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JENIFER
MA DéCLARATION


Le 21 Juin 2013 par KADRIC


Très bonne chronique! Sans compter le fait qu'elle n'ai pas demandé d'autorisation à France Gall (et non ma chère Jenifer elle n'est pas morte...), elle a sérieusement pompé la pochette sur le dernier album de Norah Jones, Little Broken Hearts, qui lui, pour le coup, est sensiblement meilleur...





JENIFER
MA DéCLARATION


Le 21 Juin 2013 par RAMON

Mouais...Si ce n'est que pour pratiquer le Frisbee, autant utiliser les vinyles originaux publiés par France Gall ne serait-ce que pour des questions de dimension et de matériau.
Déjà pour attraper un CD volant, mieux vaut être équipé de solides protections, mais ce n'est pas tout étant donné que l'essentiel de la musique vendue se télécharge, il me paraît compliqué d'utiliser un support immatériel pour promouvoir le sport en question.
Sinon l'intérêt musical de la chose, comparable à celui de "génération Goldman", ne fait que dévoiler l'état de déliquescence dans lequel est plongé la variété française en revenant aux sources de sa médiocrité.
Bah oui...Berger a dominé le marché aussi tout ce petit monde a voulu obtenir sa signature, puis ce fut au tour de Goldman ensuite d'Obispo, tout les disques ont le même son et les interprètes sont interchangeables, alors qu'aujourd'hui Jenifer surfe sur ce à quoi elle a biberonné n'a rien d'étonnant, ç'aurait pu être Chimène ou encore un autre clone,cela n'a aucune importance.
Il se dit que Miss France a mal pris cette initiative au moment où elle souhaite produire un spectacle basée sur ces chansons, franchement je ne sais si elle est sincère et par ailleurs je m'en fous, mais quelque chose me dit qu'elle n'en n'aura pas fini avec les hommages intempestifs avant longtemps, surtout que le business qui ne la dérangeait pas plus que cela quand elle en a profité est toujours peuplé des mêmes gros requins qui furent autrefois ses compagnons pour les affaires.





BLACK SABBATH
BORN AGAIN


Le 20 Juin 2013 par FREDJ


La chronique résume bien le contexte et mon avis global sur l'album,
Les titres sont bons, très bons même ! Trashed joue bien son rôle d'ouverture et le riff de Zero the hero m'est rentré dans la tête et n'en est jamais ressorti !
Par contre... Mais qu'est ce que viens foutre ian gillan la dedans sans déconner ?!! Certes c'est un excellent chanteur mais l'univers de Black Sabbath ne lui est pas familier et ça se ressent.
Et puis le son de l'album est particulièrement dégueulasse, il a particulièrement mal vieilli.
Un curieux album mais parfaitement cohérent dans la discographie de Black Sabbath !





JENIFER
MA DéCLARATION


Le 20 Juin 2013 par PUPURE


5 lignes sur le cd, le reste sur le frisbee. Ok moi ça me fait marrer parce que c'est vrai qu'il n'y a rien d'autre à dire. C'est plat, formaté, voix horrible et finalement totalement inutile...





PLACEBO
MEDS


Le 19 Juin 2013 par RAMON


Le véritable enseignement que l'on puisse tirer de cet album, c'est qu'au bout du compte, Placebo porte remarquablement bien son patronyme.
Molko & consorts ne reviennent que pour relever les compteurs, et la démonstration éclatante de cet état de fait sera donnée pendant la tournée promotionnelle qui suivra la sortie de cet album ô combien décevant.
En même temps black Market music et Sleeping with Ghost étaient déjà passablement mauvais.
C'était déjà évident pour le premier cité dès sa sortie alors que le second faisait illusion avant que l'oeuvre impitoyable du temps ne le mette hors jeu assez rapidement.
Molko veut passer pour un type sulfureux, une sorte d'icône du rock comme au bon vieux temps et met plus d'énergie à s'offusquer de la parution de photos le dévoilant en bon père de famille accompagné par femme et enfant en poussette, qu'à écrire de bonnes chansons capables de tenir la route plus longtemps qu'un été.
Après un tel état de lieux, on se dit que le bonhomme a quand même bénéficié d'une mansuétude générale peu répandue pour se permettre d'éviter la foudre aussi longtemps. Moi-même j'avais espéré...mais non, ce disque est pénible d'un bout à l'autre, presque aussi prétentieux que Black market et encore plus lénifiant que Sleeping.
Confirmation en live donc, où Brian Molko et ses deux seconds couteaux font la gueule, omettent de présenter les deux musiciens additionnels qui font de leur mieux pour éviter que le bateau déjà à la dérive, ne sombre tragiquement sous les yeux d'une foule qui ne demandait qu'à s'embraser et qui repartira la queue basse.
On aurait aimé que l'homme à la voix de canard soit un type vraiment inspiré en mesure d'apporter sa pierre à l'édifice sacré et exigent de la Pop, on y a cru,un peu trop longtemps même, car en fin de compte on a eu affaire à un roublard qui a fini par gâcher son peu de talent enfermé dans un paraître destructeur, au lieu de suer sang et eau par amour pour la musique.





MAGNUM
ON THE 13TH DAY


Le 19 Juin 2013 par VANNOORD


Au fil du temps et avec la sortie d'albums d'un très haut niveau, MAGNUM est devenu l'un de mes groupes préférés, et Dieu sait si pourtant j'écoute beaucoup de disques....Ca commence très fort avec un "all the dreamers" au riff lourd et lancinant typique du groupe, c'est-à-dire du genre très accrocheur, très mélodique et qu'on retient sans peine. Un enchantement !
Le reste du disque est du même acabit, souvent sur la même construction, introduction courte et enchainement par la guitare et une basse souvent lourde, accompagnés par une batterie bien audible, et un clavier qui intervient toujours à propos sans phagocyter les morceaux. Plaquez la voix de CATLEY là-dessus et tout cela donne un ensemble très cohérent et très agréable à écouter quand on aime le genre. Cela se finit par un "from within" avec des chœurs à tomber par terre qui donne envie de se bouger "grave". Mes jambes s'agitent encore...
Le plus agréable dans les disques du groupe est une recherche mélodique permanente par Tony CLARKIN, qui compose la quasi-totalité des morceaux, doublée de riffs bien trempés, et "on the thirteenth day" ne fait pas exception à la règle. Finalement, je crois que ce qui qualifie le mieux le groupe sont les mots mélodie et qualité.
Franchement, je ne vois rien à critiquer dans cet album...Il m'arrive très très souvent de sauter un ou deux morceaux dans les albums que j'écoute; là, j'écoute toutes les plages attentivement. Et je ne le regrette pas.
Un des 3 ou 4 disques de l'année pour moi.





BON JOVI
BON JOVI


Le 19 Juin 2013 par RAMON


C'est donc avec cet objet que tout a commencé.
Un pote déboule chez toi, on met la K7 dans la platine et roule ma poule.
Déjà Runaway...la chronique décrit assez bien l'effet que procure ce titre et tout ce qui suit, mais ce titre là en plein âge d'or du Rock FM, c'est l'assurance que le garçon qui a donné son nom au groupe possède déjà la ligne de force qu'il entend donner à sa carrière.
Billy Squier, Aldo Nova sont déjà sur les ondes US et il entend bien les supplanter à terme.
je veux bien que le beau gosse soit un fan du Boss du New Jersey, plus de celui du flamboyant Born To Run que du parfois très sombre The River d'ailleurs, mais pour suivre Bruce il faut faire preuve d'une intégrité un poil trop embarrassante quand on souhaite à tout prix truster le sommet des charts, version singles notamment.
Des singles potentiels, on en ramasse à la pelle sur ce millésime 1984, citons outre Runnaway, She don't know me, Shot Throught the Heart et Burning for love, tous plus près des chimères ou préoccupations adolescentes que d'un quelconque regard posé sur la société. That's Entertainment, nothing more, diraient les américains, et donc pourquoi pas, Kiss après tout ce n'est que cela aussi.
En 1984, cela passe d'ailleurs fort bien mais quand on voit le groupe interpréter l'album en première partie de Kiss justement, on n'est pas non plus forcément bouleversé par ce que l'on entend, malgré les cabotinages de son leader.
Richie Sambora (peu charismatique ? j'ai vu plus effacé mais bon...) est vraiment un excellent guitariste et c'est lui qui fait passer le Donut bourré de gras et de sucre cuisiné par Jon.
Un gros malin le Jon, on ne peut le lui retirer; un type capable de faire perdurer une formule passablement sujette à péremption rapide à base de textes (souvent) idiots et de mélodies pas mal racoleuses sur fond de testostérone en accords de puissance.
Après il faut quand même afficher un goût prononcé pour la variété américaine pour espérer aller au delà des quelques titres bien foutus que l'on retrouve ça et là sur les albums de Bon Jovi, Wanted Dead or Alive figurant sur Slipperry restant le sommet du groupe.
L'album suivant (qui se vendra mieux), affichait de belles intentions notamment dans sa première moitié, sauf que le reste était vraiment insipide et même horripilant par instants.
Ce premier effort possède déjà tout l'arsenal de ce qu'est le rock de contre façon, tout est "fake" dès l'attaque des synthés de Runaway jusqu'au refrain bourrin de Get Ready, on imagine même le cahier des charges soumis aux musiciens, ingés sons et producteurs, destiné à être respecté à la virgule près sous peine de rupture unilatérale et immédiate de contrat sans les indemnités normalement adossées à ce type d'action.
Sauf que le Big Boss n'est pas tapis dans le bureau d'un lointain conglomérat éditeur de disques à destination des masses, mais bien sur le devant de la scène
avec son micro dans la pogne.
Toute la question étant de savoir si la musique de synthèse est meilleure quand elle est industrielle ou bien artisanale.
Au moins avec ce premier disque est-on en droit de choisir la deuxième voie.
note 2,5





FOXY SHAZAM
THE CHURCH OF ROCK AND ROLL


Le 19 Juin 2013 par MOONDREAMER


Je retombe un peu par hasard sur cet excellent album qui semble en bonne voie de se payer le luxe de bien viellir...

Nally a quand même un talent fou, un charisme et une voix incroyable. Il porte presque à lui tout seul cette église, ce temple du rock qui mérite bien plus que de rester confiné à un fade clone de Queen. Foxy Shazam a une (holy) touche très spécifique et une identité forte, chose d'ailleurs bien rare pour un groupe aussi jeune.

Papy Soulforged, à quand les chroniques des autres albums du trublion et de sa bande ?





BLACK SABBATH
13


Le 19 Juin 2013 par THIERRY

Le voilà le tant attendu dernier album de BLACK SABBATH.

L'événement Métal de cette année est pour moi impossible à noter. C'est ni bon ni mauvais mais surtout ce retour est franchement triste.

D'abord, les difficultés rencontrées par le groupe à savoir l'éviction de Bill Ward, le cancer de tony Iommi, l'épave humaine qu'est devenu ozzy à cause de ses excès passés et présents et la mort de DIO qu'on ne peut écarter...il y a comme un goût de quelque chose qui se termine, qu'on est arrivé au bout du chemin avec eux. Cette aventure sent la mort à plein nez.

Ce sentiment est renforcé par ce nouveau et dernier chapitre. La nostalgie est omniprésente et je n'aime pas la nostalgie, les retours en arrière forcés comme c'est le cas ici à quelque chose de pathétique, les plans de certains morceaux glorieux du passé disséminés un peu partout sur l'album n'a absolument rien d'attrayant, Ozzy n'a plus de voix, heureusement qu'il existe des moyens techniques pour la rendre potable, tony nous sort certains riffs indignes de sa légende particulièrement celui de "loner", la magie n'est pas là bien que l'album ne soit pas mauvais en soit mais il est impossible de retrouver les sensations, la flamme d'autrefois et BLACK SABBATH ne déroge pas à la règle . Morceaux passables parfois bons mais aucun n'ont l'impact des morceaux des 70's et ce parfum de nostalgie n'arrange pas les choses.

Un album qu'on oubliera vite je crois. BLACK SABBATH nous annonce sa mort prochaine et cet album est un adieu.





BLACK SABBATH
13


Le 19 Juin 2013 par LE STO


Un album assez solide d'un groupe malgré tout important dans l'histoire du métal. Un retour qui fait du bien même si on aurait pu vivre sans.





Chucho VALDES
BORDER FREE


Le 19 Juin 2013 par GUS


Chucho Valdes a toujours été plus accompagnateur qu'innovateur. Mais ne soyons pas mesquin, Chucho à ses débuts, même avec peu d’originalité, même avec des musiciens pas exceptionnels était un bon Jazzman.

Mais ça c'était avant.

1/5





Michiru YAMANE
CASTLEVANIA SYMPHONY OF THE NIGHT OST


Le 18 Juin 2013 par RICHTER


Super !!! Il y a encore peu d’OST, mais il y en a une qui compte ENORMEMENT : SOTN

Précisé par Julien, il faut bien se dire que le jeu n’a pas été descendu par la critique, bien au contraire ! Je me souviens (et c’est dire si cet épisode m’a marqué) d’un 7/10 sur PS magazine officiel, idem sur Joypad et d’une 92% sur Consoles+…

La critique récurrente était de voir un jeu 2D, certes beau, mais en 2D alors que la mode était à la 3D. Moi-même je succombais aux charmes tridimensionnels d’une certaine aristocrate anglaise à ce moment-là….
GRAVE erreur ! C’était passé à côté d’un jeu à la profondeur et au gameplay fondateur et super efficace. Et la durée de vie était bonne… Bref….

Ici, la musique donc…. Encore une fois, pour comprendre pourquoi cette OST peut se targuer d’être culte, il faut se placer dans le contexte vidéo ludique de l’époque.

Nous sommes en 1997 et, donc au « début-millieu » de l’ère PS one. Concrètement, cette console se démocratise grâce, notamment à FFVII. En matière de musique, l’idée collective, ce sont des sons midi de consoles 16bits dont Uematsu aura fait cracher trip et boyaux pour nous pondre un miracle d’OST qu’est celle de FFVI…

Bien sûr, il y aura eu Soulblade, Wipeout, avant, mais globalement on entend les ziques de JV comme une suite répétitive de son type Bontempi. D’ailleurs, pour prendre en exemple. FFVII sort ici en Eurpoe +/- au même moment, et malgré la qualité sans égal des compos du japonais, force est de constater que ça sonne très cheap niveau synthé… Et pour cause ! Lorsque SOTN sort, la qualité sonore, l’ « orchestration » est tout bonnement EPOUSTOUFLANTE ! Je me souviens avoir été sidéré de jouer et en même temps d’entendre des musiques et pas des sons qui ne ressemblent à rien…

Alors, bien sûr, comme expliqué dans la Kro, des compos mémorables, accompagnant, que dis-je ?, emporte le joueur, en renforçant son immersion dans ce château grandiloquent remplis de laquais malfaisants. On passe d’un « Crystal Teardrop » et ses sonorités « cristallines » et mélancoliques dans les grottes sous terraines, pour aller vers un « symphonique-rock » entrainant du plus bel effet (Tragic Prince) sous une aveuglante lune violette dans l’horlogerie, en passant par un morceau "exotique" au rythme endiablé (Wandering Ghosts) dans le Colisée.

Une variété étonnante, des mélodies qui font mouche, des sons d’excellente qualité et avec une ambiance qui colle à l’action, décors… Et surtout pratiquement aucun titre mauvais. Pour l’époque, vous teniez ce qu’il y avait de mieux en la matière. Je dirais même que ce petit bout de femme donnait une bonne leçon en la matière dans ce domaine.

Bref… une OST absolument CULTE à mes yeux. Non pas seulement car je suis fan de CastleVania, mais vraiment pour avoir proposé une œuvre variée, de qualité, dans un jeu où on l’attendait pas. D’ailleurs c’était drôle de voir ce contraste entres les graphismes « démodé » et une bande son qui renvoyait d’autres productions plus moderne dans un autre âge.

Pour ceux ne connaissant pas l’univers de cette série de Konami, il faut savoir que ces jeux ont par le passé été plébiscité pour leurs musiques très typées, aux mélodies entrainantes, rythmées et rapidement identifiables. Des hymnes en quelque sorte dans les jeux vidéo japonais.

Quelque part, l’OST de SOTN n’est que l’aboutissement… D’ailleurs depuis, la barre a été si haute, que jamais on ne retrouvera cette qualité. Que ce soit aussi bien par Yamane herself que les autres…





Akira YAMAOKA
SILENT HILL 2 OST


Le 18 Juin 2013 par RICHTER


Mais que dire de plus!!! Certainement, l'artiste qui a pu montrer le chemin pour des OST de JV plus mature que d'habitude, à l'image de la série.
Difficile de parler de l'OST sans le jeux, dont le scénario est d'une violence psychologique rare, surtout à cette époque. Dire que l'OST magnife le jeu est un euphémisme! On pourra même dire que c'est un gros pourcentage dans le résultat final qui est de vous rendre tellement mal à l'aise, que pour ma part, y jouer seul le soir est réellement difficile. C'est une épreuve.
L'OST est également très bonne à l'écoute hors contexte du jeu, mais c'est toujours mieux d'y jouer avant...
Les fans de SH n'ont pas besoin de cette chronique pour être convaincu, mais ceux qui ne connaissent pas... Foncez!
Une OST culte pour un jeu qui l'est tout autant. 5/5 sans discuter.





Nobuo UEMATSU
FINAL FANTASY VII REUNION TRACKS


Le 18 Juin 2013 par RICHTER


Je comprends pas l'initiative de sortir des Best of d'OST comme FF7. Le public ciblé par ce type de goodies possède déjà l'OST complète, et ce Reunion Tracks ne risque pas de se trouver sur les étalages de Carrefour.
Conclusion: la facilité pour les titres bonus (superbes au demeurant) que les fans achèteront...

1) Donc, dans le contexte des amoureux d'OST de JV et FF en l'occurence: 1,5/5. Et encore, c'est parce que les bonus sont vraiment top.

2) Tu découvres le JV (via le retrogaming) et FFVII. Pour toi, les ziques sont chouettes, mais tu te vois pas investir dans une OST full. Alors tu peux découvrir des perles de Uematsu. 4/5





Joe HISAISHI
NI NO KUNI WRATH OF THE WHITE WITCH OST


Le 18 Juin 2013 par CHIPSTOUILLE

Je parlais des thèmes de combats oui. Pour Mitsuda au moins, je m'étalerais davantage dans des chroniques à venir.





DAFT PUNK
RANDOM ACCESS MEMORIES


Le 18 Juin 2013 par TOLL DESTRO


Très agréable surprise que ce nouveau disque de nos français casqués. Plus orienté Funky, le duo réussit son coup !





The EXPLOITED
BEAT THE BASTARDS


Le 18 Juin 2013 par TOLL DESTRO


Un revival limite Thrash qui fait un bien fou après les bouffoneries sorties avant.





DISCHARGE
WAR IS HELL


Le 18 Juin 2013 par TOLL DESTRO


Quelle superbe pochette haha... "War Is Hell" est certes bourrin mais DISCHARGE accuse mal le coup. Le poid des années sans doute !





The DAMNED
DAMNED DAMNED DAMNED


Le 18 Juin 2013 par TOLL DESTRO


Un des livres de la Bible Punk première vague. Un album bourée d'énergie brut et d'une folie joyeusement bordélique





The CLASH
GIVE EM ENOUGH ROPE


Le 18 Juin 2013 par TOLL DESTRO


Du Punk sans envergure, un opus qui s'écoute... et voilà.







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