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Bruce SPRINGSTEEN
AMERICAN BEAUTY


Le 15 Juin 2014 par AQUALUNG


Désolé, mais j'ai ri à la phrase: "se mettre en danger avec un producteur comme Rick Rubin". Il n'y a rien de dangereux à se mettre avec Rubin à la production, c'est le sommet du conformisme ce gars. Son travail de prod' se limite à foutre les basses à fond et couper les aigues pour avoir un bloc uniforme directement in your face sans finesse ni nuance.

Pour en revenir aux chansons, c'est du Springsteen un peu vieillissant mais ça tient encore la route pour les fans.





JON & VANGELIS
PAGE OF LIFE


Le 15 Juin 2014 par SGT JAKKU


Que donne la dernière collaboration du duo ? La moyenne tout juste ! Petite visite guidée !
Le haut du panier tient sur 3 chansons qui sont Wisdom Chain, Page of Life, Garden of Senses et un instrumental : Little Guitar (guitare jouée au clavier je précise). Pas de chefs-d'oeuvre mais des titres de bonne facture entre pop psyché, hymnes et New Age, du Jon & Vangelis en somme.
Après, nous arrivons au moyen : Jazzy Box (instru sympa et un peu barré), Genevieve (petite ritournelle mignonne), Journey To Ixtlan (les arrangements sauvent les meubles).
Enfin, nous terminons sur les médiocres : Money (ridicule), Is It Love (pénible à la moitié), Anyone Can Light a Candle (culcul), Be a Good Friend of Mine (indigeste et maladroit), Shine For Me (mièvre à souhait).
En bref, cet album s'adresse surtout aux fans du duo. Les autres doivent se diriger vers Friends of Mr Cairo, Short Stories et Private Collection (qui est très bien quoi qu'on en dise!) ou bien la compilation sortie en 1994.





EMBRYO
STEIG AUS


Le 14 Juin 2014 par CHRISP


Le meilleur d'Embryo pour moi, tout est juste dans cet album, court mais tellement intense.

Radio Marrakesh/Orient Express et sa délicieuse intro lance 9 minutes de fusion folie furieuse, on pense au solo de guitare final ou jusqu'à 3 guitares semblent se faire entendre en même temps, doublées elle même par les claviers ! "Dreaming Firls" reprend en effet la même ligne de basse (et quelle ligne ! ) mais transforme complètement la chanson passant à quelque de beaucoup plus planant et épuré que "Forgotten Sea".

Quand à Call, c'est 17 minutes Fusion dans toute sa splendeur, les claviers ne cessent de se répondre tout du long de la chanson de plus en plus fort. Le morceau alterne entre moment calme, montée en puissance et pic d'intensité. Quand les claviers crient, que la basse vrombit et que la batterie se remet à taper plus lourdement, je perçois toujours un petit frisson même après des dizaines et des dizaines d'écoute. On n'oublie pas l'excellent violon du Sieur Hoffman, qui apparaît autour des 11 minutes.

A noter L'excellent travail fait à la basse : une basse qui groove et qui se fait ENTENDRE parfaitement sans empiéter sur les autres instruments, j'applaudis !





CHICAGO
THE CHICAGO TRANSIT AUTHORITY


Le 13 Juin 2014 par NONO


On dit machinalement que Chicago a des aspects jazz, tout simplement pour la section de cuivres qui donne un climat particulier.
Mais oui, en effet, cela ne suffit pas à en faire un groupe de jazz !
J'ai toujours trouvé que leurs premiers albums (jusqu'au "VII" environ) sont très imprégnés des Beatles, avec des cuivres en plus.
Je connais mal cet album en particulier (Chicago Transit Authority) mais j'en ai un bon souvenir. En bref, mes albums préférés d'eux sont: celui-ci, ainsi que le II, III, V, VI, VII, X, XI, 16, 17... ainsi que le tout dernier album sorti cette année, qui a l'air franchement bien. Mais je pense qu'il faut à tout prix éviter les albums: XIII, XIV, 18, 19 et 21. Voilà, chez Chicago, les albums sont appelés par des numéros, c'est "space" mais c'st comme ça. Au moins, ça donne l'idée d'un grand ouvrage avec autant de chapitres, cela évoque une continuité !
Et puis, comme il faut mettre une note, je mets 5/5 pour celui-là.





GLENMOR
CET AMOUR-Là


Le 13 Juin 2014 par YEC'HED MAT


Le détonateur !
Sans lui, rien.
Etonnant tout de même : ce brittophone de naissance composera très peu dans sa langue maternelle, à l'image de cet album tout en français.
Il faudra pour cela attendre les SERVAT, STIVELL ou TRI YANN, voire les G. Ar FUR... soit tous des francophones de naissance... ou des exilés, tel le cornouaillais de New York Youenn Gwernig !
Mais à l'époque de GLENMOR, la Bretagne n'était pas prête. "Yezh ar vezh 'oa ar brezhoneg", le breton était alors la langue de la honte... Deuet eo da vezañ hini al lorc'h ! Elle est désormais celle de la fierté ! Et GLENMOR n'y est pas pour rien, qui a sur rendre son honneur à la Bretagne.
GLENMOR, à qui toute une nouvelle génération rend encore hommage (cf Clarisse Lavanant)... Quel bonhomme, tout de même !
Ne vous y trompez pas, toutefois : au-delà des seules terres bretonnes, c'est d'universalité que l'on nous parle ici, d'harmonie de l'Homme avec son environnement et son moi profond, de fierté, de combat contre l'artificialité imposée par la Machine... de Résistance, d'honneur, de volonté de survivre, de transmission. Une leçon de vie universelle, plus que jamais d'actualité dans notre société sans âme où, de plus en plus, nous avons le triste sentiment d'être réduit à l'état de simples consommateurs. Oui, le message de GLENMOR est toujours d'actualité !





JON & VANGELIS
PRIVATE COLLECTION


Le 12 Juin 2014 par SGT JAKKU


Je suis également très surpris des avis très durs concernant cet album qui s'écoute agréablement. Certes, les chansons sont un poil gnangnan et déjà entendues, mais dans le genre mièvre, j'ai entendu bien pire. Vangelis et Jon n'ont escroqué personne avec cette petite collection de chansons pop douces et sucrées. De plus, l'album est bien produit, les basses présentes, la boîte à rythme précise et les aigus chatoyants. Le meilleur de Jon & Vangelis en terme de production. Un album certes moins aventureux que mr Cairo mais plus équilibré que Short Stories.





Frank ZAPPA
ROXY & ELSEWHERE


Le 12 Juin 2014 par GURTU


Une merveille ce Live.

Pour l'anecdote c'est en écoutant cet album que Phil Collins a recruté Chester Thompson pour accompagner Genesis lors des tournées puisqu'il devait chanter aprés le départ de Gabriel





SIOUXSIE AND THE BANSHEES
KALEIDOSCOPE


Le 11 Juin 2014 par ARP2600

Ah oui, bon, tout le monde peut se tromper. Je l'ai réécoutée attentivement et c'est effectivement de la basse. Je n'ai pas trouvé d'informations précises sur les instruments utilisés, ceci dit, je me demande s'il n'y a pas un peu d'électronique dans la deuxième moitié. Quoi qu'il en soit, cette chanson sonne très régulière et propre, la rythmique ressemble à de l'électronique. Et puis, c'est un peu comme chez Göttsching, du coup, la multitude d'effets possibles, qui altèrent le signal électrique de la guitare, en font parfois un instrument électronique. Je trouve que c'est très différent du son énergique et plus abrasif de Juju, quoi qu'il en soit.





SIOUXSIE AND THE BANSHEES
KALEIDOSCOPE


Le 10 Juin 2014 par LEO

@ ARP2600

Il n'y a également que de la basse, de la batterie et des guitares sur "Israel",
et il s'agit de choeurs (certainement traités par Nigel Gray, le co-producteur) que l'on peut entendre en fond par moment, et non de claviers! par ailleurs, je ne trouve pas du tout ce morceau synthétique. il a bien le même genre de sonorités que l'on peut retrouver dans des compos telles que "Into The Light" ou "Arabian Knights" sur Juju.

Heureux d'apprendre que tu vas chroniquer "Once Upon A Time/The Singles"!





SIOUXSIE AND THE BANSHEES
KALEIDOSCOPE


Le 10 Juin 2014 par ARP2600

Je n'ai parlé nulle part d'Israel pour l'instant (et pas beaucoup de Hong Kong Garden et Staircase Mystery), mais c'est parce que je compte chroniquer la compilation de 1981.
"Israel" est certes sombre mais elle est fort électronique (elle me fait d'ailleurs penser à ce que seront certaines formes de dance lente quelques années plus tard ! ), tandis qu'il n'y a que des guitares sur Juju.





The OFFSPRING
IXNAY ON THE HOMBRE


Le 10 Juin 2014 par KINGKILLING


Quelques fois, le coup d'éclat n'est qu’éphémère.

En 1994, The Offspring, groupe partiellement inconnu ayant déjà desservi le monde de la musique de deux albums très faibles et peu engageants, explose avec le formidable "Smash" qui s'impose comme une référence et signe ainsi le retour en force du Punk. Pas un Punk british comme ce fut le cas dans les années 70, ni un Punk très orienté Metal (The Exploited, pour n'en citer qu'un) mais un Punk très Pop dans son approche. Rappelant une Californie ensoleillée aux bimbos superficielles et skateurs mécheux. Bref, un nouveau monde.

Mais voilà. Le succès, comme le talent, s'arrête un jour. Même si "Ixnay On The Hombre" trouvera un certain succès, c'est la descente infernale au niveau de la composition.
The Offspring donne la mauvaise impression de vouloir recréer un "Smash" bis", alignant des titres assez semblables qui sonnent comme de pâles resucées du précédent opus. Les titres rapides et joyeux (forcément) comme "The Meaning Of Life" laissent vraiment à désirer, ne distillant aucune magie. Le reste de l'album est dans la même optique : The Offspring radote et n'arrive jamais à avancer correctement malgré une bonne volonté évidente (les chœurs sur "Cool To Hate", pitié...) . Certes, évoluer n'est pas un gage de qualité, mais quelquefois, répéter jusqu'à l'infini la recette du succès vire carrément au foutage de gueule. "Ixnay On The Hombre", c'est souvent ce sentiment. Même les excellents titres ("Mota", qui donne envie de sauter un peu partout, le très court et efficace "Leave It Behind" aux riffs acérés) ne proposent strictement rien de nouveau, et semblent forcés, comme si le quatuor voulait à tout prix creuser dans la veine qui leur a permis d'exploser. On tombe, malheureusement, dans la parodie.

Pourtant, The Offspring essaye d'expérimenter comme avec "Don't Pick Up". Ce dernier fait office d'OVNI sur l'opus, avec un rythme quasiment ska et une bonne humeur communicative. Et putain, c'est quasiment salvateur. Et ouais, se taper trente minutes de Pop-Punk sans originalité (sans être forcément mauvais), c'est assez gonflant. Heureusement, "Don't Pick Up" n'est pas la seule chanson permettant de souffler. Deux chansons se distinguent clairement et s'imposent comme des pépites. Et vous savez quoi ? Ce sont les moins rapides ! La première se nomme "Gone Away" et semble être la petite sœur de "Self Esteem". La chanson sonne très 90's et distille une certaine dépression, grâce à un magnifique refrain où Dexter Holland signe une de ses meilleures performances. "Gone Away" est peut-être une des compositions les plus représentatives des années 90, à l'époque où le Rock explosait par mille chemins différents. Mince, pourquoi suis-je né en 1996 ?
La seconde se trouve en fin d'album. "Amazed", dans sa structure, est assez similaire à "Gone Away", à la différence que le côté sombre est un brin plus exploité (les lignes de basse). Purement Rock, elle redonne un peu de baume au cœur. Cela change du raté "Change The World" qui conclut l'opus de manière horriblement poussive.

"Ixnay On The Hombre" est un album très moyen, qui n'est sauvé qu'avec quelques chansons qui, soit rappellent le passé de manière agréable (époque "Smash", donc), soit proposant une maturité plus flagrante et bienvenue.
The Offspring a été touché par le succès, dans tous les sens du terme et se mord la queue. Malheureusement, ça ne sera pas la dernière fois.





Britney SPEARS
BRITNEY


Le 10 Juin 2014 par AZER

Juste pour signaler qu'en absence d'air, il est impossible de diffuser du son dans l'espace. Mais à part ça excellente chronique, à se rouler par terre !





SIOUXSIE AND THE BANSHEES
KALEIDOSCOPE


Le 10 Juin 2014 par LEO


Ce 3ème album de SIOUXSIE AND THE BANSHEES est vraiment particulier.
Il s'agit presque d'un nouveau départ pour le groupe qui a perdu 2 de ses membres (partis en pleine tournée).
En un sens, la musique de Kaleidoscope est bien plus proche des singles plutôt accrocheurs sortis jusque là, que des albums The Scream et Join Hands à la tonalité globalement noire, brute et fortement expérimentale.
Kaleidoscope porte vraiment bien son nom, car on y trouve de tout: s'y côtoient des choses relativement pop telles que "Happy House" et "Christine" en passant par des pièces plus psychédéliques ou ensuquées ("Paradise Place" et "Desert Kisses") aux côtés de trucs plus atmosphériques et vaporeux comme "Tenant" ou "Lunar Camel", et même une incursion vers l'électro avec le curieux mais fort réussi "Red Light".
Evidemment, l'aspect fourre-tout d'un tel album peut en rebuter plus d'un, mais c'est précisément ce côté patchwork que j'aime dans Kaleidoscope!
Par contre j'apprécie beaucoup moins "Hybrid" et "Skin", 2 titres qui me font presque penser à ce que la formation faisait sur ses 2 premiers albums.
À peine quelques mois après la sortie de Kaleidoscope, paraîtra "Israel" un excellent single hors album annonçant déjà la couleur du futur 33t Juju.






SIOUXSIE AND THE BANSHEES
JOIN HANDS


Le 10 Juin 2014 par LEO


Join Hands est encore plus bruitiste et torturé que The Scream, qui n'était déjà pas ma tasse de thé à 2 morceaux près ("Mirage" et "Switch").
Ici, je ne retiendrai que le plus mélodique "Playground Twist" (sorti judicieusement en single) et à la limite "Placebo Effect", mais c'est bien tout! (le reste m'étant difficilement supportable).
Une fois John McKay et Kenny Morris partis, SIOUXSIE AND THE BANSHEES verra sa musique évoluer vers quelque chose de plus coloré, contrasté et mélodique.





SIOUXSIE AND THE BANSHEES
THE SCREAM


Le 10 Juin 2014 par LEO


Mis à part "Mirage" et le plus ambitieux "Switch" sur The Scream et "Playground Twist" sur Join Hands, je n'ai jamais aimé les 2 premiers albums de SIOUXSIE AND THE BANSHEES avec John McKay et Kenny Morris, le style proposé étant encore bien trop bruitiste, simpliste et brouillon à mon goût.
En revanche je trouve bien plus réussis et accrocheurs, les singles (hors albums) "Hong Kong Garden" et "The Staircase (Mystery)" parus à la même époque!
À eux seuls, ces 5 titres préfigurent déjà l'orientation prise sur les futurs singles et albums du groupe (à commencer par l'éclectique Kaleidoscope).






The BEATLES
RUBBER SOUL


Le 10 Juin 2014 par LE OLI'


Un pilier absolu, un géant, le premier album de "Pop Adulte" (un terme rude...), ni plus ni moins...
La première incorporation de sonorité de World Music dans la musique occidentale avec sérieux (une nouveauté) dans Norwegian Wood. Lennon et McCartney on signalé que toutes les chansons de l'album avaient été réfléchies dans un ordre bien précis (base du concept album ?), chose inédite pour l'époque. La production de l'album a était plus que jamais travaillée pour l'époque.
Il a scotché Bob Dylan, Brian Wilson a voulu créer "le plus grand album de tous les temps" quand il l'a entendu, il a inspiré l’ère Psyché des Stones, etc...
C'est par cet album, crée et sortie en automne 65, que tout commence, que tout débute.
L'album le plus important de la Pop Music, tout simplement...





U2
WAR


Le 09 Juin 2014 par SABELTANZ


Rock héroïque, rock de stade, rock easy-listening... Appelons cela comme on le voudra, toujours est-il qu'à son troisième album, U2, ce petit groupe irlandais, à bel et bien trouvé sa patte sonore; à base de guitare claire (cristalline, oui, mais l'adjectif a déjà été utilisé de nombreuses fois) et de chant "positif". Évidemment, "Sunday Bloody Sunday" et "New Year ´s Day" sont des tubes en puissance et de superbes chansons, l'une par sa structure rythmique innovante, l'autre par sa mélodie new avec bien torchée. Mais il serait injuste d'oublier certaines autres titres très bons de cet album, comme "The refugee" et ses faux airs de punk prolo, ou "Drowning", très belle ballade brumeuse bien dans l'air du temps (1983). Le reste malheureusement est, à mes oreilles, un peu plus anecdotique... Mais avec du recul (oui je sais c'est facile de dire cela 31 ans après), on aurait pu se douter que ce groupe allait devenir très grand. Un bon albume en tou cas. Le meilleur de U2? Allons allons les gars, cessons de déconner...





EMBRYO
FATHER SON AND HOLY GHOSTS


Le 09 Juin 2014 par CHRISP


En 1972, Embryo gravi encore une petite marche qui le rapproche de la perfection, et entame son virage oriental, virage que j'apprécie beaucoup par ailleurs.

A part ça je ne trouve pas "Free" si mauvais, et "King Insano" si exceptionnel, "The Sun Song" est une super chanson, les percutions sont géniales, mais pour ma part je trouve que l'on touche vraiment au génie avec "Forgotten Sea". Hum, cet air de basse qui vous rentre directement dans la tête, la chanson toute en progression, et ce long solo de guitare qui vient se greffer et sublimer le tout, jusqu'à retrouver le calme du début et la fin tout en douceur. Non vraiment j'adore !

Allez un bon 4,5 mérité, je le mettrai bientôt le 5 sans aucun doute !






PRIMUS
FRIZZLE FRY


Le 09 Juin 2014 par SHARRJIN

Des kros de primus, joie o/.

Par contre, je n'ai jamais vu primus associé d'une quelconque manière associé au punk, ce serait pas plutôt funk-rock?


Par Forces Parallèles

Mon cher Sharrjin, je dois confesser un léger manque de pertinence de ma part. Bien que connaissant très bien la discographie du groupe, tenter de les classifier me met toujours en position de désarroi. Nous en avons brièvement discuté avec Red One et allons corriger cela.

En te remerciant de ta sagacité,
Tarte





PRIMUS
FRIZZLE FRY


Le 09 Juin 2014 par AZER


Un très bon album, si vous n'êtes pas rebuté par la bizarrerie ambiante au groupe et à ses morceaux, ni par cette pochette d'un goût douteux. Difficile à définir (Metal alternatif ? Rock technoïde progressif ? Foutoir musical ? Funk psychédélique ?) et fastidieux à écouter en entier, cette poêle jetée dans la mare sera néanmoins à l'origine de très bons albums, tous aussi (voire encore plus) barrés.







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