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Igor STRAVINSKY
PETROUCHKA (BOULEZ)


Le 11 Décembre 2016 par CLANSMAN57


Une petite merveille ce "Petrouchka".
Moins brutal que "Le Sacre du Printemps", mais tout aussi réussi à mes oreilles.
Plus coloré, effectivement, ainsi que féérique comme peut l'être "Ma mère l'Oye" de Ravel, pour comparer avec un autre ballet mettant en scène un conte (ou plusieurs pour le Français).

Et pour le coup, contrairement au "Sacre...", j'adore m'imaginer en train de me promener au milieu de cette foire très animée à Saint-Petersbourg.

Un mage donne vie à trois marionnettes, à savoir Petrouchka, le Maure et la ballerine.
Les trois personnages principaux sont des poupées qui peuvent ressentir des émotions telles que l'amour, l'indifférence, la jalousie etc...

Belle description de la chambre de Petrouchka, qu'on imagine sans peine très sobre avec une petite table poussiéreuse en son milieu, le piano enjoué démontre qu'il ne s'y déplait pas et qu'il possède un bon fond.
Le domaine du Maure contraste pas mal avec celui du héros, la ballerine danse pour lui, sans doute enivrée par ses richesses, Stravinsky y dépeint un personnage méchant par des notes plus sombres.
Les deux amants finissent par danser une belle valse.

La caméra délaissera la pièce et se tournera vers d'autres évènements qui se déroulent lors de cette foire, des numéros divers interprétés par des humains.
Une chouette compilation brève de ces numéros plein de vie.
Puis l'objectif se dirigera à nouveau sur la scène de théâtre lorsque le Maure et Petrouchka se battent, sans doute pour le coeur de la ballerine.
J'adore cette mise en scène qui permet de "voir" autre chose que la pièce et qui revient sur celle ci lorsqu'elle se veut plus violente.

Petrouchka perd la vie et pendant les dernières scènes, la foule semble cesser toute activité, bouche bée devant le corps inerte de la marionnette.
Les plages qui suivent sont quasi silencieuses et bien raccord avec cet évènement tragique.
Quel contraste avec les tableaux précédents si animés!

Bref, c'est un réel plaisir que de se plonger dans cette oeuvre encore une fois très cinématographique et carrément magique.
L'influence Debussy est moins présente je trouve, voire inexistante, à part pour le pendant "imagé" de l'ouvrage.

Et puis maintenant je sais que Petrouchka, c'est un mec!











MANO NEGRA
BEST OF


Le 10 Décembre 2016 par VIV


Je connais bien les albums de la Mano, et bizarrement j'adore ce Best of, et y trouve de l'intérêt, au delà des inédits. Les Best of sont bien souvent remplis d'impasses, ou alors sont édités sur 2, 3 disques voire un coffret multi cd, du coup on peut se retrouver a ne plus savoir quoi ecouter entre albums et les compilations multi disques. Ici, cest simple tout tient sur un cd. Le choix des morceaux et surtout leur agencement et enchaînement ont été parfaitement étudié. Je recommande à 200% ce best-of à ceux qui ne connaissent pas, ou peu, ou juste de nom... ce groupe.





MANO NEGRA
CASA BABYLON


Le 10 Décembre 2016 par VIV


Album très lassant et décevant, peu d'intérêt comparé aux trois premiers de la Mano. Je ne conseille pas cet album, à part pour compléter sa collection éventuellement...
Le joyeux bazar, plein de richesses musicales et de prise de risques tous au long des autres albums est passé.
Album sans âme, contrairement aux premiers albums solo de Manu Chao qui seront quelques années après, bien plus intéressants !





MANO NEGRA
KING OF BONGO


Le 10 Décembre 2016 par VIV


Du rock bien cuivré ! Ce joyeux bazar deborde d'énergie et mélange pas mal de styles, plein d'humour et de bons riffs, tous instruments confondus. Mon préféré de la Mano.





DIRE STRAITS
BROTHERS IN ARMS


Le 09 Décembre 2016 par ESKAPEESKAPE


La pochette est très belle, mais je trouve cet album pénible au possible.
Je n'aime pas le son, il est lassant, c'est mou etc.
On écoute Money for Nothing et puis on n'y revient pas.





LINKIN PARK
MINUTES TO MIDNIGHT


Le 09 Décembre 2016 par AZER


"Vois tu, petit, le monde se divise en deux catégories. Ou trois. Voir même quatre, dix, une infinité, dépendant de ce que l'on considère. Mais une chose est sûre, quelque soit ta position dans ces catégories, les faits sont têtus. Ce qui varie c'est la capacité de tout un chacun à les reconnaître."

Il y a 6 ans cet album était mon préféré. Je l'écoutais en boucle, persuadé que rien de meilleur n'existait. Il m'a tenu compagnie durant de nombreuses veillées toutes adolescentes, et je me persuadais un peu plus à chaque fois que chacun de ses morceaux étaient géniaux, et que LINKIN PARK avaient accouché d'une œuvre intemporelle. Jusqu'au jour où, lassé, je me suis lancé à le recherche d'un autre artiste à écouter. Et un autre, et encore un autre. Jusqu'à sortir du Métal pour écouter de la musique électronique. Puis du Rock. Puis de la pop. Puis du rock progressif, de la musique contemporaine, et ainsi de suite.
Ma culture musicale (et générale) a évoluée, chaque œuvre supplémentaire étant une étoile de plus dans ce qui commençait à ressembler à une galaxie. Galaxie donc chacune des branches se classait selon les astres qu'elle contient,plus ou moins brillants. Le monde est resté identique, seule ma façon de le percevoir a évolué.
Cet album est resté le même, malgré les années. Mais si son contenu n'a pas changé, mon recul par rapport à la lumière qu'il émet, est lu, bien plus important. Et que cet astre est terne, étriqué, commun, par rapport aux superbes nébuleuses gorgées d'étoiles scintillantes dont l'espace regorge. Il eut été dommage de rester fasciné par une naine bleue quand il suffisait d'un peu se reculer pour contempler tant de lumières plus intenses.

Il est facile de se dire que l'on connaît le monde si l'on n'observe que ce qui demeure sous notre nez. Plus notre vision se fait nette et affûtée, plus cette impression illusoire de tout savoir s'efface, pour laisser place à l'appréhension et l'angoisse de l'inconnu, heureusement secondé par l'émerveillement que ce dernier suscite.

A bien y réfléchir, il n'y a que les simples d'esprits pour se contenter de ce qu'ils voient. La vérité se cache bien au delà de la ligne d'horizon.






The ROLLING STONES
BLUE AND LONESOME


Le 09 Décembre 2016 par LE KINGBEE


Je ne parlerais pas du contenu, Bayou s'étant chargé de le faire. Souhaitons peut être naïvement que ce "Blue And Lonesome" serve de levier au Blues, à l'instar de Stevie Ray Vaughan qui avait permis à une époque de relever un brin l'intérêt des auditeurs et des néophytes pour le Blues.





Neil YOUNG
NEIL YOUNG


Le 06 Décembre 2016 par ESKAPEESKAPE


Juste pour cette chanson: I've Been Waiting For You

Génialissime !
+5





Igor STRAVINSKY
LE SACRE DU PRINTEMPS (KARAJAN)


Le 06 Décembre 2016 par AIGLE BLANC

Cher Clansman57

Oui Wicker Man, le film avec Nicolas Cage, est un remake du film anglais éponyme de Robyn Hardy sorti en 1972 environ. Le film original est un chef-d'oeuvre et c'est la raison pour laquelle j'ai refusé de visionner son remake. On ne refait pas un chef-d'oeuvre.
A noter Christopher Lee dans le rôle du comte de l'île où se déroulent les événements du film.





SLY & THE FAMILY STONE
THERE'S A RIOT GOIN' ON


Le 06 Décembre 2016 par ANGEL D


Il était impossible de faire un 2èm "stand" . Celui-ci était en quelque sorte un sommet .

Légèrement plus sombre que ces précédents disques, "stand" en était une synthèse.
Sly avait gardé la même recette en poussant tous les bouchons plus loin .

2 ans plus tard, sly se réinvente avec "there's a riot goin on".

Si les gens lui mettent 2 ou 3 sur 5, c'est probablement parce qu'ils n’ont, pour la plupart, pas pris le temps de le digérer.

Une fois qu'on s'y acclimate, ce disque est une intraveineuse.
Une sorte de partouze sonore, une musique de plus en plus funk mais pas que (sly reste sly), mais surtout une musique noire, dépressive et psychédélique.

Le côté enjoué a pratiquement disparu, les tempo se font globalement bien plus lents, la basse encore plus présente, et les boîtes à rythme s'invitent largement à côté des percussions.

Un disque novateur et inspiré avec des guest stars de grand luxe (Bobby womack et l’excellent Billy Preston (Beatles, Rolling Stones), décidément toujours dans les bons coups à l'époque.

Sly laisse des repères un peu partout ."Family Affair" et "Runnin Away" séduisent à la première écoute.
La basse gonflée à bloc sur "Luv n Haight" et l'entraînant "Brave and Strong" marquent assez vite.

Le reste, on l'apprécie avec un peu plus de temps mais c'est vraiment le disque à écouter d'une traite.
Les deux "jam" à chaque fin de face ( "Africa ; Thank you") impressionnent de groove et planent à souhait, enfoncent le clou et nous convertiront à coup sûr à ce groove venu d'ailleurs.

Un disque vraiment unique.





Igor STRAVINSKY
LE SACRE DU PRINTEMPS (KARAJAN)


Le 06 Décembre 2016 par CLANSMAN57


Il est viril ce printemps russe, l'hiver se fait botter les fesses bien correctement.
Tu m'étonnes que cette oeuvre a fait couler beaucoup d'encre à l'époque.

Elle me ferait presque penser à une BO de film d'horreur mettant en scène un printemps sans pitié qui poursuit un pauvre hiver complètement apeuré, lequel a bien du mal à se cacher.

Sinon, on sent tout de même l'admiration pour Debussy, c'est tout aussi cinématographique.

En ce qui concerne l'histoire du ballet, tout comme avec "La Mer" de Debussy (ou d'autres de ses oeuvres), je préfère me laisser aller au ressenti de ces notes souvent brutales plutôt que de m'imaginer une histoire de sacrifice de jeune vierge.
Une histoire qui me fait par ailleurs beaucoup penser au "Wicker Man" d'Iron Maiden, ou au film du même nom, avec Nicolas Cage (qui a reçu un Gérard pour ce film il me semble... un remake, si je me trompe pas).

Une oeuvre étonnante, à part, tempestueuse, mais pas que.






Glenn HUGHES
RESONATE


Le 02 Décembre 2016 par HEART OF STEELE

Comblé de voir (enfin) cet immense artiste chroniqué sur FP. Connaissant ces précédents albums solo ainsi que les passables Black Country Communion et le "un peu meilleur" California Breed, j'incite tous les lecteurs de la très bonne chronique de mon collègue Jasper à découvrir cet album qui semble détenir le Groove universel. Ce mec assure grave....





RUSH
ROLL THE BONES


Le 02 Décembre 2016 par CéDRIC


un excellent album qui respire la classe sûrement le meilleur album du groupe pour la période 90s avec counterparts





HOT TUNA
BURGERS


Le 01 Décembre 2016 par YANN 77


En train de finir d'écouter le bestiaux et pourtant pas friand de ce genre musical, j'avoue m'être fait apé au fur et à mesure pour finalement me laisser prendre au jeu, j'ai trouvé les 5 premiers albums à petit prix et aimant plutôt bien le vaisseau mère, j'ai voulu tenté l'aventure Hot Tuna (après avoir tenté celle de Starship... mais ceci est une autre histoire :( ) et bien pour l'instant j'en suis plutôt content...





Mike OLDFIELD
MAN ON THE ROCKS


Le 01 Décembre 2016 par LE KINGBEE

Pour compléter les ressentis d'Aigle Blanc, n'oublions pas que certaines chansons n'ont pas toutes les mêmes noms d'auteur compositeurs. Certaines accréditations diffèrent selon l'origine des différentes SACEM. (principalement entre la France et l'Angleterre)
Par contre, il y a bien eu dans l'histoire de l'Industrie du Disque des plagiats flagrants et dénoncés juridiquement. Plusieurs noms viennent à l'esprit, le sieur Stevie Wonder ou Santana.

Rajoutons pour conclure que certains britanniques célèbres (Jaegger, Van Morrison) se sont souvent battus pour que de vieux bluesmen (ou ayant-droit) touchent les gains dont ils avaient été spoliés.





Mike OLDFIELD
MAN ON THE ROCKS


Le 30 Novembre 2016 par AIGLE BLANC

De plus, pour surenchérir sur mon précédent commentaire, je tiens à rappeler que chaque jour des artistes sont spoliés de leurs droits d'auteur depuis l'existence du téléchargement illégal, et que presque personne parmi la communauté des auditeurs consommateurs ne s'en offusque.

Alors ce ne sont pas quelques notes identiques d'un titre à l'autre qui seront aptes à détruire la légitimité d'un auteur.

Le téléchargement illégal fait plus de mal qu'un plagiat supposé.





Mike OLDFIELD
MAN ON THE ROCKS


Le 30 Novembre 2016 par AIGLE BLANC

La mention de plagiat est un procès d'intention qui n'est valable que du point de vue juridique. Mais si l'on se place exclusivement du point de vue artistique, le plagiat n'a plus aucun sens.
En effet, la gamme de notes restant invariablement la même pour tous les musicien qui y recourent et compte tenu de l'intensité de la production musicale, il semble presqu'inévitable que la composition d'un artiste évoque en des proportions plus ou moins larges celle d'un autre.
King Crimson lui-même, si l'on veut chercher la petite bête, a pu composer un titre qui ressemble à celle d'un autre artiste.

Franchement, Mike Oldfield n'a pas besoin ni de MAGMA ni de KING CRIMSON pour assurer sa légitimité d'artiste. Son inspiration, il ne la doit qu'à lui-même, mais aussi aux musiques qui l'ont forcément inspiré.

KING CRIMSON avait porté plainte aussi contre Pierre BACHELET pour le même motif du plagiat honteux. Cela me fait rire !! Franchement, il vous arrive, vous, de confondre KING CRIMSON et Pierre BACHELET du point de vue musical ?

"Le plagiat" semble inévitable donc. Aucun artiste n'en est à l'abri, même involontairemnt.





Mike OLDFIELD
MAN ON THE ROCKS


Le 30 Novembre 2016 par BOUBOU62


quand vous parlez d'une légère note de ressemblance du titre nuclear avec epitaph de king crimson, je parlerais plutôt d'un plagiat, écoutez l'un derrière l'autre vous aurez tout de suite compris. Cela n'empêche pas que j'aime beaucoup Mike Oldfield
cordialement





Glenn HUGHES
RESONATE


Le 30 Novembre 2016 par MYSELF


En plus d'avoir toujours su préserver sa voix du temps qui file il semble que Glenn Hughes a également su conserver tout son inspiration!
Après de récentes contributions au sein de BLACK COUNTRY COMMUNION, CALIFORNIA BREED d’excellentes factures, "The Voice of Rock" a décidé de nous offrir une nouvelle galette mais cette fois-ci en solo.
Le résultat est au delà de toutes les espérances! Cet album est en effet l'album solo le plus heavy de la carrière de Glenn Hughes.
L'album est lourd, la basse groove à souhait, les synthés sont bien mis en avant. Enfin l'album est très bien produit avec un son moderne dans l'ère du temps.
Aucun passage à vide n'est à relever.

top: "Flow" : lourd, puissant, une tuerie!
"Let it shine": quel goove!
"Steady" : du Deep Purple!
"God of money": l'ambiance, le refrain!
"Landmine": Superbe morceau FUNK.
5/5





VANGELIS
CHARIOTS OF FIRE


Le 28 Novembre 2016 par DJINN


J'ai pensé à peu près la même chose à l'écoute: "C'est court, mais il y a quand même du remplissage (Eric's Theme, 100 metres) et le long morceau est grotesque".

Mais ça me rappelle Sport Eté.







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