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OASIS
DEFINITELY MAYBE


Le 11 Juin 2024 par BLUEMASK


Les frères Gallagher ont toujours eu un melon disproportionné et cela leur jouera des tours dès le second album et les tuera ensuite, mais il faut avouer qu'ils ont accouché d'un sacrement bon premier album. Rien de révolutionnaire, 11 titres de rock évidents, immédiats, mélodiques, aux refrains faciles, mais 11 bombes, avec en acmé l'hyper tube mérité 'Supersonic', 'Columbia' et son mur de guitare, le jouissif 'Bring it on Down', et l'ultra beatlesque 'Slide Away'. Au delà de la qualité évidente des chansons, l'excellence vient de cette production ronde, chaude et du son gras et lourd des guitares, typiques des 90's, au service ici d'un songwriting 60's. Intemporel.





Véronique SANSON
7EME


Le 11 Juin 2024 par HUG


Pour moi, sur cet album, il ne faut absolument pas se fier à sa pochette. La pochette de la couverture la montre sur cette photo extrêmement souriante, et le verso la montre décontractée habillée en bleu et rose. La photo de la pochette intérieure la montre aussi très souriante en train de construire une tente avec son petit garçon, Christopher Stills. Je suppose qu'à sa sortie en 1979, en ne regardant que la pochette du disque, on a pu croire que Véronique Sanson avait enfin trouvé le vrai bonheur dans sa vie en Amérique avec Stephen Stills et leur fils Christopher. Et on pouvait penser, sans les écouter, que les chansons seraient enfin les témoins d'un véritable bonheur, d'une plénitude trouvée dans sa vie en Amérique. Mais non. Ne surtout pas se fier à cette pochette. A part, à la rigueur "Si je danse pour toi" et "Celui qui n'essaie pas", Véronique condense à nouveau dans cet album des titres aux textes sombres et mélancoliques, introspectifs, mais toujours beaux, sur des musiques nostalgiques et romantiques mais néanmoins sublimes. Si ce n'est pas le meilleur disque de Véronique, il est pour moi nettement supérieur au précédent "Hollywood".





SPACE
SPACE MAGIC CONCERTS


Le 11 Juin 2024 par BAKER

Nanar, je te hais.

Non seulement tu me fais envie à force de parler de choses innomables et kitschs à en crever, mais en plus tu m'as fait découvrir que Dédé avait sorti DEUX VHS de concerts !!!

Ma (grosse...et parfois pitoyable) collection de DVD musicaux ne pourra pas être complète sans ces deux témoignages du génie le plus absolu.

Au fait Jean-Mimi, tes VHS OFFICIELLES, et il y en a, tu les ressors en DVD même bare-bones quand tu veux. Bisou.





The CURE
THREE IMAGINARY BOYS


Le 11 Juin 2024 par MASTERFAN


Par où commencer les Cure ? Comment être sûr de ne pas louper des perles ? Si les perles des uns sont rarement celles des autres, on ne peut pas nier qu’il existe souvent une certaine convergence d’avis d’auditeurs ayant éprouvé longuement les mêmes albums. C’est sur ces morceaux, statistiquement, que les nouveaux fans ont le plus de chance de venir se greffer.

Je n’aime personnellement pas les « best of », souvent de grosses arnaques mettant en relief le plus «accessible», voire contestable, aux dépends de vrais trésors. Concernant THE CURE, un des seuls défauts de Staring at the sea (1979-1985) est que le meilleur album de la période, PORNOGRAPHY, est sous-représenté. Quant à Galore (1987-96), il suit des choix de singles parfois peu judicieux, je déconseillerais donc.

Première chose à intégrer, l’existence de deux Cure différents. Le premier, c’est le Cure « bobo la tête », basé plus ou moins sur les concepts philosophico-existentiels affectionnés par Robert Smith, avec pas mal de déprime et des thèmes du style « je n’aime pas le monde tel qu’il est car il n’est pas comme je le voudrais, et je ne m’aime pas non plus moi-même surtout quand je ne suis pas comme je le voudrais ». Bref des textes plutôt « prises de tête » ne touchant pas grand monde excepté quelques « initiés ». C’est souvent le Cure des « puristes » sans concession, où l’on y trouvera de tout, des trips énormes et quelques trucs parfois chiants.

Dans cette première catégorie des albums plutôt « torturés » figurent SEVENTEEN SECONDS, FAITH, PORNOGRAPHY, DISINTEGRATION, WISH (sauf les singles), BLOODFLOWERS, THE CURE, 4 :13 DREAM (les 4 premiers étant plus particulièrement adulés).

Bizarrement, certains fans intégristes s’étranglent quand on leur parle du second Cure d’humeur plus pop, plus joviale, plus expérimentale, avec forcément un peu moins de morceaux « bobo la tête ». Ce sont les albums parfois appelés «kaléidoscopes» de Cure : THREE IMAGINARY BOYS/BOYS DON’T CRY, JAPANESE WHISPERS (faux album - vraie compil), THE TOP, THE HEAD ON THE DOOR, KISS ME KISS ME KISS ME, WILD MOOD SWINGS. De la même façon on y trouvera de tout, des trips énormes et des trucs parfois chiants.

Je ne dirais pas que le premier opus des Cure, THREE IMAGINARY BOYS, sorti le 8 mai 1979, est un total chef d’œuvre (personne ne le dit d’ailleurs sur ce coup-là) mais 45 ans plus tard, on doit reconnaître qu’il tient encore bien la route.

Le morceau qui m’a toujours fait tripper ici, c’est le final titre éponyme «Three imaginary boys». Ce ne sera pas toujours le cas pour les titres éponymes finaux, tradition du groupe jusqu’à THE TOP. Ensuite je retiens prioritairement «10-15 Saturday night» pour son côté révolutionnaire à l’époque et «Fire in Caïro» parce que quand même, pouvoir presque danser sur du Cure, faut en profiter parce que ça sera un poil plus dur sur «The funeral party» ou «Cold». Chaque écoute de «Grinding halt» me convainc davantage que Téléphone (New York avec toi) avait aussi de grandes oreilles. Obligation aussi de bien profiter aussi de «Object» (détesté par Robert Smith) pendant que Cure bouge. «Another day» est le premier morceau à installer «l’ambiance» Cure. Ce morceau et «Subway Song» annoncent déjà les futurs climats du début des années 80.

Tout le monde semble à l’unisson vomir sur la triplette Foxy Lady / Meathook / So What, pas moi. Le «Foxy» de Cure est loin du chef d’œuvre de Hendrix mais n’est pas déshonorant, j’aime bien l’ambiance de «Meathook» et de «So what» (RAF du texte) qui sont loin d’être désastreux. Enfin « It’s not you» avec sa ligne de basse simple mais entraînante n’est pas une bouse.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Three imaginary boys. DELECTABLE (4,5) : 10:15 Saturday night, Fire in Cairo. SEDUISANT(4) : Grinding halt, Another day, Object, Meathook. PLAISANT (3,5): Accuracy, Subway song, So what, It’s not you. INTERESSANT (3) : Foxy Lady. EMOTION LIMITEE (2,5) : Néant. AUCUNE EMOTION (2) : Néant. DEPLAISANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant. Bilan 3,92 et Top 5 à 4,40 : THREE IMAGINARY BOYS cote pour moi 4,12 soit un bon 16,48/20.

Evidemment, ce n’est ici que la moitié de l’histoire. Jugé pas assez musclé pour le marché U.S, l’album fait l’objet d’un relooking et réapparaît là-bas quelques mois plus tard sous le nom de BOYS DON’T CRY sans les titres les plus faibles et en intégrant à la place les singles « Killing an Arab » (4), « Boys don’t cry » (5), « Jumping someone else’s train (4,5) », plus « Plastic passion (3,5) » et « World war » (3,5), ce dernier semblant être un clin d’œil à leur passé « Hendrixien ». Histoire de poursuivre le grand n’importe quoi, «World war» sera purement et simplement éjecté de la version « CD ». Globalement, BOYS DON’T CRY apparaît donc encore supérieur, même si j’écoute les deux indifféremment aujourd’hui.

Un petit mot sur la version Deluxe pour ceux qui auraient la drôle d’idée (qui achète encore des CD aujourd’hui ?) d’acquérir cette version, pour commencer gardez votre ancienne version et substituez-là au CD1. Les remaster-asept-isations des années 2000-2010 ont attenté à pas mal de disques, particulièrement ceux de Queen et les premiers albums des Doors. Sur celui-là, c’est moins flagrant mais quand même.

Le premier trésor du CD2 « Rarities » reste l’incroyable première Démo de «10 :15» au synthé (amusant d’ailleurs de le comparer à la version live ultérieure à l’inverse accélérée). Quelques démos sont bien sympas, dont «I’m cold » (la face B de JSSE’T). «I want to be old» ou «I just need myself», bien dans l’air du temps, ressemblent à ce que faisaient pas mal de groupes de l’époque en oscillant entre le punk et la New Wave. Dommage qu’il manque ici certains morceaux du tout début, tels «Listen», surtout «See the children» et que le son de « World war » soit si pourri.

Enfin, il y a sur ce CD2 deux petites surprises passées relativement inaperçues. Robert Smith semble s’être amusé avec les vieilles bandes de « Winter » en réenregistrant la voix a posteriori. Résultat, un anachronisme délicieux, puisque ce morceau semble maintenant sorti de DISINTEGRATION. L’autre trésor resurgi à mon sens est « Play with me », qu’on pourrait soupçonner d’avoir reçu le même traitement.

Bref, un premier album bicéphale, assez pop, peut-être plus conseillé (pour une première approche du groupe) sous sa forme US « BOYS DON’T CRY ».





SPACE
SPACE OPERA


Le 11 Juin 2024 par NANAR


Je viens de voir la pub, et le clip de la artie 8 au passage. Je n'ai que trois mots à dire: Jésus de Nazareth.

Ou en d'autres termes: OH MY GOD





METALLICA
LOAD


Le 11 Juin 2024 par DINICED


J'aime franchement cet album.
Je ne l'écoute plus car il me perce le cœur à chaque écoute tellement ma vie a changé et qu'il fait partie de la B.O. de mes meilleures années.
Bien sûr METALLICA a été tellement mieux. Objectivement parlant. L'objectivité n'est pas pour le cœur et les sentiments. C'est le pied total quand j'écoute les albums RIDE... ou JUSTICE... mais je suis à genoux quand j'écoute LOAD... bizarre non ?
Peut-être METALLICA aurait-il dû sortir cet album sous un autre nom dans un projet parallèle.
Sérieux MAMA SAID ? Personne ne la cite jamais... magnifique pour moi.





SPACE
SPACE OPERA


Le 10 Juin 2024 par AIGLE BLANC


Ah, cet album de Didier Marouani ! Que de souvenirs ! Acheté l'année de sa publication, je naviguais à fond dans l'électronique 'old school' de Vangelis, Tangerine Dream, Klaus Schulze, Kraftwerk. Et Didier Marouani ne faisait pas du tout le poids à côté des artistes ci-mentionnés. Quelle horreur, cette musique de supermarché ! Quelle laideur, ces claviers du pauvre exécutés par de pauvres musiciens ! Je comprends pourquoi à cette époque certains étaient réfractaires à la musique électronique. S'ils pensaient que cet album synthétisait la musique électronique des années 80, ils se trompaient sur toute la ligne, mais comment les en blâmer ?
Je n'ai pas gardé la K7 audio que j'avais pourtant achetée en toute quiétude.
Ah, quelle époque !





Jean-louis MURAT
LE COURS ORDINAIRE DES CHOSES


Le 10 Juin 2024 par CLANSMAN57


J'aime bien "Mustango" que le chroniqueur semble adorer, mais c'est celui que j'apprécie le moins sur les 4 que je connais (les autres sont "Manteau de pluie", "Venus" et le présent album), la faute à certaines longueurs.
Ici, tout me convient. Le bouge s'est entouré d'une fine équipe, il n'y a pas vraiment de place pour l'ennui. C'est inspiré, ses textes le sont également.
Murat ne révolutionne pas sa musique, mais c'est excellent.





SPACE
SPACE OPERA


Le 10 Juin 2024 par BAKER

Je n'ai jamais eu l'occasion d'écouter le disque en entier alors que je l'ai depuis au moins 30 ans. Mais pour les cinquantenaires comme moi, il n'y a qu'une façon de rappeler au bon souvenir ce Rendez-Vous du pauvre :

....THOMSON ! LOIN DE-VANT !





Mylene FARMER
ANAMORPHOSEE


Le 10 Juin 2024 par CLANSMAN57


Une nouvelle fois, Mylène et son acolyte nous livrent un beau recueil de Spleen mis en tubes.
Je note que la demoiselle est vraiment douée pour écrire des textes désenchantés.
Le Rock n'est finalement pas si présent, à l'exception de l'un ou l'autre titre et tant mieux. Ses ingrédients habituels sont conservés.
De la mélancolie surtout, du macabre une fois et de l'optimisme une autre fois.

Un classique.






RENAUD
DANS MES CORDES


Le 09 Juin 2024 par BAKER


Les Mômes... n'était pas un fameux album, loin de là, mais j'avais l'impression que Celui Dont On Ne Doit Pas Pronocer Le Nom avait fait un minimum d'efforts, surtout que ses musiciens s'éclataient.

Ici non c'est pas possible. Il y a des phrases COMPLETES que je n'arrive pas à reconnaître alors que je connais les originaux par coeur. Il aurait tout sifflé au kazoo que ç'aurait été à la limite moins insultant.

Renaud ou je pense l'artiste au monde qui a dans mes goûts personnels le plus énorme écart entre le génie et la détestation. L'alcool n'excuse pas tout. Je suis certain que pas mal de sa "famille" est RAVIE qu'il sorte un machin par an.





METALLICA
METALLICA


Le 08 Juin 2024 par FIGHTITBACK


Encore 1 fois d'accord avec Elk dans l'ensemble ! Grosse déception que ce "Black album" dont je ne retiens que 5 pistes (les 1, 4, 8, 9 & 11). Tout le monde fait un flan du son (qui certes est énorme !) mais la production ne fait pas la force des chansons ! Rien de + à ajouter !  :(





The BEATLES
RUBBER SOUL


Le 08 Juin 2024 par BLUEMASK


Les Beatles ne peuvent plus vraiment être écoutés. Tout a été entendu, chez soi, chez ses parents, dans ma voiture, chez son oncle, à Intermarché, chez le dentiste, dans la pub, dans le film, chez le gynécologue, à la synagogue, à l’aéroport, à la gare, à Shangaï et à Beauvais. Si la musique doit être découverte, ou redécouverte, ou même approfondissement, c’est plié avec eux, la madeleine de Proust est rassie. L’écoute de "1" à ce titre est presque insupportable et c’est terrible comme constat.
Pourtant, parfois, j’écoute encore, c’est excellent. ´Rubber Soul’ reste pour moi le meilleur, à cheval entre les époques, et le plus préservé. Et le plaisir reste presque intact sur des perles comme "Girl", bijou un peu à l’écart.





COLDPLAY
X & Y


Le 07 Juin 2024 par MR TINKERTRAIN


9 pistes sur toutes celles du CD. 9 pistes pour 43 minutes de musique pop aux accents parfois prog dans les breaks. 43 minutes de pur bonheur pour un chef d'œuvre absolu des 2000s et même de la musique Pop Rock. Oui





SOCIAL DISTORTION
SOMEWHERE BETWEEN HEAVEN AND HELL


Le 07 Juin 2024 par PILGRIMWEN

Superbe disque, oscillant intelligemment entre Punk, Rock(abilly), Blues et Country. D'une certaine manière, je rapproche SOCIAL DISTORTION de THE GUN CLUB, bien que ce dernier s'avère plus écorché. Je ne maîtrise que leur discographie années 90, j'ai donc hâte de découvrir les autres albums du groupe. Un bel antidépresseur que "Somewhere Between Heaven And Hell" !





Lou REED
BERLIN


Le 07 Juin 2024 par FOUDROCK


Commençant par une magnifique pièce de piano debussyienne et se finissant dans une apocalypse lyrique d'un sordide retentissant, cet album incompris à sa sortie (il faudra que Lou fasse une tournée mondiale bien destroy, où il interprétera des versions très métal des chansons de l'album et de sa période VU, pour que le grand public et la presse spécialisée comprennent enfin l'album) est un chef d'oeuvre total, absolu, complet, entier, et je n'ai plus de synonymes.
La parfaite alchimie entre richesse et préciosité des arrangements, chatoiement de la production, et violence glauque des paroles. On y parle de came, de violences conjugales, de suicide, de détresse, de haine, d'enfants séparés de leur mère, pas très TF1-friendly tout ça.
On a plus l'impression d'assister à un reportage sur le vif, à un documentaire, qu'écouter un album nous racontant une histoire fictive (Lou et son producteur Bob Ezrin parlaient de "film pour les oreilles", qui à la base aurait dû être double, mais 15 minutes seront coupées par obligation de RCA qui ne voulait pas sortir un double album). Il faut dire qu'à l'époque, Lou allait à peu près aussi mal que Jim et Caroline, les deux "héros" de "Berlin".
Je ne me lasserai jamais de cet album, que je viens de réécouter, et que je vais réécouter d'ici aujourd'hui et avant demain.





RADIOHEAD
OK COMPUTER


Le 07 Juin 2024 par FOUDROCK


Je ne saurais dire à quel point cet album majeur est important pour moi.





The LEMON TWIGS
DO HOLLYWOOD


Le 07 Juin 2024 par BLUEMASK


Dès la première écoute, plusieurs éléments nous pètent à la tronche : les influences clairement mises en avant, les Beatles période 'Sergent Peppers', Mc Cartney/Wings, David Bowie et Kevin Ayers, mais aussi et surtout le talent insolent de la fratrie. Les gamins devaient pas avoir 18 ans, toutes ces influences sont parfaitement digérées et intégrées, ils ont une maîtrise mélodique folle, savent écrire une chanson pop ultime en 3 min, et jouent de tous les instruments en n'étant clairement pas des manchots...
C'est vraiment bluffant. Peut-être trop, et la limite du disque est dans cette tentation de l’esbroufe qui pointe régulièrement son nez, par exemple sur 'Haroomata', too much dans ses changements de rythme incessants. C'est dommage, en 40 min, le disque est aussi bluffant donc, que fatiguant!





METALLICA
...AND JUSTICE FOR ALL


Le 06 Juin 2024 par FIGHTITBACK


Ah, "And justice..."! J'ai une affection particulière pour lui car c'est l'album pour lequel je les ai (enfin) vus pour la 1ère fois (Paris Zénith avec QUEENSRYCHE en 1ère partie) Un peu comme pour le précédent (& le suivant, je ne peux pas dire que je sois FAN absolu des METS) je n'adore que 4 titres ! (les pistes 1, 4, 6 &9 mais...quel s morceaux !) Il allait falloir 3 ans pour une suite et une nouvelle page allait s'écrire.





BLUE ÖYSTER CULT
GHOST STORIES


Le 05 Juin 2024 par GOLGOTH 68


C'est plus un album posthume avec des fonds de tiroir qu'un dernier album... Dommage qu'ils n'aient pas réédité le coup de "The Symbol Remains" qui fut une vraie bonne surprise et que j'écoute toujours avec plaisir...

Grosse déception pour moi (même s'ils ont fait pire en 1985) mais quelle carrière au final et quel grand groupe...







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