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The DOORS
THE SOFT PARADE


Le 21 Décembre 2024 par MASTERFAN

@Baker. Il fūt un temps, j'en serais resté à 2/5 pour cet album. Mais je pense qu'on vieillit, qu'on devient plus indulgent, peut-être à force de ne pas voir arriver la relève. Et puis c'est les Doors quand même.





Jacques BREL
LA VALSE à MILLE TEMPS


Le 20 Décembre 2024 par CLANSMAN57


De fort belles chansons sont gravées sur ce disque qui est évidemment un classique de la Chanson Française.
Merci à Popoloutcho d'avoir poussé un coup de gueule afin de faire bouger un peu les choses... Et bonne continuation à Emma pour la suite.
Bientôt Charles Aznavour j'ai vu, c'est cool, c'est un autre grand...
ça change des Balavoine, Goldman et sa descendance genre Obispo, Pagny, Fiori et j'en passe.







Gilles SERVAT
LIVE 98 - TOUCHE PAS à LA BLANCHE HERMINE


Le 20 Décembre 2024 par MADELEINE


Une petite déception personnelle avec cet album en public (disponible sur Apple Music). Trop de musiciens ensemble sur chaque chanson, ça finit par faire une certaine cacophonie comme sur « Je vous emporte dans mon coeur ». Malgré tout, et indépendamment des merveilleuses chansons que sont, dans leurs versions originelles sur l’album L’albatros fou, « La route de Kemper » et « Le moulin de Guérande », on peut déguster deux pépites : une reprise magistrale de « Kan bale Nevenoe » presque meilleure que sa version originelle sur l’album A raok mont kuit (et cette voix au summum de sa beauté puissante) et une « Irish suite » exceptionnelle !

Petite anecdote : deskiñ a ran brezhoneg dans le but unique de comprendre les chansons de Gilles en breton mais c’est presqu’un « devoir national » pour l’arrière-petite fille d’un terre-neuva de Saint-Malo que je suis ;)





Lou REED
LIVE : TAKE NO PRISONERS


Le 20 Décembre 2024 par BLUEMASK


Il y a deux sortes de musiciens en live: ceux qui reproduisent à l'identique leurs titres en s'autorisant parfois quelques infractions en improvisant ou développant, et ceux pour qui leur titres sont la matière de départ, matière qui peut être malaxée, transformée pour aller ailleurs. Dylan est l'un d'eux, Lou Reed également, particulièrement ici et c'est un bonheur.
Mick Jagger considérait 'Take no prisoners' comme une des plus grandes captations live et il n'est pas loin d'avoir raison. Prise de son incroyable, on se croirait à côté du loup, morceaux d'anthologie complètement transfigurés et un chanteur plein de morgue et de cynisme qui profite de ses chansons pour improviser, faire de blagues, raconter sa vie, celle des autres. Mais jamais au détriment de la dynamique.
Ainsi 'Sweet Jane' étire sur près de 10 minutes son meilleur riff du monde en mode élastique, 'I wanna be black' commence par une longue plage que l'on croirait menée par Charles Mingus, le quart d'heure de 'I'm waiting for the man' devient hypnotisant, suivi dans le même mood par 'Walk on the wild side', et 'Coney Island Baby' est sidérante de beauté. Seul 'Satellite of love' finalement ne sort pas forcément grandi par ce traitement.
Lou Reed en solo était parfois rebutant par son côté austère, il est ici solaire, même si d'un soleil noir.





The DOORS
THE SOFT PARADE


Le 20 Décembre 2024 par CLANSMAN57

La chanson titre est du Proto Néo Prog:D





David BOWIE
ALADDIN SANE


Le 19 Décembre 2024 par MASTERFAN


Dans les tops de la discographie de Bowie, le sixième album ALADDIN SANE présente les atouts suffisants pour figurer en outsider crédible. A cette époque, l’aura de l’artiste est à son paroxysme. Visuellement, deux petits coups de crayon « éclairs » sur le visage le porte au statut d’icône. Stratégiquement, l’album est à peine sorti que celui-ci se permet le luxe, au Hammersmith Odeon le 3 juillet 1973 (concert qui doit être vu par tout amateur de pop-rock au moins une fois dans sa vie) de tuer son double Ziggy Stardust et même - dans une certaine mesure - son groupe, à la stupéfaction des spectateurs (et de ses acolytes des ‘Spiders’). Mettre fin à sa schizophrénie naissante était devenue une nécessité pour Bowie-Ziggy.

Ken Scott (et non Tony Visconti, comme j’ai pu le lire sur une kro-express) est toujours aux manettes, bien que de plus en plus surveillé par un Bowie qui changera de crèmerie après le disque de reprises PIN UPS. Après Rick Wakeman sur HUNKY DORY, c’est un autre virtuose tous terrains, Mike Garson, qui est appelé en renfort au piano.

Sur une grande partie des morceaux, Garson apporte sa touche, pour le meilleur et pour le pire. Le pire, c’est certainement son intervention sur « Watch that man », qui porte bien trop à mon goût l’influence de EXILE ON MAIN STREET. Il n’apporte pas grand-chose non plus à la reprise des Stones « Let’s spend the night together » qui vient ici en piste 8 comme un cheveu sur la soupe. J’ai toujours en tête ce personnage du pianiste de saloon des BD de Lucky Luke, avec son écriteau « ne tirez-pas sur le pianiste » (ce n’est pas l’envie qui m’en manque lorsque ces mecs-là investissent un disque pop).

Le meilleur, c’est tout le reste, en priorité le chef-d’oeuvre absolu « Time » (pour lequel Garson a parfaitement compris ce que Bowie souhaitait) ainsi que le jeu raffiné qui vient subtilement habiller l’exquis « Lady grinning soul ». Sur « Aladdin Sane », pas mon favori ici mais très bon titre, il nous sort des choses étonnantes.

Bowie produit en pistes 3, 4 et 5 trois nouveaux classiques pas 100 % parfaits mais inaltérables à l’écoute : « Drive in saturday », « Panic in Detroit » et « Cracked actor ». Puisse un jour débarquer un nouvel artiste qui aurait en lui ce même concentré de talent (ça fait longtemps qu’on l’attend).

Quant à « The prettiest star », il est ressorti des cartons pour coller idéalement à son époque glam. Plaisir d’écoute toujours garanti, bien plus que pour le surestimé « The Jeangenie », dont la rythmique me rappelle toujours «La fille du Père Noël » de Dutronc, et qui n’en finit pas.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Time, Lady grinning soul. DELECTABLE (4,5) : Drive in saturday, Panic in Detroit, Cracked actor, The prettiest star. SEDUISANT (4) : Aladdin Sane. PLAISANT (3,5) : Néant. INTERESSANT (3) : Watch that man, The Jean Genie. EMOTION LIMITEE (2,5) : Let’s spend the night together. Bilan 4,05 et Top 5 à 4,70 : ALADDIN SANE cote pour moi 4,38 soit 17,52 /20.

Si les comparaisons entre oeuvres ‘bowiesques’ concernent souvent (outre la trilogie froide) les deux opus précédents, je considère plus cette époque comme le reflet du fabuleux tryptique HUNKY DORY / ZIGGY STARDUST / ALADDIN SANE, correspondant à mon sens au zénith de Bowie toutes époques confondues.





The DOORS
THE SOFT PARADE


Le 19 Décembre 2024 par BAKER


Soit il y a usurpation d'identité ("et ce n'est pas drôle Jim, des millions de gens en souffrent chaque année", soit Clansman57 a légèrement buggé sur ce disque ^^

Par contre assez étonné que Masterfan ne l'ait pas descendu en flèche : moi aussi, on me l'avait présenté comme une horreur lorsque je faisais mon dépucelage musical à coups de cassettes prêtées pendant le week-end. L'horreur chez mes mentors lorsque le lundi je leur sors "ben y'a rien de choquant j'ai trouvé ça bien !".

Il faut dire que je trouve particulièrement sympathique le dernier titre qui, pour le coup, sonne pour moi purement progressif - alors que le style n'en est qu'à son balbutiement. C'est inventif, mélodique, groovy, ça ressemble plus à du Marillion qu'à du Velvet Underground, donc forcément j'aime.

Et puis si vraiment les thuriféraires de DIEU JIM veulent un brin de psychédélisme gourou, il y a cette phrase mythique... "This is the best part of the trip, this is... the trip the.... the best part, I like it", où l'on sent que la tisane au chèvrefeuille n'était pas de mise dans le studio.





MARILYN MANSON
ONE ASSASSINATION UNDER GOD


Le 19 Décembre 2024 par BAKER


Ta chronique rejoint beaucoup d'autres de par le monde : "humainement et médiatiquement il est cuit... mais oh, ce dernier album, ce serait pas un des meilleurs ?"

Si difficile de séparer l'auteur et l'oeuvre... (beaucoup moins pour moi, c'est mon côté Ebenezer Scrooge)





DISNEY
TARAM ET LE CHAUDRON MAGIQUE


Le 19 Décembre 2024 par CLANSMAN57

D'accord. Merci beaucoup pour cette précision:D





UNDERWORLD
EVERYTHING, EVERYTHING


Le 19 Décembre 2024 par JOVIAL


Mon Dieu, cet outro ! "Rez/Cowgirl", quelle claque ! Je n'imagine même pas ce que ça devait être en vrai.

Un essentiel d'UNDERWORLD, une bonne porte d'entrée aussi.





DISNEY
TARAM ET LE CHAUDRON MAGIQUE


Le 19 Décembre 2024 par PETER GREENLIGHT

A clansman: à la base, ce site est pour la musique, pas pour la chronique de films.





Chris SQUIRE
FISH OUT OF WATER


Le 19 Décembre 2024 par CHRISNAKE


Cet album est de loin le plus abouti des albums solo d'un membre de YES dans les années 70 et même ensuite. SQUIRE est aussi la 2ème voix principale de la formation, il faudra attendre l'arrivée de Trevor RABIN pour changer la donne. Dans ce disque, il met la basse en avant comme instrument majeur, reléguant quelques parties de guitares discrètes. Sa basse saturée donne l'illusion d'une guitare, que ce soit en accords ("Silently Falling") ou en solo impressionnant carrément comme dans le single "Hold Out Your Hand". Dans la la seconde partie du premier titre cité, la basse virevolte dans une furieuse partie symphonique. Il sait aussi calmer le jeu avec peu de notes comme dans "You By My Side" proche des BEATLES (voir le clip qui propose aussi le premier morceau de l'album et "Lucky Seven" au chaleureux solo de saxophone. Quelques longueurs certes comme "Safe" dont la fin tourne un peu en rond et dont le motif de basse sonne comme un thème de musique classique. Après avoir trouvé le vinyl en occasion, j'ai du me procurer le CD en Import Japonais au début des années 90 puis récemment avec une version remastériséé (double CD) avec aussi un Mix différent et qui comprend un livret bien documenté. Album à emporter sur une île déserte.





DISNEY
TARAM ET LE CHAUDRON MAGIQUE


Le 19 Décembre 2024 par CLANSMAN57


Je viens de le visionner. Ma soeur avait le disque de Douchka, chanson qui ne se trouve d'ailleurs pas dans le film.
J'avais le livre illustré et avec tout ça en tête, je partais plutôt confiant.
Hélas, c'est une grosse déception, tout simplement le moins bon Disney que j'ai pu voir.
Les voix des personnages sont énervantes et il est vrai que les protagonistes ne sont guère attachants, à l'exception du cochon.
Controversé et on comprend pourquoi... Sombre, effrayant et la musique, sans être mauvaise, est dans le ton.

J'aurais dû m'en tenir au livre.






The DOORS
THE SOFT PARADE


Le 19 Décembre 2024 par MASTERFAN


Ma première approche de THE SOFT PARADE remonte à la fin des années 80. J’étais prévenu, ça pouvait ne pas être terrible. L’intro part et - stupeur ! ils ont fait une erreur de gravage. Je n’ai pas les DOORS mais, à la place probablement, la compil de la fanfare de Farfouilly-Les-Haridelles, à moins que ce soit le best of ‘Thé dansant’ du grand orchestre de Robert Quibel, mais c’est bizarre, je n’avais pas souvenir de ce style de cuivres chez Robert.

Au bout du compte, il s’agissait bien des premières secondes de "Tell All the People" et ce n’était qu’à moitié rassurant. Pourtant, en dépit de cet effrayant enrobage, ce morceau affiche au final une belle cohérence et une attraction certaine.

Comme disait Antoine de Caunes à NPA, ils nous refont le coup avec "Touch me", les bougres. Et le pire là-dedans, c’est qu’à mon sens, il s’agit d’un tout bon morceau des DOORS, les cordes contrebalançant bien la lourdeur des cuivres. En troisième position, "Shaman’s Blues" s’écoute aujourd’hui fort bien. Et même le dispensable "Do It" a relativement bien vieilli aussi.

"Easy Ride", à part le très court pont, c’est vrai, c’est pas terrible. Si ça avait été les BEATLES, ils l’auraient refilé à coup sûr à Ringo. S’agissant des DOORS, c’est plus compliqué. "Wild Child" est une des compos les plus séduisantes de [i]Parade[fi], du 100 % Morrison qui se tape la discute et se marre en plein milieu du morceau. Le couplet de "Runnin Blue" aurait pu être pas trop mal mais les cuivres prennent beaucoup trop vite possession du morceau. Et puis surtout, il y a cet intermède ‘country au bal des aînés’ qui relève carrément de la mauvaise farce.

Un peu trop facile, "Wishful Sinful" s’en sort grâce à certains arrangements à la LOVE lui donnant un certain charme. On termine avec le morceau éponyme tentant de renouer avec l’esprit prog et baroque des précédents morceaux de clôture de leur œuvre, on ne dira pas que c’est une grande réussite. Cela dit, il y a quelques bons moments, c’est très loin d’être un ratage complet. Un peu à l’image de l’album finalement.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "Touch Me". SEDUISANT (4) : "Tell All the People", "Wild Child". PLAISANT (3,5) : "Shaman’s Blues", "Wishful Sinful", "The Soft Parade". INTERESSANT (3) : "Do It". EMOTION LIMITEE (2,5) : "Easy Ride", "Runnin’ Blue". Bilan 3,44 et Top 5 à 3,90 : THE SOFT PARADE cote pour moi 3,67 soit 14,68 /20.

On peut comprendre que THE SOFT PARADE soit souvent le mal aimé, parmi les albums des DOORS, du côté des journalistes critiques musicaux. Il y a peu de chances que la question de sa réhabilitation soit un jour en jeu et pourtant, c’est loin d’être un album infamant. Robby et Ray ont souvent pris les affaires en mains ici, leur demi-Dieu de chanteur étant plus affairé à certains outrages ou à entamer une mue progressive en Archimède le Clochard.





Chris REA
AUBERGE


Le 18 Décembre 2024 par METALPROG84


Très bon album de Chris Réa. Il n'y a qu'un seul titre que je trouve moyen: c'est "Red shoes", un peu pompé sur "Auberge" mais en moins bon. Sinon, c'est quasiment parfait. Peut-être un peu trop de ballades à mon goût, mais heureusement, elles sont vraiment inspirées...
Mon album préféré de l'artiste reste "Dancing with strangers" mais celui-ci (ainsi que "The road to hell") arrive juste derrière. Un bon 4/5.





BLACK JOE LEWIS
SCANDALOUS


Le 18 Décembre 2024 par BLUEMASK


La proposition d'un James Brown survolté accompagné par un groupe de rock garage fait saliver. Et est validé avec ce disque incandescent, gorgé de cuivres, d’électricité, chargé de sexe, de sueur, de cris et porté par un groove funk qui ferait danser une enclume. Mort à Lenny Kravitz, gloire à Black Joe Levis.
Niveau songwriting, c'est peut être parfois léger, mais franchement il faut savoir juste se laisser porter et accueillir.
Un 5/5 de coeur, plus que de raison.





Lenny KRAVITZ
BAPTISM


Le 18 Décembre 2024 par MASTERFAN


Action - réaction. Après des dernières pochettes d’albums un peu quelconques, Lenny KRAVITZ ne fait pas dans la demie mesure en 2004 avec ce drôle de baptême dans la peinture. Au moins, lui n’a pas failli crever d’une pneumonie comme Roger Daltrey pour la pochette de THE WHO SELL OUT (qui n’était pour le coup pas un trip ‘peinture’, mais un trip ‘beans’ similaire).

Cela semble hier (20 ans déjà, pas possible) et pourtant le placard ‘COPY CONTROLLED’ sur le 7ème CD de Lenny, intitulé donc BAPTISM, évoque les stigmates d’une époque aujourd’hui totalement révolue. Profitons une dernière fois de la nôtre, avant que les magnifiques objets CD ne disparaissent totalement.

Ce qui reste constant avec Lenny, c’est l’absence de surprise sur les titres d’ouverture toujours très imagés, syndrome ‘poids des mots’. Après « Rock’n roll is dead » ou « Battlefield of love », voici le bien nommé « Minister of Rock’n roll ». Je veux bien un poste dans ton administration, Lenny. J’étais assez sceptique à l’époque sur ce morceau. Le fait est que les multiples écoutes ont fait leur travail et qu’il passe vraiment bien aujourd’hui. De même « Lady » et « I don’t want to be star » ont su franchir les années en se bonifiant. A l’inverse « Calling all angels » s’est quelque peu ramolli avec le temps pour accuser désormais quelques longueurs.

Le refrain de « California » n’est pas d’une grande subtilité mais le morceau suffisamment entraînant pour qu’on adhère (quand on pense que le mec fait comme souvent tous les instruments à lui seul, on ne peut qu’être admiratif). Je n’étais pas fan de « Sistamamalover » au début, ce morceau m’énervait, bizarrement beaucoup moins maintenant. « Where are we runnin » ? Vers l’efficacité, bien sûr ! Morceau net, clair et sans bavure. «Baptized » est une nouvelle petite sucrerie mid-tempo dont Lenny a le secret, et ce pont… superbe. Je ne suis pas loin de craquer.

On n’en a pas assez, « Flash » réaccélère le tempo, séduction immédiate (même le saxo est appréciable, c’est dingue), basse super-vivante, court solo sympa de Craig Ross. Ensuite le morceau Lennonien habituel, « What did I do with my life ? », facile.

A ce niveau-là, l’album est déjà très bon. Peu importe que « Storm » soit à l’inverse un morceau sans grande envergure, avec en plus la malchance de se retrouver pollué par du rap via l’intervention de Jay-Z. On termine avec « The other side » (certains diront peut-être que c’est toujours le même morceau qui revient, mais en tout cas ça reste très beau) et la tranquille guitare sèche de «Destiny », plutôt réussi.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : “Baptized”, “Where are we runnin”, “Flash”. SEDUISANT (4) : “Minister of rock’n roll”, “I don’t want to be a star”, “Lady”, “California”, “What did I do with my life”, “The other side”. PLAISANT (3,5) : “Calling all angels”, “Sistamamalover”, “My destiny”. INTERESSANT (3) : Néant. EMOTION LIMITEE (2,5) : Néant. Aucune émotion (2) : “Storm”. Bilan 3,85 et Top 5 à 4,30, LENNY cote pour moi 4,08 soit 16,32 / 20).

Eh oui, il fut un temps où Lenny faisait de vraiment chouettes albums. Très peu de faiblesses ici, BAPTISM fait partie de ses meilleures productions et termine non loin de ARE YOU GONNA GO MY WAY au niveau de mon ressenti, ce qui ne me surprend qu’à moitié.





PINK FLOYD
THE EARLY YEARS 1972 OBFUSC/ATION


Le 17 Décembre 2024 par FOUDROCK


Le moins intéressant des coffrets. Mais ça rsste de la haute musique, c'est évident. Le cru 72 du Floyd est clairement mon préféré du groupe, et leur live à Pompéi est immense. Pour ce dernier, je préfère nettement mon bootleg complet à cette version officielle incomplète et remaniée.





LOUISE ATTAQUE
AMOURS


Le 17 Décembre 2024 par LE STO


"Amours est un live bruyant" et j'ajouterais fatiguant.
Ce qui passe probablement bien quand on est dans la salle passe tellement mal en disque. Les tentatives de drainage de foule par Gaetan m'ont gonflé et rend l'album inécoutable sur la longueur. "Paris t'es fatigué? Paris t'est fatigué? Paris t'es pas fatigué là? Paris est-ce que tu es fatigué" AAAAArghhhhhhhhhhhhhhh!!!
Cela dit, j'ai bien aimé Encore et encore avec M.

Bref, 2 étoiles max et retour aux albums studio!





Nick DRAKE
BRYTER LAYTER


Le 17 Décembre 2024 par LE MERLE MOQUEUR


Une découverte pour moi que ce jeune garçon de l'autre siècle .

J'avoue être conquis par cette voix qui contrairement à ce que l'époque proposait ne se veut pas racoleuse. Une instrumentation soignée pour ce dépressif qui nous aspire dans sa musique. Un troubadour qui s'enfonce dans un chemin d'où nul ne revient...

Quel dommage pour nous vais-je être tenter de dire... pour nous les égoïstes toujours à l’affût de la beauté fatale qui ne nous coûte rien.







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