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The Alan PARSONS PROJECT
AMMONIA AVENUE


Le 24 Août 2024 par BAKER

@ALEX : Je pensais plus aux chanteurs de type 'soul', à la "Wouldn't Want To Be Like You" ou "Too Late" (que j'ai reprise tellement elle est efficace). Mais oui, Eric avait une fragilité que j'ai toujours adorée, et puis Alan chante très bien mais que le groupe porte son nom MAIS qu'Eric devienne de facto la vedette, c'est un équilibre des forces. Ce que j'ai pu aduler ce groupe!

J'ai quand même écouté "Silence and I" tant de fois que quand j'ai acheté la version 'high fidelity', j'ai repéré sur le solo un pleurage qui n'était pas sur le CD ou le 33-t originel. Quand on en est à ce stade de névrose...

@TOMMY : Comme dirait mon pote Emkine, faut être cuirassé pour la sortir celle-là ! :D





The Alan PARSONS PROJECT
AMMONIA AVENUE


Le 24 Août 2024 par TOMMY_CALE

Tu n'as plus qu'à la oser fine, Baker





The Alan PARSONS PROJECT
AMMONIA AVENUE


Le 24 Août 2024 par ALEX F

@Baker

Pour moi, Eric Woolfson est peut-être le meilleur chanteur de APP, car c'est celui qui colle le mieux à l'univers mélancolique du groupe. Il n'a pas le côté guimauve et variété sirupeuse qu'ont d'autres chanteurs plus doués que lui sur le plan technique et notamment certains ayant participé aux différents albums de APP. J'aime bien les participations au chant de John Miles aussi, notamment sur "Stereotomy", ça colle parfaitement, excellent morceau.





The CULT
BORN INTO THIS


Le 24 Août 2024 par CLANSMAN57


C'est inégal et je le mets juste après "The Cult" en terme de qualité.
Trois très bonnes chansons sont présentes :
l'accrocheuse "Illuminated", la planante "Tiger In The Sun" et enfin "Sound Of Destruction", dotée de choeurs féminins lors d'un refrain mémorable.

C'est d'ailleurs ce qui manque aux autres titres : des refrains accrocheurs.
"I Assassin", par exemple, possède un bon couplet avec un chouette riff, mais le refrain ne se retient pas.
Pareil pour l'énergique "Savages", pourtant excellente à part sur ce point essentiel.

"Born Into This" ouvre bien l'album avec ses accents Stoniens, "Citizens" lui succède pas mal, ces deux titres sont plutôt bons.

"Diamonds" est moyenne, le single "Dirty Little Rockstar" de même, malgré son riff AC/DC qui rencontre l'électronique.
La ballade "Holy Mountain" n'est pas dégueulasse, mais trop anecdotique.

Heureusement, l'édition 'Savage', qui comporte un disque bonus comprenant 5 titres supplémentaires, relève un peu le niveau.
Je passe les deux démos et la version longue de "Savages" pour en venir aux inédites, "Stand Alone" et "War Pony Destroyer".
J'ai beaucoup de mal à comprendre pourquoi elles ne sont que des bonus. Elles sont largement supérieures aux titres moyens de l'album. Leurs refrains sont excellents, c'est bien fichu.

Bref, ce n'est jamais complètement loupé avec The Cult, les écarts qualitatifs sont malgré tout de la partie et c'est un peu rageant.





Henri DES
ELLE EST BELLE


Le 24 Août 2024 par CORNELIUS

Aucun intérêt particulier pour la musique de cet artiste, mais la pochette me fascine. On dirait Bobby Fischer se regardant dans le miroir de Carroll.





MARTIN CIRCUS
SHINE BABY SHINE


Le 24 Août 2024 par BAKER

Je suis déçu de cette chronique. Tu aurais pu finir par : ...mais ça c'est une autre histoire ! ;)





Bernard LAVILLIERS
CINQ MINUTES AU PARADIS


Le 24 Août 2024 par BERTRAND


Les textes, les compositions, les arrangements, les musiciens, la pochette... Tout est parfait dans cet album. Mention spéciale au pianiste Xavier TRIBOLET, fidèle depuis de nombreuses années et qui signe la musique de "Paris la grise", et au charme de Jeanne CHERHAL sur "L'espoir".





La FEMME
PARADIGMES


Le 24 Août 2024 par BLUEMASK


'Paradigmes' présente un groupe sûr de ses moyens et qui continue sur la voie de ne pas forcément en avoir. On retrouve donc ce mélange addictif de new-wave varietoche française, de surf, d'electro et de candeur sixties, entre Gainsbourg et Lee Hazelwood. Le groupe arrive encore à surprendre, comme cette série de titres orientés clubbing en milieu de disque, ou ce passage en spoken word qui évoque FAUVE sur 'Pasadena'.
Un mot sur les titres chantés en anglais : gros gros accent français, bien pire que les groupe de heavy français dans les années 80, c'est dire. A côté, moi je suis né à Camdem... C'est en fait assez drôle et j'imagine pas, pour des mecs cosmopolites comme eux, que ce ne soit pas fait à dessein.
Bref, encore un excellent disque un poil inférieur aux deux précédents, à moins que ce ne soit la force de l'habitude.





Bernard LAVILLIERS
ACOUSTIQUE


Le 23 Août 2024 par BERTRAND


Le but ici est de remodeler d'anciens titres avec les arrangements de Romain Humeau, cofondateur du groupe EIFFEL, qui était déjà à l'oeuvre pour "Baron Samedi". Assez réussi, mais dans cet exercice-là, je préférerai les reprises de 2023 sur "Métamorphoses".





Bernard LAVILLIERS
BARON SAMEDI


Le 23 Août 2024 par BERTRAND


Un double album, rien que ça! Sans longueurs, car la deuxième galette est entièrement consacrée au poème majeur de Blaise Cendrars, "Prose du Transsibérien...". Une performance de choix, aussi de la part des musiciens. Une allusion au poète et romancier suisse, auteur des "Pâques à New York", est présente dans la première partie. Le tout est hyper classe, sobre et sans clinquant. A sa sortie, j'étais persuadé que "Baron samedi" était son meilleur opus avec "O Gringo". Mais depuis lors, il nous a gratifiés de deux autres perles...





The Alan PARSONS PROJECT
AMMONIA AVENUE


Le 22 Août 2024 par BAKER


J'aime beaucoup cet album malgré ses défauts (visibles, enfin audibles). Je voulais juste rebondir sur le commentaire préédent : Eric n'était clairement pas le meilleur chanteur de APP, mais les notes de "Don't let me win" sont très exactement mes "limites" où il faut passer de voix de poitrine à voix de tête, voire limite growl.

Est-ce que d'autres chanteurs ont la même limite (je veux dire : exactement ces deux notes en particulier ?)

Dans le genre "ouais c'est bon mais en fait non non non mais non", je pose la même question pour le refrain de "Scoundrel Days" de A-Ha. Je peux chanter bien plus haut, mais CA, non. C'est universel, ou suis-je le seul ?





Bernard LAVILLIERS
CAUSES PERDUES ET MUSIQUES TROPICALES


Le 22 Août 2024 par BERTRAND


Album riche, maîtrisé mais sans surprise. Un mot sur les adaptations, pour lesquelles LAVILLIERS est passé maître. Après "L'Eté" (2004) repris d'un standard mondial, il adapte ici le fameux tango "Alfonsina y el Mar" dans la chanson "Possession", sublime. Il poursuivra dans cette voie en 2013 avec une adaptation du poète réunionnais Alan Peters, "Rest'là Maloya".





The Alan PARSONS PROJECT
AMMONIA AVENUE


Le 22 Août 2024 par ALBIRéO


Moui... bof...
Pop ancrée dans son époque avec quelques marqueurs habituels du groupe.
Ce qui est criant est l'absence globale d'inspiration : mélodies sans relief, orchestrations assez plates, production non homogène, chant très inégal de Eric Woolfson dont la présence est trop prononcée, même s'il est pile le bon chanteur pour la très réussie "Don't answer me".
Car il y a quelques réussites, pas forcément pour les mêmes raisons : "Don't answer me" possède une ambiance unique sur ce disque. "I don't believe" est curieusement dépouillée, mélodie et orchestration, ce qui contribue à sa réussite, et "Ammonia Avenue", surprenante d'originalité. Le reste ? De la pop quelconque, passe-partout, qui, quand je l'écoute, ne m'interpelle pas du tout. Surtout en comparaison des albums précédents si palpitants ; je pense en particulier à l'exceptionnel "Pyramid".





Bernard LAVILLIERS
SAMEDI SOIR à BEYROUTH


Le 22 Août 2024 par BERTRAND


Eh bien moi, j'aime beaucoup cet album. Il n'est pas parfait mais le son est unique. Enregistrer avec des musiciens reggae puis amener ce matériel au grand Willie Mitchell (peu de temps avant sa mort) à Memphis, pour mâtiner tout ça de soul music, ce n'est pas banal. Un peu de remplissage vers la fin, mais rien que pour les arrangements, je donne 5/5!





Bernard LAVILLIERS
CARNETS DE BORD


Le 21 Août 2024 par BERTRAND


Un Nanard de retour en grande forme! A partir de ce "Carnets de bord", il n'y aura plus d'album faible jusqu'à aujourd'hui. Quelle maturité! Et sa voix commence à prendre un petit grain, comme voilée, très intéressant. Les invités (Cesaria Evora et Tiken Jah Fakoly) sont à la hauteur. La line-up (Sly & Robbie, Mickey Chung) fait fort. La tournée qui suivra, captée sur CD et DVD, sera magistrale. Deux petits bijoux méconnus: "Silence" (écoutez bien les paroles, c'est "No Woman No Cry" dans l'esprit) et "Marin".





YES
CLOSE TO THE EDGE


Le 21 Août 2024 par HDPE 79


Close to the Edge, cinquième album studio de Yes, sorti en 1972, est considéré par beaucoup comme un chef-d'œuvre du rock progressif et l'un des albums les plus influents du genre. Ce disque marque un tournant dans la carrière du groupe britannique, proposant une musique ambitieuse, complexe et mélodique à la fois.

Une œuvre monumentale
L'album est surtout connu pour sa pièce-titre éponyme, une suite de trois mouvements qui explore des thèmes cosmiques et philosophiques. Cette composition monumentale, d'une durée de près de 19 minutes, est une véritable odyssée musicale qui met en valeur les talents de chacun des membres du groupe. Les claviers envoûtants de Rick Wakeman, les guitares mélodiques de Steve Howe, la voix puissante de Jon Anderson et la rythmique solide de Chris Squire et Alan White se combinent pour créer une œuvre d'une richesse et d'une beauté inouïes.

Un concept album avant-gardiste
"Close to the Edge" est un concept album qui explore des thèmes universels tels que la nature, l'existence et l'évolution. Les paroles d'Anderson, souvent énigmatiques et poétiques, invitent à une introspection profonde et à une réflexion sur notre place dans l'univers. La musique, quant à elle, sert de véhicule pour exprimer ces idées complexes, créant une atmosphère à la fois mélancolique et exaltante.

Un héritage indéniable
L'influence de "Close to the Edge" se fait encore sentir aujourd'hui. L'album a inspiré de nombreux groupes de rock progressif et a contribué à populariser ce genre musical. Il est régulièrement cité parmi les meilleurs albums de tous les temps et continue de fasciner les mélomanes du monde entier.

En résumé, "Close to the Edge" est un album incontournable pour tous les amateurs de rock progressif. Son ambition, sa complexité et sa beauté en font une œuvre d'art intemporelle qui mérite d'être écoutée et réécoutée.





MARILLION
MARILLION.COM


Le 21 Août 2024 par MASTERFAN


Au cours des années 90, Marillion a été marqué par Radiohead. Le groupe a même repris « Fake plastic trees ». Nulle surprise qu’il ait eu envie, à un moment, d’explorer lui aussi des contrées plus rock, plus « alternatives ». RADIATION avait déjà clairement annoncé la couleur. Mais comment, dans ce cas, ne pas froisser les fans d’origine, ceux qui ont souvent adoré BRAVE en 1994 ? La réponse est simple, ne pas choisir et faire les deux, au gré des envies.

MARILLION.COM, le onzième album, sera donc teinté des deux saveurs, pop-rock et prog. Pour preuve le magnifique « A legacy » d’ouverture, carrément hybride. « Deserve » est une première redoutable pépite pop. « Go », hybride lui aussi, respire la classe en livrant un final d’anthologie, un vrai délice. Et que dire de « Rich », succulente sucrerie pop que n’auraient pas reniée les Beatles… Pied-de-nez aux fans intégristes, pied tout court pour les autres. Dommage pour le groupe qu’en 1999, la vague de la Brit-Pop soit déjà un peu passée...

Après une telle entame et ces quatre pépites, il est normal que « Enlightened » (avec ses ambiances à la Airplane), « Built-in bastard radar » et « Tumble down the years » fassent retomber la pression, tout en se révélant par moments fort appréciables.

A ce stade où le groupe doit se faire pardonner d’une partie des fans (pas forcément gagné), les vingt-cinq dernières minutes seront donc prog. Si « Interior Lulu » est une très belle pièce qui préfigure l’excellent MARBLES, j’avoue avoir beaucoup plus de mal à rentrer dans « House », un titre qui pourrait être vendu en pharmacie et remboursé par la Sécu en tant que somnifère.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Rich. DELECTABLE (4,5) : A Legacy, Deserve, Go ! SEDUISANT (4) : Interior Lulu. PLAISANT (3,5) : Enlightened, Built-in bastard radar, Tumble down the years. INTERESSANT (3) : Néant. EMOTION LIMITEE (2,5) : Néant : AUCUNE EMOTION (2) : House. Bilan : 3,89 et Top 5 à 4,50 : MARILLION.COM cote pour moi 4,19 soit 16,76 /20.

Condamné par la Grande Inquisition Prog pour Haute Trahison, MARILLION.COM est pourtant une oeuvre passionnante constituée par endroits de véritables joyaux. D’où l’urgence de les extirper du bûcher où ils brûlent depuis 25 ans et de les faire découvrir au plus grand nombre.





Keith FORSEY
DYNAMITE


Le 21 Août 2024 par BAKER


Je l'ai beaucoup poncé, ce 33t, un des premiers "trésors" lors de mes chinages à Paris à une époque où on avait quinze 33t pour 100 francs.

FRANCS.

Avec le recul, il est sympatoche mais sans rien d'extraordinaire, disons qu'il est délassant, c'est de la petite pop country 110% US toute en guitares twang et en hou-hous suavo-bovins. J'aime particulièrement le premier titre, et dans le genre ouvre-braguette Can't You See se pose là.

Mais autant Keith possède une belle voix, autant niveau compos c'est mignon mais loin de ce qu'il atteindra avec Don't You Forget About Me de qui-vous-savez.





KILLING JOKE
FIRE DANCES


Le 21 Août 2024 par NONO


J'aime plutôt bien cet album, sans être mon préféré du groupe.
Effectivement, on est vraiment dans le moment-charnière entre le côté sauvage des 3 albums précédents et le formatage plus commercial de l'album suivant.
Disons qu'ici, c'est du "sauvage formaté" si on veut. L'agressivité se résume aux guitares saturées et au jeu de batterie assez tribal dans sa suggestion, mais sonnant déjà assez "rangé"...
Tout est très homogène et finalement un peu répétitif. Rien ne dépasse, rien n'est mauvais mais rien n'est non plus extraordinaire. Et la fin tombe un peu à plat, l'impression qu'il n'y avait plus assez d'inspiration pour finir l'album élégamment.
Potable, c'est tout.
Un petit 3/5.





NAS
ILLMATIC


Le 21 Août 2024 par BLUEMASK


Un classique du rap new-yorkais qui avec le '36 chambers' du Wu Tan Clan a relancé le genre après l'ère Public Enemy. Comme le Wu, on tient là un rap assez posé, très urbain, porté par un flow fluide et des instrumentations funky,soyeuses et assez minimalistes. Ces instru n'ont pas la richesse de celle de RZA (du WTC), c'est compliqué de faire mieux, mais elles tiennent pourtant impeccablement les morceaux.
Comme tout album de rap américain, à moins d'être bilingue ++ et de saisir l'argot des ghettos, il est difficile de ne saisir plus que des bribes des paroles, ce qui réduit à coup sûr l'impact. Certains albums de rap US s'en sortent mieux, comme le WTC, encore lui, qui comptent plusieurs voix et instaurent un dialogue plus percutant pour qui ne saisit pas tout







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