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Phil COLLINS
NO JACKET REQUIRED


Le 11 Septembre 2024 par SEB


NO JACKET REQUIRED. Pas de doute c'est un putain de bon album de Phil Collins dans la période 80's...

En tombant sur la chronique de cet album, j'ai eu envie de le réécouter dans sa version 33 tours 10 titres d'époque. Car il avait une particularité : il y avait du parfum sur la veste de Phil représentée sur la pochette intérieure ! Et vous savez quoi ? Ma pochette sent toujours le parfum 39 ans plus tard !

Et en l'écoutant, toujours le même plaisir de retrouver l'univers Collins. Et moi qui suis un peu footeux, je retrouve avec un plaisir non dissimulé "Who said i would" qui signe l'entrée des joueurs de foot du PSG... Mention spéciale, hormis tous les tubes présents ici, pour "Long long way to go" que j'adore. Tout comme l'album dans son entièreté finalement, non franchement rien à jeter !





BON JOVI
NEW JERSEY


Le 11 Septembre 2024 par FIGHTITBACK


Dieu que vous êtes dur !!! (chroniqueurs officiels) Fan de hard depuis 1980 (54 balais) je viens de me le réécouter en faisant un rapprochement (inévitable?) avec le "Hysteria "de DEF LEPPARD paru un peu + d'1 an + tôt ! J'en viens aux faits, je ne je suis (et n'ai jamais été) un fan de B.J. mais du léopard sourd oui ! Cet album est pour moi leur meilleur (bien que je ne retienne finalement que 5 titres sur 12 ! les 3, 5, 7, 9 & 10 alors que sur "Slippery..." que 3/10 dont le plagiat revendu par D. CHILD de B. TYLER au groupe quelques mois après "You give..." écoutez pour celles/ceux qui ne connaissent pas "If you were a woman" de Bonnie en Mai '86 !) Je me perds à force (OUPS) mais autant j'adore 8 titres/10 sur "Pyromania" (oui, je reviens à l'époque et au léopard, sorry !) sur "Hysteria" qui s'est archi vendu aussi, je ne retiens également que 5 titres (pistes 1, 3, 4, 10 & 12 car le reste...?!) Bref tout cela pour dire que DEF LEP avait fait mieux avant, mais BON JOVI sortait là son album le + consistant à l'époque ! P.S. Note réelle : 2,5/5 car faut pas exagérer non plus, hein?!





VIOLENT FEMMES
VIOLENT FEMMES


Le 11 Septembre 2024 par BLUEMASK


De tous temps, il y a eu des groupes suiveurs, parfois avec des excellents disques, là n'est pas le sujet, et les groupes ayant une vision propre. Violent Femmes est de ceux là.
En 1983, à l'heure de la new-wave, du synthé et du hard rock triomphant, sortir un disque (le premier) de Punk-Folk boisé était un acte de foi. Et la foi, l'envie, l'ardeur, on les sent tout du long de ce court disque habité, ironique et déchainé. Quel talent d'être d'ailleurs déchaîné avec une musique principalement acoustique, la section rythmique l'étant intégralement et formant l'ossature sèche et claquante du disque, absolument punk dans l'âme (il suffit d'ailleurs d'écouter 'Ugly' single de l'époque qui n'est pas sur ce disque, pour y entendre du Sex Pistols des Appalaches). Etre déchaîné et sec ne suffit pas pour faire un grand disque, et là derrière, il y a de superbes chansons, foutrement bien écrites.





INTERPOL
TURN ON THE BRIGHT LIGHTS


Le 11 Septembre 2024 par PSYCHODIVER


De mes premières années de vie (fin 90 / début 2000), plusieurs images demeurent. Sociopolitiques autant que d'ordre culturel. Les faciès des infâmes Dutroux, Fourniret, Alègre et les scandales qui suivirent. Le lapin sur l'affiche de l'exceptionnel "Donnie Darko". L'invasion et la destruction de l'Irak. Ken O'Keefe magistral dans "Tout Le Monde En Parle". Les émeutes de 2005. Mais plus encore, il y'a 23 ans jour pour jour : New York à genoux. Et presque simultanément dans ma mémoire de gamin : cette inquiétante pochette noire et rouge. Celle du premier album d'INTERPOL. Leur meilleur, l'un des meilleurs de nos musiques préférées et l'emblème des années 2000 comme du nouveau siècle, qui a véritablement démarré sous le signe des non-dits, du crime et du massacre dans des proportions industrielles, de la névrose sociétale et de l'absurdité contemporaine. Je ne me doutais pas du haut de mes 5 / 6 ans que cette tendance ne datait pas d'hier. Mais clairement, le passage à l'an 2000 semblait avoir accéléré le processus (déjà bien avancé) d'emprise du Mal sur le monde.

D'autres artistes rock auraient pu prétendre à ce titre de porte étendard musical de cette décennie qui débutait à peine. NOIR DÉSIR avait fait fort en 2001 (le jour même des évènements d'ailleurs) avec "Des Visages Des Figures". Bien plus tard, RADIOHEAD triomphera dans le même registre avec "In Rainbows". Pourtant, la postérité retiendra que c'est bien le groupe de Paul Banks qui a su traduire l'aura de son époque mieux que les autres. Le tour de force ayant été d'en extraire un portrait des plus éloquents, universels et personnel tout en s'appuyant sur une musique vieille de plus de vingt ans en 2002. Préserver l'essence de l'afterpunk le plus cold et le plus évocateur pour le transposer dans l'après 9/11. Ça ne pouvait que fonctionner. Parler à tout le monde. New-York, Paris, Moscou, Tokyo, Berlin, Bagdad, Gaza ... Partout le même état d'esprit. Incertain. Obsessionnel. Désabusé. Mais vivant. Humain.

Paul Banks est irréprochable. Jamais il ne singe Ian Curtis (mais comment pouvait-il y parvenir même en s'y efforcant ?) et si il ne cherche pas à lorgner sur les frustrants CHAMELEONS (bonne musique, mais paroles désolantes d'immaturité et voix involontairement parodique), il contribua à les faire sortir de leur anonymat. Seuls les quelques fans issus des 80's ne peuvent pas adhérer à cet état de fait et avancer l'argument du plagiat pur et simple. Outre les deux formations mancuniennes précitées, il y en a une autre dont l'influence est aussi perceptible qu'ignorée : WIRE. Le quatuor de Newman, Gilbert, Lewis et Gotobed est un groupe devenu culte aux US et cela n'a pas échappé aux new-yorkais dans l'énergie et la concision qu'ils déploient ("PDA", "Say Hello To Angels", "Roland") autant que dans leurs textes, en apparence abscons voire prodiges de grand n'importe quoi, mais en fin de compte recherchés et terre à terre ("Hands Away" et la conclusion hivernale "Leif Erikson" en sont les plus terribles exemples).

Album dense, sombre et mature, rempli de potentiels tubes qui relèvent plus de l'anti radio / anti entertainment que d'autre chose (magnifique "Untitled", "Obstacle 1", "Stella ..."), vestige d'une aube de siècle obscure où la créativité pouvait être encore mise aux services d'œuvres puissantes, indépendantes et dans lesquelles le public le plus large saurait s'y retrouver : "Turn On The Bright Lights" est un chef-d'œuvre. Si le mouvement revival reste dans tous les esprits pour de bonnes raisons : c'est en grande partie grâce à INTERPOL. Peu importe que la suite de leur carrière se soit avérée moins palpitante. Avec un disque intemporel à leur actif : l'essentiel était là.





Kendrick LAMAR
TO PIMP A BUTTERFLY


Le 11 Septembre 2024 par BLUEMASK


Bel album de rap 'moderne' de la part du meilleur rappeur depuis des lustres, embrassant la modernité d'instrus complexes et très reférencées avec une flow plus classique, redoutable d'efficacité, de limpidité au service de textes que l'on aimerait voir un peu plus souvent dans le genre aujourd'hui, et j'ai toujours pas mis de verbe à ma phrase.
Je le retrouve un peu en retrait par rapport à son successeur, par le manque de titres phares, hormis le tube de dance-floor 'King Kunta', et 'How much a dollar cost' puissant. Les instrus sont toutefois plus riches, couvrant toute la musique noire américaine, avec un accent sympa mis sur le jazz.
En France, Jul commençait sa carrière...





INDOCHINE
BABEL BABEL


Le 11 Septembre 2024 par BAKER


Un seul mot : MERCI.





SERGE GAINSBOURG
LOVE ON THE BEAT


Le 10 Septembre 2024 par NONO

@Psychodiver : il est vrai que, déjà "Lemon Incest" nous avait 'fixé' sur le cours des choses. Ceci dit, Gainsbarre pouvait avoir fait fausse-route (on peut se tromper, c'est humain) et donc corriger le tir. Mais non ! C'était sans imaginer la suite. Il en fallait encore plus ! On a donc eu droit à une suite avec le film "Charlotte For Ever", sans oublier la pochette de l'album suivant, affichant noir sur blanc l'inscription "Détournement de mineures", pochette imitant un rapport de police.
Aimer le Gainsbourg d'une époque, c'est une chose, mais le soutenir jusqu'à la fin, c'est presque un aveu de complicité.
Il faut se rendre à l'évidence, le gentleman intelligent et subtil qu'il était longtemps avant, a véritablement suicidé sa carrière.





SERGE GAINSBOURG
LOVE ON THE BEAT


Le 10 Septembre 2024 par PSYCHODIVER


Permettez-moi de me joindre aux contempteurs de cette chose.

Je n'aime pas Gainsbourg. Plutôt, suis-je en désaccord total avec le mythe bâti autour de sa personne et toujours entretenu par nos grands bienfaiteurs responsables de la culture en France. Même son travail des 60's n'a jamais su m'attirer. Là où les deux Jacques, Dutronc et Lanzmann, se sont illustrés par des quasi sans faute. Gainsbarre ? C'est même pas la peine. Tout comme la provoc facile, basse du front et par définition : stérile et dénuée d'intérêt. Ça blesse, c'est tout. Zéro subversion. Aucun courage derrière (esprit Charlie). Après tout, dans le cas de ce "Love On The Beat" : nous étions en plein dans les 80's (haut le cœur) qui plus est en France (je vomis). Vous savez ? L'époque où un pourri de première pouvait revendiquer se faire tripoter par des gamines devant un public de sous produits hilares (ce jour-là, seul l'incomparable Jean Edern Hallier sauva l'honneur en s'indignant légitimement face à pareils propos). "Love On The Beat" n'est au bout du compte qu'un reflet de cette France hideuse et érigée en modèle de civilisationnel. Le fameux phare pour le monde. La bonne blague.

Si je ne suis pas du genre à idéaliser les autres (mais y a-t-il concrètement un idéal humainement parlant ?), force est de constater que dans le même périmètre temporel, les artistes britanniques donnaient l'exemple. John Lydon dénonçait la pédophilie inhérente à la BBC du si saint Jimmy Savile ou encore feu Terry Hall s'attaquait aux abuseurs d'enfants via son groupe FUN BOY THREE et la chanson "Well Fancy That" en 83 (Terry avait été victime de ces ordures au cours d'un voyage scolaire en France et il terminera sa vie sous valium à 63 ans, ah l'apport de la culture française !). Et en matière de bonne provoc à base de sexe, qui plus est homo, FRANKIE GOES TO HOLLYWOOD et son "Welcome To The Pleasuredome" faisait mouche sur tous les aspects : le clip osé de "Relax", la crasse politique balayée sur "Two Tribes", un slow universel appuyé par un clip surprenant et bienvenu ("The Power Of Love")... Tout l'inverse des fantasmes de ce déchêt à la tête de choux qui avait la prétention de nous présenter son "Let's Dance" personnel (dont Nile Rodgers n'avait pas voulu assurer la production). Énième preuve de l'incapacité génétique des franchouillards à s'inspirer des œuvres extérieures qu'ils ne font que lamentablement parodier. Dans la même lignée, il fallait subir l'immonde collectif bazooka, tandis que la Grande-Bretagne hébergeait Hipgnosis ou Barney Bubbles. Y'a pas photo.

Afin de ne pas paraître anti-français rabique, je donnerai raison à ceux pour qui la coopération Chamfort/Gainsbourg fut une réussite (Alain finira d'ailleurs par couper tout lien avec ce dernier suite au triomphe de l'ignoble Gainsbarre, incompatible avec son code moral). Enfin, heureusement qu'au même moment, Daho le doux rêveur élevait le niveau de la pop voire du rock français avec "Pop Satori" (que les Aglais jugèrent anti commercial) ou "Pour Nos Vies Martiennes". Idem pour Bashung qui signa l'excellent "Novice" avec Colin Newman (tout de même) comme producteur. Et que dire de Thiéfaine ? Lui qui n'avait pas son pareil pour alterner complaintes torturées (parfois sexuelles) pour dépeindre et alerter sur la laideur d'un monde sur le déclin (tout l'album "Alambic Sortie Sud" en 84) et poésie poignante sur la difficulté de quitter l'enfance et subir la jeunesse pour ensuite affronter la dure réalité ("Mathématiques Souterraines") ? Tellement plus recommandables que je ne sais quel "Lemon Incest" ou plus tard "Five Easy Pisseuses".





EUROPE
WINGS OF TOMORROW


Le 10 Septembre 2024 par FIGHTITBACK


Je replace les choses dans le contexte de l'époque et autant dire que les 2 premiers albums de EUROPE sont sortis (du moins chez nous) dans la quasi indifférence totale ! (en '83 & '84, le terrain était (très) occupé par les "briscards" (SCORPIONS, MAIDEN, Ozzy...) et des nouveaux qui allaient nous en remontrer mais souvent venus des U.S. (MÖTLEY, W.A.S.P., RATT, QUEENSRYCHE, METALLICA...) Perso, EUROPE j'ai connu en...'86 avec "Final Countdown" et quand on trouve (enfin !) les 2 premiers et qu'on se plonge dedans, ça fait..."drôle"! (et pas dans le bon sens du terme) Le 1er (comme pour DEF LEP en ce qui me concerne) AU SECOURS (à part "7 doors hotel") et celui-ci (encore comme pour DEF LEP avec leur second) la moitié ! (pistes 1, 3, 5, 9 & 10 car le reste...?!  :( ) Les 3ème & 4ème (en '86 & '88), du LOURD mais il faut apprécier le FM de bonne (grande) qualité !
Note réelle 2,5/5 puisque 5 titres/10





PINK FLOYD
THE ENDLESS RIVER


Le 10 Septembre 2024 par SWISSIDOL


Parfait pour un salon de massage ou un ascenseur. Moins parfait dans la riche discographie de PINK FLOYD.





Lenny KRAVITZ
BLUE ELECTRIC LIGHT


Le 10 Septembre 2024 par SWISSIDOL


C'est malheureusement confirmé : Lenny ne sait plus me séduire sur tout un album (et ça lui fait sans doute une belle jambe). Ici, on a évidemment quelques morceaux sympas mais, globalement, ce disque rappelle trop Prince ("Bundle of joy", entre autres) pour me plaire totalement.





EUROPE
WINGS OF TOMORROW


Le 10 Septembre 2024 par SWISSIDOL


Un EUROPE bien différent de la machine à tubes entendue sur "The Final Countdown" ou "Out Of This World". Ici, le groupe est super Heavy par moments ("Treated Bad Again" ou la double pédale sur "Scream Of Anger" !) Le chant est superbe, la guitare aussi ("Aphasia") et l'album offre un bon compromis entre 'violence' et mélodie ("Open Your Heart", "Dreamer").





SERGE GAINSBOURG
LOVE ON THE BEAT


Le 10 Septembre 2024 par RICHARD


Merci Marco pour ces courtes lignes qui retranscrivent parfaitement ce que je ressens pour cet album et ce que je pense du personnage à ce moment très précis. Je commençais à me sentir un peu seul et même à me demander si je n'étais pas un peu 'pervers'. Je reconnais que certaines paroles peuvent apparaître comme outrancières mais l'opus est tellement dans une sorte de provoc' permanente que ceci explique peut-être ceci... C'est un album qui pour moi ne comporte aucune faiblesse et qui contient l'un de mes titres préférés : Harley David Son Of A Bitch.





Michael JACKSON
HISTORY


Le 10 Septembre 2024 par SEB


Voilà, on y est. Pour moi, mais ce n'est que mon avis, mon ressenti, le déclin artistique de Michael Jackson démarre ici. Oh pas que l'album en question manque de tubes, 4 sur les 5 premiers titres de l'album inédit (impasse faite du best of) plus le fameux "You are not alone", donc 5 ! Sur 15 titres cela dit, eh oui ! Mais il n'est plus aussi novateur qu'avant...

Le duo avec sa soeur Janet "scream". Sympa avec son riff de guitare accrocheur. "Earth song", "Stranger in Moscou" ou "They don't care about us" dont les percus sont vraiment bonnes, les lignes mélodiques soignées et qui restent redoutablement en tête. La chanson "You are not alone" m'avait moins marqué à l'époque, malgré un clip somme toute curieux quand on connaît Jacko, en compagnie de la fille du King of Rock !

Mais c'est malheureusement tout ! Le reste est plutôt moyen pour moi ! Même la reprise "Come together" ne m'a pas laissé un souvenir de ouf. On sent aussi un peu de morosité dans l'atmosphère générale du disque je trouve. Il faut dire qu'à l'époque qui précède History, Michael était plutôt en Une de la presse à sensations ! Il en sort désabusé. Moins impactant. Moins précurseur. Oui quelque chose ne va pas. Sans doute liée à sa descente aux enfers dans la sphère privée, son retour à la réalité des choses...

J'allais mettre un 3 mais bon, je pointe 4 il y a quand même un beau boulot sur certains titres présents !





Michael JACKSON
DANGEROUS


Le 10 Septembre 2024 par SEB


Un album puissant dans la veine Jacksonienne, un peu moins marquant au niveau des tubes même si la plupart des titres ont fait un carton comme d'habitude ! Et je trouve que l'album n'était pas aussi diversifié au niveau de la variété de styles, comparé au précédent "Thriller" ou même "Bad"... Mais ça reste très bon dans l'ensemble ! Seuls "Can't let her get away", "Keep the faith" et "Why you wanna trip on me" m'ont un peu moins accroché...

Petit malaise tout de même pour "Heal the world". Car même si j'adore la chanson en elle-même, je ne peux m'empêcher de penser au thème de fin des Dents De La Mer de John Williams en l'entendant. Essayez et comparez ! Très troublant le début non ? Enfin il est un peu coutumier du fait donc ce ne serait guère étonnant, et chacun pourra en juger et se faire son opinion. Qui sait, le Roi Jackson était peut-être un fan du film ?

Malgré tout ça reste un très bel album, qui symbolise pour moi le dernier où il était encore au top. Parce qu'après il faut bien reconnaître que ça dégringole franchement de tous les cotés !





Michael JACKSON
THRILLER


Le 10 Septembre 2024 par SEB


Une tuerie cet album. Teenager je l'avais tellement passé ce disque... Que dire de "Thriller", on a déjà tout dit à son sujet, on a même exhumé les rushs d'enregistrements de certains de ses titres pour savoir comment est né l'album de la Légende. Donc album de tous les superlatifs ? Juste le meilleur de toute l'histoire de la musique jusqu'à cet instant. À faire pâlir d'envie n'importe quel artiste d'aujourd'hui. Modeste non ?

Il y en a pour tous les goûts, c'est ce qui a fait sa force hormis les clips d'anthologie que tout le monde connaît désormais et les matraquages radios ! Slow, rock, funk, ballade, pop etc... 9 titres, et tous des tubes jouissifs ! Moi je n'ai aucun titre faiblard à lui trouver. À part peut-être un petit peu P.Y.T. et encore ! Michael frappait un coup magistral avec "Thriller", qui fait toujours partie de ma Playlist aujourd'hui. Un point de repère, une référence, une valeur sûre...





SIMON & GARFUNKEL
SOUNDS OF SILENCE


Le 10 Septembre 2024 par MR LARSEN


Ce n'est pas mon album préféré de SIMON & GARFUNKEL - Bridge Over Troubled Water est bien meilleur -, mais celui-ci renferme ma chanson préférée du duo et l'une de mes préférées tout artiste confondu, j'ai nommé "Kathy's Song". La beauté des paroles et de la mélodie m'emporte à chaque fois. A écouter au moins une fois dans sa vie. Je mets 5 juste pour ce titre !





Michael JACKSON
BAD


Le 10 Septembre 2024 par SEB


Je l'ai usé ce disque, quand il est sorti j'étais ado. Usé jusqu'à la corde vinylique ! Lui et le précédent opus le monstrueux "Thriller" !

Je n'ai plus trop remis la fameuse galette Badienne en question sur mes platines ces dernières années, je suis passé à autre chose. Cet album "Bad" est un peu moins bon que "Thriller" c'est évident. Même si j'aime tous les titres de l'album, avec une mention particulière pour "Libérian girl" (un aspect sentimental entre en jeu ici), les -moins bons- titres sont pour moi "Another part of me" et celui qui n'apparaît pas sur mon premier vinyl "Leave me alone", sorti en single en 89 pour dénoncer la chasse des paparazzis et détracteurs dont il faisait l'objet. Enfin quand je dis -moins bons- tout est relatif, c'est pas "La Fête À Neuneu" on parle quand même du Roi de la Pop...

Mais avec "Bad", Jackson pouvait-il seulement égaler, sans même parler de surpasser, son propre chef-d'oeuvre absolu ? Non. Il avait été au bout du bout du bout de la perfection avec "Thriller", il le savait, aucun titre n'était faible. Aucun. À mon sens, de "Thriller" à grosso modo "Dangerous" il était au sommet de sa carrière. Même physiquement on va dire que la fée Chirurgie n'avait pas encore fait trop de dommages irréversibles je trouve ! C'est après que ça s'est gâté, et dans tous les domaines d'ailleurs...

Je voulais mettre un logique 4,5/5 objectif mais j'avoue, l'aspect sentimental me cueille encore aujourd'hui. Donc un 5/5 pour les TRÈS BONS souvenirs...





TANGERINE DREAM
PILOTS OF PURPLE TWILIGHT (THE VIRGIN RECORDINGS 1980-1983)


Le 09 Septembre 2024 par H.


La chronique est bien sévère.

Alors déjà, plus le temps passe, plus j'ai tendance à ressortir plus régulièrement les disques de Force Majeur à Poland plutôt que les "classiques". Donc en terme de contenu, c'est du bonheur ici.

Alors oui, Quichotte (Pergamon) manque ici, comme Sorcerer manquait sur le premier coffret, mais pour le reste c'est top.

Les bonus issus de divers EP/singles/demi-BO (Riski Business) sont la bienvenue, et pouvoir enfin écouter The Keep (même si on en avait finalement entendu pas mal sur Logos aha) et The Soldier, c'est super. Le live est également excellent.

Une compilation faite avec autant d'amour que la précédente et ça se sent.

Moi j'en redemande plus des compiles pareilles.





Johnny CASH
AMERICAN IV : THE MAN COMES AROUND


Le 09 Septembre 2024 par BLUEMASK


Des 'American Recordings', le IV fait partie des plus consistants, lancé parfaitement par "The Man Comes Around", hymne absolu porté par son profond motif de basse, et bien sûr "Hurt", peut être un peu trop commenté mais objectivement sublime. Mise à part "Personnal Jesus" (je n'aime pas l'original non plus), le reste de cet album de country gothique ne démérite pas et rapproche Johnny Cash de Nick Cave.







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