Le 09 Septembre 2018 par CLANSMAN57

En fait si, Marco trouve qu'elle a un accent, je me suis trompé, désolé.

Le 09 Septembre 2018 par CLANSMAN57

En voilà une qui a tout compris!
"Je m'appelle Marina Dalmas, je vais m'appeler Marina Kaye sur scène, ça sonne plus anglais."
"Je vais chanter en anglais, ça ira bien avec mon nom de scène et puis si ça marche, je vais pouvoir sortir de l'Hexagone" (sans aucun accent, comme le souligne Marco).

Elle ouvre l'album par un single imparable, "Homeless", coup de coeur instantané en ce qui me concerne.
Relative déception lors des premières écoutes, la suite n'est pas aussi immédiate.
Au bout de quelques écoutes supplémentaires, cette petite déception n'est plus qu'un mauvais souvenir et on remercie la demoiselle de ne pas avoir composé l'intégralité de son album sur ce modèle pourtant parfait.

J'aime absolument tout là dessus, c'est trop bien fichu, elle a une super belle voix, capable de transmettre des émotions, ses lignes font mouche et derrière, ça joue bien, sans en faire de trop.
Les chansons sont assez courtes en général, pas le temps de s'ennuyer, encore un truc qu'elle a compris la p'tite.

A noter que "Freeze You Out" est une composition offerte à Marina par Sia.
J'y trouvais quelques ressemblances avec "Diamonds" de Rihanna.
En me renseignant, j'ai pu lire que cette dernière est également une composition de Sia.
Preuve qu'elle a sa patte... et il faudra que je me penche sur sa musique également. Et vite!

"Fearless" est une perle étonnante de maturité pour une jeune fille de 17 ans, à l'époque.

Le 09 Septembre 2018 par ALEX F

Excellent album. Deux titres sortent clairement du lot : "Flight Over Rio" et "Race With Devil...", du grand art ! Je n'ai jamais été trop fan du Al di Meola acoustique, je le trouve un peu trop froid, surtout comparé au grand Paco de Lucía. L'ensemble reste très bon, il n'y a aucune véritable fausse note (au sens propre comme au sens figuré !), bien que le déballage technique puisse parfois agacer. Un disque charnière de la guitare jazz-rock, sans aucun doute, qui influencera des ribambelles d'apprentis shredders dans les années qui suivront. A comparer avec Allan Holdsworth, autre grande influence à la même époque, qui, par son jeu tout en legato, est un peu l'antithèse d'Al di Meola et son jeu en pizzicato. Deux guitaristes électriques majeurs en tout cas.

Le 09 Septembre 2018 par VIV

Excellent concert, superbe performance de Phil et sa bande. Il est très bien entouré le Philou.
Ça joue, on sent que tous les musiciens prennent un enorme pied, et du coup nous aussi. C'est un plaisir de voir et revoir ce double DVD. Je ne sais même pas trop quoi dire de plus tellement tout est bon, y'a rien à jeter.

Le 08 Septembre 2018 par CLANSMAN57

C'est marrant.... il n'y a pas si longtemps, je pensais que ça serait cool des chroniques de Manowar sur FP: Erwin le fait (sur NIME, mais bon, il le fait).
Et puis je me dis "ça manque de Michael Jackson sur FP": Erwin le fait.
Même pas besoin de demander, il suffit de penser.

Sinon, "Thriller" est excellent et constitue un sommet, mais ça tout le monde le sait déjà.

5/5

Le 07 Septembre 2018 par NOSFERATU

EN CONCERT , les nappes sonores étaient impressionnantes à l'époque

Le 07 Septembre 2018 par NONO

Bien d'accord ! Je connais assez peu cet album, l'ayant écouté que 2 / 3 fois, mais j'en ai le souvenir d'un album tendant bien plus vers le "Motown" traditionnel, que vers le style pop West-Coast ! J'aime bien l'album "Bad" également qui, même s'il sonne assez superficiel niveau prod', contient des compos de meilleure qualité (plus mémorables) que Thriller...ce dernier ayant joué le rôle "d'intermédiaire" entre off the wall et Bad, pas vraiment motown (sauf peut-être "The Lady In My Life" et "Baby be mine") et sans être encore totalement pop.
Par contre je ne connais pas Dangerous (seulement de réputation : album qui est visiblement extrêmement long et indigeste), et "Invincible" ne m'attire absolument pas.

Le 07 Septembre 2018 par LEO

Pour moi Off The Wall est le seul album intéressant de MICHAEL JACKSON en solo.
Je n'ai jamais aimé le surestimé Thriller ni le reste de sa discographie assez plastique et bubblegum.
Sur Off The Wall on est bien plus proche des JACKSONS avec leur album Destiny paru l'année précédente et du futur Triumph réalisé 1 an plus tard.
La musique n'a pas encore cet aspect pop synthétique aseptisée qui fera surface dès l'album suivant. ici on est plus en territoire soul/funk/R&B, voire disco à l'occasion.
Contrairement à ERWIN, je ne trouve pas que "Get On The Floor" tend vers l'électro-funk. la basse n'a rien de synthétique comme dans le style précité et on a plus affaire à du funk avec une touche de disco. pour moi, ce titre fait partie des moments forts de l'album avec "Don't Stop 'til You Get Enough" et "Workin' Day And Night".
Pour ce qui est du slow guimauve "She's Out Of My Life", là c'est clair je ne l'aime pas.
Concernant le sucré "Girlfriend", ce n'est en aucun cas une collaboration entre Paul McCartney et MICHAEL JACKSON ! par contre Macca avait bien en tête MICHAEL JACKSON lors de la conception de cette compo et mentionnera le fait à l'intéressé lors d'une rencontre avec celui-ci qui le prendra au mot et ne se privera pas pour l'enregistrer (Quincy Jones approuvera le choix).
Ce morceau fut composé uniquement par Paul et est sorti au début de l'année 78 sur l'album London Town des Wings. la version ici présente est plus rythmée que l'originale et dure 1m30 de moins (il manque le pont ainsi qu'un solo de guitare). la tonalité m'a l'air un chouïa plus haute sur l'enregistrement de Paul mais ce n'est peut-être qu'une impression...

	Par Forces Parallèles Par collaboration, j'entendais Macca compose et Bambi interprète... Je vais changer qqs lignes ! Bien à toi

Le 06 Septembre 2018 par ANGEL D

J'aime le blues rock ...mais moins le blues. Pourtant, j'adore cet album.
Tout : la guitare, la voix, la section rythmique, le piano et le saxophone qui apportent beaucoup à la musique, pleine de groove.
Il y a quelques chose de "soul" dans la voix agréable de Magic Sam, souvent bouleversante et mélancolique.
Les riffs sont entraînants et pêchus. Franchement, une excellente surprise.

Le 05 Septembre 2018 par BAKER

Bonsoir Dislo,

Tout à fait, et avec la permission de l'auteur du texte puisque c'est moi-même :)

Le 05 Septembre 2018 par PILGRIMWEN

A l'écoute de cet album, il est vrai que SLADE était un ovni dans le monde Rock. Et ils ont grandement marqué Kevin Dubrow. Ce dernier singeant vocalement Noddy Holder de manière admirable. QUIET RIOT n'étant finalement que le pendant américain (et un hommage à) de SLADE. Ni plus, ni moins.

Pour en revenir au disque, il s'en dégage des morceaux dynamiques et colorés ! Rien que le trio Run Runaway / High And Dry / My Oh My, c'est un sacré argument pour inciter quelqu'un à poser une oreille sur cet opus !

Le 05 Septembre 2018 par DISLO

Je suis persuadé d'avoir déjà lu cette chronique quelque part (sur un site de chroniques de DVD que je n'arrive pas à retrouver), est-ce que c'est normal?

Le 05 Septembre 2018 par GLADIUS

J'ai découvert ce gars en achetant de façon totalement random le dvd de The Buddy Holly Story, un film qui suit l'artiste avec son groupe. Totalement omnibulé par la beauté de son morceau "Everyday" je me suis penché d'un peu plus près et j'y ai trouvé un artiste qui me plait réellement.

Le 05 Septembre 2018 par GLADIUS

Bon, je vais pas y aller par quatre chemins, ce CD c'est pour moi un chef d'oeuvre, tout ce que j'aime dans le rock des années 60 est dans ce skeud... un plaisir, je le réécoute vraiment sans modérations celui ci.

Le 04 Septembre 2018 par HEART OF STEELE

Je n'ai pas le temps présentement mais je m'en vais poster une chro expresse sur cette bomba atomica du Rock Prog dès que possible!!!

Le 04 Septembre 2018 par JOVIAL

Un beau gâchis, c'est vrai. Je n'ai pas spécialement apprécié son album, mais l'esthétique est intéressante, musicalement autant que visuellement. Et c'était l'un des rares jeunes rappeurs américains à ne pas essayer de surenchérir avec les aînés, comme le fait actuellement 6IX9INE pour ne citer que lui.

Le 04 Septembre 2018 par BAAZBAAZ

Je m'ennuie toujours un peu en écoutant THE BAND. Un peu moins avec celui-ci qui comporte de bonnes chansons et que je trouve impeccablement produit. Mais l'écoute a beau être agréable, et "Tears of Rage" un monument, je ne ressens finalement pas grand-chose. C'est l'exemple typique du disque que je vais mettre sur la platine de temps en temps, sans déplaisir, en appréciant les arrangements et les textures, mais sans envie d'y revenir.

Cela s'accentue avec la suite de la discographie, jusqu'à la torpeur. Ce qui n'ôte rien évidemment à l'importance historique de l'album. Mais je préfère tout de même CCR, qui était capable d'écrire des tubes.

Sinon la pochette est sympa, j'aime bien l'éléphant. C'est comme celle de "Disraeli Gears" de CREAM : quoi qu'on en pense, elle appartient maintenant à la culture rock.

Le 03 Septembre 2018 par AU COEUR DE L'HêTRE

Second album de ce groupe que je découvre... toujours les mêmes sensations... toujours autant de plaisir... un groupe qui fait vibrer l'"Hêtre" en nous.

Le 03 Septembre 2018 par NONO

Tant d'années que je me demande quel est cet instrument faisant des espèces de "doum-doum-doum" en decrescendo, dans la chanson-titre, en intro (dès le 1er coup de batterie, démarrant juste après une sorte d'effet larsen), et de temps à autres au cours du morceau.
Ca pourrait être un synthé, ou un son de batterie électronique venant "doubler" la batterie acoustique, voire une basse au son très modifié. Vous voyez de quel son je parle ?
Quelqu'un sait ? C'est très bizarre et assez flippant comme effet !

Le 03 Septembre 2018 par AU COEUR DE L'HêTRE

Je viens de découvrir ce groupe. Une musique douce, des rythmes envoutants, une voix qui nous emporte dans un voyage intérieur d'où l'on ne ressort pas tout à fait pareil...

Une porte qui s'ouvre vers le rêve intérieur et nous rapproche d'une forme de paix intemporelle. Cette paix parfois perturbée par le son du carillon de mon balcon rajoute une ambiance qui repose l'âme.

Merci pour cette belle découverte!

PS: Irfan Etymologie : signifie "connaissance, apprenant" en arabe. C'est un nom masculin qui aurait pu inspirer le créateur de cette chronique dédiée à son fils.