu peur d'être à la hauteur. Tant pis, c'est une déception mais qui n'entache pas le plaisir du film !





SHEILA
LOVE


Le 21 Novembre 2021 par MARTIN LA BOTTE


♫ "Toutes les femmes, tous les hommes, sont faits de la même eau et du même sel
Et leurs âmes s'abandonnent aux rayons de lumière d'un même soleil"♫

C'est-y pas beau, ça ? Et si ça avait été chanté par quelqu'un d'autre que Sheila il y a pile 50 ans, on aurait alors loué les valeurs humanistes et poétiques d'un Ferrat ou d'un Nougaro, par exemple, qui auraient très bien pu pondre de telles paroles et on apprendrait encore aujourd'hui la chanson dans les écoles.

Pour les non-initiés, ces 2 lignes sont extraites de "Blancs jaunes rouges noirs" et servent de pont entre refrain et couplet. Et on tient là un des 3 extraits de cet album "Love" qui ont bénéficié d'une mise en avant en single (ou plutôt un des 4 titres, j'y reviendrai.).

Le premier, sorti 9 mois avant le L.P, est devenu inchroniquable, tant il est emblématique du répertoire de Sheila comme "Que je t'aime" l'est de celui de Johnny, le "Connemara" de celui de Sardou ou "Born to be alive" de celui de Patrick Hernandez. Mais, dans ce dernier cas, je viens de citer l'intégralité du répertoire à tubes du sieur Hernandez. Donc, je ne m'attarde pas davantage sur "Les Rois mages" (je suppose que vous connaissez ?), hymne "sheilien" s'il en est, aussi apprécié par les uns qu'abhorré par les autres. On peut quand même rappeler que, sur le plan historique, c'est LE morceau qui a relancé Sheila dont les ventes ronronnaient honorablement depuis bientôt 3 ans, pour une seconde décennie de fructueuse gloire.

2ème extrait donc, ce "Blancs jaunes rouges noirs", sorti en single 3 mois auparavant et ayant connu un succès forcément moindre mais non négligeable pour autant. Avec ce titre, beaucoup moins léger que "Melchior and co" bien que restant très dansant avec ses accents jerk, plus écrit et surtout plus militant (une chanson à faire écouter à certains candidats aux prochaines présidentielles), Sheila fait mouche une fois de plus et surprend. J'aime vraiment beaucoup et cela, dès l'intro quand le timbre murmurant de la chanteuse, sensuel, surgit délicatement, sans paroles, comme une chatte tapie dans les herbes avant de plonger sur sa proie.

3ème et dernier extrait, mon préféré, sorti en même temps que l'album. Et comme je le disais plus haut, il ne s'agit pas de 3 mais de 4 titres qui ont fait l'objet d'une mise en avant car pour ce dernier simple, on sent que Carrère a eu énormément de mal à se décider sur la chanson qui s'imposerait dans les hits parades et serait un bon argument de vente pour le 33-tours. Du coup, à l'hiver 71/72, on a pu voir Sheila défendre 2 titres dans 2 genres diamétralement opposés. D'abord "J'adore", duo loufoque avec un Aldo Maccionne cabotinant comme jamais et une Sheila qui joue les poules de luxe frivoles et sentimentales. Au nombre de prestations télé et surtout à sa seule présence dans les charts, Carrère semble avoir davantage misé sur cette agréable badinerie, clairement hommage aux grandes comédies de l'âge d'or hollywoodien.
Mais je préfère tellement la face B, "Trinidad", qui reste pour moi la pièce maîtresse de l'album, cosignée par Henri Salvador, aux accent blues sur les couplets et gospel sur les refrains, aux choeurs soul et à la sensualité totalement inédite pour la chanteuse. ♫ Des pensées folles nous envahissent et nous rapprochent dans la nuit, on oublie le froid hivernal...♫ Si ça, ça ne donne pas envie de réserver immédiatement son billet pour Trinidad, même en période de Covid ! Et c'est aussi bon en audio qu'en vidéo, une des plus chouettes chorés de Sheila très sexy en chemisier ultra court avec, pour dernier bouton, une énorme fleur au-dessus du nombril à l'air avec pantalon moulant taille basse et pattes d'éph' (non, Vanessa n'avait rien inventé). Immense regret que Carrère ait hésité et n'ait pas perçu à quel point ce "Trinidad" avait tout le potentiel d'un nouvel incontournable pour sa pouliche et pouvait accélérer sa mutation musicale dont les prémices ne se manifesteront réellement que 4 ans plus tard.

Le reste de l'album est tout à fait plaisant en dehors de cette reprise bouche-trou en allemand d'un morceau de 1967. "Love", cover aussi légère que sympa, bouge mieux que l'originale. Avec "Fragile", Vline Buggy offre un de ses premiers textes graves à Sheila qui chante avec sensibilité la conscience de la souffrance de l'autre. "Votre enfant" est une jolie mélodie qui aurait pu être proposée à Mireille Mathieu, très bien écrite et orchestrée, qui parlera à tous ceux qui ont eu du mal à quitter leurs parents ou à voir partir leur progéniture. Une chanson qui m'a toujours beaucoup touché. Moins client des 3 derniers titres, même si aucun ne me fait fuir, loin de là. "Le Carrosse", hors du temps, élégant et printanier, "Une femme" à la thématique sentimentale récurrente et pas très féministe de celle qui ne peut s'épanouir qu'aux côtés d'un homme et "Vive la terre", 2ème cover des "Middle Of The Road" après "Les Rois mages" où la chanteuse nous conseillait déjà (furtivement) de protéger notre jolie planète.

Un très bel album pour l'artiste, considéré et annoncé comme "premier" parce qu'exceptionnellement, on pouvait y retrouver des chansons inédites en dehors de celles sorties simultanément en single. Bel album aussi de par son iconographie généreuse, séduisante et fraîche, qui ferait taire n'importe quel connard qui prendrait plaisir à colporter des ragots abjects sur la féminité de Sheila.

Seule petite différence de point de vue avec notre Marco, dont j'ai pourtant trouvé une fois de plus la critique excellentissime, ce n'est pas l'album que je recommanderais prioritairement à quelqu'un qui tenterait de se familiariser avec l'oeuvre de Sheila. Même si ce "Love" sucré ressemble, plus qu'aucun autre, à la carrière de la chanteuse qui a si souvent changé de style par la suite, il me semble que l'assez évidente absence d'homogénéité de l'opus pourrait dérouter certains curieux armés pourtant des meilleures intentions. Car quel point commun entre "Les Rois mages", "J'adore", "Trinidad", "Votre enfant" et "Le Carrosse" ? En dehors de la voix claire de Sheila, je n'en vois guère. Pour commencer, et selon ses goûts, j'orienterais davantage le volontaire sur des albums plus artistiquement cohérents comme "L'Amour qui brûle en moi" ou "On dit" et quand on commence à vraiment apprécier du "Sheila" dans un genre précis, on devient plus ouvert sur les facettes les plus improbables de son univers musical extrêmement évolutif et diversifié. ;)





IAM
OMBRE EST LUMIèRE


Le 21 Novembre 2021 par NESTOR


Lors de sa sortie, ce pavé a de quoi impressionner, autant par sa qualité que sa quantité. Les deux albums qui le composent sont gorgés d'intermèdes originaux, de morceaux aux ambiances variées, de textes très intéressants. Moins aboutis que "L'école du micro d'argent" qui est d'une qualité imparable, ce second album est un excellent compromis entre la fougue et la naïveté de leur premier disque et le professionnalisme de leur troisième opus. Pour moi, un des sommets du Rap français, d'une richesse inouïe.





IAM
OMBRE EST LUMIèRE


Le 20 Novembre 2021 par FRANçOIS

"En plus j'ai jamais aimé Marseille (êtes-vous vraiiiment déjà allé à Marseille ?) et le chauvinisme teinté de mépris de ses habitants pour ceux du "Nord" (c'est à dire tout ce qui est au Nord... de Marseille : très réduit comme vision du monde, vous en conviendrez)."

Tandis que les Parisiens quant à eux, c'est bien connu, sont d'une humilité à toute épreuve vis-à-vis de la province et les Bretons, les Basques ou encore les Corses ne font preuve d'aucune fierté régionaliste, n'est-ce pas ? :-)
L'album, je ne connais (et n'aime) que "Je danse le mia" (évidemment). Assez d'accord avec Oscar et J.S Bach sur le rap mais on ne va pas "refaire le match".
Ah, et c'était la Champions League, pas le "championnat d'Europe" (sic)...





Daniel AUTEUIL
SI VOUS M'AVIEZ CONNU


Le 18 Novembre 2021 par BAKER

Il sera peu opportun de signaler qu'un tel disque écrit par mon très cher ami Gaëtan Roussel (victoire de la musique du meilleur indépendant et victoire de la musique du pas indépendant, what a man ! what a guy !), occupe dans mon panthéon musical personnel l'équivalent du trombone que j'ai laissé au fond de ma poche gauche.

En revanche Gegers ou Marco pourraient faire une chro rapide du premier single du garçon, sorti en 1985, écrit par "Soldat Louis", et qui n'était pas mal du tout - et franchement connu !





EMERSON, LAKE & PALMER
WORKS VOLUME 1


Le 18 Novembre 2021 par BAKER


Je suis globalement d'accord avec Marco, j'aime un peu plus ce disque que lui, mais il y a Emerson, il y a Lake, et il y a (pas)-Lmer .

Ce qui est assez troublant c'est que c'est un disque de trio avec trois faces pour chaque égo, et que sur les 4 faces réunies, et de TRES TRES TRES LOIN pour moi, celui qui s'en sort le mieux et avec de grands honneurs sur CHAQUE TITRE, c'est...

...l'orchestre.

Ah mince, l'est pas dans l'acronyme !





Daniel AUTEUIL
SI VOUS M'AVIEZ CONNU


Le 18 Novembre 2021 par CLANSMAN57


J'aime beaucoup le Daniel Auteuil acteur, c'est un de mes préférés.
Je me devais donc d'écouter son album. Disons qu'il se laisse écouter, mais je le trouve bien meilleur derrière la caméra.

A écouter par curiosité.






Elton JOHN
REGIMENTAL SGT. ZIPPO


Le 18 Novembre 2021 par RUDY


Un Album frais malgré la tonne de poussière qui le recouvrait depuis plus de 50 ans. Les Fans Hardore, dont je fais partie, connaissaient déjà quelques titres du fait de quelques CDs pirates.

Cette parution est une aubaine pour tout admirateur du compositeur anglais. C'est un moyen de redécouvrir avec des oreilles neuves une œuvre oubliée prémisses de son age d'or des seventies.

Un album très facile d'accès, pop mélodieuse et parfois sucrée avec des relents d'acidité grave ( Nina, Sgt Zippo ).

Si toutefois cette ébauche d' album semble être une pale copie de la pop Beatlesque, nous y retrouvons déjà ce qui constituera l'ADN musicale du couple Elton/Bernie pour les 50 années à venir ( serie en cours ).

Il est certain que d'autres projets de ce type existent encore dans les tiroirs, affaire à suivre






RED HOT CHILI PEPPERS
MOTHER'S MILK


Le 17 Novembre 2021 par CLANSMAN57

@Mr Tinkertain: Ce n'est pas que ce soit dérangeant, je préfère juste le son de Rubin à celui de Beinhorn:)
J'avais un remaster de cet album. Merci quand même!





RED HOT CHILI PEPPERS
MOTHER'S MILK


Le 17 Novembre 2021 par MR TINKERTRAIN

@Clansman: si le son te dérange, il me semble que cet album a été remasterisé depuis quelques années. Enjoy!





RED HOT CHILI PEPPERS
MOTHER'S MILK


Le 17 Novembre 2021 par CLANSMAN57


Après une réécoute sur le web, il va falloir que je me le rachète celui-là...
Quelques chansons me plaisent un peu moins, mais c'est principalement très bon et assez fougueux/foufou.
Le son me plait un petit peu moins que sur les suivants.

Le début des choses sérieuses apparemment.
Super groupe.






Brian ENO
BEFORE AND AFTER SCIENCE


Le 17 Novembre 2021 par FRANçOIS


Je poursuis avec le second "magnum opus" du Sieur Eno. D'accord avec la chronique, à part que je n'en tire pas un plein satisfécit. Pour ma part, le charme se rompt en effet avec la limite mièvre piste 6 puis la suite de morceaux plus (trop) calmes. La face A par contre justifie l'achat à elle seule.





Michelle BRANCH
BROKEN BRACELET


Le 16 Novembre 2021 par MARCO STIVELL

Un grand merci pour ce commentaire très sympathique, et vive Michelle ! :)
Au plaisir de lire d'autres avis de ta part.





CHIC
BELIEVER


Le 16 Novembre 2021 par PASSE TEMPS

Note vraiment sévère. Une étoile, c'est exageré. On est proche de la grande époque de Chic quand même.








DEPECHE MODE
LIVE 101


Le 16 Novembre 2021 par BAKER

C'est bien la première fois que je vais m'auto-contredire.

Car je viens de redécouvrir 101 mais cette fois dans les conditions idéales... et je suis très circonspect. Tout est parfait (à part la voix régulièrement un quart de ton en-dessous, live quoi ^^), la setlist est démentielle le public en transe techniquement la reproduction est morceaux est nickel...

...Pourtant à son écoute entière et intègre (...et intégrale), ce live me dérange. Il possède un détail, j'ignore lequel (pas les overdubs flagrants de Dave, puisque justement flagrants), qui me le rend finalement beaucoup trop lisse. En tant que live du groupe, je n'accroche pas, je reste en surface. En tant que pseudo best-of de l'époque, en revanche, je comprends que tant d'ados aient craqué leur slip sur ce disque.





RED HOT CHILI PEPPERS
I'M WITH YOU


Le 16 Novembre 2021 par CLANSMAN57


Je m'attendais à ce que "I'm With You" soit vraiment très mauvais par rapport aux retours négatifs qu'on peut lire un peu partout. Et je suis agréablement surpris en fin de compte. Moralité: il vaut mieux écouter par soi-même.
Tout n'est pas extraordinaire, mais le disque compte tout de même suffisamment de bonnes chansons pour passer un bon moment de musique Pop.

Sans doute boudé par une frange du public, car le groupe ne revient pas au Rock. Autrement dit, les éternels allergiques au terme Pop qui pensent que c'est facile de composer des chansons fluides avec des mélodies dedans.
Il suffit qu' un petit nouveau fasse irruption dans le line-up et ça coince aussi pour certains.

Bref, à écouter, même s'ils ont fait mieux.






IRFAN
ETERNAL RETURN


Le 16 Novembre 2021 par RICHARD


Superbe signature de Prikosnovénie avant qu'il ne devienne new age Nature et Découvertes. C'était vraiment mieux avant.





COCTEAU TWINS
HEAVEN OR LAS VEGAS


Le 16 Novembre 2021 par RICHARD


Il avait été dit Nono fut un temps que les Ecossais avaient été même approchés par Prince pour paraître sur Prince Paisley Records le label de l'Americain, c'est dire. Autrement, malgré son caractère éminemment lumineux , écouter au casque la nuit cette pépite est une belle expérience. On se retrouve comme dans un rêve éveillé, entre deux états, tout à la fois cotonneux et réceptif. L'entame de Fotzepolitic ne peut que donner des frissons. Ce son de guitare, un délice. Rien ne remplacera les Cocteau et Aigle Blanc leur fait vraiment honneur.







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