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ALICE COOPER
WELCOME TO MY NIGHTMARE


Le 16 Juin 2024 par FOUDROCK

A mon avis, c'est une pique de Cooper envers ce chanteur pour minettes ! L'album sortirait maintenant, le Coop' citerait probablement Bieber ou le chanteur des One Direction !





MARILLION
SCRIPT FOR A JESTER'S TEAR


Le 16 Juin 2024 par MASTERFAN


Marillion est sans conteste l’un des groupes les plus sous-estimés de l’histoire de la pop-rock. Ignoré d’une bonne partie de la critique (en France notamment) et donc souvent inconnu du public, ce groupe pourtant foisonnant et passionnant a dû porter quasiment seul sa croix pendant quarante-cinq ans : respect. A titre d’exemple, le groupe reste peu mentionné (euphémisme) dans les divers best-of, alors qu’une bonne partie des albums pourraient raisonnablement prétendre à un accessit. Bien heureux le monde des journalistes musicaux puisque chez eux, à l’inverse de n’importe quelle autre structure, le terme « faute professionnelle » semble ne pas exister.

Seconde aberration multi-décennale, la présence régulière du groupe dans les rayons hard/heavy. Cela commence à se tarir, mais je soupçonne certains disquaires d’avoir créé cette mode à l’époque simplement à la vue de la pochette du second album FUGAZI.

Les disques de Marillion regorgent de trésors et il y en a pour tous les goûts, certains plus pour les fans de prog, d’autres plus pour les fans de pop-rock. Rares sont les groupes ou artistes ayant proposé quelque chose d’autant substantiellement brillant sur une aussi longue période et sur les deux genres (parfois mélangés).

Avec SCRIPT FOR A JESTER’S TEAR en 1983, Marillion reprend donc à son compte le flambeau du genre « prog » délaissé à la fin des années 70. Ils sont sympas les premiers albums prog de Genesis ou Van der Graaf Generator et personne ne peut évidemment nier que Fish s’inspire, au tout début, des cousins Peter (désolé, pas pu résister), Gabriel et Hammill. Me concernant, l’émotion procurée à l’écoute des premiers albums de Marillion dépasse quand même celle donnée par les modèles. La faute souvent à son arme secrète (enfin pas tant que ça) : Steve Rothery, capable de vous sublimer la fin de n’importe quel morceau, même les moins bons, grâce à son un jeu de guitare majestueux. On peut bien sûr parfois penser à David Gilmour, mais le jeune Steve a son style propre, qui subjugue.

La découverte du groupe passe bien souvent par celle du premier titre éponyme «Script for a jester’s tear», première belle pièce prog de l’édifice, et premier trésor. «The web» est aussi un des classiques du genre. Deux morceaux un peu moins prog méritent le détour : le plutôt rock et efficace «He knows you know» et surtout le magnifique «Chelsea Monday» dont le solo central continuera sûrement de me donner des frissons jusqu’à la fin de mon existence.

Concernant «Forgotten sons», pour ceux qui ne sont pas fans de prog, il est possible de n’apprécier réellement que le dantesque final où l’émotion monte formidablement, toujours grâce à la guitare de l’excellent Steve. «Garden party» est un peu trop bavard pour moi et musicalement, c’est le moins réussi des six morceaux. C’est bien d’avoir des textes forts, mais l’essentiel restera toujours pour moi d’avoir la mélodie qui tue.

Ce premier album a le potentiel pour devenir très attachant pour qui prend le temps de se l’approprier. Me concernant, tous comme les deux suivants, pas de danger qu’il prenne la poussière tant il sort souvent de ma discothèque.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Script for a jester’s tear, Chelsea monday. SEDUISANT (4) : He knows you know, The web. PLAISANT (3,5) : Forgotten sons. INTERESSANT (3) : Garden party. EMOTION LIMITEE (2,5) : Néant. AUCUNE EMOTION (2) : Néant. Bilan : 3,92 et Top 5 à 4,10 : SCRIPT FOR A JESTER’S TEAR cote pour moi 4.01, soit un bon 16,04/20.

Hors album, je ne suis pas un adepte du premier single «Market square heroes» (2,5), encore moins du faiblard «Charting the single» (2). Par contre, gloire à l’immense «Grendel» (5), l’un de mes morceaux préférés sur ce format. Sa partie finale sur le live Hammersmith de 1983 me laisse toujours aussi tétanisé que le jeune spectateur choppé à cette occasion dans le public par le colosse d’Aylesbury (la version live du titre éponyme est pas mal non plus, très bien pour découvrir le groupe).






The CURE
SEVENTEEN SECONDS


Le 16 Juin 2024 par MASTERFAN


Drôle d’année que cette année 1980 où des nouveaux objets sonores étranges ('In the flat field' de Bauhaus, 'Closer' de Joy Division, 'According to the Meninblack' des Stranglers, 'Remain in light' des Talking Heads) parfois lugubres, qu’on n’avait pas l’habitude d’entendre, ont débarqué dans nos oreilles. Et parmi eux, ce SEVENTEEN SECONDS, minimaliste de surcroît, mais pas le moins bon du lot. Fini la pop-rock singulière et énergique des débuts, place aux climats brumeux et aux angoisses existentielles, quelque chose de moins accessible et pourtant tout autant séduisant (sauf si votre truc c’est plutôt Whitney Houston, dans ce cas pas trop la peine d’essayer).

SEVENTEEN SECONDS est le premier album de la 'Trilogie froide' (ou noire, ou glacée, tous les termes sombres y sont passés) de Cure avant FAITH et PORNOGRAPHY (l’expression étant aussi parfois aussi employée pour l’autre trilogie PORNOGRAPHY / DISINTEGRATION / BLOODFLOWERS). Ecouter Cure à l’époque, ça faisait un peu comme les premières cigarettes, ça donnait une contenance, une sorte de 'hauteur de vue' qu’on ressentait vaguement, sans vraiment la comprendre.

Cinq titres affichés sur la face A, cinq sur la face B, mais 5+5 = 8 en fait, comme pour FAITH ou PORNOGRAPHY. On peut en effet considérer que chaque entame de face sert simplement d’entrée aux deux principaux plats de résistance de l’album. "A reflection" est vraiment trop minimaliste pour me faire tripper, certaines notes m’évoquant très vaguement l’atmosphère de "The Rain Song" de Led Zep. Je ressens ce morceau uniquement comme l’intro de l’excellent "Play For Today", l’un des (nombreux) classiques du groupe et le seul morceau ici avec M qui a encore une relative parenté avec les productions précédentes.
Retour immédiat à l’introspection avec un "Secrets" fait de deux fois rien mais qui arrive malgré tout à créer une ambiance. Les arpèges de "In Your House", avec ce rythme toujours martial et entêtant, sont limite obsédants. Ce morceau reste un des piliers de l’album. Ensuite une petite digression expérimentale et instrumentale : "Three". C’est toujours aussi froid, minimaliste, inquiétant, un peu spécial quand même, je ne suis pas un grand fan, je dois dire.

Comme "A Reflection" pour l’autre face, "The Final Sound" (qui n’est en fait pas un vrai morceau) sert juste d’introduction au point d’orgue "A Forest", le classique qui met tout le monde d’accord, pas la peine d’en rajouter. "M" est plus pop et accessible, malgré une rythmique linéaire toujours marquée. On termine avec les atmosphériques "At Night" et "Seventeen Seconds" que j’ai beaucoup écoutés. Les années passant, j’ai un peu plus de mal avec le son de batterie (Lol Tolhurst a dû se faire bien chier à l’époque en concert, et Simon Gallup aussi un peu d’ailleurs, pas étonnant qu’ils soient tous devenus fous à une période).
Pour résoudre le problème, je substitue souvent la version album de "At Night" par une quelconque version live un peu plus trippante.

A l’arrivée un bien bel objet, mais si on découvre le truc (c’est le cas aussi des albums cités plus haut), ça peut décontenancer. Pas de panique : s’attaquer à SEVENTEEN SECONDS (ou à FAITH derrière), c’est un peu comme s’attaquer à un nouveau jeu vidéo, on n’y arrive pas forcément du premier coup.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : "A Forest". DELECTABLE (4,5) : "Play For Today". SEDUISANT (4) : "M", "In Your house", "At Night". PLAISANT (3,5) : "Secrets", "Seventeen Seconds". INTERESSANT (3) : "A Reflection". EMOTION LIMITEE (2,5) : "Three". Bilan 3,78 et Top 5 à 4,30 : SEVENTEEN SECONDS cote pour moi 4,04 soit 16,16 / 20.

Je reste perplexe devant la version Deluxe puisqu’on y retrouve surtout des démos de l'album sans grand intérêt. Le projet parallèle et éphémère "I’m a Cult Hero" et sa face B "I Dig You" ne sont pas non plus forcément indispensables. De même pour «Another Journey by train», qui s’il avait été mieux exploité, aurait pu déboucher sur quelque chose de sympa.

Par contre à ne pas rater sur le Net, en 2020, pour les 40 ans de SEVENTEEN SECONDS, Robert Smith nous invite chez lui, dans son foutoir, pour un tête-à-tête inoubliable et trois morceaux live de l’album. Moment surréaliste, pour le moins exquis qui laisse incroyablement transparaître le côté minimaliste de la chose…





Alain BASHUNG
PIZZA


Le 16 Juin 2024 par LEO

@ FIGHTITBACK :

"Gaby oh Gaby" n'était pas sur l'album à l'origine.
C'était un 45t hors album (avec pour face B "Elle S'fait Rougir Toute Seule") paru en 1980 entre Roulette Russe et Pizza.





CROSBY, STILLS, NASH & YOUNG
CSNY 74


Le 16 Juin 2024 par BLUEMASK


De CSNY, je n’ai jamais vraiment apprécié que le Y, et sans surprise, je trouve ce disque bon sur les compos du Y et sur ses interventions. Le reste est sympathique ou me fait doucement chier.
"Helpless" est splendide.





Jean-louis MURAT
TRAVAUX SUR LA N89


Le 16 Juin 2024 par BLUEMASK


J’adore Murat, le personnage, sa musique, ses paroles, sa poésie détachée, son caractère de cochon. J’adore souvent la musique dite "expérimentale" et dissonante, je ne crains pas le free-jazz, Einsturzende Neubauten, les trucs comme ça… mais là, non. Je l’avais écouté à sa sortie, et mis de côté, considérant qu’il me restait seulement quelques décennies à vivre. Mais là, re-ecoute, et refus de nouveau. C’est chiant, un genre de suicide artistique, sauvé par ´Coltrane ´. On ne peut même pas dire qu’il s’agit de snobisme, vu le bonhomme…





SPACE
SPACE MAGIC CONCERTS - LIVE IN MOSCOW 1991


Le 16 Juin 2024 par BAKER

Irrésistiblement attiré comme la phalène sur l'ampoule, j'ai jeté un oeil et je ne suis pas déçu de ce DVD... mais en bien ! C'est du simuling à 70% mais bon, en tant que bon fan de TDream, j'ai suffisamment souffert pendant une dizaine de DVD (ah ! la note de guitare qui monte alors que le doigt descend, quel bonheur !). SPACE ne fait pas mieux, mais pas forément pire.

Il y a de l'ambiance et ça se laisse écouter comme un vieux tube de Gold ou... RV IV justement.

Si c'était le DVD le plus pourri de ma collection, ce serait un bonheur.






Hubert Felix THIEFAINE
ALAMBIC SORTIE SUD


Le 14 Juin 2024 par MR G


Alambic Sortie Sud, un des meilleurs albums d'HFT se veut plus froid que son prédécesseur au niveau du son et des arrangements. Les textes qui même si ils ont rarement reflétés une grande joie de vivre chez le Jurassien enfoncent encore le clou d' une certaine noirceur qui sent un mal de vivre constant et qui peuvent en rebuter certains mais, encore une fois quel chef d' œuvre que cet album! Les textes ciselés dans la mélancolie et une certaine forme d' humour noir se conjuguent avec les arrangements et les compositions de Claude Mairet qui a énormément apporté a Thiéfaine en cette période de sa carrière! Tous les titres sont excellents , rien a jeter! Le son plus cold-wave de l' album en fait une ode nocturne superbe! 5/5 rien de moins...





SÜEÜR
SüEüR


Le 14 Juin 2024 par BLUEMASK


Un disque de rap imparfait mais attachant, la rébellion adolescente un peu surjouée de la bourgeoisie blanche tombant régulièrement dans une naïveté touchante. Musicalement, nous retrouvons cette ambivalence, le hip-hop voit les instrus, ça s'appelle comme ça, tombant régulièrement dans des atmosphère new-wave, voir rock indus. On pense donc à Nekfeu, fortement, mais aussi à Programme d'Arnaud Michniak, ancien Diabologum, pour la musique et la noirceur un peu rive gauche. Vocalement, le flow est correct, sans génie particulier, mais fait régulièrement mouche, par exemple sur 'MTM' le micro-hit du disque.





Alain BASHUNG
PIZZA


Le 14 Juin 2024 par FIGHTITBACK


@ NONO 1 seul hit? et "Rebel" + "Gaby oh Gaby", c'est du flan?!





METALLICA
ST. ANGER


Le 14 Juin 2024 par ELK

@cultosaurus
Cher et fidèle lecteur, le fait que nous partagions la même opinion visiblement sur l’album ne signifie pas que ce soit le cas de tout le monde.
Sur le site Nightfall, ce disque obtient d’ailleurs la note de trois selon huit chroniqueurs sur douze.
Les multi-chroniques font par ailleurs partie des fondamentaux de notre site, surtout pour un groupe majeur comme METALLICA qui mérite bien deux Kros au moins par album, sujet auquel je me suis attelé depuis quelques semaine.





ALICE COOPER
WELCOME TO MY NIGHTMARE


Le 14 Juin 2024 par FC


@FOUDROCK: merci pour cette anecdote concernant le fade out de Deparment of Youth, cela a attiré ma curiosité, ne connaissant pas Donnie Osmond. Je n'ai pas trouvé de rapprochement entre lui et le Coop, et ne connaissant pas le contexte de l'époque, pourquoi est-il mentionné de cette façon dans le titre ?

Sinon, comme toi, je trouvais cet album un peu ennuyeux face aux précédents mais avec le recul je le trouve excellent !





The ROLLING STONES
EXILE ON MAIN STREET


Le 14 Juin 2024 par BLUEMASK


Oublions les 40 dernieres années des Stones… ´Exile’ est le meilleur album du meilleur groupe de rock, qui est le genre phare du XXeme siècle, qui est le siècle de l’explosion de la musique, ça situe le niveau. Il y a peu de disques d’ile déserte, celui là, je pourrais l’amener, avec ‘Blonde on Blonde’ sur un caillou en Atlantique Nord. Je voudrais mourir en écoutant ´Sweet Virginia’.





Alain BASHUNG
PIZZA


Le 14 Juin 2024 par NONO


Mon album préféré de Bashung. Et pourtant ce n'est pas le plus connu, il n'y a qu'un seul réel hit dessus (Vertige de l'amour)... et pourtant cet album est d'une qualité constante, d'une grand homogénéité, et c'est ça que j'aime ! Ajoutons aussi que le son typique "eighties" n'est pas encore arrivé, cet album est nettement plus rock que pop.





The CURE
THREE IMAGINARY BOYS


Le 14 Juin 2024 par MASTERFAN

@RICHARD. Je te remercie. Mais merci surtout à toi pour toutes tes chroniques de grande qualité. Je me régale sur ce site car tous les chroniqueurs, si bénévoles soient-ils, n’ont aucune leçon à recevoir des chroniqueurs des magazines.

Je suis moi aussi très attaché au côté tactile des CD et des livrets, mais je suis peiné d’être seul dans les rayons CD depuis quelques années, je ne sais pas combien de temps cela tiendra encore. Si l’écoute en ligne tue le CD, elle a tendance à tuer aussi progressivement le concept d’album, et même celui d’artiste (beaucoup «shazamment» et «playlistent», parfois sans savoir exactement qui chante) et par extension, la visibilité.

Ce site est donc clairement une oasis de résistance dans le flou musical actuel, auquel il redonne visibilité et exhaustivité (quelques absences encore constatées, mais plus pour longtemps sûrement, à l’image de l’exceptionnel EVEN SERPENTS SHINE qui vient de trouver sa place ce jour).

J’essaie de mon côté de renforcer le visuel avec une signalétique forte sur les trésors potentiels. Après R.E.M, je suis content de me réattaquer aux Cure mais j’alternerai sûrement avec une autre intégrale pour éviter l’indigestion...





METALLICA
ST. ANGER


Le 14 Juin 2024 par CULTOSAURUS


Cet album est une bouse infâme pour qui aime le Metallica des débuts, voire du black album. C'est évident, tout le monde le sait. Je ne vois même pas à quoi sert une nouvelle chronique...





OASIS
DEFINITELY MAYBE


Le 13 Juin 2024 par MR TINKERTRAIN


Pour moi, c'est un des pires groupes de Rock existants. Ils sont en partie responsables de l'absence presque totale de guitare sur les ondes FM françaises (car en France on aime la m...de) depuis les 2000's, comme si c'était devenu interdit. Muse a aussi une grande part de responsabilité. Heureusement, le Rock n'est pas mort comme le disait Kravitz, avec cette ribambelle de groupes manufacturés et assez vomitifs pour moi. Je précise que je suis pas anti Pop, j'adore ça.





ALICE COOPER
WELCOME TO MY NIGHTMARE


Le 13 Juin 2024 par FOUDROCK


Le chef-d'oeuvre du Coop', sans hésitation. En ce qui me concerne, je reviens de loin, avec ce "...Nightmare". Au départ, je ne voyais pas trop en quoi ce disque était si immense (j'ai découvert Alice Cooper avec la trilogie "Killer"/"School's Out"/"Billion Dollar Babies", musicalement plus heavy tout en étant plus anciens que lui), et puis, finalement, c'est vers cet album que je n'ai eu de cesse de revenir, inlassablement. Disque conceptuel géantissime rempli de grands moments :

- horrifiques (le monologue de Vincent Price entre "Devil's Food" et "The Black Widow", "Years Ago")
- comiques ("Cold Ethyl", "Department of Youth" et son final tordant, à peine audible, dans le fade : "Who Gives the Power ? - Donnie Osmond !! - WHAT ?!?!?")
- émouvants ("Only Woman Bleed" et son ambiance déchirante, "Steven" et son ambiance 'fin de tout')
- grandiloquents (à peu près tout)

Oui, ce disque est un monument. Même sa pochette, que je trouvais atroce autrefois, trouve désormais grâce à mes yeux. C'est pas la plus belle au monde, mais elle colle bien au truc, je trouve.





ICE-T
O.G. ORIGINAL GANGSTA


Le 13 Juin 2024 par BLUEMASK


Le rap moderne réserve parfois de bonnes surprises, mais fut un temps où le hip-hop était funky, rythmé, et faisait bouger les culs, que désormais on exhibe seulement. Au tournant des 90's, Public Enemy, N.W.A, NTM en France, et donc Ice-T étaient de sacrées machine à danser.
Avec 'OG', Ice-T fait très fort en la matière, avec ses beats monstrueux, ses basses lourdes, ces samples Funk/Soul/Jazz, au service d'un flow parfaitement maîtrisé. Avec sa voix grave, parfois suave, parfois agressive, Ice-T est la version hip-hop d'Isaac Hayes, encore plus sexualisée, mais aussi et surtout plus politisée, le tout avec pas mal de second degré et d'humour. Sexe et 9mm, le cocktail du gangsta rap, qui ici n'oublie jamais de s'adresser au corps et à l'esprit.
Superbe.





The CURE
THREE IMAGINARY BOYS


Le 12 Juin 2024 par NONO

@Richard : "The Cure, c'est sombre et joyeux ET non pas que sombre ou que joyeux." Tu m'étonnes ! C'est un groupe qui est capable de passer de "Friday I'm in love" à "Cold", ou de "The lovecats" à "The funeral party", en passant par "Kyoto song" ! ... On oublie cela, ce groupe étant davantage connu pour son aspect gothique / sombre... mais ils jouent sur une grande variété d'humeurs en réalité !







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