Le 20 Août 2015 par MR LARSEN

Je redécouvre, grâce à toi ERWIN, ce bel album d'Yves Duteil. Un artiste que mes parents me faisaient écouter quand j'étais petit, mais dont je n'avais gardé aucun souvenir. C'est une belle cure de jouvence... et un bel hommage rendu à un artiste discret (mais talentueux) de la chanson française). Par contre, c'est effectivement étonnant de mettre ton premier 5/5 à cet album (qui les vaut sans doute), mais de ne mettre que 4/5 à l'incontournable "Amoureuse" de Sanson. Question de sensibilité sans doute ^^
Merci en tout cas de chroniquer de la variété française sur ce site de qualité.

Le 20 Août 2015 par GG

J'avais entendu Zazie le dire en radio, que c'était inspiré par la musique bretonne. Mais en plus, le morceau a été repris en langue bretonne il y a quelques années, et cet élément (rond de saint Vincent) était précisé dans la presse. J'aime bien ce morceau et Zazie en général, mais je n'ai pas écouté cet album en entier, donc je ne peux noter.

Le 20 Août 2015 par MARCO STIVELL

Si ZAZIE elle-même s'inspire des danses bretonnes (ce que j'ignorais pour le coup !), ça laisse rêveur...
En revanche, si je ne suis plus capable de reconnaître un an dro ou un rond de Saint-Vincent, où va le monde ? Merci pour cette précision. :)

Le 20 Août 2015 par MARCO STIVELL

Belle chronique, les quelques chansons que je connais de cet album sont effectivement splendides. DUTEIL mérite mieux que les quolibets habituels, à l'instar de nombreux confrères de la variété, qui n'est pas un grand sac poubelle dans lequel on met tout et n'importe quoi ! À la rigueur, faites un tri sélectif...
Du coup, je m'en vais l'écouter en entier, merci Erwin.
(Il manque "Lucille et les Libellules" dans la track list !)

Le 19 Août 2015 par GG

La rythmique de la chanson "Je suis un homme" se rapproche plutôt de celle d'un "Rond de saint Vincent", une danse bretonne. La chose a été dite par Zazie elle-même, d'ailleurs, qui a déclaré s'être inspirée de cette danse traditionnelle.

Le 19 Août 2015 par NONO

Quelques excellents morceaux (Signs of life / Learning to fly, On the turning away, Sorrow) sauvent cet album du naufrage.
Mais pour moi cet album n'est absolument pas un ratage.
Personnellement LE ratage ultime de Pink Floyd est bel et bien "The Final Cut". Avis personnel bien sûr... mais si on ne tranche pas à un moment donné, on ne peut jamais dire ce qu'on pense.

Le 19 Août 2015 par AIGLE BLANC

Je confirme la précision de Long John Silver. CTTE bénéficiait d'une pochette ouvrante dont l'illustration intérieure étendue sur les deux volets représentait l'un de ces paysages oniriques vaguement SF comme les affectionnait Roger Dean. Toutefois, l'illustration frontale bien que minimaliste et toujours signée Rogar Dean est à mon sens une petite merveille. Ce dégradé de vert illumine ma discothèque.
Sinon la qualité musicale déployée ici par le groupe est un véritable enchantement.

Le 19 Août 2015 par CLANSMAN57

@LONG JOHN SILVER

D'accord, c'est dans ce cas plus compréhensible, car la pochette en elle même n'est pas super jojo !

Merci beaucoup !

++

Le 19 Août 2015 par LONG JOHN SILVER

@Clansmans7

Je pense que le chroniqueur fait allusion à la pochette gatefold du vinyle, ce qui signifie qu'elle s'ouvrait or elle dévoilait une magnifique illustration signée Roger Dean. Cependant on trouve surtout l'édition sans pochette ouvrante et on ne retiens que le visuel du dégradé de vert.

Le 19 Août 2015 par CLANSMAN57

Vraiment trippant ce KING CRIMSON !
Sophistiqué en diable, en avance sur son temps comme pas permis, même aujourd'hui encore !

L'influence africaine mêlée au groove de Levin et au jeu unique de Fripp, ainsi qu'à la folie de Bruford, c'est l'équation du bonheur !

Adrian Belew a une voix magnifique en plus.

Dépaysant.

Le 18 Août 2015 par CLANSMAN57

Je fais plutôt partie des personnes considérant ce "Close To The Edge" comme un chef d'oeuvre du genre.
C'est poussif et donne l'impression d'être mal branlé au départ lorsqu'on ne l'a pas encore cerné, mais après, c'est à un véritable voyage que l'on est convié!

J'adore la voix d'Anderson qui m'énervait pourtant lors de ma découverte avec le groupe.
Il y a quelque chose d'innocent dans sa voix et elle correspond très bien à cet univers féérique et loufoque.
Inutile de mentionner le fait que chaque musicien est ici à sa place, qu'ils ont chacun un style unique et qu'ils proviennent d'une autre planète.

Par contre, le chroniqueur évoque la pochette comme étant magnifique et ressemblant beaucoup à celle de "Fragile"...
J'ai un peu de mal à comprendre, mais bon...

Un album magique.

Le 18 Août 2015 par GOLGOTH 68

30 ans que j'écoute cet album (ce morceau devrais-je dire) et je ne m'en lasse pas. L'émotion est toujours présente...

Le 18 Août 2015 par GOLGOTH 68

Réécouté ce jour et toujours autant émerveillé par cet album qui n'a vraiment pas vieilli et qui est mon préféré de PINK FLOYD...

Le 18 Août 2015 par EL PACHENKA

C'est vrai que le contenu de cet album est à l'image de sa pochette : froid et gris. Au niveau des textes, François Hadji-Lazaro est un conteur hors pair. Les chansons racontent quelque chose et ont beaucoup de consistance. Musicalement, c'est tout aussi riche ! Il s'agit bien de l'un des disques incontournables du rock en France.

Le 18 Août 2015 par JOVIAL

Le plus grand chef d'oeuvre du rock français. Oubliez tous les autres et ne vous bornez pas à la seule "Dans La Salle Du Bar-tabac De La Rue Des Martyrs". On s'énerve, on se marre, on chiale, on picole, on baise. Parfois sale, souvent cru, toujours beau, Pigalle manie aussi bien les ambiances que François manie les mots.

Un disque qui m'a suivi pendant des années et qui pourtant me semble inconnu, encore plein de surprises. Mention spéciale à "Renaître", écoutée et réécoutée seul dans les rues de Brest, dans la grisaille du soir ... effet saisissant.

Putain !

Le 17 Août 2015 par AIGLE BLANC

Vous avez raison Zecton. Bernard Herrmann n'a pas pu s'inspirer du De Natura Sonoris II de Penderecki puisque cette dernière composition date de 1971 (c'est le De Natura Sonoris I qui date de 1966).
C'est donc Penderecki qui a pu lorgner vers la musique de B.Herrmann.

Le 16 Août 2015 par ZECTON

Le travail sur la musique est indissociable de la mise en scène chez Kubrick, une osmose entre image et son que peu de cinéastes peuvent se targuer de mettre en place, on a affaire ici à un réel travail d'immersion sonore, dès les premières notes, le malaise est latent, puis s'affirme au fur et à mesure des plages, pour finir par étouffer le spectateur ( et/ou l'auditeur), le cloisonnant irrémédiablement comme les protagonistes du film, du grand art.
Je félicite au passage Aigle blanc pour cette superbe chronique, très instructives car fort bien documentée, en revanche, je me pose la question suivante : Le chroniqueur suppose que Bernard Herrmann se serait inspiré de "De Natura Sonoris no.2" pour composer pour "Psychose", mais le film est sorti en 1960 et la composition de Penderecki date de 1966, comment cela serait-il alors possible ?

Le 15 Août 2015 par CLANSMAN57

Une véritable perle de pop 80's, pas un titre de merde, tout fonctionne parfaitement et distille de la bonne humeur.

Une MADONNA encore romantique, voire engagée ("Love Makes The World Go Round"), des textes simples mais pas nuls et peut-être un des titres ultimes de la pop présent sur la galette: "La Isla Bonita"...
Il y a toujours un sentiment de bien être total lorsque ce rythme latino parvient à mes oreilles. Ce refrain de tueur, ces chœurs en dessous qui font mouches à chaque écoute, ces percussions, cette guitare latine, ces couplets... Un de mes morceaux préférés tous styles confondus.

Elle mérite largement le titre de "Queen of Pop" avec toutes les perles qu'elle a balancées.

Bien sûr, ça fera grimacer à la première écoute, le disque est sorti en 1986, le son 80's avec ses claviers bien en avant, les programmations d'époque et tout...
Mais déjà lors de la seconde écoute, on ne retient que ce qu'il faut retenir, c'est à dire la qualité de composition qui est belle et bien présente!
Et ce son d'époque ne gênera plus du tout...
En espérant que les personnes qui découvrent ce disque aujourd'hui passeront au moins cette première écoute afin de pouvoir apprécier le disque à sa juste valeur ensuite.
Sinon, tant pis pour eux.

Divin!

Le 15 Août 2015 par BAYOU

Evoquer le Martin Circus de cette époque, c’est aussi rappeler leur amour d’Antonin ARTAUD et de son théâtre total.
Sur scène, le groupe était habillé tout en blanc (comme des fantômes) avec un masque blanc, et la déclamation des poèmes d’ARTAUD était assez surréaliste, le show ressemblant plus à une "performance" qu’à un concert de rock.
« A Dada sur Paranoïa » est dédié à Philippe Paringaux de Rock’n Folk qui avait massacré le groupe dans une chronique.
Si l’album contient d’excellents moments, « Pourquoi Tous Ces Cris », « Poussières », « Ouvrez Vos Mémoires », « Ma Guitare », poétiques et musicalement au top, il pèche aussi par des morceaux à la limite de la variété française de l’époque « Je M'éclate Au Sénégal », « Le Tromblon Magique », « O'secours Bob »
Le groupe était traversé par des courants antagonistes, Gérard Blanc étant plus orienté variété, pop, Pisani et Brault semblant plus originaux et progressistes.
Hélas, avec le succès de « Je M'éclate Au Sénégal », le groupe cherchera le hit sans trop de réussite.
Reste que cet album a pris un sacré coup de vieux. Avec le recul cela sonne un peu prétentieux et surtout ce cocktail de musiques différentes passe mal.

Le 14 Août 2015 par MENCLAY

Je vais aller droit au but parce que je n'ai pas envie de perdre mon temps à débattre sur cet album.
C'est une daube monumentale. De la sous musique d'ascenseur. De la branlette sonore interminable.
Mes oreilles saignent.