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ÁSGEIR
SATT/BURY THE MOON


Le 18 Juillet 2020 par MR LARSEN


Merci pour la découverte ERWIN ! Cet artiste islandais offre une folk éthérée et ensoleillée tout à fait délicieuse, à l'image du tube "Minning" qui, comme tu le dis si bien, porte en lui une ambiance champêtre et printanière qui invite à l'optimisme. J'aime beaucoup. Je n'ai pas écouté la partie anglaise mais la version originale propose une authenticité fort agréable. Il me tarde de découvrir plus avant la discographie du bonhomme !





Mike OLDFIELD
CRISES


Le 17 Juillet 2020 par NONO

Je reviens 2 ans plus tard, non pour cet album en totalité (dont j'ai déjà donné mon avis), mais plus spécifiquement sur le long morceau-titre.
Je suis d'accord avec ceux qui disent que ce morceau n'est pas immédiat : il faut plusieurs écoutes pour l'apprécier pleinement.
Toutefois, je reste pantois sur sa sous-estimation. Personnellement je le trouve absolument unique et génial, même si je préfère certains passages à d'autres. Par exemple j'adore vraiment l'intro, puis cette partie assez "spatiale" avec le chant "The watcher and the tower waiting hour by hour" et après : ce splendide passage ressemblant un peu à des prémices de "To France" puis enfin la géniale montée en puissance de Simon Phillips avec sa batterie puissante.
En fait, le seul passage que je n'aime pas du tout et qui fait tâche dans l'ensemble est le passage rock-bourrin avec ce chant écorché "Crises, crises, you can't get away..."
Voilà tout.





Mike OLDFIELD
DISCOVERY


Le 17 Juillet 2020 par NONO


Je viens de découvrir cet album, jurant depuis fort longtemps de l'écouter en entier (vu que je ne connaissais que son méga-hit "To France"), et j'ai bien aimé dans l'ensemble.
Cet album est souvent apprécié de toutes façons, mais à lire nombre d'avis, je craignais qu'il sonne bien plus "synth-pop" (genre avalanche de Fairlights et autres DX7). Hé bien non : du synthé, il y en a, mais pas de manière outrageuse (de toutes façons, le synthé bien arrangé ne me pose aucun problème, je n'aime pas quand cet instrument est envahissant), et ici les sons ressemblent davantage à de l'orgue qu'à du synthé numérique.
A première écoute, quelques titres m'ont instantanément emballé : l'instrumental "The lake" même s'il est moins épique que son prédécesseur "Crises", vaut largement la chandelle. J'adore aussi "Crystal Gazing", titre dans lequel Maggie Reilly chante plus divinement que jamais.
"Talk About Your Life" est magnifique et puissant également.
Cela dit, cet album contient aussi un défaut majeur à mon avis (qui, j'ai l'impression, est récurrent chez Mike) : celui de s'auto-plagier de manière trop ostentatoire. Tous les artistes font plus ou moins ça, OK, mais je veux dire ici, par exemple : on a carrément une redite copié-collé de "To France" dans "Talk About Your Life". Même chose pour "Poison Arrow" qui sonne vraiment trop comme un "Moonlight Shadow" dans son refrain.
L'autre défaut n'est pas des moindres : désolé mais franchement la voix de Barry Palmer est hideuse, surtout dans "Saved By a Bell", titre pourtant splendide mais à mon sens gâché par la voix de ce chanteur, c'est pour moi une réelle erreur de casting.
Au final : j'aime bien Discovery , album plus consistent et régulier en qualité que son prédécesseur, mais loin d'être parfait par ailleurs.
3.5/5





SUPERTRAMP
INDELIBLY STAMPED


Le 15 Juillet 2020 par DEJAVU


Moi c'est "Forever" que je retiens de ce deuxième opus, ce titre aurait très bien pu trouver sa place sur n'importe quel autre album de Supertramp, tiens sur "Breakfast in America" par exemple !!





Lou DOILLON
LAY LOW


Le 15 Juillet 2020 par FRANçOIS

P.S : par "enfant de la balle", je voulais dire "artiste venu de la rue", parti de rien...





The KINKS
MUSWELL HILLBILLIES


Le 14 Juillet 2020 par CASSEUR DE CARTON

donc : olivier aime bien les kinks





David BOWIE
A REALITY TOUR


Le 14 Juillet 2020 par LEO


À l'inverse de la chronique d'ERWIN et des deux précédents avis, je ne suis pas emballé outre mesure par cet énième album en public de DAVID BOWIE qui ne propose pas beaucoup de surprises (à une ou deux exceptions près !).
Je ne dis pas que l'interprétation est moyenne. au contraire, BOWIE est plutôt en voix et en verve et ses musiciens assurent brillamment, mais dans son ensemble la setlist est assez classique et prévisible et privilégie essentiellement les deux derniers albums de l'artiste et pas mal d'autres morceaux que l'on a un peu trop entendu sur certains de ses albums en public.
À noter que ERWIN a oublié de citer les trois titres bonus ("Fall Dog Bombs The Moon", "Breaking Glass" et "China Girl") de la version parue en double CD ainsi que les deux autres bonus ("5:15 The Angels Have Gone" et "Days") en téléchargement numérique de la version iTunes, qui fait monter la setlist à 35 morceaux !!!
Reality a donc droit à 7 morceaux et Heathen à 6 titres (si je prends en compte les divers bonus). en plus, ce ne sont pas forcément les titres que je préfère de ces deux albums ! (à l'exception de "Sunday", "The Loneliest Guy" et "Days" ainsi que "Afraid" que je trouve bien plus convaincant dans ce cadre particulier).
À côter de ces compos plus récentes, BOWIE a pioché des titres de-ci de-là (et pas forcément des morceaux évidents pour la scène, tel l'assommant "Battle for Britain" ou le grandiloquent et peu palpitant "The Motel" ainsi que la ballade mollassonne "Fantastic Voyage"). je ne sais pas moi, quitte à extraire un ou deux titres de Lodger, j'aurais plutôt opté pour les dynamiques "D.J." ou "Look Back In Anger" ! idem avec Outside et Earthling.
Ensuite David a choisi de ressortir du placard 3 morceaux de Ziggy Stardust qu'il avait déjà repris dans son live Stage en 1978. du déjà-entendu à mes oreilles. j'aurais préféré qu'il déterre l'excellent "Lady Stardust" qu'il n'a jamais joué sur scène (juste interprété une seule fois lors d'une session à la BBC en 1972). et pour le reste c'est un peu le même principe avec les rabâchés "Rebel Rebel", "Fame", "Heroes" et "China Girl" (dieux merci, David nous a épargné "Let's Dance" et "Modern Love" mais quand même, il y a beaucoup de redondance ici une fois de plus).
Je retiens avant tout la très belle version de "Ashes To Ashes" avec le piano en 'cascade' de Mike Garson et surtout cette superbe version réarrangée de "Loving The Alien" qui vaut à elle seule l'achat de ce live. la compo est enfin débarrassée de ces horribles oripeaux estampillés années 80 et est totalement sublimée (merci au guitariste Gerry Leonard qui a proposé la chose à BOWIE !).
On trouve également des moments sympathiques avec la cover d'Iggy Pop "Sister Midnight", "All The Young Dudes" que BOWIE a donné à Mott The Hoople en 72, "Be My Wife", "The Man Who Sold The World", "Under Pressure" (signé Bowie/Queen) avec un très beau duo entre DAVID BOWIE et la bassiste Gail Ann Dorsey.
S'il n'est pas surprenant que BOWIE ait délaissé les albums Pin Ups (album de reprises), Space Oddity (dont il n'a principalement interprété que le morceau-titre et dans une moindre mesure "Wild Eyed Boy From Freecloud"), Never Let Me Down (album hautement controversé autant par ses fans que par l'artiste), Hours et Black Tie White Noise (qui ont été peu représentés en concert par le passé), le chanteur a étrangement fait l'impasse sur certains de ses albums plus consensuels tels Aladdin Sane et Station To Station et à l'exception des deux plus récents et de Ziggy, tous les autres albums représentés ne le sont que par 1 ou 2 titres grand maximum. bref, j'aurais aimé plus d'audace mais au final, même si ce live très généreux ne me fait pas sauter au plafond, je le trouve tout de même très honnête. et puis ce fut sa toute dernière tournée ! (qui se prolongea et s'interrompra brutalement en 2004).
Un bon 3,5 arrondi à 4.






Lou DOILLON
LAY LOW


Le 14 Juillet 2020 par FRANçOIS

Les artistes "enfants de la balle" est un mythe, on n'est plus au temps de Piaf. Les artistes viennent très majoritairement de milieux aisés (enfin, ceux qui sont très médiatisés). Les "fils / filles de", n'en parlons pas... C'est d'ailleurs aussi pourquoi ils ne s'engagent que pour des causes ultra-consensuelles (contre la guerre, pour l'écologie, le droit des minorités, etc...) et jamais sur des questions sociales, à quelques très rares exceptions près (Lavilliers est le seul nom qui me vient à l'esprit).





Neil YOUNG
HOMEGROWN


Le 14 Juillet 2020 par X

Re-bonjour, les morceaux connus figurent sur American Stars'n Bars, Hawk & Doves et Raggged Glory. Chrome Dreams 1974 est pour le moment un autre album dans la malle de Neil Young. Il est dommage de ne pas du tout évoquer la belle version de White Line, très différente de celle figurant sur Ragged Glory. Enfin, le morceau "Separate Ways", bien qu'il ait été joué à plusieurs reprises, est également inédit.
Amicalement Nicolas Taglang





Mark HOLLIS
MARK HOLLIS


Le 14 Juillet 2020 par JUAN


Sublime album, firmament de l'épure, apologie du silence, tout est dit avec cet album pour Mark Hollis. A l'instar des derniers albums de Talk Talk, celui-ci va vite devenir une influence prépondérante chez d'autres (Elbow, Timbre Timbre, radiohead, Mélanie di Biasio). Comme quoi ce qui fut un aboutissement pour Mark Hollis, fut et est toujours un point de départ pour d'autres.... et c'est tant mieux pour nous et nos oreilles.





Lou DOILLON
LAY LOW


Le 14 Juillet 2020 par JUAN

Je ne connais pas Lou Doillon et encore moins cet album et suis tombé sur cette chronique complètement par hasard. Par contre, taylor Kirk qui est mentionné dans la chronique et qui n'est autre que le maître à penser du groupe "Timbre timbre", lui m'interesse depuis plusieurs années. Poyur les amateurs de musique de qualité qui voguent en dehors des sentiers battus, Timbre timbre est un incontournable. Peut être qu'un jour, une chronique d'un de leurs albums fleurira sur le site ???





Laurent VOULZY
BELEM


Le 14 Juillet 2020 par BRADFLOYD

@LEO...
L'explication est plausible... C'est peut-être pour cela que je n'entends pas le morceau de Rod Stewart mais plutôt celui de Jorge BEN... Là encore, rendre à César...





MASSIVE ATTACK
HELIGOLAND


Le 14 Juillet 2020 par FRANçOIS


C'est Massive, ça ? Ça me fait penser à n'importe quelle production électro-indé sortie à pareille époque... Evoluer, je veux bien mais si ça signifie coller à ce qui se fait, alors qu'avant c'était eux les chefs de file... Portishead a quand même mieux négocié son retour, je trouve...





CAMEL
STATIONARY TRAVELLER


Le 13 Juillet 2020 par BORH


Je suis assez fan de Missing. Pourtant un titre très peu connu de Camel, à ma connaissance jamais joué en live et dispo sur aucune compile. J'en conclus que Camel considère ce titre comme mauvais ou mineur, et c'est dommage





EAGLES
EAGLES


Le 11 Juillet 2020 par TOMMY_CALE


Eagles est un groupe avec lequel j'entretiens un certain paradoxe : j'apprécie leur musique (jusqu'à l'album One of These Nights) mais je leur en veux - alors qu'ils n'y sont pas pour grand-chose au final - d'avoir fait de l'(importante) ombre au groupe Poco, dont je suis fan, et d'avoir été un étendard à leur place de ce qu'on appelle le country-rock, bien que le travail de ce groupe bien trop méconnu fût plus fidèle à ce qu'on appelle la synthèse west coast et qu'il fût de meilleure qualité. Vous imaginez bien que la tirade du Dude "je ne supporte pas ce group"' m'a bien fait marrer (bien fait pour eux).

Cependant, je ne crache pas sur cet album qui comporte "Witchy Woman", "Chug All Night", "Peaceful Easy Feeling", "Tryin", tous de très bon morceaux, et une belle reprise de Gene Clark, "Train Leaves Here This Morning". Je trouve "Take it Easy" un peu ringard à cause de son intro, mais ça reste un bon tube.
Je classe quand même ce disque dans ceux-à-posséder-du- genre et leur mets un 4.5.





CAMEL
MIRAGE


Le 11 Juillet 2020 par FARDAS


Autant j'adore Freefall et Lady Fantasy, autant ceux qui se trouvent entre ces 2 morceaux emblématiques du groupe ne sont pas terribles. Entre musique instrumentale un peu bouche trou et passage trop sinistre accentué par la voix grave du chanteur avec les effets sonore habituels du groupe rendant la voix encore plus glauque. Album très décevant.





David BOWIE
STAGE


Le 11 Juillet 2020 par LEO


Je reviens vers Stage qui est un album que je n'ai pas écouté souvent, la faute principalement à un montage bizarre sur le vinyle d'origine, qui faisait shunter les pistes tous les deux ou trois titres comme sur un album en studio et qui me rendait l'écoute pénible sur la longueur d'un double 33 tours (procédé totalement incongru pour un album censé être en concert !), ce qui fait que j'ai vite laissé tomber l'affaire avec ce live que je n'ai jamais pris la peine de racheter en CD (même dans ses multiples versions parues ultérieurement).
À présent que j'ai entendu l'édition révisée et augmentée de plusieurs titres en 2017 pour le coffret A New Career in a New Town (1977–1982), je dois dire que mon jugement est revu légèrement à la hausse.
Premièrement, il n'y a plus ces horribles shunts quasi-permanents qui interrompaient le fil conducteur du concert, ensuite la setlist de cette tournée 78 a été replacée dans son ordre d'origine (alors que le 33 tours avait chamboulé cela et fait carrément l'inverse en faisant commencer le show par les titres de la période Ziggy Stardust !!!) et enfin on a droit à plusieurs bonus (dont certains avaient déjà été ajoutés sur les différentes éditions CD au fil des années). il reste juste trois titres qui n'ont pas été intégrés à cette réédition et qui avaient pourtant été interprétés lors de ce tour ("Rebel Rebel", "Rock 'n' Roll Suicide" et "Sound and Vision") mais à vrai dire, ces trois là ne me manquent pas une seconde (et de toute façon on peut retrouver "Sound and Vision" et "Rebel Rebel" sur l'album Welcome To The Blackout (Live London '78) sorti en 2018 et "Rock 'n' Roll Suicide" était déjà présent sur David Live en 1974, tout comme "Rebel Rebel" du reste !).
Si je suis un fervent admirateur des instrumentaux atmosphériques de Low et "Heroes", je suis toujours mitigé par leur pendant en concert, non pas que l'interprétation soit mauvaise (loin de là !) mais je trouve que ces morceaux font un peu 'hors contexte' dans ce cadre particulier de la scène, d'autant plus que "Warszawa", "Sense Of Doubt" et "Art Decade" sont isolés les uns des autres alors qu'il aurait peut-être fallu que ces trois là soient enchaînés à la suite pour donner une véritable continuité stylistique. et puis honnêtement, je trouve que ces titres fonctionnaient mieux dans l'environnement confiné d'un studio d'enregistrement avec certains sons et effets particuliers qui leur conférait une atmosphère étrange et mystérieuse que l'on ne retrouve pas du tout ici.
Autre mini-grief, les titres extraits de Ziggy Stardust (dont je n'ai jamais été très client) font également un peu tache aux côtés des morceaux de la période 'Berlinoise', bien que contrairement aux instrumentaux ambient éparpillés un peu n'importe comment, les morceaux de l'ère Ziggy sont judicieusement regroupés à la suite, et ça c'est quand même un bon point !
Autre bon point, le morceau "Heroes" (qui est la compo que j'apprécie le moins sur l'album du même nom) est ici transfigurée. je ne m'étais jamais aperçu qu'ici BOWIE prend des intonations qu'il n'avait pas dans la version en studio bien plus terne en comparaison. son chant plus lyrique et vibrant fait vraiment vivre le morceau. je n'ai pas l'impression d'avoir retrouvé un telle interprétation dans des live ultérieurs. il s'agit pour moi de la version de référence pour ce titre !
Sinon on a droit à des versions tout à fait honnêtes de "Fame", "Stay" & Co. mais personnellement je trouve que Stage ne propose pas beaucoup de surprises dans ses arrangements qui restent assez proches des versions en studio tout en ne les égalant pas, à l'exception du titre "Heroes" qui est ici magnifié. bref, à mon goût il y a beaucoup moins d'audace ici que dans David Live concernant les réarrangements pour la scène !
Je relève ma note à 3 pour la fluidité de cette version remaniée par rapport au vinyle d'origine mais malgré ça je sais que je ne reviendrai pas souvent vers Stage qui, loin être indigne, n'est pas un live qui m'interpelle particulièrement.
3/5 pour ma part.





ELECTRIC SUN
BEYOND THE ASTRAL SKIES


Le 10 Juillet 2020 par CLANSMAN57

Après une réécoute avec lecture des paroles, je monte à 4 tout rond, parce que ça fait du bien de lire quelque chose d'optimiste, entre délire cosmique et spiritualité.
"Eleison", entièrement en latin et découpée en 9 sections sur même pas 7 minutes est un modèle.
C'est un plaisir de visualiser ces gens qui se rendent en enfer pour botter les fesses du cornu et qui gagnent à la fin.
Et l'utilisation de la double grosse caisse est très judicieuse, ses quelques interventions apportent en intensité, ça change des groupes qui l'utilisent constamment...










DOROTHEE
HOU ! LA MENTEUSE


Le 10 Juillet 2020 par JEAN LUC GOUSSIN


Dorothée ok mais y a aussi les chanteuse Sandra et Kim Wilde Merci





VINNIE VINCENT INVASION
VINNIE VINCENT INVASION


Le 10 Juillet 2020 par JASPER LEE POP

Eh bien voilà! Certains réclamaient une chronique de l'album plus qu'un portrait du loustic, le confrère TOMTOM s'y est collé, il n'y avait qu'à demander. S'il fallait ça pour le faire sortir de sa retraite, je suis fier de moi.







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