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PORCUPINE TREE
THE INCIDENT


Le 31 Janvier 2020 par BAKER


Un album en deux parties. Le vrai CD et l'EP.

L'EP est tout à fait charmant.

Le CD marque une véritable rupture chez PTree qui ne s'en remettra jamais. Un album concept, ça se peaufine. Si on prend Subterranea, combien de mélodies "thématiques" y a-t-il ? Dix ? Douze ?

Sur The Incident, Wilson balance le riff : "paaaa paaa paaaaaaaaaaaammmmm... paaaa paaaa paaaaaaammmmm...".

Voilà, c'est le thème de la chanson de 55 minutes, démerde-toi avec ça.

Un disque pas si mauvais, avec de bons côtés, mais un vrai souci d'identité et de crédibilité.





APHEX TWIN
SELECTED AMBIENT WORKS 85-92


Le 31 Janvier 2020 par BORIS LE BORGNE


Il vieillit merveilleusement bien celui-ci. Comme son jumeau dark ambient de 94. Beau condensé de folie juvénile maîtrisée.

Early R.D. James über alles !





DURAN DURAN
THE WEDDING ALBUM


Le 30 Janvier 2020 par LE OUISTITI


J'ai découvert Duran Duran lorsque j'officiais comme chroniqueur "metal" sur Pop-rock.com dans les années 2000.
A l'époque, je fuyais tout ce qui pouvait ressembler à du FM, à de la pop, il me fallait conserver mes oreilles préservées de toutes intrusions non validées par les dieux du hard.

Mais l'avantage d'un média de critiques généralistes, c'est qu'on n'est pas hermétiques à ce qu'écoutent les collègues et parfois leurs chroniques font mouche.
Mon confrère Delvaux, Belge de surcroît et dj à ses heures perdues (mais c'est une autre histoire) était quant à lui un fanatique de DD. Ça faisait jaser, on raillait cette bizarre passion pour un groupe has-been, oublié, totalement rejeté.

Mais c'est donc en lisant ses chroniques, à une époque où je devais étendre mes écoutes de disques à d'autres genres suite au départ de contributeurs, que je finis par m'intéresser à Duran Duran.

Gros choc émotionnel, sonore, tout pleins de poils qui se dressent. La guitare mortelle, la basse vrombit, les claviers, et ce chanteur à la fois d'une folle arrogance et d'une classe dantesque... Et puis tiens, je connais ce morceau bien lourd là (Wild Boys), on danse sur un truc comme ça (Friends of mine), hé mais c'est pas James Bond ça (A View To A Kill), oh Le Saint (Out Of My Mind), et ce flûtiau là sur The Chauffeur (album Rio), et Too Much Information / Ordinary World / Come Undone (The Wedding Album) c'est pas juste magnifique ?

Et bien c'est certainement LE groupe de pop qui selon moi est capable de la plus belle passerelle entre gros son et finesse, entre fragilité pop et puissance mélodique.
A chaque album, même dans leurs pires moments, vous avez des tubes, des morceaux qui sont parfaits de maîtrise et d'efficacité. Un best of de Duran Duran, c'est un gros pavé de musique pop d'une qualité insolente, royale, inégalable. Ils sont les chouchous de tant de grands zicos, pas étonnant, à condition d'aller écouter ça.

Il en va de même sur The Wedding Album, vous pouvez reluquer les quelques miettes sur la nappe, mais putain que le gâteau était formidable !!!

DD forever





NICO
THE END...


Le 30 Janvier 2020 par DéBé


Comment ne pas parler de ce terrifiant et néanmoins superbe "Innocent And Vain", qui s'ouvre et se termine sur des effets bruitistes (d'Eno) absolument glaçant et est, pour le reste, d'une froideur de banquise en hiver ?
Les 5/5 sont pour l'album.





KANSAS
MASQUE


Le 29 Janvier 2020 par LONG JOHN SILVER

@ LE KINGBEE

"Un disque intéressant , mais le meilleur est à venir avec 2 galettes stratosphériques."

Et je dirais même mieux cher collègue : TROIS (voire 4) car je mentionnerais LE (double) LIVE Two For The Show. Un Live époustouflant !

Bien à toi (et merci pour ce teaser).





NICO
DESERTSHORE


Le 29 Janvier 2020 par RICHARD


Chronique qui pour moi tape juste. Il n'y a rien de direct dans ces trente minutes mais si on décide d'ouvrir la porte pour découvrir ces espaces beaux et tristes, l’addiction peut peut- être apparaître.





KANSAS
MASQUE


Le 29 Janvier 2020 par LE KINGBEE

Un disque intéressant , mais le meilleur est à venir avec 2 galettes stratosphériques.





NICO
DESERTSHORE


Le 29 Janvier 2020 par BAYOU


Je garde un sacré souvenir du film "La Cicatrice intérieure" dont la bande son est cet album.
Il devait être projeté dans un cinéma, Nico et Garrel étaient là, Garrel fait un long monologue complètement déjanté sans laisser parler la chanteuse, puis le film est lancé mais après une dizaine de minutes, la pellicule crame.
Garrel pique une crise, fonce dans la salle de projection, engueule tout le monde, et reprend la bobine, puis se casse en plantant tout le monde, Nico compris.
On a pas revu le gaillard de la soirée, Nico s'est consolée en s'envoyant des Pelforth brunes.





NICO
DESERTSHORE


Le 29 Janvier 2020 par JERRY


Succomber au chant envoûtant de Nico, se laisser bercer par l'atmosphère mélancolique (que d'aucuns auront tôt fait de qualifier de mortifère...) qui en émane, passer complètement à côté de "Nico 1988" (n'adhérer qu'à de rares moments au jeu "improbable" de Trine DYRHOLM dans le rôle-titre), s'en remettre en écoutant en boucle "My Only Child" sur Desertshore, enchaîner avec "Song for Nico" de Marianne FAITHFULL ("Yesterday is gone - There's just today - No tomorrow. Yesterday is gone - There's just today - No more"), goûter avec délice à cette chronique.... tout en visionnant "More" (remember, Ibiza...) de Barbet SCHROEDER. Et se dire que Nico nous a quittés bien trop tôt...





ROXY MUSIC
MANIFESTO


Le 29 Janvier 2020 par METALPROG84


Le moins bon Roxy Music de mon point de vue (déjà, le niveau avait bien baissé avec "Siren", mais là on est encore un ton en-dessous).
Pour autant, l'album n'est pas franchement mauvais, mais c'est vrai que ça manque parfois d'inspiration (c'est flagrant sur "Trash" et "Cry, cry, cry", dans une moindre mesure sur "Angel eyes" et "Spin me round"). Les deux meilleurs titres restent "Manifesto" et "Dance away", "Stronger trough the years", "Still falls the rain" et "Ain't that so" sont pas mal aussi (sans être extraordinaires). Au final, un album mi-figue mi-raisin.
Note réelle: 2.5/5.
Les albums suivants, "Flesh + blood" et "Avalon", dans la même veine, seront largement supérieurs.





The DOORS
STRANGE DAYS


Le 28 Janvier 2020 par FRED

"Maintenant ce qui est curieux c'est qu'on trouve des musiciens noirs qui jouent comme les blancs des années 70's 80's du Blues à la limite du Hard, le plus bel exemple étant Buddy Guy quand il vient en Europe."
Pas si curieux, en fait : c'est une demande des maisons de disque et une adaptation aux exigence du marché, un effet de mode.... Vieux procédé. Déjà, dans les années 20-30 (Son House, Charley Patton…), les maisons de disques exigeaient de ces songsters noirs qu'ils jouent exclusivement du Blues, alors qu'en réalité, leurs répertoires étaient bien plus variés (confère MJ Hurt ou Leadbelly chez qui les influences folks sont plus que présentes), selon le public rural auquel ils s'adressaient (blanc ou noir). D'où l'image erronée d'un cloisonnement strict des répertoires en fonction de la couleur de peau, alors que les choses, et les contacts entre communautés, furent bien plus complexes (et "métissés", en quelque sorte), dans le Sud rural et profond. Je n'aborderais pas trop ici l'influence de la musique amérindienne sur le Blues des origines, les origines partiellement amérindiennes des "Noirs" Son House, Howling Wolf, Muddy Waters, Big Joe Williams, R. Johnson ou Jimmy Hendrix, ou encore Rick Medlocke, mais il y aurait beaucoup à dire à ce sujet : écoutez Mannish Boy par Muddy Waters. Le "Yauh ho" qu'il entonne a cappella au début de la chanson signifie "Je suis le grand esprit" en langue cherokee. On s'aperçoit aussi que la façon des bluesmen de faire pleurer les cordes est une pratique que l'on entend chez les chanteurs durant les pow-wow, mais nulle part en Afrique. Comme on découvre que le rythme qui est au coeur du blues, le shuffle, est le même que celui de la stomp dance, la danse cherokee. Ou que les chansons amérindiennes et le blues partagent une structure identique - un soliste chante un thème et le choeur répond….
De toute manière, la musique dite (grandement à tort) "afro-américaine" est indubitablement une musique métissée dès ses origines: elle est chantée en anglais sur des instruments "blancs" (guitares, banjos), souvent à base de paroles issues de la liturgie protestante blanche (cf Gospel).
Ainsi, affirmer par exemple que le Jazz ou les Blues sont des musiques noires est faux. Il s'agit de musiques de contact entre plusieurs cultures, amérindienne, noire et blanche, résultat d'une Histoire et d'une sociologie complexes et uniques. C'est ce qui en fait sa richesse et son intérêt.





Popa CHUBBY
IT'S A MIGHTY HARD ROAD


Le 27 Janvier 2020 par CAROLUS

Je n'ai pas écouté cet album, mais j'ai vu la bête en concert dans un bled du fin fond de la cambrousse, sur une scène de village sans fioriture. Rien que parce qu'il peut jouer dans ces conditions je le respecte. Je lui avais pris à cette occasion un live qui s'écoute très bien. Le mec se fait plaisir en jouant, c'est tout ce qui compte dans le rock. L'image qu'il renvoie je m'en bats les noisettes, je ne comprends même pas que ça puisse être pris en compte dans l'évaluation de sa musique. En plus c'est un mec super accessible, j'ai du mal à cerner les reproches qu'on lui fait sur l'humain. Encore quelqu'un à qui on reproche de marcher un peu.





Popa CHUBBY
IT'S A MIGHTY HARD ROAD


Le 27 Janvier 2020 par REPLICANT


Est au blues ce que le bigmac est à la cuisine ! Bonne chronique, il fallait le dire !





ELOY
PLANETS


Le 27 Janvier 2020 par LEO


Si pour moi Silent Cries And Mighty Echoes et Colours représentaient ELOY à son sommet, Planets et son successeur Time To Turn sont de mon point de vue un petit cran en dessous, la faute à des compos un peu trop linéaires et similaires ou carrément moins convaincantes.
Déjà, la courte "Introduction" atmosphérique aux synthés dans laquelle il ne se passe rien est plutôt inutile. elle aurait pu être éliminée d'office ou raccourcie de moitié et intégrée au titre suivant car elle n'apporte rien en elle-même.
"On The Verge Of Darkening Light", "Point Of No Return" et le plus long "Mysterious Monolith" sont de bonnes compos qui installent un climat tout à la fois enveloppant (par ses parties de synhé) et robuste (de par sa rythmique bien appuyé et ses riffs de guitare tranchants).
Par contre je ne suis pas très emballé par "Queen Of The Night" qui met l'accent sur le côté symphonique, chose qui ne me dérange pas du tout chez Yes par exemple (albums: Time And A Word et Magnification) mais qui est pour moi bien moins probant chez ELOY à mon avis.
L'instrumental "At The Gates Of Dawn" est plus rêveur mais aussi très dispensable et fait un peu office de bouche-trou.
"Sphinx" renoue avec le côté efficace des trois premiers morceaux (je ne compte pas l'intro !), quand au final "Carried By Cosmic Winds", celui-ci me fait un peu penser à du Alan Parsons Project avec ses choeurs vocodérisés et sa section finale qui incorpore de nouveau une section de cordes (qui cette fois me semble mieux intégrée que précédemment).
À l'arrivée, je suis moins enthousiasmé par Planets que par ses deux prédécesseurs malgré de bons moments.
J'en retiens principalement "On The Verge Of Darkening Light", "Point Of No Return", "Mysterious Monolith" et "Sphinx". un bon 3,5/5 arrondi à 3/5





Popa CHUBBY
IT'S A MIGHTY HARD ROAD


Le 27 Janvier 2020 par LE KINGBEE

@ Bayou

Cher collègue tu as bien cerné le personnage. Avec son allure de rappeur, on se fait une idée du tatoué rien qu'avec son pseudo, une variante argotique de "avoir une érection".

Ah il a fait brièvement partie des Voidoids de Richard Hell qui a du le virer rapidos.





The DOORS
STRANGE DAYS


Le 27 Janvier 2020 par LE KINGBEE

@ Fred

Je comprend tes arguments, mais il y existe encore des trucs fin 60's début 70's qui valent le coup. Souvent dans le répertoire de seconds couteaux.

Autrement pour ce qui est du Blues, je suis plus partagé avec ton affirmation: sans les anglais, le Blues noir serait tomber dans l'oubli. Vingt ans plus tard sans Stevie Ray Vaughan même chose.

Maintenant ce qui est curieux c'est qu'on trouve des musiciens noirs qui jouent comme les blancs des années 70's 80's du Blues à la limite du Hard, le plus bel exemple étant Buddy Guy quand il vient en Europe.
Et d'un autre coté des blancs parfois sapé en hobo, ou worker qui jouent du Country Blues plus rural que les noirs des années 40's, 50's.

Bien à tou et au plaisir de te relire.





DIRE STRAITS
COMMUNIQUé


Le 27 Janvier 2020 par LE KINGBEE

Non Nono, c'est encore chez nous, comme bien souvent, qu'on a eu un train de retard





NICO
THE MARBLE INDEX


Le 27 Janvier 2020 par ALEXIS


A chaque fois que j'écoute cet album, j'ai tous les poils de mon corps qui se hérissent sans vraiment de rythme. C'est incroyable.





DIRE STRAITS
ON EVERY STREET


Le 27 Janvier 2020 par NONO


Personnellement, j'ose avouer que d'une certaine manière, je préfère cet album au précédent (Brotherts in arms).
Pas de gros tube ici mais une constance en qualité du début à la fin. Alors que pour moi, l'album B.I.A. est plus inégal : on a 2 gros rocks au milieu de mid-tempos ou ballades plus "pastels" disons souvent à la limite du soporifique ... et en plus pas tous réussis.
Je trouve que "BIA" est un peu ennuyeux sur la longueur, alors que On every Street maintient mieux l'attention. Son côté plus "roots", plus countrisant, me plaît aussi.





The DOORS
STRANGE DAYS


Le 27 Janvier 2020 par FRED

Au Kingbee.
Oui ! Je suis outrancier, et le chiffrage de 95% est, sans doute, à l'avenant.
Néanmoins, je dois avouer que, dans ma prime jeunesse, j'étais un gros fan de la "musique blanche fin 60's-début 70's d'inspiration noire", du style TEN YEARS AFTER et consorts, le Blues électrique blanc et ses avatars, pour simplifier. Ce sont des disques que je ne peux aujourd'hui plus écouter : je les trouve trop simplistes, trop copiés sur d'autres artistes, périmés. Désolé. Bon, j'aime le premier ZEP, le 1er B. SABBATH, mais c'est à peu près tout, je crois. Le Blues blanc m'ennuie en ce qu'il est vide à plusieurs titres : musicalement il doit tout au Noirs, sociologiquement, il n'a aucune valeur : il est l'œuvre de fils de petits bourgeois blancs urbains de classe moyenne sans Histoire, sans références culturelles propres. C'est un peu le symbole de l'acculturation de nos sociétés occidentales, et je trouve ça assez triste, et surtout cela se ressent dans la musique pratiquée : elle est dénuée de sincérité et d'authenticité. A mon sens, bien entendu…







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