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Jacques DUTRONC
GUERRE ET PETS


Le 03 Juillet 2020 par LE MERLE MOQUEUR


À les mômes d'esprit... Le grand Sigmund en a fait un bouquin dans lequel il nous dit que le sexuel fait bon ménage avec l'excrémentiel.

Le textuel nous séduit dans ce disque, je dirais... Guère de pertes.





VINNIE VINCENT INVASION
VINNIE VINCENT INVASION


Le 03 Juillet 2020 par ATOMIC PLAYBOY


Intéressante biographie de Vinnie Vincent, merci. Je l'avais perdu de vue après la dissolution du VVI et je rattrape ainsi mon retard. C'est pas qu'il y avait grand chose à rattraper, cela dit. Vinnie Vincent, c'est un peu le sublime loser.
Pour ce qui est de l'album, je serai nettement plus généreux que l'ami Jasper, et je lui mettrai un bon quatre étoiles. C'est totalement exagéré, outrancier, suraigu... bref du hard-rock tellement pompier qu'il était fait pour bosser en Californie l'été. Et c'est justement ce qui me plaît dans ces refrains chantés trop aigu et ces solos joués trop vite. C'est trop. C'est con. C'est trop con. Et c'est ça qu'est bon !
C'est probablement pour ça que j'ai aussi aimé (et que j'aime toujours) Stallone, et même "Over the top" (avec du Sammy Hagar dans la B.O me semble-t-il).
Et puis, malgré leur look de tarlouzes sous stéroïdes et leur musique putassière, ils sont néanmoins (ainsi qu'à fortiori, NITRO) un groupe de gonzesses capable de faire exploser (à la Scanners) la tête des fans de thrash ou de black en quelques minutes. Et ça, à l'époque, ça me les avait rendus éminemment sympathiques.





VINNIE VINCENT INVASION
VINNIE VINCENT INVASION


Le 03 Juillet 2020 par MORMEGIL

Toute cette longue monographie à charge était-elle nécessaire ? Car au final ça parle quand même très peu de l'album et de la musique en question, au profit de frasques en tout genres, certes amusantes mais dans le cadre d'une chronique d'"album", je trouve cela peu utile et plutôt lourd. On n'en sait en touT cas pas franchement plus sur l'album. Ce n'est pas très éclairant.





GENTLE GIANT
THREE FRIENDS


Le 03 Juillet 2020 par JERONIMO


Parmi les groupes prog de première génération, GENTLE GIANT est incontestablement l'un des plus funs, enchaînant les gimmicks ingénieux sur un groove impeccable. Le double morceau qui clôt "Three Friends" manifeste très bien cette créativité : un riff de violon sous hypnose cède à un piano martelé qui passe le relai à une innocente mélodie à l'orgue. Tout le groupe se passe la balle rapidement et repart sur un solo de guitare des plus enthousiastes, pour finir par un requiem des plus épiques. Et ce chant très expressif se marie parfaitement au dynamisme de la musique.





The Alan PARSONS PROJECT
FREUDIANA


Le 02 Juillet 2020 par SGT JAKKU


Le voici donc, le dernier album non officiel d'A.P.P. La musique est d'Eric Woolfson, la production d'Alan Parsons, Andrew Powel à la baguette, les musiciens habituels, c'est A.P.P mais sous le regard vigilant de Woolfson cette fois-ci. Musicalement, l'album est divisé entre le Prog/Art Pop qu'on connaît déjà, mélangé à une autre facette qui, elle, est dans le pur style de la comédie musicale anglaise. Par moment, on croirait entendre "Cats" d'Andrew Loyd Webber ("Don't Let the Moment Pass").
On pourrait penser sur le papier que ça ne passera pas et pourtant, ça fonctionne très bien. Cela n'est pas étonnant car si on prend l'œuvre d'A.P.P dans son ensemble, il y a toujours eu un peu de théâtralité, de grandiloquence et un peu de comédie musicale dans plusieurs chansons, et cela dès le premier album (Tales Of...). La différence est qu'ici Eric Woolfson a été jusqu'au bout du concept.
Ce double-album très ambitieux est imparfait à cause de quelques petites fautes de goût ("I am a Mirror" qui a mal vieilli) mais l'ensemble se tient grâce à de très beaux passages ("Let yourself Go", "There But For The Grace Of God", "Freudiana", "The Ring", "Far Away From Home", "No One Can love You Better Than Me"...). Une large majorité des morceaux est plutôt très réussie. Bien sûr, on nage par endroit dans l'easy listening, mais cela a toujours été le cas dans les albums du groupe. Une des raisons, d'ailleurs, qui a fait dire à certains qu'A.P.P, c'est du PINK FLOYD light et Pop. Ce qui est tout à fait vrai, mais quand c'est bien fait et inspiré, ça peut donner aussi d'excellents disques et A.P.P l'a prouvé à plusieurs reprises.





Alain SOUCHON
C'EST COMME VOUS VOULEZ


Le 02 Juillet 2020 par BRADFLOYD


Salut les gars,
C'est drôle comme j'ai l'impression d'être un vieux con lorsque je lis vos commentaires.
Cette année-là, SOUCHON a sorti trois "tubes" qui ont marqué leur époque : la chanson titre, "La Ballade De Jim" et "j'veux du cuir" qui était particulièrement transgressif pour l'époque. (bien vu YM). Cet album a relancé sa carrière et lui mettre une note de 2 est faire fi de la dimension historique de cet album, bien inscrit dans son temps au même titre que celui de BALAVOINE "Sauver l'amour". Alors, considérer que cet album manque d'inspiration me semble quelque peu exagéré.
En réalité, je lui mettrais 3,5. Et donc, pour rééquilibrer le tout, je lui mets allègrement 4 parce qu'il le mérite bien et qu'il fait un pont idéal avec le suivant "Ultra Moderne Solitude".





JUDAS PRIEST
SAD WINGS OF DESTINY


Le 02 Juillet 2020 par IDARGOS


Pas le plus accessible de la discographie, je l'ai carrément détesté à la première écoute. Rob en fait parfois un peu trop, cherchant à concurrencer Freddy Mercury peut- être... ce qui ne lui réussit pas forcément. Par contre, après plusieurs auditions, on se rend compte de la complexité des compositions. "Victim of Changes" est à ce titre superbe et le reste de l'album, équilibré, se laisse écouter sans problème (à part le morceau "Epitath" où Rob est vraiment à la limite de la caricature).
Je préfère nettement cet album aux surnotés Defender of the faith et Painkiller avec lesquels j'ai toujours beaucoup de peine.

4.5/5 arrondi à 5.





JUDAS PRIEST
SIN AFTER SIN


Le 02 Juillet 2020 par IDARGOS


Beaucoup de peine avec cet album. Oui, la pochette est sympa, oui il y a l'excellent et intemporel "Dissident Aggressor" et surtout le superbe "Here come The Tears", un de leur plus beaux titres. Mais, pour le reste, on navigue entre le bon ("Sinner", "Let Us Prey") le moyen ("Diamond and Rust", "Starbreaker") et le décevant (l'interminable "Last Rose Of Summer" et le dispensable "Raw Deal").
2.5/5 arrondi à 3 pour "Here Come the Tears".





The Alan PARSONS PROJECT
GAUDI


Le 02 Juillet 2020 par SGT JAKKU


Gaudi, le dernier album officiel d'APP, se révèle être une bonne surprise pour les fans de la première heure un peu fâchés par le virage eighties des précédents opus. Années 80 obligent, "Too Late, Standing...et Money Talks", taillés pour les radios FM, se défendent bien, à défaut d'originalité.
C'est pour le reste que Gaudi vaut le détour. Avec "La Sagrada Familia", APP opère un retour aux sources, période Turn Of...avec Andrew Powell à la direction d'orchestre, John Miles au chant. Sans atteindre les grands morceaux classiques d'APP, le résultat est très satisfaisant.
Vient ensuite "Closer To Heaven", une ballade en ternaire avec un développement instrumental somptueux.
Puis, sur l'autre face, le dernier effort d'Eric Woolfson pour le "Project" et pas n'importe lequel : "Inside Looking Out" qui a la beauté d'une Gymnopédie de Satie, un titre Art Pop, nostalgique et solennel, touché par la grâce avec son final émouvant qui met en scène une armée de guides touristiques et de médias qui s'époumonent dans des explications interminables au pied de l'édifice inachevé mais dont le rêve démesuré nous dépasse et nous inspire. Ce n'est pas pour rien que Yukito Kishiro reprendra "Inside" dans son manga "Gunm" en faisant interpréter cette chanson par l'un de ses personnages, KAOS, le musicien énigmatique et fragile que Gally va rencontrer dans ses aventures.
L'album finit sur l'incontournable instru composé dans la thématique de la "Sagrada".
Sans être un des meilleurs APP, la discographie se termine sur une belle note. Je pourrais mettre un 4 à ce disque, bien que la note juste soit un 3.5. Allez, j'arrondis à 4 !





KARTHAGO
KARTHAGO


Le 02 Juillet 2020 par WALTER SMOKE

@François :

Tu rigoles, tu rigoles, mais les Scorpions ont eu leur importance (toute relative certes) dans l'histoire du krautrock. Après tout, Lonesome Crow n'en est pas éloigné, mais surtout, c'est le premier album édité par Brain Records, soit LE label majeur du krautrock.

Et sinon oui je confirme, Karthago c'est pas du krautrock





KARTHAGO
KARTHAGO


Le 02 Juillet 2020 par LE MERLE MOQUEUR


Cet album animé par le jeu de la guitare d'Albrecht fait que nos oreilles retrouvent du Jimi Hendrix Expérience. Voilà un disque qui sera couronné par un beau succès européen.

Un succès tel que les lecteurs du magazine français "EXTRA" (ancienne revue musicale qui parut de 1970 à 1976 sous des titres divers) propulseront cet album lors de sa sortie comme la meilleure galette du mois. Ne me demandez pas le mois ni l'année. Selon des sources allemandes ce disque serait sorti en 1971.
Le Merle ne va pas chercher midi à quatorze heures, l'important c'est qu'il vit le jour, ce disque, pour notre plus grand pleasure pour sûr.

Quoi encore ?

Au début de l'année 2019 disparaissait malheureusement l'organiste Ingo Bishof. Un album solo "Reconstructed".

Ce groupe ne doit pas être confondu avec un groupe de rock hongrois formé en 1979 qui s'appelait... Karthago "Indulj tovább" . Ce groupe eut une belle renommée dans les pays de l'Est et en Autriche. Comme quoi la citée punique souvent citée n'est pas punie par les adeptes de la musique qu'ils furent à l'est ou à l'ouest.





10 CC
THE ORIGINAL SOUNDTRACK


Le 02 Juillet 2020 par SGT JAKKU


Tout à fait d'accord avec toi LEO, c'est leur meilleur album. Celui d'avant était encore un peu au stade de tâtonnements et d'expérimentations. Quant à celui paru après Soundtrack, il est très bon mais il y a un déséquilibre qualitatif entre les faces A et B. Soundtrack est juste parfait avec des moments de grâce comme "I'm Not In Love" (une prouesse technique et artistique) et "Brand New Day".
Sinon, j'ai lu que Freddie Mercury a bel et bien été très impressionné par "Une nuit à Paris" mais aussi par "I'm Not In love" et ces deux titres en particulier l'ont mis au défi de faire aussi bien sinon mieux avec Bohemian et le final vocal de Prophet Song.
Ce qui impressionne dans les voix des 10CC pour "I'm Not In love", c'est la texture du son et l'expressivité synthétique des nappes pourtant naturelles qu'ils sont obtenu avec toutes ces pistes. Rappelons que chaque piste était une note tenue faisant aaaaaah jouée en boucle grâce à un collage de bande magnétique. Chaque tranche de piste devenant donc une touche de piano dont le volume est contrôlé par le fader de la piste. D'où ce rendu si proche d'un synthé...Un travail phénoménal et un enregistrement d'anthologie pour un résultat d'une modernité époustouflante. Notons aussi le "Be Quiet, Big Boys Don't Cry" qu'on retrouvera plus tard samplé sur un disque d'Art Of Noise.
Il est juste dommage que tout le monde connaisse le morceau, qui est passé des millions de fois à la radio, sans savoir comment il a été fabriqué et par qui.





KARTHAGO
KARTHAGO


Le 02 Juillet 2020 par FRANçOIS

Ben oui, parce qu'à ce compte-là, Scorpions ou Propaganda aussi ce serait du "krautrock"... :-)





KARTHAGO
KARTHAGO


Le 01 Juillet 2020 par LE KINGBEE

Bonjour Troury

Ce disque est parfois classé en Krautrock. J'en ai discuté avec mes collègues du site et ils semblent partager mon avis. Ce premier disque se situe plus dans le domaine du Jazz avec une pointe de Latin Jazz.
Le fait que la plupart des musiciens soient d'origine germanique risque de créer en effet une certaine confusion.
Pour rappel, la lisière entre certaines étiquettes est parfois très mince.

Bien à vous





10 CC
THE ORIGINAL SOUNDTRACK


Le 01 Juillet 2020 par LEO


The Original Soundtrack est mon album favori de 10CC. celui dans lequel le quatuor concilie au mieux leurs différences stylistiques (les expérimentations et autres bizarreries de Kevin Godley & Lol Creme et les envies pop-rock d'Eric Stewart & Graham Gouldman). pour moi c'est l'album parfait du groupe.
"Une Nuit A Paris" c'est un peu leur "Bohemian Rhapsody" avec l'humour en plus, mis à part que ce mini-epic de près de neuf minutes précède celui de Queen de plusieurs mois (The Original Soundtrack fut enregistré en 1974/tout début '75 et paru en Mars 1975 et A Night At The Opera d'Août à Novembre 1975).
Cela dit, je ne pense pas que Freddie Mercury se soit inspiré de ce titre de 10CC car ils avaient déjà à leur répertoire "The March Of The Black Queen" qui était une compo un peu dans le même style sur Queen II, donc cette vague similarité entre "Une Nuit A Paris" et "Bohemian Rhapsody" n'est que pure coïncidence, et de toute façon dans les années 70 pas mal de formations (Uriah Heep, Sweet, Sparks...) avaient certains morceaux avec choeurs et passages intrumentaux grandiloquents et baroques, donc ce n'était pas quelque chose d'unique chez Queen et 10CC.
Quoiqu'il en soit, je préfère de très loin "Une Nuit A Paris" à "Bohemian Rhapsody" qui est certes, une excellente compo mais qui ne m'a jamais fait beaucoup d'effet (à l'instar de pas mal de titres de Queen).
Malgré ses multiples passages sur les ondes, "I'm Not In Love" a gardé tout son charme depuis tout ce temps. cette chanson d'amour (malgré son titre habilement trompeur) a la particularité de ne comporter aucune nappe de synthé (mis à part un Moog pour simuler une grosse caisse en sourdine). le tapis musical en fond a été créé uniquement à partir de multiples couches de choeurs (fait par Godley, Creme et Gouldman) sur plusieurs tonalités différentes et en créant des boucles avec ces différentes pistes, totalisant au final 624 voix !!!! un travail de titan qui dura trois semaines uniquement pour les choeurs, mais ces efforts en valaient vraiment le coup car cela donne un son tout à fait singulier à cette ballade.
L'excellent "Blackmail" est nettement plus pop (à la croisée des Beatles et Queen), avec de superbes parties de slide guitar réalisées par Eric Stewart.
L'entraînant "The Second Sitting For The Last Supper" (seul titre signé à quatre sur ce disque) est autant pop que tirant sur le rock (un tantinet hard dans ses riffs mordants).
L'insolite et superbe "Brand New Day" chanté par Kevin Godley avec sa voix angélique est un autre grand moment.
"Flying Junk" est plus classique dans sa forme, quoique les arrangements sont encore une fois particulièrement chiadés. par certains côtés, cette compo me fait penser au groupe Badfinger.
Quant au fort sympathique "Life Is A Minestrone", c'est aux Wings que je songe.
L'album se referme sur "The Film of My Love", romance volontairement désuète (avec les mandolines qui vont avec !). c'est la compo que j'aime le moins sur l'album, cela dit elle convient parfaitement en conclusion de ce 33 tours fort réussi.
Sur l'édition CD on a droit à deux faces B de singles en bonus. "Channel Swimmer" (au verso du 45t "Life Is A Minestrone") m'évoque le Paul McCartney du début des années 70 et "Good News" (qui figurait au dos du 45t "I'm Not In Love") chanté par Kevin Godley et Lol Creme est plus particulier dans sa forme car scindée en deux (la compo débute comme une ballade puis se transforme en bossa). deux titres plutôt sympa même si un peu 'hors contexte' par rapport à l'album.





KARTHAGO
KARTHAGO


Le 01 Juillet 2020 par TROURY

Souvent classé en krautrock





The Alan PARSONS PROJECT
STEREOTOMY


Le 01 Juillet 2020 par SGT JAKKU


Je me suis peu penché sur le cas Stereotomy, car, comme beaucoup de fans d'APP, je trouvais cet album trop différent de la première période, trop "machine", trop froid. Ici, le tandem Parsons/Woolfson a poussé le curseur des années 80 à son paroxysme. Stereotomy a le son typique du milieu de cette décennie plastique : les basses slappées, les basses synthétiques en mode arpegiator, les guitares un brin Heavy Metal, les synthés numériques, la batterie électronique, la caisse claire réverbérée, les interprétations vocales outrancières, les refrains en mode "Survivors", tout y est. Sans parler des emprunts stylistiques à Abacab des Genesis ou à Welcome To The Pleasuredome des Frankie Goes...
Stereotomy est l'exemple parfait d'un album créé dans les années 80, par un "vieux" groupe qui veut sonner "moderne" en usant de tous les clichés possibles de l'époque.
Le réécouter en 2020 peut être une expérience intéressante voire marrante pour celles et ceux qui ont la nostalgie des années 80 et aussi pour tous ceux qui sont nés dans ces années-là voire après et qui trouvent "trop cool" l'esthétique de cette décennie.
En effet, les années 2010 ont vu un regain d'intérêt pour les eighties et je ne serais pas surpris que Stereotomy soit analysé, étudié par certains artistes de la scène VaporWave. En ce sens, Stereotomy n'est pas un mauvais disque (il gagne même en intérêt 35 ans après sa sortie !) même s'il comporte quelques atrocités comme "In The Real World". Eric Woolfson chante très peu et sa voix aurait sonné plus juste et moins cliché que celle qu'on entend sur "Light Of The World".
Pour son ambiance "so eighties", je lui mets un 3 !





Hank WILLIAMS
MEMORIAL ALBUM


Le 01 Juillet 2020 par FRED

@ Le Kingbee. Je ne suis pas gêné par ce côté "vieillot". Je dirais plutôt "vintage" fait, avec ce son très typique des années 40. C'était le son de l'époque ! Cela me remémore également ce superbe film d'Eastwood, "Honky Tonk Man", sur la destinée d'un chanteur country à peu près à la même époque... Uncle Red !
C'est vrai que les reprises de Hank par d'autres artistes sonnent généralement moins bien. Même les morceaux repris par Johnny Cash, c'est dire !
Concernant Hank, il y a des trucs pas mal qui traînent sur internet aussi, dont un duo avec une des soeurs Carter (Anita), sur "I can't help it if i'm still in love with you". Emotion garantie, avec celle qui était sans doute dotée de la plus belle voix de la famille !
Ce qui me plaît, dans cette musique, ce sont aussi les thèmes abordés, la vie et les malheurs des gens simples, avec des mots simples mais émouvants, le talent d'Hank faisant magnifiquement ressortir la tristesse, voire le désespoir (Lost Highway, sur l'errance, My son calls another man Daddy, sur la séparation...).
En tout cas, merci pour toutes tes chroniques, j'aime bien les artistes que tu évoques régulièrement.





Rory GALLAGHER
CHECK SHIRT WIZARD - LIVE IN '77


Le 01 Juillet 2020 par BRADFLOYD


Une véritable tuerie, cet album... Mérite plus que 5/5. Rarement entendu un blues-rock aussi habité. Et ce son !!!! Merci pour ta chronique, camarade.





Hank WILLIAMS
MEMORIAL ALBUM


Le 01 Juillet 2020 par LE KINGBEE

@ Fred

Oui effectivement il ressort comme un mal-être dans de nombreux titres du Drifter.

Le titre dont tu parles a été repris plus de 250 fois. Elvis en a livré une version Live que je suis loin d'apprécier, mais je ne suis pas un fan invétéré du King. Je peux te conseiller les versions Soul d'Al Green et ZZ Hill. Stephan Eicher a aussi repris le titre avec une Tocata en guise d'intro. Chez nous Eddy Mitchell a aussi adapté le morceau.
Chez Hank Williams, si les arrangements et la steel de Don Helms peuvent parfois sonner vieillots, très souvent les reprises de ses morceaux tombent à plat.
Cordialement







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