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YES
LIVE – 1975 AT Q.P.R.


Le 12 Mars 2019 par LEO


Je me souviens avoir possedé dans les années 90 une double VHS en import Japon de ce concert de YES avec Patrick Moraz et j'en fut tout retourné mais pas pour de bonne raisons !
Déjà, quelle idée saugrenue d'avoir filmé le groupe en fin d'après-midi alors que le jour n'était pas encore tombé en ce mois de Mai 1975 ! YES a beau avoir un light show et un décor scénique des plus sensationnel en ces mid-seventies, on ne s'en aperçoie franchement pas lorsque l'on voit le rendu fadasse que donne ces images fimées un peu à l'emporte pièce.
Secundo, le gros problème qui fâche. le son dégueulasse qui est proposé ici et qui semble bien plus provenir des retours de scène que de la console de mixage ! ce show a paraît-il été filmé par la BBC (qui en a retransmis des extraits à l'époque) mais il semble (d'après ce que j'avais pu en lire ici ou là) que celle-ci ait perdu les masters audio originaux. en tous cas, au moment de la parution de cette VHS et du laserdisc correspondant, ils n'avaient toujours pas été retrouvés !
À l'arrivée, on a un beau gâchis et c'est bien dommage car c'était l'occasion rêvée pour avoir un document valable de ce line-up formidable mais éphémère.
Celà dit, ce Live At QPR 1975 n'est pas un cas isolé parmi les documents vidéo plus ou moins râtés de YES dans les années 70. le film Yessongs (capturé en Décembre 1972 à Londres) souffre également d'un son pas génial, bien que quand même sacrément meilleur qu'ici ! (mais pouvait-on faire pire?) et le Live in Philadelphia 1979 est une vraie catastrophe visuelle et auditive intégrale (son réverbéré et image floue). de nouveau regrettable pour ce qui est de ce concert tiré de la tournée Tormato (celle avec la scène centrale pivotante).
En fait, tout ça n'aura guère servit de leçon car YES refera des erreurs dans les années suivantes concernant ses concerts filmés, puisque la vidéo originelle 9012Live sera entâchée d'effets de fort mauvais goût, heureusement expurgés lors de son transfert en format DVD, mais quand même !
Idem pour ce qui est du concert filmé Keys To Ascension en 1996, avec un montage vidéo râté et des effets spéciaux incrustés totalement immonde !
Celà s'améliorera enfin avec le House of Yes: Live from House of Blues et surtout avec le très convaincant Symphonic Live en 2002 (filmé en 2001 à Amsterdam).





The CARS
CANDY-O


Le 11 Mars 2019 par LEO


Ce second 33t de THE CARS m'emballe beaucoup moins que son prédécesseur dont je trouvais la majorité des compos bien plus mémorables.
Pourtant, l'allègre et accrocheur "Let's Go" ouvre l'album de manière très convaincante, suivi des sympathiques et plus poppy "Since I Held You" et "It's All I Can Do", mais c'est après que les choses se gâtent quelque peu avec le monolithique et peu palpitant "Double Life" (paru curieusement en single) enchaîné au bref "Shoo Be Doo" qui me fait penser à la musique robotique et minimaliste du duo new-yorkais Suicide (dont Ric Ocasek produira le second 33t en 1980, ainsi que leurs deux suivants quelques années plus tard).
Heureusement que les percutants et électrisants "Candy-O" et "Night Spots" viennent remettre les pendules à l'heure avec leur mix réussi de new-wave et de hard rock.
Par contre, je trouve "You Can't Hold On Too Long" très bancal dans sa conception. Ce morceau n'est ni un titre rock, ni pop, ni une ballade mais un peu un salmigondis de tout ça et à vouloir jouer sur tous les tableaux à la fois, la compo en devient juste insignifiante.
"Lust for Kicks" n'est pas vraiment mieux à vrai dire avec son pop-rock creux et anonyme.
"Got A Lot On My Head" est bien plus rock et passe mieux après les deux titres fadasses qui précédaient, cependant le morceau n'est pas très inspiré.
L'album se referme sur le correct "Dangerous Type".
Verdict: Candy-O est un album en dents de scie, où se côtoient de bonnes choses ("Let's Go", "Since I Held You", "It's All I Can Do", "Candy-O", "Night Spots" et "Dangerous Type") mais aussi des trucs tout à fait dispensables (tout le reste).
Après le quasi-sans faute du premier album, ce second volet m'est toujours apparu comme inachevé, manquant de liant et avec pas mal de compos inabouties ou peu intéressantes.
Ma note sera donc cette fois-ci en adéquation avec LE KINGBEE : 3/5.





VANGELIS
OPERA SAUVAGE


Le 10 Mars 2019 par SGT JAKKU


Il est tout à fait exact que chez Vangelis, la période fin 70 (vers 1976-77) et début 80 (j'irais jusqu'à 1984/85) est la plus passionnante et la plus marquante de l'artiste. Sans doute aussi parce qu'elle coïncide, à mon sens, avec l'âge d'or du synthé analogique, le charme fou et incontestable de ces synthés qui arrivent à maturité vers ces années-là dont le fameux CS-80, ces sonorités vintage analogiques et organiques si prisées aujourd'hui par la scène électro. A propos de synthés et d'émulation, la série VST Arturia V6 couvre avec une fidélité impressionnante, l'ensemble de ces magnifiques machines. (Je vous jure que je ne suis représentant chez Arturia !)

Pour en revenir à Opéra sauvage, je pense qu'il s'agit de l'oeuvre la plus représentative de cette période mais aussi de toute la discographie de Vangelis et c'est probablement le disque que je présenterais en premier à un néophyte. Bref, c'est le grand "classique" de Vangelis.

Je lui mets un 4,5 car il est dans l'ensemble, qualitativement plus équilibré que China (bien qu'aucun titre d'Opéra n'égalise avec la suite asiatique exceptionnelle de la face A de ce dernier).
Notons aussi que le morceau "L'enfant" a servi sur la bande son du film "L'année de tous les dangers" de Peter Weir avec Mel Gibson (premier rendez-vous artistique avant "The Bounty" entre Vangelis et Mel Gibson, by the way).





VANGELIS
CHINA


Le 10 Mars 2019 par SGT JAKKU


Je ne voudrais surtout pas monopoliser la conversation à propos de China mais j'aimerais revenir sur le commentaire que j'ai tapé il y a quelques années, sous le coup de la passion, peut-être aussi en réponse à certaines critiques.
Il faut être juste et honnête, même si la première face est brillante et atteint des sommets de l'art "Vangeliste", China échoue de peu dans sa course vers la première place.
Ici, on frôle le chef-d'oeuvre. Le niveau est exceptionnel jusqu'à "Tao Of Love" (la BO de Blade Runner et cette suite de morceaux est mon Top Vangelis perso), puis ça retombe un peu avec "Fête", poétique mais un peu inconsistant, "Ying & Yang" superbement arrangé mais en dessous des éblouissants premiers morceaux de l'album, "Himalaya" esthétiquement beau mais creux en réalité, "Summit" joli mais au final, un peu chiant.
C'est bien dommage pour China mais cette contre-performance sur la deuxième partie l'empêche d'être le meilleur album du compositeur grecque.
Un 4 est la juste note.





Jean FERRAT
LA MONTAGNE


Le 10 Mars 2019 par CLANSMAN57


Héhé, en ce qui me concerne, c'était ma mère qui passait du Ferrat à la maison.
Ainsi qu'une prof de français au collège, avec laquelle nous avions retranscrit le livre "Mon ami Frédéric" en pièce de théâtre.
Elle nous faisait écouter "Nuit et brouillard" pour nous sensibiliser sur le sujet de la déportation.
J'y jouais le rôle d'un grand père nazi...

Pour l'album intéressé, j'ai une autre pochette représentant un Jeannot qui se tient assis sur une souche d'arbre, les bras croisés, contemplant le magnifique paysage montagneux.
Une perle cette photo.

La chanson qui donne son titre à l'album est effectivement une merveille.
Les plus jeunes veulent quitter leur nature pour se rendre à la ville dans laquelle il est plus facile d'accéder aux commerces, par exemple.
Je gage que Ferrat aura donné l'envie à plus d'un de retourner dans sa tranquille nature et sinon, il incite fortement à s'y rendre, à la manière d'un Alex Hugo, trop humain et trop sensible pour vivre parmi les "siens sauvages".

A la place de "Loin", j'ai "Hourra!", géniale également.









Jean FERRAT
LA MONTAGNE


Le 10 Mars 2019 par RICHARD

Ce type d'univers musical est loin d'être ma tasse d'athée mais pour moi, Ferrat est l'une des plus belles voix de la chanson hexagonale. Son timbre si chaud et grave me donne à chaque fois des frissons, à l'image du titre éponyme.





DRAB MAJESTY
THE DEMONSTRATION


Le 09 Mars 2019 par RICHARD


C'est avec plaisir :)
Aucune fixation de ta part Léo, un morceau comme Portal To The Void des Texans sonne littéralement comme du Asylum Party.
La Touching Pop a en fait une grande influence dans les sphères sombres mineures mais tellement riches. Durant ces dernières années des groupes comme The Agnes Circle, LowCityRain ou Frank (Just Frank) pour les plus marquants doivent beaucoup à ce beau courant éphémère.
Les Turcs de She Past Away (chro prévue mais quand ?...) ce sont un peu les Sisters d'Anatolie...une autre sensibilité.
Un puits sans fond ces univers.





ELECTRIC LIGHT ORCHESTRA
DISCOVERY


Le 09 Mars 2019 par TIDJI


Donc cher chroniqueur Baazbaaz, vous êtes capable de mettre 5 étoiles à Lets Dance de Bowie qui ne faut que par ces 3 premières chansons et en comparaison 2 étoiles à Discovery de ELO en évoquant le côté disco et commercial de l'opus de Jeff Lynne!
Que dire alors du côté commercial de l'opus de Bowie?
D'ailleurs je ne vois pas trop que ce Discovery à de disco à part le titre!
Perso je le trouve très bon cet album voire même varié comme les deux galettes précédentes. J'adore Don't Bring Me Down et j'ai un petit faible pour Confusion et wishing que je trouve très réussie.
Last Strain To London et The Diary...sont également excellents et ce dernier ne ressemble en rien à Mr. Blue Sky!
Dès lors ,si je remercie vivement l'ensemble des chroniqueurs pour m'avoir fait découvrir les albums de Neil Young, Tom Petty, Elton John et Rod Stewart pour ne citer qu'eux, un peu de cohérence et de logique ne ferait pas de mal à certains et ce, même si j'en conviens, qu'il en faut pour tous les gouts!
Electriquement vôtre.
Tidji
Note pour l'album 4/5





VANGELIS
BEAUBOURG


Le 09 Mars 2019 par SGT JAKKU


Adepte des mélodies accrocheuses, je n'accroche pas à ce disque.
Il y a par endroits, des moments assez intéressants ponctués de quelques foutages de gueule.
Un disque à ne pas prendre trop au sérieux donc, et qui peut servir à créer une ambiance marrante.





AYA NAKAMURA
NAKAMURA


Le 09 Mars 2019 par SNAKEPIT


La première fois que j'ai entendu parler de cette fille, j'ai cru au départ qu'il s'agissait d'une (énième) cruche de la télé-réalité en couple avec un (énième) footeux. Et puis, un jour, en allant faire des emplettes au centre commercial, j'ai eu l'occasion d'entendre (bien malgré moi) un de ses tubes. Et ce fut un véritable supplice pour mes oreilles de devoir supporter ça. Mais là n'est peut-être pas le pire, dans le fond. Déjà, elle n'est pas un cas isolé dans le paysage musical français actuel. Et ce qui est à craindre, c'est qu'elle pourrait "crédibiliser" les Jenifer et Lorie. Le paysage musical français mainstream pourra-t-il dégringoler encore plus bas dans le futur ?





DRAB MAJESTY
THE DEMONSTRATION


Le 09 Mars 2019 par LEO

Merci RICHARD pour la découverte du premier album de Twin Tribes que je ne connaissais pas, mais que je viens d'écouter et qui est bien dans la même mouvance que Drab Majesty.
Tu vas trouver que je fais une fixation sur Little Nemo & Co. mais pour le coup, j'entends également chez Twin Tribes des éléments présents dans la Touching Pop hexagonale. chose que je ne retrouve pas chez des formations contemporaines comme She Past Away (bien plus sombre), Cold Cave (plus proche de New Order) ou Them Are Us Too (plus aerien à la manière des Cocteau Twins).
Quoiqu'il en soit, Shadows est également une très bonne surprise ! merci à toi.





VANGELIS
IGNACIO


Le 09 Mars 2019 par SGT JAKKU


Ignacio est un album beaucoup moins connu que les autres disques de Vangelis. La raison la plus probable à cela est que cette B.O. ne contient pas vraiment de "tube", ou ne propose pas suffisamment de mélodies percutantes comme Vangelis sait si bien le faire (mise à part la mélodie au clavecin avec les chœurs qu'on entend sur la fin de la face A).
Peut-être est-ce le choix délibéré du compositeur ou du réalisateur que la musique soit "discrète" et se contente juste de souligner les images. Bref, le contraire d'une collaboration à la Leone/Morricone où le lyrisme éclate à plusieurs endroits du film et où l'image s'efface même au profit de la musique et entre en symbiose avec elle (un lyrisme qui, aujourd'hui, a totalement disparu des productions cinématographiques, la musique de film étant devenue une musique à effets et c'est bien dommage mais je m'égare).
Mais qu'on se rassure, il y a un intérêt à écouter et à posséder cette B.O. : le style unique de Vangelis. Même si son écriture est ici plus classique (avec une face B plus expérimentale quand même), le mélange organique entre vrais instruments et synthés analogiques est bien là. Bref, l'esthétisme (la patte) de Vangelis est bien présent sur cette B.O. et c'est certainement cela que souhaitait le réalisateur. C'est d'ailleurs ce qui m'a toujours fasciné (mais qu'on peut aussi reprocher) chez Vangelis : on reconnait toujours son style, sa signature, et cela peu importe le projet.





DRAB MAJESTY
THE DEMONSTRATION


Le 09 Mars 2019 par RICHARD


Un p'tit côté Touching Pop pour toi Léo ?
Je n'y avais jamais pensé à vrai dire, ou alors pour ce côté qui propose des ambiances froides aux textures quasiment pop. Drab Majesty a été une excellente surprise. Je ne m'en lasse pas.
Si le temps me le permet, il est prévu d'ailleurs0 que je me penche sur Asylum Party (l'un de mes groupes fétiches) et Little Nemo.
Si tu ne connais pas encore, et pour tous les lecteurs curieux de Forces Parallèles, le tout jeune duo texan Twin Tribes a sorti son premier album Shadows qui reprend avec talent ces mêmes éléments. 30 minutes de cold-dark wave de toute beauté.





The VELVET UNDERGROUND
THE VELVET UNDERGROUND & NICO


Le 09 Mars 2019 par 1FANé


Le Velvet et Nico c'est l'album avec la banane de Warhol c'est ça? Oui mais Warhol il a juste casqué quelques dollars pour cet album, et pour moi c'est sa plus grande oeuvre d'Art. C'est un truc qui a à voir avec l'histoire, la contre culture de la contre culture. Le machin toujours pas là ou en avance, le son qui n'est pas du moment. Le son qui n'est de jamais. Tu creuses et impossible de trouver d'où ça vient. Tu te la joues balaize en rock et tu sais pas où ça te conduit ce truc. Juste bizarre. Un album entier qui sort de rien, sans héritier direct et des milliers de cousins batards, un truc qui ressemble à tout ce qui se fait pas. Son de merde, paroles comme des aveux et Lou baisse jamais les yeux, même pas quand il se shoote à la dure et qu'il promet son cul au moins regardant. Ce disque, il est comme une pierre posée là et ça fait plus de quarante ans que des gens tournent autour en mettant un peu plus de disto, un peu plus de paroles, un peu plus de machin et un peu moins de chose, mais l'alchimie personne la trouve... C'est une date, c'est un lieu, c'est un fossile, c'est une des plus belles pièces du musée du rock, comme une momie sans ADN, parce que ses gênes sont partis dans l'esprit d'une bande de poudrés qui vivaient là, dans la Factory, et qui l'ont photographiée onze fois, et chacun de nous développe les négatifs avec son temps d'exposition, en se disant qu'il en a extrait l'essence, mais c'est jamais vrai. Bref, un chef d'oeuvre absolu. A jamais hors de portée. Mort avec ses créateurs qui se sont injecté la formule magique. Un mystère. Un plaisir. Merci à Toi Velvet Underground.





The DOORS
L.A. WOMAN


Le 09 Mars 2019 par ARTOFZAFT



L.A. Woman est à mon avis le summum de l'oeuvre des Doors.
Il y a tout là dedans. Cet album pue l'excès, il est la conclusion logique d'une destruction inévitable.
Les Doors étaient un groupe né de l'insousciance de L.A. à une époque (1965) où rien n'avait été inventé.
Ils sont venus, ils ont vu, et ils ont vaincu. Ils ont insuflé l'hédonisme, le fun, la drogue récréative. Ils ont accompagné le mouvement hippie, ils l'ont même médiatisé, bien plus que les groupes de San Francisco, qui baignaient dans leur jus, feignant d'ignorer que le Texas avait ses jeunes, et l'Oklahoma aussi. Les Doors (j'en sais rien en vrai, mais j'aime imaginer) ont marqué la fin des années 60, parce qu'après avoir porté la contre-culture LSD ils sont revenus au blues, comme en descente de trip, et que ça collait tellement avec l'époque. Pas de Doors dans les grands festivals, pas de Doors dans les marches pour la paix. Comme s'ils étaient un groupe de rock, et pas un manifeste. L.A. Woman c'est à mon avis le son terminal du rock des années 60. Cet album me laisse dans un jus amer, comme quand le réveil sonne et qu'il interrompt un rêve merveilleux. C'est comme si après L.A. Woman il fallait se réveiller pour aller bosser. La fin du rêve je vous dis!





DRAB MAJESTY
THE DEMONSTRATION


Le 09 Mars 2019 par LEO


Au premier abord DRAB MAJESTY pourrait paraître comme une aimable plaisanterie, mais si l'on fait fi de l'accoutrement improbable de Deb Demure et Mona D. (son compère aux claviers pour la scène depuis 2016), la musique de DRAB MAJESTY est vraiment convaincante et se suffit à elle-même.
Comme le fait remarquer RICHARD, l'influence du Clan Of Xymox des débuts est palpable mais personnellement j'y retrouve plutôt quelques réminiscences des Cocteau Twins ou The Cure dans les arpèges de guitare et pour ce qui est de l'aspect romantico-mélodique même un p'tit côté Touching Pop (courant de la fin des 80's représenté par les artistes Français Little Nemo, Asylum Party et Mary Goes Round).
Celà dit, DRAB MAJESTY a vraiment un truc bien à lui et finalement le jeu des comparaisons ne servirait à rien et ne rendrait pas justice à ces compos très réussies, qui certes s'inspirent bien du courant New-Cold-Darkwave (bref, des 80's vaporeuses) mais réactualisé et qui au final ne fait pas dans le réchauffé comme on aurait pu le craindre au départ.
The Demonstration est tout aussi remarquable que l'était Careless (premier album paru en 2015 et qui fut réédité en 2016 sous le nom Completely Careless et qui contient en bonus, les premiers singles et EPs de DRAB MAJESTY).
Complètement d'accord avec RICHARD en ce qui concerne les remixes inutiles en bonus sur ce second opus. les morceaux originaux parlent pour eux.
Je ne pourrais du reste en détacher un seul tellement ils forment un tout indivisible mais par ailleurs bien discernable avec chacun une atmosphère qui lui est propre, mais sans doute que "Dot In The Sky", "Too Soon To Tell", "Cold Souls" et "Behind The Wall" sont les plus évidents du lot.
Ce deuxième album de DRAB MAJESTY est une excellente surprise que j'écoute toujours régulièrement depuis sa sortie il y a maintenant déjà deux ans.
Vivement le troisième volet qui ne devrait pas tarder dans le courant de cette année !






Patrick BRUEL
CE SOIR ON SORT


Le 09 Mars 2019 par CLANSMAN57

@ Baker:

N'oublie pas de chroniquer le premier album de Aya Nakamura, "Journal intime" qui date de 2017 déjà.
Un bon p'tit 19 titres.





Patrick BRUEL
CE SOIR ON SORT


Le 09 Mars 2019 par NONO

En tout cas moi, les gars, ce qui me donne du courage est de me persuader très fort que Bruel ne descendra jamais aussi bas que Noah. C'est déjà ça. Et ça me réconforte.
Parce que quitte à chuter, il faut quand même mettre des repères, des balises, des limites ! Excusez mon cynisme. Je veux juste rassurer le commun des mortels avec cette phrase : "de toutes façons, on peut TOUJOURS faire pire" !





Patrick BRUEL
CE SOIR ON SORT


Le 08 Mars 2019 par ALEX


Je ne connais que le single chiant "Tout Recommencer", entendu à la radio.

Je tenais à remercier le chroniqueur pour l'introduction de la chronique tout droit sortie des Guignols de l'Info de la grande époque (1991 il me semble). Merci à toi pour ce fou rire mental !

Espérons pour Bruel que son évolution ne le conduira pas à se prendre pour Raymond Barre en Jeans.





Patrick BRUEL
CE SOIR ON SORT


Le 08 Mars 2019 par BAKER

C'est très gentil... mais Bruel n'a pas été le plus éprouvant de ces derniers mois.

Le plus éprouvant n'est pas encore terminé, hélas :D (...to be continued)







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