Le 27 Août 2013 par AMBULATORY ABE

Je voudrais faire remarquer qu'un live de techno ou d'electro se fait général sans coupure. C'est essentiellement les beats et les mélodies (samples) de toutes les musiques groupe qui s’enchaînent au fur et à mesure. On peut pas vraiment comparer ça à un live de rock, dans notre cas c'est les variations le mix (moins de basses et plus de basses d'un coup pour faire bouger par ex.) et les enchaînements plus ou moins réussis entre les morceaux que l'on doit juger, moins que interprétation.

Du "Robot Rock" en quelque sorte.

Le 26 Août 2013 par THIERRY RAOULT

Je ne connais que Sara. Quelle merveilleuse chanson. Et QUELLE VOIX.

Je viens de regarder une vidéo de Stevie Nicks chantant Sara en 2008, et la voix est toujours là. INCROYABLE. MAGNIFIQUE.

Un jour, j'écouterai cet album, par curiosité.

Le 26 Août 2013 par BLEIZY

@ Powerbeauf. Tu as raison. Il faut s'y connaître en vieux Blues pour déceler les emprunts de LED ZEP'.
Mais, depuis internet, tous les éléments sont facilement à portée, relayés, vérifiables et écoutables. Page s'en serait-il douté à l'époque. Bien sûr que non. Conmptait-il sur le "pas vu, pas pris" ?
Lorsque l'on connait l'ampleur des dits emprunts (surtout sur les 4 premiers albums) on ne peut que sourire lorsque l'on entend crier au plagiat de ce groupe qui a lui même beaucoup "pompé", surtout le Blues noir... qu'il a néanmoins "blanchi" et électrifié pour en faire une entité originale, ce qui n'est effectivement pas le cas de KINGDOM COME, j'en conviens tout à fait.
Amitiés virtuelles.

Le 26 Août 2013 par CHRISP

Bizarrement le Shoegaze ne m'avait jamais attiré, je n'avais jamais voulu "franchir le pas", mais devant la recrudescence des chroniques ces derniers temps, je me suis finalement lancé, bien m'en a pris ...

Cette album est une perle, une fois le mur de son apprivoisé, il ne reste que le plaisir.

"My Dreaming Hill", "A Silent Tide", "Make Me Dream" et "Wish" sont construit sur le même modèle, une couche de bruit qui enveloppe le tout, comme un cocon. La voix du chanteur, presque imperceptible derrière les guitares qui se plaignent, rassure, il y a donc bien des hommes derrière tout ça.

Les ambiances développées peuvent être tour à tour inquiétante, "Moonset", le saxophone (?) se veut l'écho d'une voie déchirée, ou bien mélancolique sur "The Season Is Ours".

Grand fan de Krautrock devant l'éternel, comment ne pas parler des deux rêveries que sont "Popol Vuh" (Les chroniques ! Les chroniques !), deux envolées de Space Rock. Pour être précis plus que du Popol Vuh, c'est à du Ash Ra Tempel deuxième face qu'elles me font penser. Sauf sur "Moonset" où les percussions et la construction de la chanson ressemble à "Train Through Time" du groupe de Florian Fricke sur Affenstunde. (Enfin, ça c'est un avis purement personnel)

Bref merci Seijitsu, en ce moment "The Telescopes", "Swervedriver", "MBV" et celui ci donc, tourne en boucle à la maison !

Le 25 Août 2013 par KORAMA

Cette compilation est une bombe. Un must have.

Le 24 Août 2013 par SAGA 03

Autant le dire tout de suite, je ne suis pas amateur de Pop quelque soit sa filiation (Dance, Rock, acidulée, sucrée...). Toutefois Gaga, ne cesse de m'intriguer, tant elle semble capable du meilleur comme du pire souvent au sein d'un même titre.

C'est encore le cas sur ce titre, où l'on trouvera pour les points positifs un travail harmonique toujours intéressant (par la superposition de certaines parties chantées) et bien mené, et une intention de progression dans le déroulement du titre. Malheureusement, le titre souffre clairement de sa construction: le refrain lors de sa première et sa seconde présentation casse complétement le rythme du titre, le titre compte ainsi 3 à 4 breaks pour une durée de 3 minutes. Un rythme instable donc, et logiquement la conclusion qui siérait parfaitement à un course de vitesse donne à ces embardées l'aspect d'un gros pétard mouillé. Quant à savoir si l'instabilité du titre tient à la faiblesse du propos musicale, si l'autocélébration du texte est le signe que la Lady n'a plus tout à fait les pieds sur Terre, c'est une autre histoire...

En vérité, la seule question dont j'aimerais avoir la réponse, c'est de savoir ce qu'est devenue Stéphanie depuis le premier album. Est-elle toujours là, s'offusquant des choix effectués par son alter ego commercial, ou bien Gaga l'a t-elle dévoré et digéré, devenant un monstre artistique libre sans aucun recul ?
Stéphanie si tu m'entends, enregistre un album piano-voix, tu verras que des gens t'aimerons pour ce que tu es. Probablement moins certes, mais ils ne seront pas attirés par la blondasse délurée.

Le 23 Août 2013 par LE OUISTITI

Et les Dieux du Metal savent pourtant combien j'attendais beaucoup de cet album...
Ben les Dieux ont été plus que vachards avec moi, diantre quelle merdasse de disque que cela, du tout mou tout miteux, du Geoff Tate en vol libre et toute la fine équipe enfermée dans les chiottes à jouer au trombone en soutien... Un massacre musical doublé d'un suicide artistique, belle prouesse.

Les événements récents semblent en effet démontrer que le divorce était plus que souhaitable...

Le 23 Août 2013 par RAMON

Dans le style, on peut dire que Katie Melua a eu bien plus de chance que Jenny Morris, chanteuse Australienne oubliée depuis longtemps.
Pourquoi ?
Mystère et boule de gomme, de toute façon on s'en tape.
La dame est certes dotée d'une voix pas inintéressante, mais nous propose un produit tellement lisse que l'on a du mal à accrocher à quoi que ce soit avant le sixième titre, le judicieusement intitulé Spider's Web composé par ses soins, prouvant au passage qu'elle aurait eu tout à gagner à se débarrasser de son pygmalion de producteur, j'ai nommé l'encombrant Mike Batt.
On relèvera tout de même la bonne reprise du "On the road, again" de Canned Heat en version Boogie/Swing et on remarquera aussi la nettement plus anecdotique relecture du "Just like Heaven" de Cure.
Au final après une écoute polie de la chose, on appuiera sur la touche eject de son lecteur lorsque les dernières notes de "I do believe in love" se seront évanouies, on appréciera une fois de plus le joli minois de la dame en rangeant le disque dans son emballage, puis on passera à autre chose.

Le 23 Août 2013 par STEELMONKEY

Red One:

Tu es encore plus True que moi :D

Sinon j'aime bien ton style d'écriture, très fluide et toujours centré sur la musique même dans un cas si difficile comme ici où la musique est d'une nullité crasse.

Le 22 Août 2013 par POWERBEAUF

@ Bleizy

Le problème n'est pas compliqué : seuls les connaisseurs avertis du blues connaissent par coeur les oeuvres plagiées par LED ZEPPELIN, et je ne fais pas partie de ce petit cercle. L'écoute des albums du Dirigeable ne me pose donc aucun problème, d'autant que je ne raffole pas de leur 3 premiers albums (surtout le II et le III). En revanche, étant bon connaisseur de la musique du quatuor, j'éprouve de la gêne lorsque j'écoute des oeuvres qui les copient de trop près. C'est aussi simple que ça... J'ai horreur d'écouter un groupe en ayant l'impression d'en écouter un autre. Mais tu as raison : "Kingdom Come" est un très bon album malgré tout

Le 22 Août 2013 par BLEIZY

Un must.
Plagier LED ZEPPELIN ? Quel problème ? LED ZEP' est lui même un groupe dont les plagiats font aujourd'hui autorité en la matière, alors... quel problème ?

Le 22 Août 2013 par RED ONE

@ STEELMONKEY :

Oui mais moi je suis un "true" : je ne considère comme "canon" que les quatre premiers albums... (ah ah ah, c'est une blague évidemment)

Au passage, je n'aime pas les derniers albums, ça part un peu en n'importe quoi avec des Schtroumpfs bébés et des personnages inutiles. Et je ne parle pas non plus des albums récents non dessinés par Peyo, c'est encore pire...

Le 22 Août 2013 par STEELMONKEY

Entièrement d'accord sur la musique par contre il y a bien 105 Schtroumpf et non 99. Il y en avait 99 à l'origine puis il y a eu la création du Schtroumpf "reflet de miroir" lors d'un orage, puis Gargamel fit la Schtroumpfette. Ensuite il faut rajouter Sassette, le Schtroumpf sauvage, le Vieux-Vieux Schtroumpf et le Bébé Schtroumpf. Voir même pour le 106, le Schtroumpf-robot qui fait de la bonne sousoupe de Salsepareille.

Un admirateur de Peyo devant l'éternel.

Le 21 Août 2013 par ACéTONE

@RAMON, RED ONE
Tout compte fait je me suis écouté un bout de compile des BB sur youtube, et je pense sérieusement m'y mettre :) !

C'est juste que je crois que je n'avais jamais entendu de plagiat aussi marqué, ce qui m'a déçu, mais bon comme vous dites ce n'est finalement pas dramatique !

Le 20 Août 2013 par KORAMA

Disque sans grand intérêt autre qu'historique. L'acte de naissance du meilleur groupe de pop des 90's qui saura, durant sa courte carrière, proposer une discographie aventureuse et un quasi sans faute (sur album et sur EP, qui plus est...)

Le 20 Août 2013 par RAMON

@ Acétone
Tout à fait d'accord avec RED ONE, pour la petite histoire John Lennon eut plus de soucis avec son Come Together largement inspiré par You Can't Catch Me du grand Chuck, non pas à cause de Berry mais de son Manager; du coup Lennon organisa un festival à Toronto où il invita les Stars du rock'n'roll (donc Chuck Berry) à se produire et s'engagea à reprendre sur album deux titres du maître dont You can't catch me, ce qu'il fit six ans plus tard sur l'album Rock'n'Roll.

Le 20 Août 2013 par RED ONE

@ ACETONE :

Bah ça n'est pas trop grave, les Garçons de la Plage restent un excellent groupe à la discographie passionnante, et dans le monde du rock c'est bien connu que "rien ne se crée, tout se transforme"...

Perso ce plagiat ne me choque pas trop, d'autant plus que le titre de Chuck Berry reste un classique indémodable qui n'a pas été vraiment occulté par le tube des Beach Boys...

Le 20 Août 2013 par ACéTONE

Terriblement flagrant et choquant ce plagiat Erwin effectivement, je viens juste de l'apprendre via ta chronique !

Surfin' Usa était le seul titre que je connaissais des BB, il me donnait envie de me pencher sur leur disco (via cet album), mais je ne sais même plus si j'en ai envie...

Le 20 Août 2013 par AZER

Personnellement je pense que Justin ici présent et bon nombre de ses acolytes méritent de brûler en enfer, tout simplement parce qu'elle prennent la masse (et nous avec) pour des gros cons. Tout du moins leurs majors, qui par de subtils (ou aussi délicats qu'une accolade avec un éléphant, cf. la pachydermique promotion de #willpower, toujours d'actualité, et ce p*ut@in de "#" en est la preuve) moyens marketing qui vont vendre une image d'un artiste ( le tweeter de rihanna est entretenu par un communauty manager qui simule un "artiste" expiant son "mal-être" et surtout ses envies sexuelles via tweet, histoire de renforcer l'image sulfureuse qu'elle entretient, et ça n'est qu'un exemple) afin de vendre de la musique fade, mais la masse accrochera au visuel du clip proposé, et à l'image exercée par l'artiste, l'album acheté pourrait être rempli de reprises de CRAZY FROG qu'elle n'y prêterait pas attention. Le réel boulot des stars MTV se situe hors du studio, de toute façon on leur écrit toutes leurs chansons. Leur taff est de jouer leurs rôles de star dictés par la section marketing de leur major.
Donc bon, pas de note car je n'ai pas véritablement écouté l'album, juste certains "hits" dudit TIMBERLOOSE, qui sentaient la soupe industrielle du supermarché à plein nez, donc je m'abstiendrai de donner mon avis sans avoir expérimenté la chose, quoique je ne me fasse que peu d'illusions.

Le 19 Août 2013 par POWERBEAUF

Dans l'absolu, cet album est excellent et vaut largement 4/5 et peut-être même un peu plus. Le problème de ce disque est archi-connu : que Lenny Wolf ait une voix très proche de celle de Robert Plant, c'est ainsi ; qu'il ait les mêmes tics vocaux, c'est ballot (et un peu suspect) ; mais qu'il compose de nombreux titres faisant immédiatement penser au Dirigeable (avec des clins d'oeil appuyés), cela devient vite gênant. Wolf ne plagie pas vraiment LED ZEPPELIN (au sens "juridique" du terme), mais la ressemblance avec ce groupe mythique est telle qu'elle me gâche le plaisir à chaque écoute. Au moins cet album démontre-t-il que la musique de Page et Cie était parfaitement soluble dans le hard US typique de la fin des '80s.

En revanche, "Kingdom Come" contient bel et bien un cas de plagiat, mais là on ne l'attend pas : "Shout it out" est une pompe éhontée d'"Another Hit and Run" de... DEF LEPPARD (album "High and Dry" de 1981), groupe qui squattait le sommet du Billboard (et des charts du monde entier, à part la France) en 1987-88 ! Pas de doute, le sieur WOLF était prêt à tout pour cartonner...