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Bernard LAVILLIERS
O GRINGO


Le 13 Août 2024 par BERTRAND


Pour s'initier à l'oeuvre du Stéphanois (il n'est jamais trop tard), quel album choisir? Ne cherchez plus, c'est celui-ci. Rock, salsa, bossa nova, reggae : comme déjà relevé dans les commentaires précédents, il y a tout ici. Un album "Live Tour 80" suivra, mais les versions originales enregistrées avec la crème des musicos de Kingston, Rio ou New York s'imposent. Des stars internationales comme le pape de la salsa Ray Barretto (congas) ou le Jamaïcain Robert Lyn (piano) jouent dans cet opus.





PINK FLOYD
PULSE


Le 12 Août 2024 par BLUEMASK


En terme de musicalité, ce live mérite un vrai bon 5. L'artwork est magnifique, le groupe symbiotique, l’interprétation parfaite, le son parfait. Il y a des versions folles de leurs meilleurs titres (celle de 'Comfortably Numb' est grandiose), et même les titres de 'Division Bell' et 'Momentary' sont grosso-modo excellents (à part 'What do you want from me', mais le titre est moisi, il y a avait bien d'autres titres à piocher sur ces albums post-Waters).
Mais 2 choses viennent ternir l'enthousiasme.
Le côté 'best of' de la set-list, accru par la répartition des titres, avec 5 titres du dernier album/2 du précédent sur le premier disque, histoire de justifier la tournée, et les 16 autres, dont l'intégralité du second disque composé de ce que l'on espère tous (c'est paradoxal, je sais), et de l'intégralité de D.S.O.T.M. Zéro prise de risques, et j'aurais aimé être surpris. Je sais pas, un ou deux titres d' 'Animals', moins de D.S.T.O.M, ou dans le désordre, un truc punk, quoi!
Et le second truc, c'est justement cet aspect très policé, très propre. Ca fait partie de Pink Floyd, c'est leur ADN, et on imagine mal un wall of death sur "Us and Them" ou Gilmour qui saute dans le public en hurlant 'noooowwww I wish you were here'. Mais sur 2h30, on aimerait parfois sentir la sueur sur les couilles du voisin, et assister à un concert, pas seulement à un spectacle.
Je chipote, cela reste un vrai bon disque.





George MICHAEL
OLDER


Le 12 Août 2024 par BLUEMASK


Album honnête, un peu trop smooth à mon goût, avec cette impression d'écouter une version masculine de Sade, ce qui n'est pas forcément un compliment. Reste un grand chanteur racé, de grande classe et qui, bien-au delà du marketing initial, savait écrire.





UFO
OBSESSION


Le 12 Août 2024 par METALPROG84


Un poil moins bon que les 2 albums précédents en raison d'absence de titre exceptionnel (on avait "Can you roll her" et "Belladonna" sur 'No heavy petting', "Lights out" et "Love to love" sur l'album précédent). Néanmoins, beaucoup de morceaux sont très bons : "Only you can rock me", les pêchus "Pack it up" et "Hot'n'ready", "Looking out for no 1" avec ses orchestrations, "One more for the rodeo" (celui que je préfère) et la ballade "Born to loose" dans la même veine que "Try me". Même l'interlude "Arbory hill" est particulièrement réussi. Les 3 autres titres sont un peu moins bons mais très écoutables quand même.
Note réelle: entre 3.5 et 4.





GENESIS
THE LAMB LIES DOWN ON BROADWAY


Le 12 Août 2024 par FOUDROCK


La première fois que j'ai écouté cet album, je n'étais pas dans les meilleures conditions : je venais de passer une épreuve d'un examen scolaire (BTS), j'étais exténué de la journée, stressé à l'idée de rebeloter ça le lendemain avec une autre épreuve, j'aspirais à me détendre un petit peu si c'était possible, en plus il faisait chaud, très chaud, etc, bref. C'était mon premier Genesis. Je me suis dit que je n'avais pas commencé par le plus facile. Un double album conceptuel de 95 minutes. Progressif. Moi qui, à l'époque, étais en pleine phase Iron Maiden, qu'est-ce qui m'avait pris ?
Bref, j'ai détesté, mais d'une force... j'ai tellement détesté cet album que j'avais envie de tuer des bébés phoques avec un marteau sans retour.
Ce n'est que deux-trois ans plus tard que j'ai réussi à entrer dedans. Depuis, je n'en suis jamais ressorti.
L'histoire de ce concept (l'histoire racontée, pas la genèse de l'album) est tellement bizarre et complexe que je ne vais pas m'y risquer. Du Jodorowsky mélangé avec du Philip K. Dick.
Musicalement, c'est ahurissant, hors du temps, inexplicable, prodigieux, monstrueux. Genesis et ses membres peuvent être fiers de cet album.





Lenny KRAVITZ
LENNY


Le 12 Août 2024 par FOUDROCK


Un album décevant, trop de remplissage. "Stillness of heart" me sort par tous les trous, oui, même CELUI-LA.
En fait, je n'ai quasiment pas d'avis sur ce sixième opus. Il m'est totalement indifférent, tellement je ne m'en souviens jamais après chaque (rare) écoute.





Lenny KRAVITZ
5


Le 12 Août 2024 par FOUDROCK


Un cinquième opus dans l'ensemble pas très convaincant. La reprise des Guess Who ("American Woman") et "I Belong to you" et "Black velveteen" sont très bien, mais on a pas mal de remplissage. Je pourrais dire la même chose de l'album suivant. D'ailleurs, je vais le dire de ce pas.





Bernard LAVILLIERS
POUVOIRS


Le 12 Août 2024 par FOUDROCK


Effectivement un sommet, le meilleur de Lavilliers (avec le suivant, "O Gringo"), et comme les précédents commentateurs, je ne comprends vraiment pas du tout la chronique, qui semble ne pas avoir compris grand chose à l'album et à son statut pourtant universellement reconnu parmi les connaisseurs en Lavilliers.





Bernard LAVILLIERS
POUVOIRS


Le 12 Août 2024 par BERTRAND


Imaginez un seul morceau d'une vingtaine de minutes sur la face A du vinyle, avec des textes ciselés, acérés, précis, chirurgicaux, et pas une seule seconde pour souffler. LAVILLIERS à son sommet! En plus, la face B présente six chansons aux tempos variés, souvent courtes, faussement légères, de petits délices.





Bernard LAVILLIERS
QUINZIEME ROUND


Le 12 Août 2024 par BERTRAND


Son album le plus rock. Là, ça cogne, à l'image du titre "N'appartiens à personne" ou de l'entrée en matière ("Utopia" suivi de "Big Brother"). La tournée qui suivra en 1978 donne lieu à son premier album Live ("T'es vivant?"), lui aussi bien pêchu.





DURAN DURAN
NOTORIOUS


Le 11 Août 2024 par ERIK


Leur meilleur album selon moi.





ALPHAVILLE
FOREVER YOUNG


Le 11 Août 2024 par ERIK


L'album "Prostitute" d'Alphaville de 1994 restera sans doute leur chef-d'oeuvre, voici ma notation :
Forever Young ****, Afternoons In Utopia ****, The Breathtaking Blue ***, Prostitute *****, Salvation ****, CROG ***, Strange Attractor **.





SHEILA
L'AMOUR QUI BRULE EN MOI


Le 11 Août 2024 par MARTIN LA BOTTE

@Colargol : Diable ! Vous auriez donc perçu l'ébauche d'une "polémique", "vive" (!) de surcroît dans ma réponse à votre commentaire précédent qui me paraissait pourtant hautement bienveillante ? Tout ça parce qu'il me semblait que l'avis de SHEILA (comme de n'importe quel artiste d'ailleurs) sur ses chansons n'était pas, selon moi, un élément fiable pour jauger la qualité ou la merditude desdits titres. Alors, si ça peut vous rassurer et pour vous démontrer ma bonne foi, j'affirmerai comme vous que non, "Patrick mon chéri" n'a jamais eu la préférence de la chanteuse, loin de là ! Mais j'aurais envie d'ajouter juste derrière "So what ?". Est-ce que cela pourrait remettre en question le plaisir que je prends à réécouter régulièrement ce titre que je classe parmi les meilleurs de sa disco francophone des 70' ? Non.
Cependant, pour tuer toute "polémique" dans l'oeuf, je n'ai aucun souci par ailleurs avec le fait que vous considériez "Patrick mon chéri" comme une sombre merde. Ça ne m'empêchera pas de l'aimer comme il n'est nullement dans mes intentions de vous faire revoir à la baisse votre estimation de "Flagrant délit de tendresse".
Dernière chose, et n'y voyez là encore aucune hostilité de ma part, nous n'avons pas le devoir ici de finir par "nous mettre d'accord", vous avez le droit de penser que les 2 titres de SHEILA que nous défendons respectivement "ont assez mal vieilli" mais je ne suis pas de cet avis. Pour moi, nombre de tubes de SHEILA ont bien plus mal vieilli que "Patrick mon chéri" dont l'essence "romantico-kitsch" reste ultra efficace. Et comme j'ai décidé depuis longtemps de rejeter tout concept de "plaisir coupable", je n'aurais aucune honte à emmener avec moi sur une île déserte toute une playlist à base de chansons "pop" aux textes "légers"; si je recherche plus de profondeur, il y aura des livres pour y remédier. Donc, cher Colargol, sans demander à SHEILA ce qu'elle en pense et sans l'ombre de la moindre polémique, je compte durablement m'étendre sur la plage torride de "Patrick" pendant que vous vous prélassez dans cette "jolie chambre (qui) est un décor de silence et de laurier rose". ;)





The CURE
WISH


Le 10 Août 2024 par MASTERFAN


Lorsque WISH, 9ème album des Cure, est sorti en 1992, j’étais passé à autre chose. GOING BLANK AGAIN de Ride, HENRY’S DREAM de Nick Cave ou DIRTY de Sonic Youth, entre autres, étaient passés par là et m’emmenaient beaucoup plus loin émotionnellement que les singles de Cure qui passaient sur les chaînes musicales. C’est lorsque j’ai complété, dans les années 2000, ma collection de CD de Cure, que j’ai redécouvert cet album.

Comme son nom l’indique, c’est "Open" qui ouvre WISH, magnifiquement de surcroît. On ne voit pas passer les 6 mn 50, ces mecs-là savent décidément soigner leurs entames d’albums. "High" fait correctement le boulot en tant que single, profitons-en tant que le groupe sait encore en faire. "Apart" renvoie directement à la mystique de DISINTEGRATION. La basse et les guitares engagent ensuite une joute obsédante et infernale sur le classique "From the edge of the deep green sea". Le premier tiers de l’album, 'curien' en diable, est impeccable.

Robert Smith et les siens amorcent ensuite une partie plus pop qui va monter crescendo. "Wendy Time" est censé redonner de la légèreté au truc. Ce titre nous fait surtout vieillir de quatre années, car semblant aujourd’hui plus sortir de l’album postérieur WILD MOOD SWINGS. "Doing the Unstuck" est déjà plus convaincant avant que "Friday I’m in love" ne redonne un nouveau classique tubesque au groupe. C’est simple à faire un tube finalement. Enfin pas tant que ça, puisque ce sera leur dernier réel grand tube.

"Trust" est un retour à la morosité et aux longueurs finales ‘disintegrationiennes’. Le single raffiné "A letter to Elise" vise plus le public séduit à l’époque par THE HEAD ON THE DOOR. Le rythme s’accélère soudainement avec "Cut". Sur ce morceau, Cure reste Cure mais c’est la première fois qu’on sent poindre dans sa musique les influences de la sphère Indé. Les fans n’adhèrent pas en général, perso j’adore tout ce foutoir. On peut penser parfois à Ride, pour lequel Smith ne cache d’ailleurs pas son admiration.

A l’inverse de l’album précédent, l’issue de WISH est une affaire de montagnes russes, le creux d’abord avec "To Wish Impossible Things", autre compo charmante, mais alors franchement le choix de l’alto, c’est pas mieux que du violon. Si un jour on me refile le Ministère de la Pop-Rock, ma première décision sera de ne plus autoriser QUE le violoncelle.

Remontée ensuite avec un nouvel être bien shoegazien, "End", le pendant de "Open", qui conclut l’album avec panache. L’influence de l’époque sur Cure est encore une fois ici perceptible. A moins que ce ne soit Cure lui-même qui déteigne : les Pumpkins ont dû manifestement beaucoup écouter "End" (ils renverront la balle avec ADORE) et si on a un doute, il n’y a qu’à se remémorer l’esprit de l’entêtant single "Never Enough" (4,5) au début de
la décennie...

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "Open", "Apart", "From the edge of the deep green sea", "Friday I’m in love", "Cut", "End". SEDUISANT(4) : "High, Doing the unstuck", "A letter to Elise". PLAISANT (3,5): "To wish impossible things". "Trust". INTERESSANT (3) : "Wendy time". Bilan 4,08 et Top 5 à 4,50, WISH cote pour moi 4,29 soit 17,16/20.

Je n’aurais pas dû lâcher Cure à ce moment-là mais, comme on dit, faute avouée est à moitié pardonnée. WISH est l’outsider qu’on n'attendait pas. Même sans véritable trip, on avait ici encore affaire à une magnifique démonstration de savoir-faire (et en aucun cas à un 'mélange de chansons falotes et de titres bâtis sur un schéma sans surprise', ou encore à un album 'qui semble avoir été enregistré par un groupe sans imagination', il faudra réécouter l'album et rectifier ça la prochaine fois, Michka).

Impression confirmée par les B-Sides de l’époque telles "The big Hand" (4), "The Foolish Arrangement » (4) ou "This Twilight Garden" (4) qui sont de grande qualité et auraient tout aussi bien mérité leur place sur l’album ou, au pire, auraient mieux fait d’être gardées pour le suivant. On peut citer aussi "Play" (3,5), "Halo" (3,5) et "Scared at You" (3) ainsi que quelques instrumentaux à fort potentiel ("T8", "The Three Sisters" et j’en passe). A ce prix-là, l’acquisition de la version Deluxe de WISH est loin d’être une idée aberrante.

Eval réelle : 4,5.





ABBA
VOYAGE


Le 10 Août 2024 par MASTERFAN


Un nouvel album d’Abba en 2021, quarante ans après ? What ? La seule nouvelle qui aurait pu me surprendre encore davantage aurait été un nouvel album des Beatles avec le retour de John Lennon et de George Harrison qui auraient à l’époque simulé leur mort respective. C’est dire quelle fut ma surprise !

Ce qui me choque surtout sur "I Still Have Faith in You" est l’incroyable force mélodique du refrain. La nostalgie, le clip avec à la fin les tenues métalliques scintillantes et Frida-hologramme aussi craquante qu’en 1976, tout cela me ferait presque pleurer.

Evidemment, il fallait s’y attendre, le reste de l’album n’atteint pas cette hauteur. Mais, quand même, il ne faut pas du tout se fier à la première écoute qui, je le reconnais, m’avait fait doucement sourire. "When You Dance With Me" a ce côté traditionnel comme l’avait au moins une chanson par album. Il n’y a plus grand monde aujourd’hui capable de pondre ce type de mélodie 'd’époque', aussi simple et évidente. J’ai par contre tendance à zapper le pourtant joli "Little Things", trop gentillet avec les petits enfants (de Abba?) qui chantent à la fin.

"Don’t shut me down" me renvoie direct à la fin des années 1970, c’est assez stupéfiant. "Just a notion" est bien sûr du réchauffé de l’époque, pas si inoffensif que ça finalement : ça fait franchement du bien de ré-entendre ces voix telles qu‘alors.

Seconde partie. Revoilà Agnetha au révélateur en solo avec "I can be that woman". La voix est toujours là, rien à dire. "Keep an eye on Dan" est une chanson dansante sur le divorce (faut le faire quand même!) qui montre que, mélodiquement, les 2 B ont encore de beaux restes. Du traditionnel encore avec Frida (avec le retour de la flûte) et un "Bumblebee" à l’intérêt limité. La même Frida arrive encore à me faire vibrer ponctuellement sur les ponts vocaux de "No Doubt About It". Reste "Ode to Freedom", pas mon truc mais loin d’être laid.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "I still have faith in you". SEDUISANT (4) : Néant. PLAISANT (3,5) : "Don’t shut me down", "Just a notion", "Keep an eye on Dan". INTERESSANT (3) : "I can be that woman", "When you dance with me", "No doubt about it". EMOTION LIMITEE (2,5) : "Little things", "Bumblebee", "Ode to freedom". Bilan 3,15 et Top 5 à 3,60 : VOYAGE cote pour moi 3,38 soit 13,52 / 20.

Certains disent qu’Abba a sorti VOYAGE 'pour le fric', ce qui me paraît risible vu l’état déjà de leurs comptes en banque. Cet effort mérite d’être salué, ne serait-ce que pour le superbe "I still have faith in you", sans compter que les réécoutes dévoilent, de manière plutôt inattendue, quelques belles qualités à cet album. Une pensée aussi pour tous les fans décédés avant sa sortie.

C'est déjà la fin du voyage avec 9 albums au compteur, et donc l'heure du bilan pour ce groupe mythique :

1.ABBA (Album éponyme) 17
2.THE VISITORS 16
3.SUPER TROUPER 15,52
4.THE ALBUM 14,56
5.ARRIVAL 14
6.VOYAGE 13,52
7.RING RING 13,44
8.WATERLOO 13,28
9.VOULEZ-VOUS 11

Soit une moyenne très honnête de 14,26 qui, je suppose, tendra progressivement vers les 15 avec l’âge et la nostalgie.





MARIE HENCHOZ
SAUTECROCHE 1


Le 10 Août 2024 par MARCO S

Que de belles impressions faites de souvenirs, elles sont parmi les plus précieuses, merci !!
Et également d'avoir rappelé que Henri DÈS est Suisse également, lui aussi de la région de Lausanne, décidément !





Karen CHERYL
KAREN CHERYL


Le 10 Août 2024 par CLANSMAN57

Un petit message pour adresser un énorme MERCI au Moungepedoun pour son commentaire super drôle:D






Camila CABELLO
C XOXO


Le 10 Août 2024 par LE VIEUNE

À voir la pochette, la Cendrillon entrepreneuse (pas vu le film chantant du même nom où elle joue et chante, je ne suis pas maso) se dévergonde ou, pour reprendre les propos d'un autres internautes lus sur un autre site, elle chercherait à devenir une nouvelle Charli XCX. Bref une lolita, ici latine, de plus qui montre, ici, qu'elle aime les sucettes en aguichant l'auditeur ou l'auditrice du regard. Gainsbourg/Gainsbarre n'aurait pas été indifférent pour lui écrire une chanson sans doute salace.

Je ne veux pas m'affliger une écoute entière de cet objet qui pue l'autotune (après quelques échantillons passés dans les oreilles) et la genre lolita Disney faussement chaste avec une voix standard de chipmunk trafiquée. Je ne veux pas m'infliger ce que j'ai toujours considéré détestable depuis les années lycées, ces produits destinés à faire fondre des cœurs des filles ou tirer la langue des garçons pubères.

Ici le vieux con qui s'est exprimé, à vous les studios ... !





Bernard LAVILLIERS
LES BARBARES


Le 10 Août 2024 par BERTRAND


C'est le disque que (presque) tous les aficionados s'accordent à désigner comme un des meilleurs de LAVILLIERS. Ce n'est pas mon cas. Certes, l'arrivée chez BARCLAY lui donne accès à des musiciens d'envergure (le percussionniste Mino CINELU est là, on le retrouvera presque 30 ans plus tard dans "Carnets de bord"). Mais quelques titres dispensables ("Haute surveillance", "Ecoute", "Junkie") et le fait que le disque soit si court me laissent sur ma faim.





Karen CHERYL
LIARS BEWARE


Le 10 Août 2024 par FRED


C'est une jolie surprise de découvrir une chronique sur cet album que j'ai usé jusqu'à la corde, même s'il est superflu de l'enrober avec la reconversion de la chanteuse et les (nouveaux) souvenirs qu'elle distille régulièrement sur les plateaux, comme celui de Madonna (elle ne l'aurait accompagnée qu'une seule fois et cette éventualité a été démentie par Patrick Hernandez, en plus qu'aucune archive de cette prestation n'a jamais été montrée). Je préfère garder l'image de la chanteuse que j'ai aimée entre 1978 et 1982.
Mais bref, concentrons-nous sur l'album, le seul entièrement composé de titres originaux (sauf erreur) dans la carrière de Karen. Ces 10 chansons tiennent toujours la route musicalement, ce n'est pas du disco violoneux cheap et sirupeux comme certaines productions de l'époque. Les paroles sont plutôt bonnes ('Liars beware", "Show me"), même s'il manque la touche féminine de Marguerite Procureur de l'album précédent. Avec le recul, "Tonight in Hollywood" me semble la meilleure, avec le plaisir d'entendre Karen dans un petit dialogue en anglais (contrairement à "Show me" où ce n'est pas sa voix parlée). Le disque est bien produit, presque trop : ce sont parfois presque des duos entre Karen et ses choristes ("Show me") quand sa voix n'est pas complètement noyée comme sur "Ready for love". Et c'est certainement cela qui a donné ce côté préfabriqué évoqué dans l'article.
J'ai relevé quelques erreurs et imprécisions dans les informations données. Humbert Ibach n'a jamais composé, il est seulement auteur, ici avec Alain Ward et Charles Rinieri (non René). Le principal compositeur des tubes de Karen Cheryl est Claude Morgan (Depuis son 1er single "Garde-moi avec toi" jusqu'à "Naturelle'ment" en passant pars "Sing to mama" et "Si"). Et sur cet album, également Jean-Luc Drion ainsi que Gil Slavin et Thomas Notons pour "Stand up performance".
"Making un making love" (que j'adore avec une voix beaucoup plus affirmée) n'a pas été un extrait de l'album, mais un single inédit (le 4e) qui aurait pu être inclus sur un 3e album. Ce fut en effet le dernier de cette époque, mais pas en anglais, puisque l'année suivante fut publié "I hope it's me", la version originale de "Si".
La période disco de Karen est évidemment la meilleure, ce fut aussi là qu'elle eut le look le plus sexy et naturel (surtout sur l'album précédent). Dommage qu'elle n'ait pas continué sur cette lancée.







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