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TEARS FOR FEARS
ELEMENTAL


Le 18 Juin 2020 par NONO


Trois étoiles seulement pour cet album ? Un peu dur je trouve.
Cet album est tout simplement un des meilleurs de TFF... encore faut-il savoir ce qu'on entend par "meilleur" : TOUS leurs albums sont des chefs d'oeuvre, en fait !
Très, très bel album. L'équilibre parfait entre un retour vers une pop plus simple (après le complexe et imposant "Seeds of love") et des atmosphères très prenantes malgré tout.
Vivement recommandé !





Pat MARTINO
EXIT


Le 18 Juin 2020 par DERWIJES

@Le Merle Moqueur: Non seulement ce fan-là est incorrigible mais en plus son enthousiasme est contagieux ! De tous les artistes que tu m'as fait découvrir jusque-là, Martino est facilement mon préféré. Un vrai plaisir que d'écrire dessus ! Par contre il y a, et il y a aura encore quelques trous dans cette discographie: j'utilise Spotify pour l'écouter et tous ses albums ne sont pas disponibles sur la plate-forme.





KRAFTWERK
THE MIX


Le 18 Juin 2020 par LEO


S'il y a un album inutile dans la carrière de KRAFTWERK, c'est bien The Mix dans lequel Ralf Hütter et Florian Schneider massacrent en règle quelques-uns des morceaux qui les avaient rendu célèbres.
Cela n'a strictement aucun intérêt et surtout le traitement fait à la plupart de ces "classics" est immonde.
Comme si le duo ne croyant plus en ses capacités créatrices avait voulu se raccrocher au wagon des multiples tendances electro du moment alors qu'ils furent des précurseurs en la matière ! Totalement incompréhensible !
Si de mon point de vue la carrière discographique des Allemands battait de l'aile dans les années 80, c'est ici qu'ils ont vraiment touché le fond. D'ailleurs, ils ne s'en relèveront pas et les deux percussionnistes Wolfgang Flür et Karl Bartos l'ont compris avant tout le monde puisque le premier est parti en 87, suivi du second en 90, découragés par tant d'efforts en pure perte.
Pour moi, The Mix signifie réellement la fin de KRAFTWERK qui ne sortira plus aucun disque avant huit longues années. Ils referont parler d'eux en 99 avec l'assommant "Expo 2000" paru en single, puis en 2003 avec l'album Tour de France Soundtracks qui recycle (c'est le cas de le dire !) leur concept de 1983 (vachement novateur !).
Bref, pour moi KRAFTWERK appartient définitivement au passé.





Pat MARTINO
EXIT


Le 18 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


La chronique va bon train et il est clair qu'il nous faudra un jour parler des trompettistes de talent qui ne sont pas uniquement Miles ou Chet. Des bassistes qui ne sont pas uniquement Ron Carter ou Charles Mingus et venir près des touches de piano pour apprécier "le doigté" de pianistes méconnus ou peu connus qui sont si nombreux.

J'apprécie hautement, infiniment ce 8 ième... Il est vrai qu'avec Pat Martino je suis loin d'être impartial. Incorrigibles ces fans !





KISS
CRAZY NIGHTS


Le 17 Juin 2020 par FRAN BRANCO


Je trouve la critique bien sévère pour une oeuvre qui a vraiment trouvé son public,
quel qu’il soit. J'ai découvert Kiss avec ce disque et un numéro spécial absolument sublime du magazine "Hard rock".
Je le tiens en très haute estime , justement pour les défauts qui sont soulignés dans la chronique , et que je peux comprendre. Mais l'époque était à ce genre de musique et Kiss n'a absolument rien renié. Je trouve que le disque a été fait avec beaucoup de conviction, , Kulick y est époustouflant de virtuosité.

Je trouve que ce disque dégage une énorme énergie et je le place dans les meilleurs du groupe . Les refrains sont popisants , mais j'adore la pop!
Et là nous avions des refrains popisants avec des soli de virtuose, la jeunesse de 87 ne demandait pas mieux!
Et l'on pouvait très bien passer de "Master of puppet" à "Crazy night"...
Les claviers en 1987 :Tous les groupes de rock les mettaient en avant , le son y était relativement nouveaux, c'était la fameuse "nappe" : Springsteen, Van Halen, The cure, Prince , M.Jackson, Madonna , Farmer . Personne n'y a échappé.





KRAFTWERK
ELECTRIC CAFé


Le 17 Juin 2020 par LEO


Si Computer World avait mis trois ans de gestation, il en faudra quatre pour que le neuvième album de KRAFTWERK arrive dans les bacs des disquaires ! le quatuor a commencé les enregistrements en 1982 mais n'a achevé son travail qu'en 1986. SASKATCHEWAN a très bien résumé les différentes raisons de ce délai et je ne reviendrai pas dessus.
Sachant sans doute que l'album en chantier mettrait un certain temps à émerger, pour faire patienter les fans le groupe fait paraître "Tour de France" en single à l'été 1983. le morceau tiré de ces sessions ne figurera donc pas sur l'album à venir pour ne pas faire doublon.
Lorsque déboule Electric Café à la fin de l'année 86, il faut bien se rendre à l'évidence que KRAFTWERK a perdu du temps pour pas grand chose. ces quatre années n'ont pas été vraiment profitables pour renouveler une inspiration déjà en perte de vitesse depuis l'album précédent. la face 1 du 33 tours est en quelque sorte un décalque de la première face de Computer World avec sa suite de morceaux enchaînés ("Boing Boom Tschak"/"Techno Pop"/"Musique Non-Stop") très axés sur l'aspect rythmique et les samples, plus que sur les mélodies. de cette face A, je sauve à la rigueur le morceau "Techno Pop" dont certains passages valent le coup. cela dit, la compo qui plafonne à plus de 7 minutes est bien trop longue et aurait dû être raccourcie de moitié.
Les trois autres titres ("The Telephone Call", "Sex Object" et "Electric Café") relèvent heureusement le niveau car l'aspect mélodique y est mis bien plus en avant. cela dit, même si j'ai une petite préférence pour cet album par rapport à son prédécesseur, j'attendais beaucoup mieux que ça de la part de Hütter, Schneider & Co. car honnêtement, tout ceci sent pas mal le réchauffé en cette fin des années 80.
KRAFTWERK qui fut une formation novatrice dans la seconde partie des années 70 aura vu son génie décliner dès le début des années 80. tout ceci n'aura donc pas duré bien longtemps tout compte fait et on peut dire que KRAFTWERK n'a bâti sa réputation que sur quatre albums: Autobahn, Radio-Activity, Trans-Europe Express et The Man-Machine. le reste n'étant que du bonus superfétatoire.
3/5, pas plus !






Pat MARTINO
CONSCIOUSNESS


Le 17 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


Non Pat Martino ne perd pas le fil de ses cordes. Dans le labyrinthique "Impressions" il nous en fait une grosse... Le Thésée de la guitare au langage pluriel sait où il va.
Ne le perdons pas de l'ouïe.





The POLICE
ZENYATTA MONDATTA


Le 17 Juin 2020 par DEJAVU


Sans aucune hésitation MON album préféré du trio ne serait-ce que pour des morceaux comme "Canary in Coalmine", "Voice Inside my Head", "Behind my Camel" (mon favoris), "Man in a Suitcase", "Shadow in the Rain", "The Other Way of Stopping". Un très grand cru !!





Chaka KHAN
I FEEL FOR YOU


Le 17 Juin 2020 par FRANçOIS

Et ben, un guitariste, un batteur, un choriste et un clavier différents par titre ou presque, au moins elle crée des emplois... :-) De la dame, j'avais surtout le souvenir éprouvant de l'insupportable (car trop criard) final d' "I'm every woman". Celui-ci passe un peu mieux. Des titres rythmés dopés aux synthés et boites à rythmes de l'époque, plus deux ballades réglementaires. Efficace.





CAN
EGE BAMYASI


Le 17 Juin 2020 par BORIS LE BORGNE


Bien que je préfère le suivant et surtout le précédent, ce Can là possède un feeling assez incroyable. Une maîtrise presque indolente de styles et d'humeurs très variés.

Une excellente porte d'entrée dans leur univers, en tout cas.





DEF LEPPARD
HYSTERIA


Le 16 Juin 2020 par FRAN BRANCO


Il suffit d'écouter les productions live récentes et plus anciennes des titres de cet album pour conclure que l'album, quoiqu'on en dise, est le fruit d'un immense travail, sans beaucoup de précédent dans l'histoire du rock. On peut se moquer de la production de l'époque ,mais sans ces fioritures l'album est époustouflant de virtuosité dans la recherche de mélodies imparables. Je ne lui enlève aucune chanson sauf peut être "Loves bites". "Excitable " est vraiment une chanson sous estimée : autrefois, je la trouvais abominable, mais aujourd'hui je la trouve vraiment très ingénieuse, très funky. " Hysteria" est une belle chanson qui dégage un sentiment de nostalgie et de douceur. Bon, les paroles ne sont pas mémorables, mais celle des Rolling stones, de AC/DC, Kiss et des Beatles non plus. En général, le big rock n'accouche pas de paroliers comme Jacques Brel.





KRAFTWERK
COMPUTERWELT


Le 16 Juin 2020 par LEO


Dans les années 60-70, jusqu'au tout début des années 80, patienter deux ou trois ans entre deux albums était particulièrement long, les artistes faisant généralement paraître un album (voire deux) tous les ans. et depuis ses débuts en 1970, KRAFTWERK était jusque là plutôt prodigue en sorties discographiques. à partir de Computer World (paru trois ans après The Man-Machine), un changement s'opère et cela n'ira que crescendo par la suite !
Bien évidemment, la formation ne s'est pas tournée les pouces durant ce laps de temps car la conception puis les enregistrements de ce huitième album ont débuté dès 1979 mais le processus de création se fera au ralenti car Hütter, Schneider & Co. ont décidé de revoir à zéro leur Kling Klang studios pour le moderniser et qu'il devienne également un studio 'portatif' (en quelque sorte) pouvant aussi bien être transporté en tournée !
On pouvait donc s'attendre à un album avant-gardiste et à la pointe de la technologie, chose que Computer World n'est pas selon moi. je dois même dire que je fus bien déçu en découvrant le résultat au Printemps 81 lorsque j'ai acquis le 33 tours.
Il faut dire qu'entre temps, pléthore d'artistes typés synth-pop sont apparus: The Human League avec ses deux premiers albums ainsi que John Foxx avec son superbe Metamatic et Gary Numan avec The Pleasure Principle + Telekon également en 79 & 80 et OMD avec leur album éponyme et Organisation tous deux en 80, sans parler des Américains Devo qui de 78 à 80, ont fait paraître trois albums et s'apprêtaient à sortir leur quatrième à l'été 81 et ce n'était pas fini car les premiers albums de Fad Gadget, Depeche Mode et Soft Cell allaient suivre en cette même année 81. bref, il y avait de la concurrence sur le marché et on peut dire qu'à trop attendre, les précurseurs de Düsseldorf se sont fait devancer par leurs prétendants.
"Computer World" le morceau-titre démarre gentiment. c'est un morceau sympathique et plutôt mémorable mais je ne lui trouve rien d'exceptionnel et les sonorités font bien 'cheap' en comparaison de celles entendues sur le superbe The Man-Machine (et en particulier "The Robots" qui ouvrait l'album d'une manière bien supérieure !).
Comme l'a justement décrit SASKATCHEWAN, les synthés de "Mini-Calculateur" et de ce qui suit sont très 'pouet-pouet ' et enfantines (on est effectivement très proche de l'univers sonore du Yellow Magic Orchestra) et cela était sans doute l'effet désiré de la part du groupe mais perso je n'ai jamais pu encaisser ce morceau minimaliste et caricatural.
Mais ce n'est pas fini car "Numbers" est tout autant minimaliste et réducteur avec sa rythmique façon 'hip-hop' et ses voix robotisées qui énumèrent des nombres.
"Computer World 2" qui est enchaîné à sa suite n'a guère plus d'intérêt (il intègre la mélodie du tout premier titre avec la rythmique et les voix de ce dernier).
Hormis le correct "Computer World", cette première face est carrément dispensable.
"Computer Love" qui ouvrait la face B au temps du vinyle est plus romantique et bien plus réussi, néanmoins je trouve la durée de 7 minutes un peu excessive pour ce que le morceau a à proposer.
Je ferai la même remarque en ce qui concerne l'hypnotique "Home Computer" d'autant que sa séquelle "It's More Fun to Compute" n'apporte rien de plus à l'édifice et fait au contraire dans la redite.
Voilà, pour moi il n'y a pas grand chose à retenir de cet album. tout juste trois titres: "Computer World", "Computer Love" et à la rigueur "Home Computer" mais quoiqu'il en soit, je trouve que l'inspiration a disparu et que KRAFTWERK fait du surplace, dépassé par ses outsiders.
On peut dire réellement que KRAFTWERK furent les chefs de file de la pop synthétique de 74 à 78, hélas à l'aube des années 80 le marché était déjà sursaturé de postulants au titre, les synthés devenant de plus en plus abordables au fil du temps et le fait que les Allemands aient pris leur temps entre The Man-Machine et Computer World n'a fait qu'accélérer le processus de désuétude mais aussi d'accoutumance à la musique synthétique qui de toute façon était inévitable sur le cours terme. et puis il faut bien le dire également, la verve de Hütter, Schneider, Bartos & Flur était sur le déclin en ce début des années 80.
Un petit 2,5/5 que j'arrondi généreusement à 3.





The Alan PARSONS PROJECT
TALES OF MYSTERY AND IMAGINATION - EDGAR ALLAN POE


Le 16 Juin 2020 par SGT JAKKU


J\'ai toujours trouvé étrange que Claude Debussy ne soit pas plus crédité (du moins sur le vinyle) car si on écoute l\'oeuvre inachevée du maître français, on entend clairement les mêmes thèmes et l\'ouverture est quasi identique. Les APP (Powell Parsons et Woolfson) ont bien sûr ajouté d\'autres thèmes Pop Rock mais toute la première partie est un ré-arrangement d\'une partition déjà composée. Allez sur YT et faites la recherche "debussy maison Usher" (la version de 23 minutes).

Sinon, ce Tales of...fait bien sûr partie des meilleurs albums du groupe, avec quelques choix d\'un goût discutable (le point faible récurrent d\'APP).
Note : 4,5





KIRIN DOSHA
NEVERLAND


Le 16 Juin 2020 par WATCHMAN


Ah non, je n'avais pas remarqué ces deux autres références. C'est bien que tu me les aies signalées.
Chronique sincère, comme toujours. Merci de m'avoir sollicité.





Thomas KÖNER
NUUK


Le 16 Juin 2020 par RICHARD

Quelle découverte ! Merci Jovial. Je viens d'écouter l'album sur le net et il est difficile de ne pas s'imaginer seul sur la banquise. Je reste un indécrottable adepte des signatures de feu Cold Meat Industry mais ce minimalisme glacial et glaçant est loin de me déplaire également. L'immersion est totale.





KIRIN DOSHA
NEVERLAND


Le 15 Juin 2020 par BORIS

Bien vu Damien pour le côté Blink 182 sur "Son" (la chanson "Adams song"). Tu as aussi un petit air de "When the smoke is going down" dans l'arpège de "One Horse Race".
Et as-tu vu le clin d'oeil à Wonderland à la fin de la chanson d'intro ? ;)

En tout cas, merci pour cette belle chronique :)





Pat MARTINO
THE VISIT


Le 15 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


...et cinq étoiles pour Footprints ! et aussi pour W Shorter qui a enrichi le monde du jazz en incontournables standards. Tiens tiens encore Richard Davis à la basse... Superbe disque, les soucis s'envolent et ne sont plus que de minuscules points noirs à l'horizon.





PORTISHEAD
PORTISHEAD


Le 15 Juin 2020 par FRANçOIS

Ah ben, scouse, yé mé souis trompé... Je trouve celui-ci (bien) meilleur que "Dummy" finalement (qui vaut surtout pour ses singles et "Strangers" que j'aime beaucoup), moins "soft" et inégal et avec moins de recours aux samples (je me demande même s'il y en a un). Moins "vieillot" également. Enfin, bref, mieux quoi (comme de la même façon, je préfère "Mezzanine" à "Blue Lines"). Voila, c'était vraiment très intéressant, isn'it ?





Alain SOUCHON
C'EST DéJà ÇA


Le 15 Juin 2020 par FRANçOIS

L'album s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires. 300 000 ventes, cela me paraissait peu pour un succès de 1993 (point de "streaming" à l'époque). De nos jours, oui, ce serait un chiffre à faire pâlir n'importe quel artiste (à part des "poids lourds" type Renaud ou Farmer).





MSG
THE MICHAEL SCHENKER GROUP


Le 15 Juin 2020 par LEO


J'ai toujours beaucoup apprécié ce premier album du MICHAEL SCHENKER GROUP que j'ai eu en vinyle dès sa sortie et que j'ai racheté en CD plusieurs années après.
Certes, rien de novateur là dedans. ça reste du hard rock très 'classique' mais racé et totalement maîtrisé par une bande de musiciens chevronnés qui ne fait pas dans le bavardage inutile.
Les compos vont droit au but mais sont suffisamment ouvragées pour ne pas lasser l'auditeur lors des écoutes successives.
Les morceaux comportent des riffs puissants ("Armed And Ready", "Victim Of Illusion" et "Into The Arena") mais également accrocheurs à l'image des radiophoniques "Cry For The Nations", "Feels Like A Good Thing" et "Looking Out From Nowhere".
"Bijou Pleasurette" est un bien joli intermède instrumental de 2 minutes qui rappelle quelque peu "Arbory Hill", autre instrumental qui figurait sur l'album Obsession de UFO. et à propos de "Arbory Hill", Schenker l'a justement ressorti pour l'occasion mais cette fois la compo rebaptisée "Tales Of Mystery" n'est plus instrumentale car Gary Barden a concocté un texte qui colle bien à cette jolie ballade mélancolique que j'aurais bien entendu chez Rainbow.
Je trouve que le plombant et majestueux "Lost Horizons" qui referme l'album avec brio a un côté Scorpionesque très prononcé, avec une ambiance assez proche du morceau "Animal Magnetism" sur l'album du même nom.
Je n'entends aucun défaut sur ce premier album en solo du blond Germain. le guitariste est égal à lui-même et ses riffs et soli sont inspirés. les sessionmen de luxe Don Airey, Mo Foster et Simon Phillips assurent comme des chefs et Gary Barden, le p'tit nouveau (à l'époque) s'en tire très bien même si son chant n'a rien d'exceptionnel en soi, mais il est fort bien intégré dans le projet MSG et forme un bon tandem avec Michael Schenker. cerise sur le gâteau, la production de Roger Glover est claire et sans esbroufe et passe très bien l'épreuve du temps.
Bref, c'est pour moi un très bon album auquel j'attribue un 5/5.









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