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DAFT PUNK
GET LUCKY


Le 07 Mai 2013 par MRPIXEL


Critique un peu dure envers Daft Punk ! Pour en revenir à la chanson, certes, ça sonne pas très Daft Punk, mais justement Daft Punk c'est quoi ? Ils font avant tout de l'Electro, mais ce n'est pas rare de les voir passer par d'autres styles comme de la Funk, de l'Electro-Rock ou encore du Disco, un groupe plutôt éclectique en gros. Avec ce morceau le groupe se rattrape bien après la catastrophe "Human After All" et il fait partie de ces titres dont on ne se lasse jamais et qui mettent de bonne humeur. Ca fait du bien de les voir revenir en force ! ^^





IAM
ARTS MARTIENS


Le 06 Mai 2013 par LOUVOIR


Le retour d'IAM en studio me laissait dubitatif. Et plus dubitatif encore depuis que j'avais entendu le premier morceau dont les radios raffolent : "Spartiate Spirit". Ce morceau me semblait de l'acabit de ceux qui figuraient sur les deux précédents albums, c'est à dire pas mauvais, mais pas très enthousiasmant non plus, avec un son US qui ne convient décidément pas à ce groupe. Et puis les paroles me paraissaient à la limite du supportable. Vous êtes toujours là, d'accord mais pourquoi ? Vous êtes vous posé la question?

A l'écoute complète de l'album, force est de constater que oui, les marseillais se sont bel et bien posé cette question. Aujourd'hui plus que jamais, on a besoin de dire les choses que d'autre taisent. On a besoin de briser des tabous et de mettre la France face à elle-même.
Et IAM à vraisemblablement trouvé dans cette réponse la force nécessaire pour accoucher de cet opus qui est tout simplement leur meilleur depuis "L'Ecole du Mirco d'Argent".

La grande force de cet album, ce sont sans aucun doute ses instrus, ses beats ("Notre Dame Veille"...). On est bien loin du son en vogue actuellement et qu'on veut nous faire croire représentatif du rap français. On reconnait la patte d'IAM, l'association de Kheops et Imhotep est encore une réussite.
Parfois, on a pourtant l'impression de se retrouver sur un album de Shurik'n plutôt que d'IAM. Beaucoup de sons asiatiques, de références à la chine médiévale, comme l'oncle Shu le faisait sur son album solo "Où Je Vis". Ce n'est peut-être que mon impression mais je sens AKH un peu en retrait sur cet album, même si les deux MCs se partagent le micro à part égale.

Au niveau des paroles, il y a moins de colère brute et froide comme cela pouvait se ressentir sur certains titres de "L’École du Micro d'Argent". Elle a été remplacée par un regard désabusé mais non dénué d'espoir. Les rimes sont plus calmes, moins agressives. Mais IAM n'en baisse pour autant pas les bras. Il continue à faire son rap de quadras en revoyant au tapis une grande partie de la concurrence. Écoutez par exemple "Benkei Et Minamoto" pour vous en convaincre.

En conclusion, le rap est aujourd'hui une musique qui a du vécu. Ses plus dignes représentants sont maintenant ceux qui on débroussaillé le genre, qui lui on donné ses lettres de noblesse. La relève n'a que peu de choix, à part imiter ses aînés. Comme dans de nombreux autres genres, cela sera difficile.
Heureusement donc que les tauliers sont encore debout et qu'ils sont encore capables de pondre des albums de cette trempe. Jetez-vous sur cet album les yeux fermés, c'est un disque majeur du rap français. Je lui met un 4 (qui vaut un 4,5) car il reste légèrement en dessous de "L’École du Micro d'Argent".





Ludwig Van BEETHOVEN
SYMPHONIE N°5 (KARAJAN)


Le 04 Mai 2013 par CHIPSTOUILLE

De même que pour les symphonies 1 & 4 ou les symphonies 2 & 7, la chro des symphonies 5 & 8 a été remplacée par une chronique dédiée à la symphonie n°5.

Chronique de la symphonie n°8, avec un peu plus de détails cette fois ci, à venir.





Ludwig Van BEETHOVEN
SYMPHONIE N°2 (KARAJAN)


Le 04 Mai 2013 par CHIPSTOUILLE

De même que pour les symphonies 1 & 4, la chro des symphonies 2 & 7 a été remplacée par une chronique dédiée à la symphonie n°2.

Chronique de la symphonie n°7 à venir.





Ludwig Van BEETHOVEN
SYMPHONIE N°1 (KARAJAN)


Le 04 Mai 2013 par CHIPSTOUILLE

Bonjour à tous,

Après Mendelssohn, c'est au tour de Beethoven de subir quelques retouches. L'ancienne chronique des symphonies n°1 & 4 par Karajan a donc été remplacée par une chronique centrée sur la première. Une autre chronique de la symphonie n°4 est à paraître. On s'excuse auprès des lecteurs tardifs, qui ne comprendraient pas le commentaire d'Albiréo :)

A noter que contrairement aux chroniques des symphonies de Mendelssohn, celles de Beethoven ont été plus que simplement retouchées, à bon entendeur...





NIRVANA
NEVERMIND


Le 04 Mai 2013 par RAMON


Kurt Cobain, piètre musicien, piètre chanteur...J'adore quand les chroniqueurs émettent ce genre d'arguments...Certes, ce n'est pas la technique qui obnubilait l'ami Kurt, oui mais voilà: quand tu bosses dix heures par jour avec tes potes, sept jours sur sept et que tu as donné des centaines de concerts comme c'était le cas de Nirvana, tu deviens automatiquement bon.
Cet album fut enregistré sur bandes, pas de pro-tool pour masquer les défauts, remettre la note en place, pas d'auto tune sur la voix non plus...
Combien de grands vocalistes sont-ils capable de se déchirer le larynx pour nous envoyer un Breed de derrière les fagots ? Smells like teen Spirit ? Lithium ?
Sans compter que sur le registre de l'émotion, cela donne un Something in the way ténébreux et envoûté à filer des frissons.
Certes, pour réaliser l'album, Butch Vig capte tout, laisse défiler la bande sans prévenir les boys qu'il les enregistre, leur fait parfois remettre l'ouvrage sur le métier, et au final assemble des bouts choisis parmi des heures de bandes, ok...Les Eagles ou Fleetwood Mac ne procédaient pas autrement.
(des nuls probablement)
Le producteur convainc Kurt Cobain de doubler sa voix en lui expliquant qu'ainsi faisait (saint) John Lennon, il fait de même avec Dave Grohl auquel il demande de placer de discrètes harmonies ça et là ( Polly, Come as you are...)
Kurt est réticent mais il finit par accepter les options proposées par Butch Vig.
C'est Andy Wallace qui réalise le mixage, s'étant fait une réputation avec entre autres Slayer ou Faith No More, il est choisi afin d'éviter que l'ensemble ne sonne trop pop.
Au final Nevermind, malgré les critiques de Kurt qui le trouvait trop lisse, va bel et bien révolutionner le landernau musical: fini les productions trop léchées, les synthés abominables , la reverb sur la batterie, les coupes de cheveux vaporeuses, le politiquement correct et les bons sentiments frelatés...Sting, Phil Collins, Michael Jackson mais aussi le Hair Metal, tous ringards du jour au lendemain et bon sang que ça fait du bien!
La dernière révolution du rock a eu lieu en 1991.
Depuis rien et ça commence à dater...Alors on a le droit de penser ce que l'on veut de ce Nevermind, de ne pas l'aimer, de croire que la Terre est plate et que c'est le soleil qui tourne autour, il n'empêche que l'on tient bien là un opus indispensable et incontournable de la grande discographie du rock'n'roll.






NIRVANA
IN UTERO


Le 03 Mai 2013 par MRPIXEL


Seulement 2 pour cet album ? Sacrilège !!! Certes, on est beaucoup moins dans l'esprit de "Nevermind", ici c'est beaucoup plus sombre et moins accessible. Le groupe tente de nouvelles choses comme des morceaux à la fois calmes et électriques comme "Pennyroyal Tea" ou "Dumb". Nevermind c'etait 1584 fois mieux, mais cet album n'est vraiment pas à jeter...





SUEDE
COMING UP


Le 03 Mai 2013 par A.T.N.


Une tuerie ! J'aurais inversé les étoiles (4 pour le précédent, 5 pour celui-là), car cet album est une collection de tubes potentiels, avec un gratteux tranchant et un son glam de folie. Peut-on mieux démarrer un album de pop-rock qu'avec "Trash" ? Un des tous meilleurs albums des nineties.





STING
IF ON A WINTER'S NIGHT


Le 02 Mai 2013 par P


inintéressant, sant intérêt. J'ai essayé d'écouter une fois, et je n'ai pas tenu jusqu'au bout. Pourtant, c'était au moment des fêtes.





DEEP PURPLE
BURN


Le 02 Mai 2013 par MARTINE GUIMBARDE


Cet album provoque la même déception que Fireball... il démarre sur les chapeaux de roues et continue de façon beaucoup moins puissante et plus cool, limite pop rock à certains moments. A l'instar de Fireball, on aurait aimé avoir un album ayant la plupart des chansons comme "Fireball", ici c'est la même chose pour Burn.
Quoique Fireball reste charmant, mais Burn me déplait : la voix du chanteur change tout à fait par rapport à celle de Gillan aigüe et puissante sans que ça soit non plus du Geddy Lee (de Rush) ou là c'est trop aigu.
Might Just Take Your Life : pas remarquable du tout, limite banale.
Lay Down Stay Down : déjà plus entrainante, dommage qu'elle soit absente des concerts ça aurait pu déménager la baraque.
Sail Away : totalement inintéressante, pas de riff accrocheur, le ton est déjà plus bluesy, ce qui s'aggravera par la suite avec lui, bref c'est à zapper.
You Fool No One : Deep Purple est spécialiste des concerts, et comme souvent (dont ici) les versions studio de ce qui en live seraient des bombes, sont médiocres (même remarque pour Mistread).
A 200 : Qu'est ce que ça fout là cet instrumental idiot ? Il fallait combler un vide ? Pourquoi pas alors mettre Conoderian Redding, la face B du single Burn ? Au moins ça ressemblait à quelque chose...





DIRE STRAITS
ON EVERY STREET


Le 02 Mai 2013 par GURTU


Je n ai jamais compris pourquoi Dire straits etait considere comme un groupe.

Dire Straits n'est uniquement que Mark Knopfler.

Il compose tout, fait tous les arrangements, chante et change de musiciens quand ça lui chante (frère ou pas !).

Le seul à être resté tout le long de l'aventure est John Illsley, non pas pour ses qualités de bassiste (la preuve Knopfler a embauché Tony Levin) mais parce que c'est un excellent comptable gérant parfaitement la fortune amassée par la marque Dire Straits.

Contrairement à par exemple The Police où même si Sting composait pratiquement tout, le jeu de guitare d'Andy Summers et la technique et la sonorité à la batterie de Stewart Copeland étaient indispensables au "groupe".

Mark Knopfler n'a besoin de personne en particulier pour faire du Dire Straits ,enfin heu... du Knopfler,enfin... vous m'avez compris.





SAGA
WORLDS APART


Le 02 Mai 2013 par MARTINE A LE CANCER


D'habitude j'ai rien contre le son 80's, parfois je trouve ça plaisant, mais ce groupe là, avec tout le bien qu'on en a dit sur cet album, j'ai jamais su l’apprécier. J'ai envie de dire que c'est un album ou il aurait peut-être fallu avoir vécu ado dans les années 80 pour aimer ce son, mais là c'est vraiment une overdose de son 80's à chaque chanson. Autant j'adore le premier Asia, mais ce album là est vraiment à chier.





DEEP PURPLE
FIREBALL


Le 02 Mai 2013 par MARTINE ACHETE BIO


A mon humble avis ils auraient du pour cet album :
- ajouer I'm Alone quelque part ainsi que Strange Kind Of Woman (présent dans la version US)
- enlever ces passages à vide et sans intérêt dans Fools pour aller droit au but
- ajouter un petit solo de batterie dans The Mule au lieu de ce truc incompréhensible et sans intérêt
- raccourcir no no no






AC/DC
FOR THOSE ABOUT TO ROCK WE SALUTE YOU


Le 02 Mai 2013 par MRPIXEL


Un album qui est la suite logique de "Back In Black", même son, même producteur... Sauf que "Back In Black", c’était un peu mieux ! Mais ne boudons pas notre plaisir, l'album reste excellent et est clairement sous-estimé ! Il suffit d'écouter "Put The Finger On You", "Let's Get It Up" ou bien évidemment le superbe final de "For Those About To Rock" pour constater que nos amis australiens n'ont rien perdu de leur énergie et sont toujours au top ! Un très bon album de AC/DC donc, et un des meilleurs avec Brian Johnson !





BLACKFOOT
SIOGO


Le 01 Mai 2013 par RAMON


Voilà ce qui arrive quand on laisse la direction artistique d'un groupe à... son manager !!!
En d'autres temps, Brian Epstein qui avait osé donner le quart du début de commencement de son avis sur une prise d'une chanson des Beatles s'était fait humilier devant tout le monde par John Lennon : chacun son rôle, le business pour l'un, la création pour les autres épissetouut !!!
Là, on pourrait penser que de grands gaillards couillus qui ont écumé les pires bars du sud des USA et affronté tous les rednecks bodybuildés à la Bud pour se faire respecter auraient eu au moins le même répondant...Il faut croire que non.

A l'époque, les radios US sont inondées par les bluettes AOR des TOTO, FOREIGNER, JOURNEY et j'en passe et des (bien) pires.
Même en Europe, quelques vénérables anciens du hard rock s'y mettent et Deff Leppard cartonne, donc on édulcore.
C'est donc le manager de Blackfoot qui impose Ken Hensley, personnage tout à fait recommandable au vu de son œuvre chez URIAH HEEP même si l'abominable Conquest aurait du nous mettre la puce à l'oreille de bison.
Ricky Medlocke, leader du groupe y trouve là l'occasion d'utiliser le talent de l'entrant pour les parties de guitare slide. Soit.

Alors je suis assez d'accord avec la chronique concernant les morceaux, cet album n'est pas à jeter, même si une squaw aurait du mal à y retrouver ses pawnies tant l'écart de style avec le formidable et récent Hihgwaysong Live est grand.

Le suivant sera (malheureusement) bien pire, le groupe a bel et bien vendu son art (à défaut de son âme) au business pour un résultat qui décevra les fans des premiers disques et n'attirera aucunement les amateurs de musique aseptisée, nos gaillards n'ayant pas grand chose de glamour, les coupes de cheveux vaporeuses leur seyant comme un peigne à un chauve.





Bruce SPRINGSTEEN
NEBRASKA


Le 30 Avril 2013 par RAMON


Bah, oui...Un grand oui même pour ce Nebraska qui suinte l'huile de vidange, la sueur sous les aisselles ou encore l'alcool de mauvaise qualité.
Le vent soulève la poussière, les bicoques tombent en latte, la société se délite loin du regard de élites, qui n'ont d'yeux que pour le Dieu Dollar, pendant que ceux qui croient encore au rêve américain en sont réduits à jouer leurs économies dans un casino d'Atlantic City.
Les autres, les désabusés, les désaxés, vont se saouler dans des bars open all night, rêvent de tailler la route dans leur used car, vers un eldorado chimérique, quand ils ne commettent pas directement des braquages et tentent d'échapper à un Higway Patrol Man qui a choisi le côté de la loi qui autorise l'utilisation violence contrairement à son frangin.
Même si malgré la misère il existe des Reason to Bielieve et que l'on a appris les valeurs de la solidarité dès l'enfance dans la Father's House, l'ensemble demeure sombre et pesant: Johnny 99 était probablement un chic type, mondialement célèbre dans sa cambrousse mais ce n'est qu'un pion dans le jeu, il dérapera et sera balayé comme un fétu par le vent d'été du Nebraska, état central en proie aqux tornades, d'une platitude désespérante.
Quand le Boss fait écouter la cassette démo qui contient ces chansons à Steve Van Zandt, son guitariste afin d'envisager les futurs arrangements du E.Street Band, celui-ci lui conseille (terme exact et vérifié...private joke pour Erwin) de les conserver en l'état. A noter que Born in the USA, faisait partie du lot.
Le Boss n'est pas Elvis, il décide donc d'être un orchestre à lui tout seul: guitare, voix et harmonica, pratiquement aucun overdub, le tout capté sur du matériel archi basique dans le salon du Boss.
Le plus beau dans l'histoire, c'est que ça fonctionne au delà de toutes les espérances, c'est beau, c'est intense autant que c'est courageux...bien plus convaincant que le suivant sur la liste, surproduit et qui a bien mal vieilli.
Le meilleur Springsteen ? C'est mon avis.
Remember:Less is More.





The ROLLING STONES
BEGGARS' BANQUET


Le 30 Avril 2013 par BABAR


Avant Beggars', les Stones ont sorti quelques petites pépites, des singles surtout, trois albums plutôt bons mais très loin de mérité le qualificatif de "chef d'oeuvre". Les Stones se sont avant tout les rois des Hits, de "Satisfaction" et "Paint It Black" en passant par "Get Off Of My Cloud" ou "Under My Thumb" (aucune idée si elle a cartonné ou pas à l'époque mais ça reste l'une de mes chansons préférées du groupe) et, surtout, juste avant la sortie de ce "Banquet de Mendiants", "Jumpin' Jack Flash" aka "ce que le rock devrait toujours être".

Mais voilà que débarque ce "Beggars' Banquet", premier volet d'une quadrilogie mythique regorgeant de chef d'oeuvre. L'album qui transforme véritablement les Stones de grand groupe de rock à "Greatest Rock And Roll Band".

Et quoi de mieux pour ouvrir cette quadrilogie qu'un morceau mythique parmi les morceaux mythiques : "Sympathy For The Devil", les Stones au sommet. L'un de leur tout meilleur titre (je ne mets que "Gimmie Shelter" et "Satisfaction" devant, ou ptet "Doom And Gloom" aussi...) et c'est pas peu dire.

Derrière ça se calme un peu (mais en même temps comment continuer au même niveau ?) mais tout l'album reste simplement génial. Entre Blues et Rock de A à Z avec quelques sommets par ci par là ("No Expectations", "Street Fighting Man" et "Stray Cat Blues" avec une mention spéciale pour "Jigsaw Puzzle" qui est pas mal non plus)) avant de se finir en apothéose avec "Salt Of The Earth", morceau trop peu connu et entamé par la voix si rock'n'roll de l'ami Keith.

Le premier chef d'oeuvre des Stones disais-je en intro, pas le dernier.





The ROLLING STONES
THEIR SATANIC MAJESTIES REQUEST


Le 30 Avril 2013 par BABAR


Les Stones, j'adore, le psyché, j'aime bien, mais là c'est ptet un poil "too much". Non pas que l'album soit mauvais, (très) loin de là, mais j'ai parfois l'impression d'avoir pris un peu trop de narcotique alors que je suis clean. C'est l'effet que doit avoir le psyché ? Yaya je sais, mais là c'est plutôt du style "bad trip", pas vraiment la fête.

Bon, je dis ça, mais j'aime beaucoup "2000 Light Years" morceau joliment barge (entendu dans MIB 3... nan ? MIB ? Sisi sans blague...) ou "Sing This All Together" et "She's a Rainbow" qui sont sympathiques et sonnent un peu musiques de kermesse (je sais même pas si ça existe mais c'est à ça que ça me fait penser...).

Ma préférence va quand même à "Citadel" ou "2000 Men" (Their Satanic Majesties serait donc l'album du chiffre 2000), en plus de la première musique citée (2000 Light Years pour ceux qui suivent pas). La première pour son riff de guitare qui nous rattache un peu aux Stones tels qu'ils ont toujours été avant et après cette parenthèse (OK, z'ont fait du disco dans les 70's 80's mais on va faire comme si ça n'avait jamais existé) et la seconde... je sais pas, son début planant tout doux, comme apaisé... un titre vraiment réussi.

Bon, en-dehors de ça y'a quelques belles tâches qui traînent dans le coin. Je ne m'étendrais pas sur "Gomper" et "On With The Show" qui sont insupportables à mes yeux (même mal chanté pour la seconde) et taperais plutôt sur l'instrumentale de "Sing This All Together", trop longue et (beaucoup) trop psyché pour moi (j'ai mal à la tête chaque fois que je l'écoute). Sans déc, faut vraiment être accro aux champis pour écouter ce truc.

L'autre que je trouve vraiment mauvaise c'est "In Another Land", seule contribution officielle de Bill Wyman à l'oeuvre des Stones (si je me trompe n'hésitez pas à me corriger) et je comprends mieux pourquoi. En dehors de sa voix insupportable et insipide, l'instru ne me transporte vraiment pas. En fait, le refrain est franchement bon et entraînant mais les couplets sont affreux.

Bref, l'album est l'irrégularité incarnée, une musique est bonne (parfois même très bonne pour "Citadel", "2000 Men", "She's A Rainbow" et "2000 Light Years"... ouais quasiment la moitié de l'album. C'est les Stones hein, pas de la merde) la suivante est mauvaise. A faible dose c'est supportable mais n'abusez pas trop ou c'est le mal de crâne garanti.





The RASMUS
DEAD LETTERS


Le 29 Avril 2013 par BABAR


Un soir par hasard, zappant avec ma télécommande, je me retrouve sur cette émission dont on a tous entendu parler mais que si peu ont déjà vraiment regardé. Ça m'intéresse pas, je m'apprête à zapper mais là, surprise, un jingle sympa, une musique qui me rappelle un truc. Je réfléchis pas bien longtemps, me saisis de mon pc et je lance "In The Shadows", le tube de mon entrée au collège.

Agréable, pas mauvais mais loin d'être extraordinaire. La deuxième musique commence, je m'apprête à zapper mais je me dis "allez, pourquoi pas réessayer d'écouter ce groupe ?". Je me souviens avoir passer mon temps à faire tourner mon mp3 avec cet album quand j'étais gosse. Mais je n'ai aucune idée de pourquoi j'avais décroché.

Bon, en tout cas, y'a rien à regretter. Si la 2e musique (la 3e en fait puisque j'ai commencé avec la "In The Shadows", la 2e piste) est encore largement potable, le reste est juste insipide. Des petites bonnes idées par ci par là, sous-exploité au possible et finalement un ennui magistral. Pour donner une idée à ceux qui connaissent pas, c'est à peu près aussi enthousiasmant que les mauvais morceaux de Minutes To Midnight de Linkin Park (wait... y'a des bons morceaux là-dedans ?) en plus... émo ? Faussement gothique ? Aucune idée. Je sais pas si c'est juste pas mon genre ou si c'est juste mauvais mais moi ça me gave.

Allez, gardons quand même les 4 premières pistes, pas trop mauvaises (surtout "In The Shadows" pour le kiff) et virons le reste.





INDOCHINE
ALICE ET JUNE


Le 29 Avril 2013 par PIERREMERVEILLEUX


Je trouve cet album très bon. C'est lui qui m'a fait renouer avec Indochine. Je le trouve très rock, très homogène dans son ensemble. Il n'est pas courant de voir un groupe français tenté un concept-album. Il y arrive presque.

Dès l'intro, on est plongé dans une ambiance particulière, qui donne envie d'écouter jusqu'au bout.

Comme l'auteur de la chronique, je ne comprends les 2 titres, "Aujourd'hui je pleure" et "Harry Poppers". Musicalement, ce sont 2 bons morceaux, mais au niveau des paroles, je ne vois pas le lien avec le thème d'Alice et June, surtout pour 'Harry Poppers".

Je trouve que le final avec les 3 derniers titres est excellent. Les "la-la-la" ne me gênent pas du tout, au contraire.

Un très bon album d'Indochine.







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