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RENAISSANCE
TIME-LINE


Le 12 Juillet 2013 par POWERBEAUF


Cet album a été la honte de ma discothèque pendant des années avant que je parvienne à le fourguer sur un site de produits d'occasion ! Pas la peine de s'échiner à trouver des arguments pour sauver ce disque car c'est un ratage total (et c'est un fan des eighties qui le dit) : compositions totalement creuses et risibles, arrangements et sons de claviers complètement ringards, voix d'Annie Haslam sous-exploitée, j'en passe et des pires... Pour vous dire, j'ai toujours pensé que la chanson la moins catastrophique du disque ("Richard IX") aurait parfaitement convenu à CHANTAL GOYA !

Des disques de pop eighties potables, il y en a des centaines et des centaines. Celui-ci appartient à la catégorie encore plus bondée des navets.

Note réelle : 0,25/5, car au final, entre l'achat et la revente de cette bouse, j'ai quand même réussi à faire une petite plus-value !





MC5
KICK OUT THE JAMS


Le 11 Juillet 2013 par RAMON


L'art et donc le rock, qui est un de ses domaines, est parfois dangereux pour ceux qui le pratiquent parce qu'il fait flipper grave les autorités en alimentant leur paranoïa, même en Amérique, soit disant Terre de Liberté.
Voilà un Pays qui a fait embastiller le manager d'un groupe de rock, le dénommé John Sinclair pour un motif futile (possession de marijuana car la drogue, c'est mal...) et laisse le King se gaver de pilules entre Vegas et Graceland.
Le King, cela fait belle lurette qu'il n'effraie plus personne, c'est un bon garçon qui a fait l'armée et qui tourne des films pour mémères, son come back a donné deux grand disques, un Live l'autre en studio In Memphis, mais le colonel vient de siffler la fin de la récréation, le danger est (définitivement) écarté de ce côté là mais le FBI n'est pas pour autant en vacances.
On persécute Morisson, forcé de s'exiler (on sait la suite), pendant ce temps Detroit accouche de trublions déchainés qui marqueront la grande Histoire du Rock'n'Roll, j'ai nommé les Stooges et le MC5 qui balancent chacun leur côté des brûlots effrayants de sauvagerie, suffisamment sulfureux de la part des seconds cités pour déclencher en loucedé une nouvelle chasse aux sorcières.
D'autant que contrairement aux disques du gang d'Iggy, l'album se vend très correctement. En pleine guerre du Vietnam, on n'hésite pas à réprimer (parfois dans le sang, faut-il le rappeler?) les manifestions étudiantes alors pas question de laisser s'accroître la popularité d'un groupe de jeunes drogués déjantés qui agit sous la férule d'un manager crypto-marxiste fondateur des white panthers, alliés objectifs des révoltés afro américains.
Mais le MC5 a eu tout même le temps de pondre cet album live, produit par Jac Holzman et Bruce Botnick (tiens, tiens...), ce truc démentiel qui contient Kick out the Jams, titre emblématique et révolutionnaire, repris depuis par Blue Öyster Cult, Jeff Buckley ou Rage Against The Machine, un hymne.
John Sinclair y gagne le droit de passer par la case prison et le groupe se désagrège après avoir sorti un deuxième album bien plus recommandable que ce qu'en dit la Kro suivante, mais se voit dédier une chanson qui figure sur l'album Sometimes in New York City de John Lennon...ça tombe bien, ce dernier est le suivant sur la liste des personnalités à surveiller de très près par le FBI...
Liberté, j'écris ton Nom.






DAFT PUNK
RANDOM ACCESS MEMORIES


Le 10 Juillet 2013 par ANGEL D


Un seul commentaire pour ce qui est sûrement un si ce n'est le meilleur album de l'année ?
Quand on vous dit que c'est la crise ...

Franchement, qu'est ce qu'on peut lui reprocher à ce "random access memories " ?
On peut lui reprocher sa promo abusive et d'avoir mis du temps à sortir... ça c'est clair.

Mais musicalement, où est le souci ?

On à reprocher à « daft punk » l'utilisation des vocoders, c'est un peu comme si on demandait à iron maiden d’arrêter de jouer des solos de guitare ,,,

On à reprocher à daft punk d'avoir écrémé leur son , quel artistes n'a pas un jour fait un album plus soft que les autres ?

Bon, par contre musicalement, c'est du daft punk et l'album est assimilé trop rapidement, ce qui peut sembler un peu dommage par moment.
Mais, encore une fois, c'est ça daft punk.

Et cette matière accessible va faire justement qu'on à quand même très souvent envie d'y revenir, donc on l'écoute à plein régime ce nouveau daft punk tant l'album est addictif (à noter qu'il porte bien son nom ce disque) .

L'apport de véritable instruments apporte un peu de neuf au son de daft punk, surtout qu'il ne sont pas allez chercher les premiers zicos venus (Nile rodgers, Omar Hakim, Nathan East, Giorgio Moroder ,,, la liste est longue).
Musicalement, je ne trouve pas qu'on soit à des année lumières de « discovery », et qu'il y a une continuité avec les albums précédents.

Des titres comme "the game of love ", " motherboard " ou encore " beyond " sont proches des "veridis quo "ou autre "something about us ".

On peut même voir dans ce même " beyond ", ou alors dans " contact " ou " touch " un parallèle au sonorité de la B.O du film « tron ».

Le groupe avait également prévenu que le disque serait plus lumineux, plus tendre que les précédents, qu'on aurait du nostalgique et qu'il y aurait une « vibes » west coast à l'ancienne.
Personne n'a été pris en traître et Daft punk à réussi son pari.

Il y a de tout dans ce disque, superbement produit, très très loin du son sursaturée et pauvres des productions actuel...
Il faut bien insisté la dessus.

Maintenant, parlons un peu des titres.

Il suffit d'écouter « giorgio by moroder », et ses 9 minutes de bonheur,
L'histoire de l'électronique, en passant par le disco, le jazz rock et les débuts du hip hop ?
Écoutez les breaks, les orchestrations, le final avec la batterie et les giclées de guitares ?
Qui peut dire que c'est de la merde ?

Pareil pour « motherboard »,
Titre atmosphérique d'envergure avec un sens du rythme hallucinent, les percussions sont d'une précision à tomber.
Après cela, vous êtes sur qu'il ne savent pu faire de l'instrumental les gars ?

« instant crush » nous ramène à une fusion entre le rock et l’électronique tout juste parfaite.
Le riff nous fait penser à du « alan parsons project », le chant est mélancolique mais personne n'attendais ce petit solo harmonisé ...


« fragment of time », c'est la pop qu'on aime.
Daft punk nous la joue fleetwood mac et il est difficile de résister à un titre aussi lumineux, solo de piano électrique de grande classe.

"the game of love" sorte de ballade avec un groove qui se veut proche de ce que Michael jackson fesait avec Quincy Jones.
Ca fonctionne très bien et on aimera en voir plus souvent des ballades comme ça aujourd'hui, là ou on se contente souvent de sortir toujours la même boucle de piano et nous gavés d'effets un peu partout pour masquer la pauvreté musicales...

"doin't right ", minimaliste comme à l'époque d'homework avec un chant façon beach boys par moments.

Et les cocottes de guitare de Rodgers sur les funky "get lucky", un des titres les plus enjoué du disque..ou encore le plus robotique "loose yourself to dance".

On pourrait parle aussi du symphoniques et progressif « touch » avec la superbe voix de Paul Williams mais je ne vais pas tous citer les titres...

Comme tous les disques long (75 minutes), il y a un petit coté hétérogène" quelques titres sont un peu moins dispensables mais il n 'y a rien a jeter.
Chaque titre à du potentiel et l'album mérite bien un petit 5 étoiles pour ma part au vue du boulot réalisé.












The STOOGES
READY TO DIE


Le 09 Juillet 2013 par MR. AMEFORGEE


Après avoir lu la chronique, je m'attendais au pire, mais finalement, je suis agréablement surpris. Je ne crois pas qu'on puisse reprocher aux vieux rockeurs de ne plus avoir la hargne de leur jeunesse. L'auraient-ils gardée qu'ils seraient morts depuis longtemps.
Cela dit, même si les guitares ne sont plus dissonantes et sursaturées, elles savent encore envoyer du bois. Et surtout, les morceaux sont funs. Là où The Weirdness se montrait plutôt rugueux, mais surtout laborieux, ici on a le droit à de l'accroche et du mordant. Du bon rock qui tache, qui sait encore en remontrer aux jeunes godelureaux.





DEATH IN JUNE
BUT, WHAT ENDS WHEN THE SYMBOLS SHATTER?


Le 09 Juillet 2013 par GG


Rien à redire, c'est un chef d'oeuvre, même si mes premières écoutes ont été difficiles.





The BEATLES
SGT. PEPPER'S LONELY HEARTS CLUB BAND


Le 09 Juillet 2013 par RAMON


L'album Pop qui réunit à la fois le yin et le yang, l'alpha et l'omega, le sacré et le profane, le religieux et l'athée, la perle noire et la pierre blanche, le zéro et l'infini, l'orient et l'occident, le nord et le sud et j'en passe car la liste est trop longue.
Rien que la réalisation de sa pochette a coûté une fortune pour l'époque, les pontes d'EMI en sont tombés de leur chaise au moment de régler la facture...Depuis ils se frottent les mains, moralité : ne pas laisser aux comptables et autres "experts" le soin de décider quoi que ce soit concernant la direction des opérations, grattes papiers ils sont, grattes papiers ils doivent rester, on l'a oublié depuis et pas seulement en ce qui concerne le domaine de l'Art.
Le single Strawberry Fields Forever/Penny Lane avait lancé la machine quelques mois avant la sortie de l'album et quand on y songe avec le recul, on s'aperçoit que ce double hommage à la cité de Liverpool qui avait vu naître les quatre garçons dans le vent, résonne comme un adieu; non seulement les Beatles viennent de quitter (définitivement hélas) la scène mais ils ne sont plus non plus les garnements qui jouaient au Cavern Club, ils n'appartiennent plus à "leur" ville et ne sont pas plus anglais...Ils sont devenus universels.
SGT.Peppers est aussi fait de ce qui ne s'y trouve pas, à savoir cet immense single réalisé avec des moyens déjà obsolètes pour l'époque mais dont George Martin et Geoff Emerick sauront repousser les limites quitte à prendre le risque de tout perdre à chaque nouvelle étape de la production et ce sans en référer (cela va de soit) à leur "hiérarchie".
L'autre bonne nouvelle étant que que le dit sigle se fera chiper la première place des charts anglais par un certain Engelbert Humperdink, chanteur de charme pour ladies retraitées, ôtant pour l'occasion la pression aux Fab Four, habitués jusque là à arriver en pôle position et donc condamnés à réitérer sempiternellement l'exploit.
Le voyage qui s'ensuit en compagnie de l'Harmonie des coeurs solitaires du sergent Poivre peut alors commencer dans un théâtre où l'on accorde ses violons. On applaudit Billy Shears qui croit au coup de foudre, on plane avec Lucy, on regarde la pluie remplir les trous, on entend une famille se décomposer, on flâne dans une fête foraine au milieu la campagne anglaise juste avant de rallier l'Inde au son des tablas et autres sitars, on se lève au chant du coq pour avaler ses céréales du matin, on découvre les nouvelles tragiquement absurdes relatées par un grand quotidien de référence, avant d'être balayé par un cataclysme qui vient rappeler opportunément combien nous sommes peu de choses.
A day in the Life, un point dans l'univers, une seconde dans l'éternité...Robert Fripp entre autres y a découvert sa vocation artistique, deux avant in the court of the Crimson King, quant à Frank Zappa qui avait failli ne pas se remettre de la découverte du Like a Rolling Stone de Dylan (l'autre génie absolu de la Pop avec la paire Lennon/Mc Cartney), il pastichera avec talent et ironie la pochette mythique de ce chef d'oeuvre absolu, car lui savait tout aussi bien qu'un comptable ne doit jamais outrepasser ses strictes prérogatives.
Bien entendu, on peut préférer le charme de Revolver, le foisonnement du "white album" ou la maestria d'Abbey Road, voire le charme soyeux de Rubber Soul à la grandiloquence de Sergent Peppers, ce qui est en partie mon cas, il n'en reste pas moins que ce dernier a définitivement ouvert les portes et les fenêtres de la création aux artistes musiciens pop/rock, genre qui était encore considéré à l'époque comme faisant partie de la sous culture.
Deux ans après avoir été décorés par la reine, les Beatles parachevaient une révolution culturelle en délivrant cet album majestueux.
Ainsi soit-il.





LUSH
LOVELIFE


Le 07 Juillet 2013 par BENNETT


Je ne suis pas un grand spécialiste du shoegaze, donc je ne jouerai pas le jeu de la comparaison avant/après, mais cet album est vraiment une perle : je suis tombé amoureux de la chanson "Last Night", présente dans la BO du polar City of Crime avec Harvey Keitel (film que je recommande à tout bon fan du genre), du coup, j'ai chopé l'album dans la foulée et ça a été claque sur claque.

A la fois doux et mélancolique, c'est un disque que j'aime me remettre quand les beaux jours reviennent, avec des mélodies qui peuvent paraitre niaises mais qui m'ont totalement transporté (surtout la magnifique Olympia et son joli passage de flûte) et d'autres qui sont parfaits pour zoner sur la plage comme Ladykillers.

Je ne dirai jamais donc que c'est de la grande musique, mais en termes affectifs, ça reste un album très important dans ma vie de mélomane (au même titre qu'un Breakfast in America de Supertramp par ex).





Robert PALMER
HEAVY NOVA


Le 07 Juillet 2013 par BENNETT


Je suis avec intérêt cette rétrospective de monsieur Palmer, qui n'a été pour moi que l'homme de "Johnny and Mary" et "Every Kinda People", j'ai commencé à écouter attentivement certains de ses albums pour y trouver mon compte car je suis un éternel curieux.

J'ai beaucoup aimé Clues pour le côté new-wave, le reste de ses albums ne m'accroche guère même si je reconnais effectivement un talent certain à jongler avec les influences et éviter de faire deux fois le même album (comme un certain David Bowie). Mais là Heavy Nova est vraiment parfait, une synthèse de divers styles qui m'a laissé sur les genoux : entre les sons indus de More Than Ever, le délire reggae de Change His Ways ou les guitares surpuissantes de Simply Irresistible, on atteint un très haut niveau de composition (même la reprise de Gap Band défonce l'originale AMHA).

La classe totale vraiment, chapeau bas !





HAWKWIND
Stellar Variations (Hawkwind Light Orchestra)


Le 07 Juillet 2013 par HEFFIX


Malgré les chroniques peu encourageantes des deux derniers albums de HAWKWIND, je me suis procuré ONWARD et STELLAR VARIATIONS il y a maintenant quelques semaines. Dans l'ensemble, j'ai souscrit aux commentaires de RED ONE, notamment la reprise déconcertante de Death Trap (sur ONWARD). Puis, j'ai laissé décanter. Je réécoute ces derniers jours ces deux disques. En fait, je me régale. Je dois être ce qu'on appelle un fan...
RED ONE, je m'impatiente de lire vos prochaines chroniques d'HAWKWIND! :)





MR. BUNGLE
MR. BUNGLE


Le 03 Juillet 2013 par RAMON


@Red One
Il se trouve que même si j'ai acheté la version Cd (idéale pour la voiture à condition d'être seul) celle que j'écoute chez moi est bien celle dont tu parles. D'ailleurs, rien que pour les pochettes je préfère acheter les vinyles.
Et concernant le son...
Au plaisir de te (re)lire.





MR. BUNGLE
MR. BUNGLE


Le 02 Juillet 2013 par RED ONE


@ RAMON :

Cool ! Je suis content de voir que je ne suis pas le seul à considérer Mike Patton comme l'un des héritiers spirituels de Frank Zappa !

Par ailleurs, oui, cet album relève du génie absolu... Je te conseille la réédition vinyle sortie il y a quelques années, elle est juste obligatoire dans toute collection discographique digne de ce nom !






MR. BUNGLE
MR. BUNGLE


Le 02 Juillet 2013 par RAMON


Aussi longtemps que de tels allumés pourront se frayer un chemin jusque chez nous (et sur une major de surcroit!), le monde ne sera pas aussi mauvais qu'on le dit.
On peut aisément classer l'OVNI (ainsi que ses suivants) en compagnie des dingueries des Frank Zappa Zappa,Fishbone, George Clinton et autres Residents.
De celles de Fantomas aussi, le groupe avec lequel Mike Patton va le plus loin dans l'expérimentation.
Mr Bungle est éclectique.
Cet album est à la fois lugubre, glauque, décalé et totalement jouissif car plein d'humour.
Trevor Dunn et Trey Spruance sont deux prodigieux musiciens, le second est d'ailleurs un Guitar Hero absolument époustouflant,voilà un type qui a refusé d'intégrer FNM à la simple vue du calendrier prévisionnel des tournées,développant un emploi du temps qui l'aurait empêcher de se consacrer à ce qu'il aime vraiment.
Mr Bungle est indéfinissable.
Tant mieux.





Robert PALMER
RIPTIDE


Le 02 Juillet 2013 par ILôNIL


Ben voilà ! Y’a un beau mec sur la pochette et on nous en parle même pas ! C’est la première tof qui vaille la peine depuis 7 chroniques et pas un mot ?! Curieusement là, on ne se pose plus la question de savoir où sont passées les nanas ? On a la réponse dans le geste et le sourire : le succès est tel qu’il ne sait plus où donner de tête, enfin, de tête… Bon c’est ça être un artiste, il faut savoir payer de sa personne de temps en temps ! Et quand on se la joue crooner sur « Get It Throught Your Heart » faut pas s’étonner de voir la gent féminine abandonner le plan vertical pour la perpendiculaire. Ensuite, reste à assurer ! Et il assure Bob ! Séduisant, éclectique, anticonformiste, novateur, il en a sous le pied, enfin, le pied… Avec un regard comme ça, on sent tout de suite qu’on ne va pas s’ennuyer. Et je confirme : on ne s’ennuie jamais ! « Addicted to love » se pose comme une évidence au milieu d’autres titres tout aussi réussis comme « Flesh Wound » ou « Discipline of love » que j’aime particulièrement et dans lequel on sent bien qu’il maîtrise toute la "discipline" et pas que le « love ». J’serais un mec il m’énerverait ! Mais je joue dans l’autre catégorie moi ! Et Robert… Ben, il m’énerve pas… Sa voix, son sourire, me chavirent, et me vont droit au cœur, enfin, le cœur...



Par Forces Parallèles

Chère disciple du Grand Shaq,
Tu as 1001 fois raison, je mérite la flagellation aux orties fraiches. Cela dit ne redescend pas, la suite arrive impromptu !
Bien à toi
Erwin





U2
ACHTUNG BABY


Le 01 Juillet 2013 par MR TINKERTRAIN


Zoo Station atroce, qui préfigure l'infame immondice "Zooropa". Donc ca commence très mal. La 2e track pas terrible du tout. Houlà... Bon One, no comment. En fait cet album est à visée nettement commerciale et c'est ça qui me dérange car U2 perd en authenticité et leur son aussi. A l'instar d'un Metallica avec Load plus tard. C'est dommage car ce CD renferme des pépites (Mysterious Ways, Ultra violet, la magnifique Love is Blindness), ainsi que des titres assez pauvres (The Fly, Acrobat). Bref, loin d'être un grand album de Rock à mon avis, contrairement au très américain Joshua Tree ou War.





MASSIVE ATTACK
MEZZANINE


Le 01 Juillet 2013 par MR TINKERTRAIN


Bizarre, les 2 premiers albums m'ont laissé de marbre, dieu qu'ils ont mal vieilli d'ailleurs... Mais celui-ci a été une baffe de par sa puissance malsaine, étouffante, autant que nombreux groupe doom (dans un autre registre). De l'electro vraiment classe, vraiment culte et vraiment pas easy listening... Mais c'est pas le but de ce disque. Qui est plutôt de tripper sur les basses de votre HIFI, de plonger dans le gouffre hypnotique du grand MA...





WOODKID
THE GOLDEN AGE


Le 01 Juillet 2013 par LEU


haaaa qu'est-ce je me sens seul face à cette... unanimité.

Les singles avaient mis l'eau à la bouche de tout le monde. Mais finalement ce ne sera qu'eux que l'on retiendra. Grosse déception.

La voix de M. Lemoine traine en longueur. Elle se veut douce, mais j'ai plutôt l'impression d'entendre une voix fatiguée... La plupart des morceaux sont assez répétitifs et mous, ce qui peine à attirer notre attention.

Plus de pep's à certains moment (comme Conquest Of Spaces) auraient pu casser la linéarité de cet opus.

Personnellement, je trouve dommage le fait que tout les morceaux soient calibrés radios. Les orchestrations se répetent trop dans un même morceau ce qui empechent de bonnes surprises...

Un coup de coeur quand même pour : The Great Escape

A suivre de près, pour son originalité. Qui sait ce que l'artiste aura à nous proposer dans les années à venir ?





The OFFSPRING
AMERICANA


Le 29 Juin 2013 par FREDJ


Oui c'est clair qu'avec cet album le groupe a décidé de se faire plein de pognon : bouh ! Les vendus ! Pff et ça se dit punk en plus ! Sérieux j'écouterais plus jamais Offspring ...
Sauf que non car cet album est hyper efficace et accrocheur ! Les refrains vous rentrent immédiatement en tête et n'en ressortiront plus jamais de toute votre vie !
C'est pour moi la plus grosse force du groupe : réussir a osciller entre des morceaux pop joyeux et l'agressivité du punk, peu de groupes peuvent se vanter d'un tel talent d'écriture.
Donc voilà j'ai adoré americana, je n'arrive jamais à résister, chaque été ça ne rate pas : j'enfourne le cd dans l'autoradio de ma caisse et c'est parti !!!!

Morceaux préférés : have you ever/staring at the sun ; pretty fly ; the kids ; why don't you get a job ; americana





ATOMIC ROOSTER
DEATH WALKS BEHIND YOU


Le 29 Juin 2013 par DAVID


Un peu le bordel ce disque. Un mix étrange entre la lourdeur de Black Sabbath et les envolées de claviers d'ELP. Vocalement on retrouve du ELP également pour les mélodies. Hésitant un peu entre ces 2 directions, Atomic Rooster nous offre pourtant de belles choses, comme ce titre d'ouverture plombé, le seul titre noir et inquiétant du disque en fin de compte. Ou ce hit irrésistible Tomorrow night, dansant, groovy, rock en diable sur lequel piano et guitare forment une osmose parfaite. Les musiciens sont talentueux, mention spéciale à John Du Cann, chanteur-guitariste de talent qui fera plus tard de très belles choses avec le gros John McCoy et les 3/5ème de Status Quo (Francis Rossi, Andy Bown, Pete Kircher).





MASSIVE ATTACK
MEZZANINE


Le 29 Juin 2013 par EL PACHENKA


Il est sombre et un peu violent ce "Mezzanine"! Je saute des titres dans les autres albums de Massive Attack sauf sur celui-là. Pour du trip hop qui claque sur "Angel" et "Dissolved Girl", je suis preneur. Album au-dessus des deux premiers et bien plus chaleureux qu'il n'y paraît que le froid et malade "100th Window".





OMD
ARCHITECTURE AND MORALITY


Le 29 Juin 2013 par JEF DE LA LUNE


Un album magnifique effectivement, qui n'a pas pris une ride ( contrairement à Organisation par exemple ), un classique de la New Wave et de la Pop tout court, baigné d'une mélancolie sublime.Rien n'est à jeter et perso je retiens surtout "She's Leaving" qui me fait toujours autant d'effet.







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