Le 25 Février 2020 par LEO

Si j'ai adoré le mésestimé mais pourtant superbe Point Of Entry, c'est avec le surestimé mais bien faiblard à mes oreilles Screaming For Vengeance que j'ai décroché de JUDAS PRIEST !
C'est à partir de cet album que je trouve qu'il n'y a plus aucune nuance dans la musique du groupe. Toutes ces compos à l'orientation plus 'heavy' (mais néanmoins assez sages pour le style pratiqué) sont très stéréotypées et similaires les unes par rapport aux autres. C'est ici aussi que l'on entre de plein pieds dans une production surgonflée typique des années 80 avec ces sonorités atroces de batterie métronomique avec son artificiel à la clé. Très peu pour moi !
Honnêtement, il n'y a aucun morceau qui me fait remuer le petit doigt. Si ce n'est la voix de Rob Halford bien identifiable, ce heavy sonne très générique et pourrait être autant signé par Accept, Scorpions ou un autre combo du même genre à la même époque. Je trouve qu'à cette période charnière, beaucoup de formations calquaient leur style les unes sur les autres si bien que l'on a bien du mal à y distinguer une quelconque originalité alors que par le passé on trouvait une réelle spécificité chez les uns et les autres (ceci n'est pas unique au courant hard/heavy, car il en était ainsi pour la plupart des genres musicaux dans les 80's, qui chacun dans leur niche particulière, avaient tendance à sonner du pareil au même).
Bien sûr pour qui apprécie le heavy des années 80, cet album et les suivants remplissent très bien leur rôle mais personnellement vu que je suis bien plus amateur du son et du style des années 70, je ne m'y retrouve pas un instant et préfère de très loin réécouter Sin After Sin, Stained Class, Killing Machine, Unleashed In The East et Point Of Entry.

Le 24 Février 2020 par PILGRIMWEN

"Point Of Entry" est plus Hard que Heavy.
"Point Of Entry" n'est pas un déluge de tubes, sans l'ombre d'un doute.
"Point Of Entry" est cependant plus qu'agréable à l'écoute.
"Point Of Entry", je suggère de le réhabiliter et ainsi cesser ce mépris.

Le 24 Février 2020 par PILGRIMWEN

A 13 ans (j'ai désormais la trentaine), je découvrais JUDAS PRIEST et sa cultissime chanson "You've Got Another Thing Coming". Et ce, à travers le cultissime jeu vidéo GTA Vice City sur PS2.

En effet, le jeu proposait des playlists sous forme de radios virtuelles. Celle qui diffusait JUDAS PRIEST se targuait d'être 100% Rock et c'est le cas ! V-Rock m'entraînait dans le monde Hard Rock/Heavy Metal par une sélection de titres très addictifs. Entres autres, DLR, QUIET RIOT, MOTLEY CRUE, MEGADETH ou SLAYER.

Dès lors, cette sélection a été un début de pistes pour découvrir certaines pièces musicales dont le fameux "Screaming For Vengeance" des britanniques JUDAS PRIEST. Un excellent album de Heavy Metal, très incisif et aérien. J'adore "Electric Eye", très critique sur la vidéo-surveillance déjà à l'époque ! Sacré coup d'éclat que ce disque !!!

Ma note : Vice City/5

Le 24 Février 2020 par RICHARD

Elefant, VHS OR BETA, The BRAVERY...et The Killers pour ne citer que les plus marquants. C'est fou le nombre de groupes qui en 2004-2005 s'est engouffré dans la brèche du revival "new wave". C'est le hit absolu " Mr. Brightside" qui m'avait fait acheter la galette à sa sortie. Le temps ne fait pas de cadeau. Je la trouve maintenant effroyablement creuse et ennuyeuse. Si j'enlève les deux-trois singles bien percutants, le reste n'est que cliché de cliché. Pas top même si la voix de Flowers sauve les Américains du naufrage.

Le 24 Février 2020 par JIPE CHERBOURG

C’est marrant, en lisant cette chronique, je me revois à Versailles le 21/06/88, à me choper un torticolis à 5 mètres de la scène puis à Bercy l’année suivante, dans les gradins en face de la scène, pour voir ce que j’avais loupé un an auparavant, et ressentir aussi la boursouflure de ce show qui m’avait enthousiasmé, non pour la musique, mais pour les à côtés spectaculaires. En puis, quand je réécoute « money » avec ces wooo horripilants des choristes, je me dis que Pink Floyd était bien du Canada Dry musical... heureusement qu’ils ont rattrapé le coup pour les shows de 1994.

Le 24 Février 2020 par CLANSMAN57

Le second meilleur album du groupe dans les 80's pour moi, juste derrière "British Steel".
A part "Pain And Pleasure" que je n'écoute jamais, le reste est top.
Le son est très particulier et pas déplaisant du tout.

"You've Got Another Thing Coming"!

4,5/5

Le 24 Février 2020 par CLANSMAN57

Immense album de Heavy-Metal, une définition de puissance tout en restant assez sobre.
Halford chante divinement sans chercher constamment à atteindre des notes surhumaines, les interventions des deux guitaristes sont judicieuses, il arrive même qu'ils se cantonnent à la rythmique à quelques reprises, Korn n'était même pas encore né.
Le défunt Dave Holland et le discret Ian Hill amènent un groove ultra solide, et Tom Allom a fait du super bon boulot qui fait que 40 ans plus tard, ce disque s'écoute encore très bien.
Par ailleurs, si on pourra parfois pester sur la prod concernant Tom Allom, on ne pourra pas dire qu'il refile tout le temps le même son au groupe, respect pour ça.

Entre nous, je ressens beaucoup plus de plaisir à réécouter ce disque que n'importe lequel qui donne dans le Revival et dont on ne parlera certainement plus dans 40 ans.
Et sans cet album, comment aurait sonné l'âge d'or d'un groupe comme Accept?

Avec le Bonus "Red, White And Blue", un esquimau se sentirait anglais dans son igloo.

Le 24 Février 2020 par JOEY JOJO PIRE NOM

Très bon album. Mélange bien réussi entre le rock tendance hard et la complexité typique du rock progressif, avec placé en plein milieu une balade, Dust In The Wind devenue leur grand classique, en guise de pause dans toute cette énergie homegène et tout aussi captivante du début à la fin. J'ai toujours tendance à zapper lorsque j'écoute un album mais celui là c'est un des rares que je laisse passer du début à la fin.
Le meilleur de Kansas pour moi et un album majeur à mettre au meme pied d'estalle que Rush à la même époque.

Le 23 Février 2020 par MAGNU

J'ai beaucoup écouté cet album ce week-end. Décidément, il me plait beaucoup comme quelques autres que j'ai pu découvrir. Le mystère reste entier de savoir comment j'ai pu passer à côté de ce groupe par contre...

Le 23 Février 2020 par MAGNU

Je les avais découvert en zappant sur l'autoradio en retour de vacances en 2014...et c'était sur France Culture. Improbable non ? J'ai acheté les 3 albums et celui ci est mon préféré, surtout Polonia avec la reprise des dialogues de Buffet Froid de Bertrand Blier.

Le 23 Février 2020 par MAGNU

Très Bien décrit dans la chronique :) Belle découverte 2020 !

Le 22 Février 2020 par LE KINGBEE

Un Must!

Le 22 Février 2020 par RICHARD

PLACEBO était sans conteste encore digne d’intérêt avec ce troisième album, même si pour moi il n'atteint pas l'intensité émotionnelle de Without You I'm Nothing. Il y a toujours cette alternance réussie de petites bombes abrasives et de morceaux plus mélancoliques et lents. Le trio n'avait pas encore basculé dans le côté obscur du succès qui incontestablement le perdra. Puis quoiqu'on pense de Molko, de sa voix de canard à son opportunisme supposé, sur scène il assurait vraiment, comme ses deux acolytes d'ailleurs. J'ai encore de délicieux souvenirs de l'Olympia en 2000 et des deux dates du Zénith de Paris en mars 2001 avec un superbe et étourdissant "Haemoglobin" en intro où je suis passé sans m'en apercevoir du 5ème au 20ème rang en 15 secondes :)

Le 22 Février 2020 par LEO

Contrairement à WALTERSMOKE et ARP2600, je n'ai pas un avis favorable envers Lament que j'avais affublé du surnom de Lamentable à sa sortie, tant je détestais ce disque à l'époque. Depuis, j'ai un peu revu mon jugement à la hausse mais pas tant que ça dans le fond puisque je retrouve dans ce 33-tours la plupart des choses qui me dérangeaient sur l'album précédent (le terne et décevant Quartet).
Déjà, je n'aime pas beaucoup la prod' et les sonorités entendues tout du long (typiques de ces mid-80's standardisées qui me faisaient déjà fuir à ce moment-là). Je ne trouve pas les compos très inspirées ni à mon goût l'orientation musicale prise depuis Quartet. "White China" est entraînant mais à part ça, c'est juste de l'electro-pop lambda, un peu similaire à ce que proposait NEW ORDER à la même période. pas de quoi sauter au plafond !
Effectivement, le plus 'rock' (c'est un bien grand mot) "One Small Day" est plus dans la lignée de U2 (jusque dans la façon de chanter de Midge Ure dans les refrains) et on y entend un peu plus distinctement la guitare, mais la basse est beaucoup trop enterrée dans le mix (choix étrange !). A part ça, rien de nouveau sous le soleil.
Ensuite, on a "Dancing With Tears In My Eyes", le mega-hit archi-matraqué un peu partout (sans doute le seul d'ULTRAVOX a avoir été diffusé par les grosses radios commerciales). Si en 1984 je ne pouvais pas saquer ce morceau, j'avoue qu'avec les années je trouve un certain charme à cette ritournelle bien troussée mais que personnellement je ne trouve pas si éloignée dans sa forme comme dans le fond, de "Hymn" (qui était sur Quartet).
"Lament" le morceau-titre m'ennuie tout simplement. A mi-chemin de "Vienna" pour la façon dont la compo' se traîne, et des réminiscences sonores de JAPAN dans sa période Tin Drum, ce titre me laisse de marbre.
"Man Of Two Worlds" inclut une présence féminine à la seconde voix, ce qui donne une couleur quelque peu Celtique. Perso, je ne suis pas fan.
"Heart Of The Country" aux sonorités 'DEPECHE MODE' de la même époque ne fait rien vibrer en moi. Je trouve la compo banale.
"When The Time Comes" est une gentille pop-song toute mollassonne. Next.
Alors que j'allais abandonner avant le dernier titre, ULTRAVOX se réveille quelque peu sur le final "A Friend I Call Desire". La compo est tout juste correcte, sans plus.
Voilà, pour moi Lament n'est vraiment pas terrible. J'avais déjà quasi-décroché du groupe avec Quartet mais Lament m'a porté un coup fatal.
Je sauve les trois premiers titres et le tout dernier à la rigueur. On est loin toutefois de Rage In Eden, Vienna et Systems Of Romance.

2,5/5 arrondi à 3.

Le 22 Février 2020 par ERWIN

Les grandes blondes maigrichonnes ne me font pas le moindre effet, du coup, me voila confronté à son niveau technique, pas folichon pour une shreddeuse, et son talent pour composer des ritournelles qui est donc... inexistant.
Pas génial !

Le 22 Février 2020 par MR TINKERTRAIN

Je ne sais pas quoi penser (enfin c'est normal après avoir maté ses clips). Outre le fait que cette jeune femme est un fantasme vivant pour bon nombre de metalhead et une déesse en terme de physique/ technique guitaristique (barrer mention inutile), je suis assez d'accord pour dire que c'est un vrai canon. C'est un peu l'absence d'émotions dans l'écriture qui fait défaut à la belle. En ce sens, je rejoins l'auteur. Pour fantasmer un peu plus, je la verrais bien dans un groupe de metal prog mélodique type Threshold, Pagan's Mind. Et peut- être un peu plus d'ouverture musicale serait la bienvenue en fait (où est le jazz? où Funkytude?), ce que je reproche aux grands maîtres comme SATRIANI d'ailleurs.

Le 22 Février 2020 par VIV

Bien vu la comparaison avec "let there be more light" sur l'ouverture de ce magnifique "taste in men" ! Point culminant de l'album avec ce morceau, ça se dégonfle ensuite, même si ça reste du placebo de la grande époque. Je préfère mille fois cet album aux suivants, peu de prises de risques par la suite.

Le 22 Février 2020 par CLANSMAN57

Ah les salauds...
Le disque laissait présager une musique plus clean avec les trois reprises en guise d'amorce.
A se demander ce qu'il s'est passé avec ces gens-là.
"Green Fuz" séduirait mémé, Lux Interior chanterait presque bien le bougre.
"Goo Goo Muck"? A peine souillée par quelques vocalises pas nettes.
Lorsque "Voodoo Idol" résonne, le groupe dévoile son véritable faciès.

7 reprises, 7 compositions personnelles.
Bien entendu, pour déranger l'auditeur, l'album ne sera pas scindé en deux, il n'y aura même pas d'alternance reprise/compo perso, non, non.
Ils agencent tout ça de manière bordélique, ils jouent avec nos nerfs, quitte à nous rendre complètement schizophrènes et le pire, c'est que c'est top!
Leurs chansons personnelles seront davantage inquiétantes et les reprises, disons... qu'elles sonneraient presque clean.
"The Crusher", placée entre deux folies, sera une reprise contaminée par le mal.
La doublette "Don't Eat Stuff Off The Sidewalk" et "Can't Find My Mind" nous emmènera aux confins du malaise.

Plus Gothic que Punk, leur amour pour les films d'amour ne s'est pas envolé.
Ils jouaient aux zombies sur le premier album, ici, ils jouent aux vampires.
Ils séduisent la gentille demoiselle avec le très sexy "Primitive" (Jim, est-ce toi??) et ils l'emmènent dans leur tanière sinistre de suite après avec "Caveman".
Pauvre fille, t'aurais dû rester chez tes parents ce soir-là...
Ta mère t'avait pourtant bien dit de te tenir loin de Lux.

Oh, on pourra détester cette musique, c'est tout à fait compréhensible.
En ce qui me concerne, j'ai du mal à décrocher pendant un moment lorsque je découvre un album de ce groupe.

Le 22 Février 2020 par LE KINGBEE

Je n'en avais jamais entendu parler.
Les différentes vidéo youtubesques ne lui rendent pas service. Il me semble qu'on a affaire à une guitariste bavarde, sans feeling, développant un phrasé sans intérêt. Physiquement on hésite entre Bimbo et Barbie et les rares tentatives de sourire et d'humour révèlent un QI proche de celui d'une portière de Solex.

Aucun intérêt et même pas amusant.

Le 22 Février 2020 par CLANSMAN57

Lorsqu'on écoute juste les chansons, on se dit que c'est une excellente technicienne comme il en existe plein.
Et lorsqu'on regarde les clips, surtout ceux de "Delusions"(pas trop mal celle-là) et "Made Of Wax", on se dit qu'on va monter à 5 étoiles.
Ce que je vais faire d'ailleurs.
Allez hop, soyons superficiels.