Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 ...>...>>... 1159
Comment poster un commentaire ?


David GILMOUR
LUCK AND STRANGE


Le 20 Septembre 2024 par BRADFLOYD

Hello Baker. Je te confirme, le son est vraiment incroyable. Un juste équilibre entre les instruments et la voix. Par ailleurs, chaque instrument se distingue des autres avec des petits trucs sonores que DG n'avait jamais faits avant ("Dark And Velvet Nights"). Et puis, le son de cette harpe, notamment dans "Vita Brevis" ... Waouh. J'en suis tout émerveillé. A mon humble avis, je ne vois que Steven Wilson pour arriver à rendre le son aussi beau.





Rod STEWART
TONIGHT I'M YOURS


Le 20 Septembre 2024 par NONO

@LONG JOHN SILVER : C'est vrai que les années 80 ont été un sacré cap à passer pour les gloires d'avant... Si je pinaille, je dirais même que ça s'est gâté à partir du mitan des 80s.
Entre 1980 et 1983, grosso-modo les 'dinosaures' restent grosso-modo sur leur lancée avec une musique un peu plus 'formatée' et souvent, c'est à leur honneur.
En revanche, je pense que 1984 est vraiment l'année-charnière : si cette année a révélé énormément de talents, paradoxalement l'aspect commercial de la musique (dû à la prééminence grandissante des machines), a tout envahi, et le synthétiseur par exemple (qui avant était un instrument 'comme un autre' dans un groupe), est devenu totalement exclusif.
Ainsi, en 4 ans, on est passé de Trust à Partenaire Particulier, ou de "Eliminator" (ZZ Top) à Modern Talking. Les gens parlent des "années 80" mais cette décennie était extrêmement variée d'une période à l'autre.
Enfin, les groupes ont 'négocié' le virage des eighties avec plus ou moins de brio : en terme de production, j'adore l'album "90125" de Yes, mais je déteste l'album "Genesis" de Genesis, par exemple. Ces deux albums sont d'ailleurs sortis la même année !





Jacques HIGELIN
PARADIS PAïEN


Le 20 Septembre 2024 par BERTRAND


Un album effectivement hésitant, parfois génial mais basculant vite dans la facilité ("Luxe, calme et volupté"). Vers la fin du disque, on trouve tout de même le très bon "Y'a pas de mot", qu'HIGELIN interpréta aux obsèques de Marie TRINTIGNANT. Le Live 2000 qui suivra est tout aussi hésitant ou chaotique.





Mylene FARMER
CENDRES DE LUNE


Le 20 Septembre 2024 par SEB


En lisant les commentaires précédents, je n'ai pu contenir ma curiosité d'aller angliciser une nouvelle fois mes oreilles.

Je connaissais la version anglaise de "Maman a tort (My mum is wrong)" mais pas celle de "Libertine". Cette "Bad girl" est intéressante. En tout cas, l'arrangement est plutôt fidèle à l'original, comparé à "My mum is wrong" où il y a une certaine pauvreté dans ce domaine, je trouve.

En ce qui concerne ce premier album qui a marqué le début de mon adolescence et qui trace vraiment la ligne directrice de sa carrière (du moins en partie), Mylène a vraiment fait un beau boulot. Les textes noirs, imagés ou provocateurs selon la chanson, sont travaillés, ciselés, tant et si bien que les paroles ne sont pas forcément évidentes à comprendre à la première écoute. Mais c'est justement ce qui en fait sa marque de fabrique. Et aussi un sujet de railleries à l'époque je me souviens (Les Inconnus notamment). Quant aux musiques, elles sont justes géniales et servent à merveille les sujets ! Oui, un très beau boulot.





Mylene FARMER
ON EST TOUS DES IMBECILES


Le 20 Septembre 2024 par SEB


Le fameux single de la fin de contrat, à l'époque où Mylène se cherchait artistiquement ! Bonne mélodie qui reste dans la tête, mais les paroles... Traiter les gens d'imbéciles certains l'ont sans doute mal pris. Remerciée par RCA (qui n'ont clairement pas eu de flair sur ce coup), Mymy est partie chez POLYDOR, sans son dernier titre sous le bras. Ah les histoires de gros sous !

Un bien bon souvenir ! Dommage que Mylène n'ait pu graver cette petite galette au sucre candy en cd, du temps des cd 2 titres ! Un maxi 45-tours, ça console, mais bon le mien a du vécu.





MARILLION
HAPPINESS IS THE ROAD


Le 20 Septembre 2024 par MASTERFAN


On ne s’y attendait pas si vite, mais juste après la douche froide de SOMEWHERE ELSE, arrive déjà en 2008 le 15ème album de Marillion : HAPPINESS IS THE ROAD. De plus, un double comme MARBLES ! 20 morceaux, excusez du peu.

Ambiance piano-bar pour le court morceau introductif "Dreamy Street", épuré et sans prétention. Steve Hogarth la joue crooner, bien secondé par Mark Kelly. Ensuite, première belle surprise : le retour du Marillion très inspiré de MARBLES avec un "This Train Is My Life" qui fait du bien aux neurones. "Essence" est une sorte de tableau impressionniste où chacun (et H en particulier) apporte sa contribution par petites touches, tout en subtilité. "Wrapped in Time" a le défaut classique de quelques titres de Marillion (notamment sur l’album précédent) : le syndrome de l’ascenseur, on s’embête un peu avant que le truc ne fasse monter. Mais l’attente vaut le coup car l’intérêt va crescendo. Autre surprise avec "Liquidity", instrumental court et lumineux, mené par un piano d’une simplicité et d’une émotion désarmante, et pourtant je ne suis habituellement pas adepte de ce genre de trip. Mine de rien, à déjà un quart de l’album, on se dit que cette affaire-là ne sent pas trop mal.

C’est l’heure de "Nothing Fills the Hole", un peu l’inverse de "Wrapped in Time". Climat étrange, on a l’impression que le groupe va s’engager dans un groove très années 70 et puis pouf, tout le monde se rendort sagement, bonne nuit les petits. Mais que va nous faire "Woke Up" ? Après un début (trop) calme, Steve passe en accords et en distorse, cette fois l’intensité est bien de retour, Halleluyah ! Et ce n’est pas fini car "Trap the Spark" renoue carrément lui aussi avec la grandeur de MARBLES : magnifique ! Derrière, le léger "A state of Mind" confirme le retour en forme. Enfin, si les dix minutes de l’éponyme "Happiness is the Road" ne sont pas exaltantes dans leur intégralité, H en faisant parfois trop (ou pas assez), le refrain reste mémorable. On pense que c’est fini pour le premier disque mais ça reprend avec "Half Full Jam" en rab, pourquoi pas.

Le premier disque, ESSENCE, est particulièrement convaincant. Les chutes de SOMEWHERE ELSE ? On n'y croît pas, ce serait plutôt l’inverse.

Vient maintenant le second disque, THE HARD SHOULDER. Changement de climat avec "Thunder Fly" dont l’intro est un mix entre du Pink Floyd de 1967 et du Radiohead de 2003. On revient ici à des ambiances de la période RADIATION/MARILLION.COM/ANORAKNOPHOBIA. Comme "Quartz" à une époque, "The Man From the Planet Marzipan" (franchement, ce titre !) dévoile une surprenante densité aux réécoutes. On reste sur du prog pur et dur avec le long "Asylum Satellite #1" (non, ce n'est pas un titre d'Indochine), moins mon truc évidemment. Trop peu d’émotion également sur "Older Than Me" tandis que "Throw Me Out" n’est pas captivant mais se tient.

Dernière partie de l’album avec une claire volonté de terminer sur quelque chose de plus pop-rock. Le léger "Half the World" sert d’entrée au single "Whatever Is Wrong With You", quand même plus abouti que le "See It Like a Baby" de l’album précédent. "Especially True" ouvre lui la voie à un "Real Tears For Sale" qui conclut très dignement THE HARD SHOULDER.

Une seconde partie tout de même moins prenante au global que ESSENCE.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "This train is my life", "Essence", "Woke up", "Trap the spark". SEDUISANT (4) : "Liquidity", "A state of mind", "Happiness is the road", "Thunder fly", "Whatever is wrong with you", "Real tears for sale". PLAISANT (3,5) : "Dreamy street", "Wrapped in time", "Half full jam", "The man from the planet Marzipan", "Especially true". INTERESSANT (3) : "Nothing Fills the Hole", "Asylum Satellite #1", "Throw Me Out", "Half the World". EMOTION LIMITEE (2,5) : "Older Than Me". Bilan 3,70 et Top 5 à 4,40 : HAPPINESS IS THE ROAD cote pour moi 4,05 soit 16,20 /20.

Après la Champion’s League avec MARBLES, il y a eu l’inattendue descente en Ligue 2 avec SOMEWHERE ELSE, et en moins d’un an, Marillion retrouve l’élite avec brio. Un petit coup de moins bien en début de seconde mi-temps mais sur l’ensemble, on n’attendait pas HAPPINESS IS THE ROAD à ce niveau.

Avec les 10 meilleurs morceaux sus-évalués, on aurait pu arriver à un autre classique. La volonté de plaire à un maximum de fans entraîne fatalement pour tout le monde un effet de dilution, ce dont on ne peut leur faire grief.





David GILMOUR
LUCK AND STRANGE


Le 19 Septembre 2024 par AIGLE BLANC

Je ne suis pas d'accord, Replicant, avec la conclusion de votre commentaire. Que le dernier album de David Gilmour ne vous ait pas convaincu, c'est un fait. Mais cela ne permet pas d'en déduire que Gilmour l'a produit dans un seul but lucratif.
David Gilmour n'a pas besoin de gagner plus d'argent, l'héritage de Pink Floyd suffisant à assurer le reste de ses jours sur terre. David Gilmour est un artiste et comme tous les artistes, il ne sait rien faire d'autre de mieux que de servir la musique qui circule dans ses veines. On observe le même constat chez des cinéastes accomplis comme Woody Allen ou Pedro Almodovar dont les films, depuis plus de dix ans au moins, traduisent un manque d'inspiration flagrant et ne sont plus que l'ombre de leur taent initial. C'est cela je pense qui vous chagrine quand vous écoutez le dernier album de David Gilmour, artiste que vous avez tant aimé du temps de sa splendeur.
Je n'ai pas encore écouté cet album, je ne puis évaluer donc l'intérêt qu'il représentera pour moi.





David GILMOUR
LUCK AND STRANGE


Le 19 Septembre 2024 par BRADFLOYD

@Replicant : Vous avez raison de penser ce que vous pensez. Il est vrai que la voix n'est plus celle d'antant. Cependant, les licks de guitare ne s'inventent pas tous les quatre matins. Le style de Gilmour est des plus reconnaissables parce que, justement, ses licks le sont tout autant. Vous ne pouvez pas demander à un musicien d'être autre chose que ce qu'il est et c'est justement parce qu'il n'est pas n'importe quel guitariste que son style est si marqué. Aussi, si vous n'aimez plus le guitariste, vous en avez tout à fait le droit. Mais il me semble que les amateurs de Gilmour seront, tout comme moi, enchantés de l'entendre à nouveau jouer ainsi.
Quant à la qualité des chansons, celles-ci ne sont pas du niveau de Waters ou de Dylan, c'est sûr. Enfin, du côté paroles. En revanche, musicalement, c'est du très haut niveau avec une production magnifique et de petites trouvailles sonores qui embellissent le propos. C'est pour cette raison, parce que c'est un disque que j'ai dû écouter une bonne trentaine de fois depuis sa sortie, que je maintiens la note que je lui ai accordée.





David GILMOUR
LUCK AND STRANGE


Le 19 Septembre 2024 par BAKER

Mon Brad tu me l'as bien vendu ce disque ^^ Est-ce que le surround est aussi bon que celui de Rattle ? Si oui, je pense craquer...





INDOCHINE
BABEL BABEL


Le 19 Septembre 2024 par BAKER

Non @VINCENT, désolé, votre argumentaire n'est pas recevable.

Déjà si vous ne supportez pas de lire des choses malaisantes sur un groupe, ne lisez simplement pas un site de CHRONIQUES et de CRITIQUES. C'est aussi simple que ça.

Ensuite, lorsque beaucoup d'entre nous défendent ce groupe, pourtant TRUFFÉ de défauts depuis son tout premier single, aux moments (87-99) où il était en pente fatale, que valent nos avis ? Rien ? Doit-on ne dire que du bien, tout le temps, même si on ne le pense pas ? Ou la boucler ? C'est le premier pas vers un truc vachement tendance qui s'appelle : le totalitarisme. µ

Enfin d'une façon purement et totalement objective, si vous n'arrivez pas à voir que ce groupe s'autoparodie depuis 20 ans, ça ne me gêne pas, vous pouvez l'acheter, aller les voir, les déifier. Je ne vous en empêcherai jamais, MOI.

Mais réfuter une critique négative d'un groupe qui se permet de faire siffler par un stade entier une personnalité politique (complètement conne, certes) qui n'est même pas là pour se défendre, désolé, mais c'est vous, le problème dans cette équation.

Qu'Indochine nous ressorte un Alice & June et on en reparlera.





Mylene FARMER
HISTOIRES DE


Le 19 Septembre 2024 par SEB


Ça fait bien longtemps que je suis sorti de la Mylène-sphère !

Déjà l'album remix de 2003 m'a un peu déconcerté par les choix des "heureux élus". Mais bon ce n'était que des tubes remixés. Les originaux "Avant que l'ombre", "Point de suture", bien que moins consensuels que la période du Millénaire précédent, ont encore attiré un peu mon oreille malgré un déclin artistique perceptible. La rupture aura été "Bleu noir", non, stop. Ma collection perso de Mylène Farmer s'arrête donc à 7 albums originaux. Même si j'adore l'électro en général, son virage appuyé vers la pop électro-soupe (Farmer en électro... Et pourquoi pas Mireille Matthieu en techno-pop tant qu'on y est ?) m'aura définitivement oublié en chemin. Ça n'est tellement pas elle ! Et je ne suis pas particulièrement pressé de raccrocher le wagon !

Autant dire que cette compil, même si elle contient des titres de ses années glorieuses, me laisse d'un marbre glacial ! Et pour cause, pour tout fan déçu de sa nouvelle orientation, "Les mots" sera une excellente compilation, accompagnée pour les plus acharnés de la compil 2001-2011 et les lives jusqu'à la dite période...

Cette compilation est juste commerciale et n'a aucun intérêt autre que de faire pleurer la carte bleue. Un 1 s'impose ! Néanmoins l'ancien fan délivre un crépusculaire 3 pour vraiment être poli, pour la nostalgie des tubes présents (et encore il en manque) et pour l'immense artiste... Qu'elle fut avant de cliver.





FREDERICKS / GOLDMAN / JONES
ROUGE


Le 19 Septembre 2024 par FOUDROCK


Ce deuxième et ultime FGJ est une tuerie, production éclatante, morceaux de choix, parfois très proches du heavy metal ("Des vôtres", "Rouge", "On n'a pas changé"). Difficile d'écouter "Fermer les yeux", et ses choeurs du Trio Bulgarka, sans avoir les yeux qui piquent (sauf s'ils sont fermés) tellement l'émotion est prenante.
L'objet physique (première édition CD), avec son boîtier de lourd métal, est sublime, ce qui ne gâche vraiment rien.





FREDERICKS / GOLDMAN / JONES
FREDERICKS/GOLDMAN/JONES


Le 19 Septembre 2024 par FOUDROCK


Quelques-unes des plus belles chansons de Goldman sont là : "Tu Manques" dédiée à son père, "Nuit", ""Né en 17 à Leidenstadt". L'album offre aussi deux-trois chansons un peu moyennes ("Chanson d'amour", "Je l'aime aussi"), mais rien de grave, c'est un très bon disque.





Jean-jacques GOLDMAN
MINORITAIRE


Le 19 Septembre 2024 par FOUDROCK


Ce fut mon premier album studio de J-JG. Pas un de ses meilleurs, mais il offre quelques très bonnes chansons et des tubes, c'est déjà ça.





Jean-jacques GOLDMAN
DEMODE


Le 19 Septembre 2024 par FOUDROCK


Un premier album sans grand éclat, si ce n'est "Il Suffira" et "Pas l'indifférence", toutes deux vraiment exceptionnelles, et "Sans un mot", sympathique.





Jean-jacques GOLDMAN
CHANSONS POUR LES PIEDS


Le 19 Septembre 2024 par FOUDROCK


J'ai mis beaucoup de temps à enfin apprécier pour ce qu'il est cet ultime opus de JJG : pas un chef-d'oeuvre, mais une oeuvre intéressante, belle, avec des chansons vraiment réussies (pas toutes : "The Quo's in town tonite" est assez médiocre). L'objet physique, lourd boîtier de métal avec épais livret de paroles dessiné par Zep, est sublime.





Jean-jacques GOLDMAN
EN PASSANT


Le 19 Septembre 2024 par FOUDROCK


Un de ses meilleurs opus. Un vraie merveille intimiste, qui se laisse découvrir progressivement, tout en s'ouvrant et se finissant sur des désormais classiques goldmaniens.





Jean-jacques GOLDMAN
ENTRE GRIS CLAIR ET GRIS FONCé


Le 19 Septembre 2024 par FOUDROCK


Un grand cru, un excellent opus, double, deux disques bien différents entre le premier dans la lignée du précédent, et le second, plus sobre, avec des chansons moins évidentes. Le premier a été enregistré avec des synthés, le second, plus "classiquement", sans grosses machines synthétiques.
Je préfère le premier, plus direct, mais l'ensemble est sans défaut.





Jean-jacques GOLDMAN
NON HOMOLOGUE


Le 19 Septembre 2024 par FOUDROCK


Deux chansons absolument et définitivement à chier des briques mauves par la fenêtre d'une préfecture : "Délires schizo-maniaco-psychotiques" qui ressemble à du mauvais Gotainer, en pire ; et "Bienvenue sur mon boulevard", fonds de tiroir infâme qui semble avoir été assemblé entre deux verres de blanc avec le refrain de "La vie par procuration" et les refrains de "Je marche seul" (je parle des mélodies, de la manière de chanter de JJG, pas des paroles, évidemment), soit avec des éléments de deux autres chansons du même album.
A cause de ces deux chiures, je ne peux pas mettre 5/5 à l'album qui, mis à part elles, est vraiment remarquable, sous sa pochette qui rend hommage à "Born To Run". J'adore "Pas toi", "Compte pas sur moi" (qui fait très Deep Purple dans ses sonorités "guitare/claviers") et "Parler d'ma vie", moins connue, avec le grand Chet Baker à la trompette en final.





Jean-jacques GOLDMAN
POSITIF


Le 19 Septembre 2024 par FOUDROCK


Un très grand cru goldmanien, un de ses meilleurs, malgré "Je chante pour ça" qui ne vaut pas tripette et "Plus fort" qui est plus fort mais guère mémorable non plus, malgré son riff.
Mais le reste est globalement incroyable, et mention spéciale à "Ton autre chemin", sans aucun doute LE sommet du chanteur, avec un solo de guitare à tomber, des paroles un peu cryptiques (parle-t-il d'un ami devenu fou, de son demi-frère Pierre, ou d'autre chose encore ? Il ne l'a jamais dit publiquement), une durée parfaite, une progression sublime, une place de choix (le final)...







Commentaires :  1 ...<<...<... 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 ...>...>>... 1159






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod