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BON JOVI
NEW JERSEY


Le 18 Juillet 2013 par MR TINKERTRAIN


Entièrement d'accord avec Djinn. Il s'agit là d'un de mes premiers Bon Jovi et que ce soit la prod qui tue ou certains riffs et mélodies dantesques, on ne peut passer à coté de ce grand album de Hard US - Hard FM. Sur les 12 titres, il n'y en a qu'un qui m'insupporte totalement, c'est Bad Medicine, d'où ma note.





BON JOVI
NEW JERSEY


Le 18 Juillet 2013 par JEF DE LA LUNE


Bon Jovi...Groupe découvert et écouté au début de mon adolescence puis rejeté, pour passer à des choses plus extrêmes, avant que (par nostalgie) je me décide un jour à racheter ce New Jersey. Je ne suis pas un fan du beau Jon et de son band mais s'il n'y a qu'un seul album à sauver (avec le premier et Slippery) c'est bien ce très bon disque de Hard FM à l'atmosphère springsteeniene (le superbe "Blood On Blood" ou "Love For Sale") qui comporte une sacrée flopée de hits ("Lay Your Hands on Me", "Born To Be My Baby", "Living In Sin" ou la très bonne, avec son intro orientale, "I'll Be There For You") mais aussi des trucs plus lourdingues ("Bad Medicine"...). Un guide touristique musical convaincant pour découvrir le New Jersey.





LUSH
SPLIT


Le 17 Juillet 2013 par HSUL


Une chronique qui rend justice à ce superbe album assez méconnu ! Merci beaucoup.





BON JOVI
NEW JERSEY


Le 17 Juillet 2013 par DJINN


Le premier BON JOVI que j'ai écouté. C'était il y a plus de vingt ans et j'ai vraiment adoré.

Je ne vois vraiment pas comment on peut le trouver bâclé. Pour moi les compositions, tout en restant dans le style big rock, sont plus complexes, et toujours la bonne note est jouée au bon moment.
Pour un vrai fan de big rock US adapté aux stades et aux radios, cet album est du tout bon, un peu comparable à ce qu'a pu proposer DEF LEPPARD avec Hysteria.

Les puristes rock qui normalement n'aiment pas BON JOVI surnotent toujours un peu Slippery when wet pour suggérer que ce n'est pas une critique de principe. En mettant un truc du genre "c'est nul mais ça fonctionne". Ils valorisent toujours Keep the Faith, l'album de 92, qui justement n'est plus vraiment du big rock (et que je n'arrive toujours pas à écouter).
New Jersey est donc l'album qui va s'en prendre plein la gueule, parce que le hair metal c'est quand même la honte quand on y pense...





The ROLLING STONES
GOT LIVE IF YOU WANT IT!


Le 16 Juillet 2013 par RAMON


Quelle idée, je vous le demande, d'aller enregistrer en plein jour un disque au bout de la piste de décollage de l'aéroport d' Heathrow ?
Résultat des courses, on y entend parfois bien mieux les Boeings qui s'envolent que les musiciens !
Bon trêve de plaisanterie, voilà un album live maquillé comme une voiture volée, tant il a été refait post production, sauf qu'on peut légitimement se demander pourquoi on a laissé en l'état la partie vocale de Mick Jagger sur Time is on my side, tant il chante atrocement faux sur ce titre, peut-être s'agit-il d'une farce de l'ami Keith qui se sera arrangé pour glisser cette chanson juste avant le départ du disque au pressage ?
Entre bons copains, ce genre de chose arrive, isn't it ?
En 1966, il n'est pas rare que les concerts des Pierres n'aillent pas à leur terme, surtout en Europe, tant les fans garçons et filles confondus, agglutinés en une foule compacte se muent en une horde hystérique prête à tout saccager sur son passage pour approcher et même toucher leurs idoles au point de non seulement détruire les salles et le matériel mais également de mettre en péril la vie de ces mêmes idoles !
Déjà que dans les 60's, un concert normal n'excède pas les vingt minutes, une prestation des Stones se voit souvent interrompue dès le deuxième ou troisième titre et après, sauve qui peut ! Qui a parlé d'écouter de la musique ?
Voir les musiciens, oui, les approcher, leur hurler son amour, mieux sa dévotion, son idolâtrie même jusqu'à en pisser sur un siège qu'on ne va pas tarder à déchiqueter, atteindre l'orgasme, arriver au septième ciel en les touchant voilà le but non avoué mais suffisamment explicite de ces rendez-vous en public !
Sauf que tout cela alimente la petite histoire, remplit les gazettes,fait s'affronter les générations, mais ne fait pas un disque.
Sans compter qu'à l'extérieur, c'est encore l'émeute pour ceux qui n'ont pas obtenu leur ticket d'entrée et qui livrent une bataille rangée contre les forces de l'ordre.A chaque étape d'une tournée, son nombre de blessés, d'arrestations et sa facture liée au vandalisme, ce dernier point ayant pour (seul) avantage de faire grimper en flèche le PIB.
Pourtant et malgré tous ces défauts, ce Live (enfin, Live...) est attachant, tellement ancré dans les sixties qu'il possède un charme qui va bien au delà du best-of qu'il est censé être, et finalement il s'avère que l'on tient là un bon témoignage de la folie qui entourait les Rolling Stones, façon Biopic Hollywoodien tellement il a été refait et expurgé de ce qui n'entre pas vraiment dans le domaine de la musique mais que l'on perçoit à chaque décollage (enfin dès l'entame d'un morceau...), car le trafic entre Londres et le reste du Monde était intense au moment des différentes captations de ces chansons qui font depuis partie intégrante du patrimoine de l'humanité.





DAFT PUNK
HUMAN AFTER ALL


Le 16 Juillet 2013 par MAITRE KUROSAWA

Le pire album d'electro sorti à ce jour. Si Daft Punk ne s'apellait pas Daft Punk, la maquette de ce disque aurait fini au chiottes recouverte de la gerbe de n'importe quel producteur. 0/5





UNKLE
WHERE DID THE NIGHT FALL


Le 16 Juillet 2013 par MR TINKERTRAIN


Oui alors là c'est de l'abus... avoir trouvé ce skeud d'occaz à moins de 3 euros en edition limitée 2 CD sur un site de ministre du prix, sans faire de pub, est une vraie chance pour moi! Du Trip Hop, du bjork (ah non c'est pas elle), du Rock, des mélodies mortelles, des orchestrations ultimes, un nombre de zicos impressionnant et surtout un talent de composition énorme font de ce groupe un inclassable carrément addictif. A l'instar de groupes comme Porcupine Tree, The Gathering ou Nitin Sawnhey (world electro), Unkle mérite vraiment de passer sur les ondes sans être pour autant mainstream.





DAFT PUNK
HUMAN AFTER ALL


Le 16 Juillet 2013 par AZER


Chef-d'œuvre enfin réhabilité ! Rien à dire, merci RED ONE !





SEEFEEL
QUIQUE


Le 15 Juillet 2013 par SEGA


Aucun titre faible, aucune longueur, que des tueries. Non seulement c'est inclassable musicalement mais en plus c'est d'une qualité incroyable. Tu prends le très lumineux Industrious, le sub-aquatique Imperial, ou encore Signals plus nocturne et plus triste, c'est que des tueries.

A noter que, la version vynile (du moins celle que j'ai choppé) a un son très différent du CD, nottement en ce qui concerne les guitares: beaucoup plus paresseuses et distordues.
Cet album semble être devenu une rareté en vynil (j'ai du commander le mien au japon pour 70 balles, ça vaut le cout n'empeche...)






SEEFEEL
SEEFEEL


Le 15 Juillet 2013 par SEGA


Vraiment bien ce nouvel opus, pas aussi immédiat que leurs anciens albums. En plus d'être expérimental y'a un aspect très hermétique/robotique (les scratchs de platines et les bzzzz bzzz font penser à de l'élécriticité), j'ai du faire au moins 10-12 écoutes avant de vraiment aimer.
C'est une fois habitué, qu'on se rend compte que c'est pas seulement de l'expérimentation pour la recherche mais que tous les effets et les bzzz bzzz rendent la musique incroyablement envoutante.

Mention spéciale pour Rip run (grosse ligne de basse), Making et Airless (j'adore l'espece de tremolo sur la voix).






Johnny HALLYDAY
JOHNNY, REVIENS ! LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES


Le 15 Juillet 2013 par RAMON


@ BERTRAND
Que Johnny ait été l'objet d'une instrumentalisation en "haut lieu" à la période de l'ORTF, cela reste une option (très) plausible, il n'empêche qu'il suffit de se référer aux témoignages de premières mains de l'époque pour se rendre compte à quelle point lui et ses quelques petits camarades divisaient l'opinion et les générations.
Le mépris affiché à son encontre par tout ce comptait parmi l'élite musicale ou sociétale, n'est en rien une légende, pas plus que la ferveur tournant à l'émeute qui accompagnait ses déplacement.
Quant à écouter du rock Roumain ou Grec à l'époque, il y a comme un doute concernant un pays sous le joug de la dictature communiste et un autre en proie à une instabilité telle qu'il n'allait pas tarder à sombrer lui aussi dans l'autocratie.
Maintenant, il existe du rock chanté dans des tas de langues, sortons d'Europe et allons en Corée par exemple: Shin Jung-hyun totalement inconnu ailleurs que chez lui est une légende dans son pays, qui affiche plus de 70 balais à son compteur, un contemporain de Johnny donc et surtout un des dix guitaristes au monde à s'être fait remettre par la marque Fender une guitare en hommage à sa carrière.
Que faisait ce monsieur à ses débuts ? Il reprenait des standards du rock américain pour les militaires des bases US, implantées dans son pays et visiblement les GI's ont apprécié.
L'armée américaine ne s'est pas contentée d'apporter ses clopes et ses chewing gum partout où elle résidait, la musique faisait partie du package du soldat et la France n'a pas échappé au phénomène.
Alors ne méprisons pas trop vite le rock'n'roll repris par des barbares de tout poil destiné à être diffusée en version doublée pour les autochtones, ça a pu donner de bonnes comme de mauvaises chose en fonction des interprètes.
Dernier exemple, la musique des Beatles s'est diffusée à Cuba, via les orchestres de Salsa qui l'ont fait vivre dans ce pays soumis à la fois au blocus et à la censure.
Enfin, je persiste à affirmer que cet album est excellent, bien rock et bien hargneux, Joey Greco le guitariste américain qui accompagne Johnny y fait des étincelles que l'on entend pas forcément sur les versions originales que je connais et apprécie car beaucoup plus que de Johnny dont je n'aime que quelques disques déjà très anciens, je suis fan des Chuck, Gene, Jerry Lee et autre Eddie.
N'oublions pas non plus que Steve Marriott et Peter Frampton ont eux même participé aux reprises des titres du Pie figurant sur le millésime 69 de Johnny.
Dernière chose, il semble que les américains (qui ne savent plus quoi inventer, il est vrai) s'apprêtent à accueillir Johnny pour une vingtaine de dates dans des salles prestigieuses pour des shows rock'n'roll old school.
Bien à toi.





Johnny HALLYDAY
JOHNNY, REVIENS ! LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES


Le 15 Juillet 2013 par BERTRAND


Un véritable amateur préfèrera toujours les originaux, ce disque en est l'illustration.

La raison de l'existence médiatique de J.H fut tout simplement la volonté étatique de faire barrage au risque d'hégémonie de la langue anglaise du fait de l'explosion du R'nR dans la jeunesse de France de l'époque.

J.H fut donc l'instrument politique de ce que l'on appelle aujourd'hui la "francophonie" à une époque où la langue maternelle d'une partie non négligeable des "Français" n'était justement pas le français et où l'emprise de cette langue dans le quotidien était encore relativement faible, du moins encore fragile dans de nombreux points de l'hexagone (Alsace, Bretagne, Pays basque, "Occitanie"...).

Lorsque l'on sait cela, on comprend le ridicule qui découle l'audition de cette musique "adaptée", aujourd'hui plus que jamais... On a la réponse à la question : "comment cette horreur a-t-elle été possible ?".

N'importe quelle personne désirant découvrir le R'nRoll ira aux sources de cette musique. Vous iriez écouter du Rock en roumain ou en grec pour vous faire une idée de ce qu'était le R'nR au début des années 60 ?







The BEATLES
ABBEY ROAD


Le 13 Juillet 2013 par MENCLAY


Niveau qualité sonore, l'album n'a pas pris une ride. Pour l'époque, une prouesse.
L'album en lui même contient des petites : i want you, here comes the sun, because, something, sun king..
Varié, un chouia triste dans l'ensemble, un gens album. Pas a la hauteur de revolver pour moi, mais incontestablement un bon album





Johnny HALLYDAY
JOHNNY, REVIENS ! LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES


Le 13 Juillet 2013 par RAMON


Elvis est mort en partant à l'armée, mais comme par enchantement il a fait une brève réapparition en 1968, le temps de publier deux excellents disques.
Pour Johnny, c'est pareil, Johnny reviens... est son testament, tout comme "rivière..." est sa résurrection avant son ascension définitive vers des cieux d'où il n'est pas revenu. Ne croyez pas ceux qui disent l'avoir croisé en train de faire du shopping sur une île lointaine ou encore sur une moto au Nouveau Mexique, ce sont des affabulateurs qui font les intéressants...tiens l'autre jour un bon pote m'a dit qu'il était allé le voir en concert il y'a peu...quel farceur celui-là ! J'en ai encore les larmes aux yeux quand j'y pense.
Donc, il y'a fort longtemps, dans un royaume reculé qui ne connaissait pas le rock'n'roll (et ne le connaitrait toujours pas aux dernières nouvelles), sévissait un hors la loi,vilipendé par toute la bonne société musicale (Henri Salvador, vous connaissez ?) mais pas seulement, capable de mettre à sac le Golf Drouot en quelques minutes avant de ravager l'Olympia dans des délais aussi courts.
Comment ? Principalement en interprétant des titres du répertoire rock Américain, traduits pour l'occasion dans la langue de Molière, idiome antérieur au célèbre Ahqueu qu'un sosie a adopté pour singer son idole de jeunesse.
Des hordes de jeunes barbares cassent tout ce qui tombe sous leurs mains pendant ses concerts, les bagarres sont nombreuses malgré la maréchaussée qui veille, mais se voit vite débordée.
Ici, le jeune révolté sait que la partie sera bientôt perdue et que le peloton d'exécution l'attend, aussi il recrute un authentique desperado de la six cordes pour accomplir ses dernières razzias et entrer ainsi dans la légende à côté des frères James et le moins que l'on puisse dire est que la réussite est totale, tant l'apport de l'américain Joey Greco en tant que première gâchette fais du bien à un gang de musicos qui n'en demandait pas tant pour se lancer à l'abordage des masses et convertir toute une génération de jeunes écervelés à la cause de la musique de voyous, appellation donnée au rock'n'roll à l'époque.
Depuis,quelques uns ont fait le deuil de leur héros de jeunesse lâchement abattu par le business et la respectabilité mais il est également fréquent de croiser des types qui portent sur le torse l'effigie d'un gars qui lui ressemble physiquement, sauf que celui-là fréquente des lieux du type "le Fouquets un soir de fête pour ex-ministre de l'intérieur", confond Zazie et Zidane à la télé, explique son exil Suisse parce qu'il a déjà offert un porte-avion à la France en impôts cumulés (perso, j'aurai préféré des hopitaux ou des écoles, mais bon...), pousse la chansonnette en compagnie de Céline de Las Vegas et j'en passe des mûres et des pas vertes... donc rien à voir avec le type qui chante les rocks les plus terribles, vraiment rien.
Non rien.





DEPECHE MODE
ULTRA


Le 12 Juillet 2013 par MR TINKERTRAIN


Pourquoi Ultra est le meilleur album du groupe ? Simplement parce que c'est celui qui est le plus rock, le plus inspiré, pas forcément le plus sombre mais le plus "trippant". Et puis quand on ouvre ses oreilles on entend une vraie batterie et des instruments çà et là. Ca donne de la vraie bonne musique. N'est-ce pas les Daft Punk ? Un chef-d'oeuvre absolu tous styles confondus.





DEPECHE MODE
DELTA MACHINE


Le 12 Juillet 2013 par MR TINKERTRAIN


Qu'il est loin le temps des Music for the Masses, Songs of... et Ultra, les 3 meilleurs à mon avis du groupe. Ici peu d'entrain, inspiration sur 2 morceaux seulement, d'où ma note...





RENAISSANCE
TIME-LINE


Le 12 Juillet 2013 par POWERBEAUF


Cet album a été la honte de ma discothèque pendant des années avant que je parvienne à le fourguer sur un site de produits d'occasion ! Pas la peine de s'échiner à trouver des arguments pour sauver ce disque car c'est un ratage total (et c'est un fan des eighties qui le dit) : compositions totalement creuses et risibles, arrangements et sons de claviers complètement ringards, voix d'Annie Haslam sous-exploitée, j'en passe et des pires... Pour vous dire, j'ai toujours pensé que la chanson la moins catastrophique du disque ("Richard IX") aurait parfaitement convenu à CHANTAL GOYA !

Des disques de pop eighties potables, il y en a des centaines et des centaines. Celui-ci appartient à la catégorie encore plus bondée des navets.

Note réelle : 0,25/5, car au final, entre l'achat et la revente de cette bouse, j'ai quand même réussi à faire une petite plus-value !





MC5
KICK OUT THE JAMS


Le 11 Juillet 2013 par RAMON


L'art et donc le rock, qui est un de ses domaines, est parfois dangereux pour ceux qui le pratiquent parce qu'il fait flipper grave les autorités en alimentant leur paranoïa, même en Amérique, soit disant Terre de Liberté.
Voilà un Pays qui a fait embastiller le manager d'un groupe de rock, le dénommé John Sinclair pour un motif futile (possession de marijuana car la drogue, c'est mal...) et laisse le King se gaver de pilules entre Vegas et Graceland.
Le King, cela fait belle lurette qu'il n'effraie plus personne, c'est un bon garçon qui a fait l'armée et qui tourne des films pour mémères, son come back a donné deux grand disques, un Live l'autre en studio In Memphis, mais le colonel vient de siffler la fin de la récréation, le danger est (définitivement) écarté de ce côté là mais le FBI n'est pas pour autant en vacances.
On persécute Morisson, forcé de s'exiler (on sait la suite), pendant ce temps Detroit accouche de trublions déchainés qui marqueront la grande Histoire du Rock'n'Roll, j'ai nommé les Stooges et le MC5 qui balancent chacun leur côté des brûlots effrayants de sauvagerie, suffisamment sulfureux de la part des seconds cités pour déclencher en loucedé une nouvelle chasse aux sorcières.
D'autant que contrairement aux disques du gang d'Iggy, l'album se vend très correctement. En pleine guerre du Vietnam, on n'hésite pas à réprimer (parfois dans le sang, faut-il le rappeler?) les manifestions étudiantes alors pas question de laisser s'accroître la popularité d'un groupe de jeunes drogués déjantés qui agit sous la férule d'un manager crypto-marxiste fondateur des white panthers, alliés objectifs des révoltés afro américains.
Mais le MC5 a eu tout même le temps de pondre cet album live, produit par Jac Holzman et Bruce Botnick (tiens, tiens...), ce truc démentiel qui contient Kick out the Jams, titre emblématique et révolutionnaire, repris depuis par Blue Öyster Cult, Jeff Buckley ou Rage Against The Machine, un hymne.
John Sinclair y gagne le droit de passer par la case prison et le groupe se désagrège après avoir sorti un deuxième album bien plus recommandable que ce qu'en dit la Kro suivante, mais se voit dédier une chanson qui figure sur l'album Sometimes in New York City de John Lennon...ça tombe bien, ce dernier est le suivant sur la liste des personnalités à surveiller de très près par le FBI...
Liberté, j'écris ton Nom.






DAFT PUNK
RANDOM ACCESS MEMORIES


Le 10 Juillet 2013 par ANGEL D


Un seul commentaire pour ce qui est sûrement un si ce n'est le meilleur album de l'année ?
Quand on vous dit que c'est la crise ...

Franchement, qu'est ce qu'on peut lui reprocher à ce "random access memories " ?
On peut lui reprocher sa promo abusive et d'avoir mis du temps à sortir... ça c'est clair.

Mais musicalement, où est le souci ?

On à reprocher à « daft punk » l'utilisation des vocoders, c'est un peu comme si on demandait à iron maiden d’arrêter de jouer des solos de guitare ,,,

On à reprocher à daft punk d'avoir écrémé leur son , quel artistes n'a pas un jour fait un album plus soft que les autres ?

Bon, par contre musicalement, c'est du daft punk et l'album est assimilé trop rapidement, ce qui peut sembler un peu dommage par moment.
Mais, encore une fois, c'est ça daft punk.

Et cette matière accessible va faire justement qu'on à quand même très souvent envie d'y revenir, donc on l'écoute à plein régime ce nouveau daft punk tant l'album est addictif (à noter qu'il porte bien son nom ce disque) .

L'apport de véritable instruments apporte un peu de neuf au son de daft punk, surtout qu'il ne sont pas allez chercher les premiers zicos venus (Nile rodgers, Omar Hakim, Nathan East, Giorgio Moroder ,,, la liste est longue).
Musicalement, je ne trouve pas qu'on soit à des année lumières de « discovery », et qu'il y a une continuité avec les albums précédents.

Des titres comme "the game of love ", " motherboard " ou encore " beyond " sont proches des "veridis quo "ou autre "something about us ".

On peut même voir dans ce même " beyond ", ou alors dans " contact " ou " touch " un parallèle au sonorité de la B.O du film « tron ».

Le groupe avait également prévenu que le disque serait plus lumineux, plus tendre que les précédents, qu'on aurait du nostalgique et qu'il y aurait une « vibes » west coast à l'ancienne.
Personne n'a été pris en traître et Daft punk à réussi son pari.

Il y a de tout dans ce disque, superbement produit, très très loin du son sursaturée et pauvres des productions actuel...
Il faut bien insisté la dessus.

Maintenant, parlons un peu des titres.

Il suffit d'écouter « giorgio by moroder », et ses 9 minutes de bonheur,
L'histoire de l'électronique, en passant par le disco, le jazz rock et les débuts du hip hop ?
Écoutez les breaks, les orchestrations, le final avec la batterie et les giclées de guitares ?
Qui peut dire que c'est de la merde ?

Pareil pour « motherboard »,
Titre atmosphérique d'envergure avec un sens du rythme hallucinent, les percussions sont d'une précision à tomber.
Après cela, vous êtes sur qu'il ne savent pu faire de l'instrumental les gars ?

« instant crush » nous ramène à une fusion entre le rock et l’électronique tout juste parfaite.
Le riff nous fait penser à du « alan parsons project », le chant est mélancolique mais personne n'attendais ce petit solo harmonisé ...


« fragment of time », c'est la pop qu'on aime.
Daft punk nous la joue fleetwood mac et il est difficile de résister à un titre aussi lumineux, solo de piano électrique de grande classe.

"the game of love" sorte de ballade avec un groove qui se veut proche de ce que Michael jackson fesait avec Quincy Jones.
Ca fonctionne très bien et on aimera en voir plus souvent des ballades comme ça aujourd'hui, là ou on se contente souvent de sortir toujours la même boucle de piano et nous gavés d'effets un peu partout pour masquer la pauvreté musicales...

"doin't right ", minimaliste comme à l'époque d'homework avec un chant façon beach boys par moments.

Et les cocottes de guitare de Rodgers sur les funky "get lucky", un des titres les plus enjoué du disque..ou encore le plus robotique "loose yourself to dance".

On pourrait parle aussi du symphoniques et progressif « touch » avec la superbe voix de Paul Williams mais je ne vais pas tous citer les titres...

Comme tous les disques long (75 minutes), il y a un petit coté hétérogène" quelques titres sont un peu moins dispensables mais il n 'y a rien a jeter.
Chaque titre à du potentiel et l'album mérite bien un petit 5 étoiles pour ma part au vue du boulot réalisé.












The STOOGES
READY TO DIE


Le 09 Juillet 2013 par MR. AMEFORGEE


Après avoir lu la chronique, je m'attendais au pire, mais finalement, je suis agréablement surpris. Je ne crois pas qu'on puisse reprocher aux vieux rockeurs de ne plus avoir la hargne de leur jeunesse. L'auraient-ils gardée qu'ils seraient morts depuis longtemps.
Cela dit, même si les guitares ne sont plus dissonantes et sursaturées, elles savent encore envoyer du bois. Et surtout, les morceaux sont funs. Là où The Weirdness se montrait plutôt rugueux, mais surtout laborieux, ici on a le droit à de l'accroche et du mordant. Du bon rock qui tache, qui sait encore en remontrer aux jeunes godelureaux.







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