Le 03 Octobre 2021 par BAKER

@FEELGOOD : Oh je sais bien, c'est un ami TRÈS proche. D'où mon ouverture de poire sur le sujet ;) pour les Who j'ai un souvenir brumeux de ce live, brumeux mais pas moins intense.

Le 03 Octobre 2021 par PILGRIMWEN

Dans un registre "Rockabilly revival", STRAY CATS s'en sort avec les honneurs. Même attache que pour "Miami" du GUN CLUB. C'est frais, c'est Rock. J'adore et ne me lasse pas de la chanson "Storm The Embassy". Ca a beau sonner Rock, paradoxalement il y règne une légère ambiance feutrée (un pub, vapeurs d'alcool et smog de cigarettes), sans doute par la présence de la contrebasse.

Le 03 Octobre 2021 par LE KINGBEE

Oh ma Reine ... j'en rougirais presque. Un compliment qui me va droit au cœur. Il m'arrive encore de réécouter certains disques que je connais depuis des lustres, que j'ai parfois chroniqués et de me dire que j'étais passé à coté d'un truc.
Au plaisir de vous relire

Le 03 Octobre 2021 par FEELGOOD

@Baker
L'excellent Henry Dumatray était l'une des chevilles ouvrières de ce passionnant magazine et je ne citais son nom qu'à titre informatif, celui-ci étant l'auteur de la chronique du « Live Magic » de Queen à laquelle faisait référence Alex et dont j'ai rapidement résumé le contenu. Il s'agit d'ailleurs d'un disque que je n'ai jamais possédé ni écouté, chose bizarre avec le recul, ayant été un grand amateur de Queen dans la seconde moitié des années 80. De plus, j'avais franchement aimé l'album « A Kind Of Magic », l'un de mes bons souvenirs de cette période.
Pour le reste, entre les Beatles et les Stones, d'autres choisiraient les Kinks...
En ce qui me concerne, je varie les plaisirs et n'ai aucun problème à écouter les quatre (et même les cinq si l'on ajoute Queen cité plus haut).

Le 02 Octobre 2021 par NEFERTITI

Une superbe chronique. C'est souvent en parcourant les articles du Kingbee ou de Derwijes que je m'aperçois que j'ai loupé qq chose dans un disque, parfois juste un passage qui m'avait échappé.

Le 02 Octobre 2021 par PATOCHE

Merci pour cette remise à jour et bravo !!!

Le 02 Octobre 2021 par SPI

Qaund Yes touchait les cieux... Tout simplement sublime

Le 02 Octobre 2021 par SPI

Ce n'est pas mauvais car les compositions sont là... C'est juste soporifique

Le 02 Octobre 2021 par SPI

Enthousiasmant sans plus.

Le 01 Octobre 2021 par BAKER

Henry Dumatray?

Alors vous pourrez ne pas être d'accord avec ses arguments mais au moins je peux vous assurer que son avis venait du fond du coeur

Sinon je voulais aussi faire un gros +1 pour le commentateur qui a en gros dit entre les Beatles et les Stones, je choisis les Who ^^

Le 01 Octobre 2021 par FEELGOOD

@Axel
C'est aussi un plaisir pour moi.
Rien d'incroyable dans cette histoire, vu que j'ai précieusement conservé ma collection de magazines (de Best à Rock&Folk, en passant par Hard Force et quelques autres).
La chronique de « Live Magic » se trouve dans le numéro 33 (septembre/octobre 90) et, si elle est dans l'ensemble positive, l'auteur, Henry Dumatray, met aussi en avant les défauts du disque (« moins touchant que « Live Killers », « ne correspond pas non plus à une période très créative pour le groupe », « grosse machine »). Dumatray déplorait même le manque d'authenticité de l'album.
Pour en revenir aux Who, j'aimerais savoir comment le public du groupe a réagi à la sortie de cet explosif « Live at Leeds » moins d'un an après l'ambitieux « Tommy ». Si l'on s'en tient aux seules ventes, les deux disques eurent un succès considérable (les deux ont fini double platine aux États-Unis). Je trouve d'ailleurs fascinant qu'un Live aussi dévastateur ait pu connaître un tel succès.

Le 01 Octobre 2021 par LE MERLE MOQUEUR

Très certainement avec Shadows and Light qui n'est pas un des plus connus, un de mes albums préférés ... DERWIJES ne manquera pas de nous le dire et de nous présenter des musiciens comme Pat Metheney, Jaco Pastorius, Michael Brecker et Don Alias... il y a encore son Mingus... de bien belles chroniques en perspectives.

Ce disque est vraiment... une rupture... de haute qualité. Dans ce parcours qui ne la mène pas de La Mecque à Médine elle est loin d'être une midinette à la recherche de mecs...

Le 01 Octobre 2021 par DERWIJES

Une super surprise !
Une bonne alternance entre les slows, même si ce sont les moments les moins intéressants du disque, et les rocks qui carburent (l'enchaînement des trois premiers morceaux passe tout seul, du grand art).

Chapeau à Joan JETT qui porte tout le disque sur ses épaules, et à Wanda JACKSON pour sa performance vocale. C'est un effort solide et cohérent qui dépasse le simple exercice ou l'hommage stérile pour devenir tout simplement un bon album de rock'n'roll !

Le 01 Octobre 2021 par SGT JAKKU

Si on est un brin nostalgique des 80's, ce disque a un fort capital sympathie tant il est marqué par l'époque où il est sorti. Tous les poncifs du genre AOR sont présents avec quelques effets de rock progressif ici et là. De nombreux thèmes sont très bien écrits.
Trois reproches :
- quelques mélodies pas très inspirées et trop évidentes.
- Carl Palmer n'est pas très convainquant sur du 4/4 et ne joue pas bien sur "Heat of the Moment" (alors que c'est le single !)
- la production, bien que propre, est très plate. La batterie sonne trop brute comme si elle n'avait pas été traitée. La différence entre le Toto IV, sorti la même année, et l'album présent est frappante.

Une question : le groupe Europe n'aurait-il pas été très influencé par le thème au synthé d'"Only Time Will Tell" pour son "Final Countdown" ?

Le 01 Octobre 2021 par PILGRIMWEN

Oui, il s'agit d'un grand disque de Rock, mélangeant du Rockabilly, du Punk, du Blues... Parfois je pense à une sorte de Proto-Grunge, d'autres fois à un héritier bâtard des DOORS. Ca sort des sentiers battus, surtout en 1982 ! A posséder absolument !

Le 01 Octobre 2021 par MR LARSEN

L'expérience PLACEBO s'est arrêtée pour moi après l'excellent "Meds" et le nettement moins bon "Battle For The Sun". Je découvre aujourd'hui qu'ils sont toujours vivants avec ce single "Beautiful James" des plus classiques dans sa composition mais où je retrouve la recette de leurs tubes passés comme "Pure Morning" ou les brûlots de "Black Market Music". La voix de Brian Molko n'a pas bougé d'un iota depuis toutes ces années, ce qui n'est pas pour me déplaire. Et puis ce petit côté électro apporte un peu de fraîcheur à leur musique, donc j'adhère. Du coup, ça m'a aussi permis de me replonger dans leur dernier album studio "Loud Like Love" ; force est d'admettre qu'il était plutôt de qualité. Un joli retour en grâce, donc, pour PLACEBO !

Le 30 Septembre 2021 par AXEL LABRIQUE

@ feelgood: c'était bien ce numéro, et c'est juste incroyable que tu l'aies retrouvé!!!

Je n'avais que 16 ans en 1990, c'était le deuxième mag de hard que je m'achetais, je manquais furieusement d'esprit critique et de finesse, et surtout je ne les ai plus lu depuis 1992, date d'un déménagement qui me força de me séparer de beaucoup de choses... (j'avais tout confié à un ami qui ne m'a rien rendu)

Je me souviens que j'avais souligné en vert les critiques élogieuses et en rouge celles qui me semblaient mauvaises... J'habitais la campagne, je n'avais pas MTV, les hardos étaient très mal considérés, et je devais raser les murs avec mes cheveux que je commençais à laisser pousser. A cette époque, en dehors de Led Zep, Deep Purple, Iron Maiden, Kiss, Europe, Scorpions et AC DC, je ne connaissais rien! J'ai donc visiblement pris beaucoup de choses au premier degré en lisant ces chroniques...

Le premier mag que j'ai acheté fut le numéro précédent de Hard Force, avec un dossier spécial intitulé "les excès des désaxés". Je l'avais acheté en état de choc, à cause d'un autre titre: "Bon Scott, 10 ans déjà" parce qu'en lisant ce titre, je comprenais soudainement pourquoi il avait quitté AC DC en 1980! (on ne rit pas, merci)

Par contre, j'adorerais retrouver ce mag, pour te montrer ce qu'on disait du live magic de Queen, je suis sur que c'était dedans! Le mag saluait la capacité du groupe à produire de tels enchainements, en citant le medley final comprenant notamment "friends will be friends" (donc ce n'est pas live killers), tout en passant sous silence le charcutage grossier de la plupart des morceaux figurant sur ce live magic! Il a bien été chroniqué à cette époque dans Hard Force, et je reste certain que c'est dans ce numéro là!

C'est un plaisir de se parler!!!
Ca ne nous rajeunit pas de se souvenir de ce qu'on lisait il y a 30 ans, mais ça ne nous vieillira pas non plus A chaque fois que j'écouterai Live at leeds, même dans 20 ans, je redeviendrai ce petit khon d'ado boutonneux que j'étais quand je l'ai écouté pour la première fois ;)

Le 30 Septembre 2021 par FEELGOOD

Le commentaire d'Axel m'ayant donné envie de me replonger dans mes vieux Hard Force, j'ai rouvert avec plaisir ce fameux numéro 32 de juin/juillet/août 1990, ce qui ne rajeunit personne, contenant un dossier "Vivant !"  proposant la chronique de 100 albums en public. Je suppose qu'il s'agit du numéro auquel Axel fait référence dans son com. Si tel est le cas, il semblerait que sa mémoire lui ait joué des tours, ce qui peut arriver à tout le monde, moi le premier, dans la mesure où cet excellent [i]Live at Leeds[fi] est loin de se faire descendre par Laurent Lacoste. En fait, celui-ci rappelle justement que les Who ont influencé nombre de métalleux, que cela plaise ou non à un Pete Townshend embourgeoisé qui aimerait davantage rester dans l'histoire du Rock pour ses fameux opéras que pour ses 'exploits' scéniques. L'idée était que si on lui collait un casque sur les oreilles diffusant cet album, Pete serait obligé (malgré sa surdité) de reconnaître l'influence des Who sur le Metal. Après tout, Alice Cooper lui-même ne qualifiait-il pas les Who de premier groupe Metal de l'Histoire ? D'où cette chronique basée sur la dualité existant entre les prétentions de Townshend et le Rock explosif de certains albums du groupe, dépourvus de toute prétention.
L'article s'achevait ainsi : « Les WHO, ce fut le groupe qui le premier fracassa son matériel à la fin des concerts et sur-électrifia les accords de base du rock. [i]Live at Leeds[fi] vous le rappellera douloureusement. »
J'ajoute qu'il s'agit effectivement d'un album d'une rare intensité qui me surprit lorsque je le découvris dans les années 80. Il me fallut du temps pour l'apprécier, mais une fois cela réalisé, il devint l'un de mes albums en public préférés de tous les temps, même dans sa version originale, plutôt brève (mais si intense).
Pour en revenir à ce numéro de Hard Force, s'il est exact que les albums de Led Zep et d'Alice Cooper se firent (justement) descendre (et cela ne change rien à mon appréciation de fan du Alice Cooper Show, c'est mon côté schizo), les disques de Lynyrd Skynyrd, Nugent et Guns N'Roses eurent droit à une critique élogieuse. Quant au [i]Live Magic[fi] (1986) de Queen, il n'est pas chroniqué dans cette liste, Axel l'ayant apparemment confondu avec le mythique [i]Live Killers[fi] de 1979 qui mérite amplement ses lauriers.

Le 30 Septembre 2021 par LEO

@ NONO :

Si Stevie Wonder s'est bien inspiré de Bob Marley pour son morceau "Master Blaster (Jammin')", en revanche ce dernier n'a pas du tout collaboré à sa conception ni participé à l'enregistrement.

À part ça, Uprising est une belle épitaphe à la carrière de Bob Marley (je ne compte pas Confrontation qui est une compilation post-mortem de divers enregistrements plus ou moins inédits). Je me souviens qu'on m'avait offert l'album à sa sortie et je l'avais trouvé sympa, bien qu'un cran au-dessous de Survival et Exodus.

Le 30 Septembre 2021 par NONO

Il est important de souligner, en cette année 80, l'influence de Bob Marley sur un titre au succès immense : "Master Blaster" de Stevie Wonder ! Je crois même (sauf erreur de ma part) que les deux musicos ont collaboré pour ce titre.