Le 06 Juillet 2016 par LEO

Ce 1er album de PAUL STANLEY (paru sous la bannière KISS) est mon second favori des 4 disques en solo parus en 1978, après celui d'ACE FREHLEY.
"Tonight You Belong To Me" qui ouvre l'album, est une compo typique de PAUL STANLEY, en ce sens que le morceau débute par de doux arpèges à la guitare acoustique, suivi d'accords bien pêchus à l'électrique tout comme le faisaient "Black Diamond", "Rock Bottom" et "I Want You" avec KISS.
"Move On" est un bon gros rock bluesy dans l'esprit de Bad Company et agrémenté de choeurs féminins.
"Ain't Quite Right" est sans doute le morceau que je préfère sur l'album. ce mid-tempo n'est pas vraiment une ballade ni un rock, mais quelque chose d'indéfini teinté de soul avec une couleur un peu 60's. une bien belle compo superbement chantée.
"Wouldn't You Like To Know Me" ne m'a jamais branché. c'est un rock lambda sans accroche particulière. certes, il y a pire, mais il y a également bien mieux dans le genre.
"Take Me Away (together As One)" est une excellente power-ballade toute en nuance et avec de bons arrangements.
"It's Alright" est réussi là où "Wouldn't You Like To Know Me" tombait complètement à plât. les 2 sont des rock-songs basiques sans prétention mais "It's Alright" tire son épingle du jeu grâce à un riff aguicheur et un chant bien plus mélodique et fédérateur.
"Hold Me, Touch Me (Think Of Me When We're Apart)" est une ballade guimauve qui m'a toujours insupporté. une horreur! je zappe direct.
"Love In Chains" est la compo la plus hard du lot avec ses grosses guitares bien en avant. une vraie bouffée de fraîcheur après le slow gluant précédent!
"Goodbye" dont j'apprécie beaucoup la partie de basse qui fait les montagnes russes sur les refrains, est logiquement le dernier titre de cet album globalement réussi, si ce n'était pour 1 ou 2 titres qui m'empêchent de lui donner la note maximale.

Le 05 Juillet 2016 par CALCIFèRE

Ce disque est sublime du début à la fin. Même une Madonna ne pourrait faire aussi bien avec tous les producteurs du monde, si elle voulait officier dans ce style. Certains titres, comme Elias ou Open your eyes devraient passer à la radio tant leurs refrains est génial. Bon sang quel groupe!

Le 05 Juillet 2016 par NOORS

Un des meilleurs album de KISS. Rien de moins. Même s'il est atypique par son coté moins "funny/paillettes" et du coup en ressort un Hard Rock/Heavy plus musclé.

Le 05 Juillet 2016 par WATCHMAN

Difficile de faire un choix qualitatif, mais pour répondre à ta question TRESHOLD je dirais que les trois premiers albums des Fields sont de loin les meilleurs.
Mais puisque tu as apprécié le dernier single en date, alors tu devrais fortement jeter une oreille sur l'album Mourning Sun (paru en 2005), qui est d'excellente facture. J'en prépare d'ailleurs la chronique qui devrait paraître, je l'espère, dans le courant de l'été.

Et désolé si j'ai mis du temps à voir ton commentaire et à te répondre.

Le 04 Juillet 2016 par MR TINKERTRAIN

Le titre en écoute (le dernier de l'album) est une pure tuerie. Je vais vite écouter l'album. Le chant et l'ambiance me font penser à "The great fleet of echoes" du groupe Throes of Dawn... Enorme.

Le 04 Juillet 2016 par GURTU

Tu as raison Marco, c'est répétitif voire réchauffée.

je viens de voir le concert Gabriel-Sting sur le tube.

Bon on dirait ta tournée des vieux meilleurs top 50 francais.

j 'adore le Gab mais arrête le cassoulet frites mayonnaise, tu commences à ressembler à Marlon Brando vers la fin...

Le 03 Juillet 2016 par ESKAPEESKAPE

C'est clinique et la voix est un peu trop 'faite exprès'.
Reprise poussive des Rolling Stones; on ne réussit pas à chaque fois malgré la perles Live and Let Die et Knocking on Heaven's Door.
Difficile de s'attaquer aux Rolling Stones, même Motorhead n'a pas rendu une excellente copie.

Attention: Dans le genre vraie folie portnawak sur ce titre on lui préférera celle de l'Orchestre National de Barbes, beaucoup plus proche de l'original, si si !

Le 03 Juillet 2016 par MR TINKERTRAIN

Ce disque est mineur dans la disco du groupe car il contient une bouse soporifique (le dernier titre) et pas de titres géniaux. En fait la qualité est bien là mais l'agencement des titres est mal foutu je pense. Mais il y a quand même des passages monstrueusement géniaux qui nous bien regretter la mort de ce groupe sublime et la nouvelle direction Pop de la chanteuse et déesse Anneke. il suffit de prendre son chant sur Herbal Movement (et la quasi totalité du CD) pour pleurer de nostalgie. Fait chier.

Le 03 Juillet 2016 par DEJAVU

Je m'attendais pas à trouver cet album sur ce site, personnellement, je pense que Johnny est meilleur dans le registre variété (Pop française ?) que Rock 'n' Roll, d'ailleurs il suffit de jeter un coup d'oeil sur sa discographie pour se rendre compte que ses plus gros hits sont de la bonne "variétoche" pur jus. J'adore l'album "Derrière l'amour", j'avais 8 ans lorsqu'il a été publié, quand mon grand frère (ou peut-etre ma grande soeur) a ramené le 33 tours à la maison, ca été un évènement, que de bons souvenirs liés à l'enfance ... J'attends la chronique de l'album "Vie", celui-là, c'est mon préféré !!

Le 30 Juin 2016 par NONO

@CLANSMAN57 : Très juste pour "It never rains" : je trouve aussi que cette chanson est un peu en-deçà du reste. Même si le long final en solo de guitare ressemble un peu à la fin de "Telegraph road", je le trouve cependant moins "épique". Et cette chanson s'écarte un peu du concept global de l'album. Knopfler veut faire du Dylan de manière trop ostentatoire : style très
"folk-rock", alors que le reste de l'album est plus mystérieux, plus cinématographique.
Industrial Disease sonne comme une sorte de "Walk of life" avant l'heure : rythme enlevé, orgue hammond dans le refrain, etc. C'est une très bonne chanson, qui dénote elle aussi du reste.
Quant au trio Telegraph Road / Private investigations / Love over gold : c'est pour moi une triade indivisible, surtout les deux derniers qui sonnent comme un parfait complément l'un de l'autre.
"Love over gold" est un must-have, l'album de rock le plus cinématographique et probablement un des plus lyriques que je connaisse.

Le 29 Juin 2016 par KID66

Ce qui est amusant avec Closer (et c'est bien la seule chose amusante qu'on puisse lui trouver), c'est que je trouve que les chansons sont placées dans un ordre qualitativement croissant.

Ainsi, "Atrocity Exhibition" avec son roulement incessant et ses distorsions bizarroïdes est à mon sens le seul léger bémol du disque, intéressant mais manquant d'intensité. Il faut dire qu'occuper la première place d'un tel album n'est pas une mince affaire, car même quand on le connaît par coeur, se laisser happer pleinement par son ambiance demande parfois quelques minutes. Le rythme syncopé d'"Isolation" fonctionne à merveille pour nous plonger joyeusement dans le noir.

Les lugubres "Passover" et "Colony" à la guitare tranchante sont très bonnes. Sèches au possible, elles représentent parfaitement l'esprit du disque : froid, aride, cru et pourtant très prenant. "Means To An End" fait encore monter la pression, on commence à se dire qu'on ne sortira pas de l'écoute indemne...
Et effectivement le fantomatique "Heart And Soul" arrive et on perd un peu de vue le grincement des guitares ou les claquements de caisse claire pour se laisser porter par l'atmosphère nouvellement créée et la voix éthérée de Curtis. Le réalité se floute quelque peu. L'explosion à lieu sur l'exceptionnel "Twenty Four Hours" d'une intensité hors du commun, puis place au champ de ruine et au deuil de "The Eternal", bouleversant de bout en bout.

Enfin, l'extraordinaire "Decades" ferme le bal et ce n'est plus un groupe que l'on entend, mais bien un déluge de notes célestes et irréelles ricocher dans tous les coins de notre tête. Et les larmes qui coulent par nos oreilles.

Je retrouve donc dans Closer un crescendo en terme de qualité des morceaux, mais aussi dans mon degré d'immersion dans l'ambiance créée par JOY DIVISION. Et au-delà de ces considérations personnelles, il est évident qu'on tient là un très grand disque. 4,5/5.

Le 29 Juin 2016 par CLANSMAN57

Très bon, "Telegraph Road" ne doit pas compter beaucoup de détracteurs, de même pour "Private Investigations".

J'aime beaucoup la cynique "Industrial Disease", l'effet sur la guitare est plaisant, certaines parties de basse sont de toute beauté.

"Love Over Gold" est bien, par contre,"It Never Rains" s'éternise malgré certains passages intéressants...

Un presque chef d'oeuvre.

Le 29 Juin 2016 par IEN

Excellent album de variété Française.

Je pense que Zazie n'a jamais aussi bien chanté que sur cet album, et les effets vocaux électroniques parfois présents sur quelques titres sont utilisés intelligemment.
Les paroles assez sombres et désabusées méritent surtout qu'on s'y attarde.

Le seul album de Zazie ou rien n'est à jeter, avec dans une moindre mesure Zen et Cyclo.

Le 28 Juin 2016 par LEO

Des 4 premiers albums en solo des membres fondateur de KISS, ceux de ACE FREHLEY et PAUL STANLEY sont les plus proches de ce qu'a fait le groupe à ce moment là.
Celui de GENE SIMMONS s'en démarque par une approche stylistique disparate mais il garde tout de même un pied dans le rock, certes plus par le son de guitare que par les compos, mais au final c'est surtout celui de PETER CRISS qui n'a que peu de rapport avec la musique de son groupe d'origine !
Certes, dès le départ le répertoire de KISS fut plutôt ecclectique, mais il n'empêche qu'il y avait assez de morceaux rock et puissants dans chacun des albums jusqu'à présent pour contenter le fan de base sans risquer de le perdre en cours de route. la chose était encore valable pour les albums solo de PAUL STANLEY et ACE FREHLEY, pas vraiment pour celui de GENE mais plus du tout dans le cas de PETER !
En effet, même des compos comme "I'm Gonna Love You", "Rock Me, Baby" ou "Hooked On Rock 'n' Roll" n'ont de rock que le nom, ou si rock il y a, ce serait un rock pantouflard et démodé. même des trucs un peu rhythm'n'blues/soul comme "Tossin' And Turnin'" et "Don't You Let Me Down" ou le boogie "That's The Kind Of Sugar Papa Likes" traînent la patte comme c'est pas permis !
Attention, tous les musiciens ici présent sont talentueux et je suis le premier à reconnaître que PETER CRISS a une voix convaincante (quand il ne chante pas de la mélasse écoeurante comme "Beth" !), je ne remets pas non plus en cause ses talents de batteur ni son amour premier pour le jazz, le rhythm'n'blues, la soul, le rock'n'roll... mais j'ai le sentiment que ça ne fonctionne pas dans le contexte ici présent où j'ai vaguement la sensation qu'il ne croit pas vraiment en ce qu'il chante, comme si il se forçait presque parce qu'il a un album solo à délivrer au plus vite !
Bref, il manque un supplément d'âme pour faire vibrer et décoller toutes ces compos qui à la base sont déjà pas mal mollasonnes et sans relief (même si pas forcément mauvaises au final).
Je dénigre mais celà dit, pour qui aime le genre cet album n'est pas désagréable et il peut m'arriver de l'écouter à l'occasion, mais ce n'est qu'un disque de seconde zone, et surtout il n'aurait jamais dû paraître sous l'étiquette KISS. procédé trompeur....mais évidement bien plus vendeur !

Le 27 Juin 2016 par JOVIAL

Sans vouloir rentrer dans le débat historique sur la Bretagne et les Bretons (qui va vite en agacer !) : non, Anglais et Bretons ne sont pas ennemis héréditaires depuis le Moyen Âge, même si une tradition de piratage mutuel existait bel et bien. Mais ils le sont plus ou moins devenus avec le rattachement du duché au royaume de France.

La Guerre de Sept Ans, les campagnes américaines où l'on retrouve beaucoup de Bretons, les corsaires, les raids anglais sur Cancale, Belle-Ile, Saint Malo sont certainement restés plus longtemps dans la mémoire locale que le combat des Trente ... jusqu'à la Seconde Guerre Mondiale donc ...

Quant aux nationalistes/indépendantistes locaux, leur vision de l'Histoire est certes très sélective, mais que peut-on dire de celle de la France ? N'est-ce pas le vainqueur qui la déploie à son aise ? Et les comparaisons avec d'autres peuples n'ont aucune valeur, ce n'est pas un concours. Allons sur ce chemin : la Bretagne mérite plus que la Corse parce que les Bretons ont gardé une indépendance relative pendant presque mille ans (environ 430 - 1532) quand les Corses n'ont connu qu'une quinzaine d'années ! Hé ! Alors ? C'est débile. Aucune Histoire ne devrait être comparée avec une autre.

Et concernant l'album en lui-même, GLENMOR ne fait que rendre hommage à Morvan Lebesque et ne parle pas des idées de ce dernier. Vous trouverez peut-être un terrain d'entente ? La nature fêtée (Les Chemins de la Bohème), l'anticléricalisme (Gavotte Romaine), l'homme qui vieillit (La Garce) ?

Au plaisir de vous relire sur Forces Parallèles !

Le 27 Juin 2016 par YM

Plutôt haine de l'anglo-saxon que de "l'anglais", car Mormegil oublie que les Anglais de la guerre de succession de Bretagne sont les anglos-NORMANDS depuis Hastings, francophones et aux élites ignorants la langue "anglaise", alors que les Bretons constituaient le 1/3 de l'armée de Guillaume ayant vaincu Harold. les Bretons étaient donc revenus en Grande Bretagne et avaient même pris des terres en tant que nouveaux maîtres. Ceci dit, les Bretons s'étaient également réfugiés en Angleterre au moment des invasions nordiques, soit avant Hastings, mais chez des Chrétiens comme eux, car les Anglo-Saxons avaient été christianisés entre temps.
Donc, ce que dit l'AE est une généralisation, mais pas dénuée de fondement : depuis longtemps, on se méfie des anglais en Bretagne : guerres napoléoniennes, etc..., et c'est vrai que les événements de Mers El Kébir et les bombardements de 44 n'ont rien arrangé. match nul, donc, entre nos deux "bretteurs", le Brexit 'va pas arranger les choses, à mon avis !
Mais, au-delà, Mormegil, la Bretagne, c'est pas que le biniou, c'est aussi une entité socio-culturelle et historique. La musique, c'est bien joli, mais les nations sans Etat, ça existe aussi. Glenmor a eu le grand mérite de le souligner, lui qui ne jouait d'ailleurs pas de musique celtique, mot totalement galvaudé ! Politiquement, le Bretagne a aussi un rôle à jouer, et vouloir la limiter au soufflage de biniou, c'est aussi faire de la politique ! Si les outrances des nationalistes sont réelles, celles de l'autre camp, les jacobins primaires, ne sont pas en reste, qui nient tout particularisme breton, pour des raisons évidentes qui les ont conduit a vouloir l'étouffer, justement.
Dre chañs, n'int ket deuet a-benn c'hoazh : sans y parvenir encore tout à fait, malgré les dégâts commis, souvent irréparables, cons pas de quoi pavoiser, franchement.
L'album ? Un classique. Outrancier ? J'espère bien, car quelque fois, il faut savoir gueuler, encore que celui-ci est plutôt poétique, en fin de compte, célébration qu'il est de l'amitié et de la fidélité. Pour le corrosif, on écoutera la contre-marseillaise sur un autre albim du barde , sans biniou ni bombarde, mais bonjour la canonnade !

Le 27 Juin 2016 par MORMEGIL

Les anglais ennemis héréditaires des bretons depuis toujours ? Qu'est ce qu'il ne faut pas lire !
C'est, par exemple, balayer d'un revers de la main toute la période (assez complexe il est vrai) de la Guerre de Succession de Bretagne et ses conséquences. Guerre qui a vu une bonne partie des Bretons, derrière Jean de Montfort, s'allier aux... anglais. Et pas qu'un peu (on se rappellera du célèbre combat des trente). Et ce n'est pas le seul moment de leur histoire où les bretons vont s'allier aux anglais.

C'est tout le problème des nationalistes/indépendantistes bretons : ils tordent l'Histoire à leur convenance, portent des jugements totalement anachroniques, font fi du contexte. N'importe quel historien un tant soit peu honnête (et heureusement, il y en en Bretagne) pourra démonter point par point tout leur argumentaire. La Bretagne n'est pas la Corse (cette dernière ayant de très solides arguments pour justifier son désir d'indépendance).

Ca n'empêche pas de soutenir la culture bretonne et celtique, et notamment la musique. La Bretagne peu se vanter de cette richesse. Dommage que certains artistes tombent dans cette dérive de désinformation historique, du coup, cet album de Glenmor par exemple, ne pourra jamais m'attirer.

Le 26 Juin 2016 par ESKAPEESKAPE

Très bon album que nous sort Prince en 2014.

Plutôt mainstream avec tous les tics qui ont fait la renommée de Price: petits cris, belle basse, claviers romantiques, voix off féminines, virtuosité.

Les paroles sont assez ancrées sur le sexe comme souvent et on sent un petit rappel des débuts des années 80.

Il y a ici et là quelques parties RnB, rap et trip hop
Les compositions sont variées et les mix très réussis; la production est de bonne qualité.

L'album oscille comme souvent avec Prince entre une franche mélancolie (affirmation III) et la folie à peine retenue (Funknroll) mêlant arrangements bruts et simples aux envolées de violons et choeurs féminins.

Ce millésime est plaisant et de qualité; il démontre combien Prince a encore des choses à dire et toute la singularité de son oeuvre.

Chansons préférées très largement au dessus du lot:
Art Official Cage
Breakdown
Way Back Home
Affirmation III

Le 26 Juin 2016 par L'AE

Je confirme pour la haine des anglais.
Gamin, dans les années 70 , on évoquait encore avec grande émotion le drame de Mers-el-Kebir lors des repas de famille.
Cela couplé avec les bombardements des villes bretonnes, comprenez que nous n'aimons pas beaucoup les anglais, par ailleurs ennemis héréditaires des Bretons depuis toujours (enfin, depuis les invasions barbares, c'est déjà pas mal).

Le 26 Juin 2016 par L'AE

Youssou N’dour, Khaled, ou encore Ashley Maher aux côtés… des soeurs Goadec.... soit une musique métissée, ouverte sur le monde, bla bla bla... C'est bien joli tout ça, mais c'est où la Bretagne ? Je vous le laisse, celui là, et je reprends mon "reflets", en laissant Stivell à ses lubies.