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The CULT
CHOICE OF WEAPON


Le 07 Juillet 2024 par BLUEMASK


Superbe disque à la première écoute, après… il manque un truc mémorable qui permet de passer outre qu’il s’agit du nieme album de The Cult. Peut être est ce le problème de ce groupe hyper attachant par ailleurs.





TRI YANN
MASTER SERIE


Le 07 Juillet 2024 par MARCO STIVELL

Bonne idée IEN, merci pour la demande, même si ce ne sera pas forcément pour ces artistes-là !





The CULT
CHOICE OF WEAPON


Le 07 Juillet 2024 par CLANSMAN57


Une sorte d'album bilan (pochette entre celles de "The Cult" et "Ceremony") qui m'avait bien emballé à l'époque (les chroniques de la presse étaient très positives), mais bon sans plus au final.
Du niveau d'un "Beyond Good And Evil", en plus varié.
L'édition limitée comprenait un CD bonus que je n'écoutais jamais.







MARILLION
CLUTCHING AT STRAWS


Le 06 Juillet 2024 par MASTERFAN


Pas facile de passer derrière MISPLACED CHILDHOOD... Pourtant, CLUTCHING AT STRAWS, quatrième album de 1987, a toujours eu une forte cote chez les fans, surtout ceux de l’époque Fish évidemment. On ne peut que constater que les thèmes abordés ici font penser aux pétages de plomb et au mal-être dont a été victime le chanteur lui-même à cette période.

Le modèle de concept-album de 2 x 5 titres ayant fait merveille deux ans plus tôt, il est reconduit à l’identique, jusqu’à reprendre la suite initiale de trois morceaux. Si « Hotel hobbies » ne vaut pas « Pseudo silk kimono » en intro, il reste une entame correcte avant que « Warm wet circle » et « That time of the night » ne laissent planer l’espoir d’un album aussi fort que le précédent, ce qui ne sera pas le cas.

« Just for the record » et « White Russian », voient surtout sur les couplets ressortir l’ombre de Peter Gabriel, qu’on avait complètement perdu de vue sur le précédent opus. Mark Kelly s’exprime avec talent à la fin du premier, et Steve Rothery assure à la fin du second, mais tout cela n’est guère subjuguant.

Changement de climat d’entrée en face B avec « Incommunicado », dont le côté rock-FM un peu balourd me gonfle : je comprends le désaccord des quatre contre Fish sur ce coup-là. « Torch song » ne rétablit pas spécialement l’enthousiasme, pas plus que « Slàinte Mhath ». L’intérêt remonte finalement avec un « Sugar Mice » bien enlevé et un «  The last straw » consistant.

A l’arrivée, CLUTCHING AT STRAWS, qui a été élaboré dans une grande tension, reste un album très correct, homogène, bien joué, bien produit, parfois brillant, et pourtant, au bilan, il m’emporte beaucoup moins loin que les trois précédents. De fait, l’album vieillit moins bien, a un coté plus lisse (Steve Rothery y est moins fulgurant), présente moins de points d’orgue, d’étincelles, d’émotions.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Warm wet circle, That time of the night , Sugar Mice, The last straw. PLAISANT (3,5) : Hotel hobbies, White Russian. INTERESSANT (3) : Just for the record, Torch song, Slàinte Mhath. EMOTION LIMITEE (2,5) : Néant. AUCUNE EMOTION (2) : Incommunicado. Bilan 3,40 et Top 5 à 3,90 : CLUTCHING AT STRAWS cote pour moi 3,65 soit 14,60 /20.

Sur le CD, « Going under » (3,5) a été rajouté en 4ème position. Les autres morceaux enregistrés à l’occasion de la session ont tous un intérêt, mais de même, un éclat limité.

Je me demande si l'éviction de Fish qui suivra n'aura pas été, au final, salvatrice pour la nouvelle dynamique d’un groupe qui commençait peut-être à tourner en rond avec lui.





MARILLION
CLUTCHING AT STRAWS


Le 06 Juillet 2024 par BLUEMASK


Le pendant de ´Childhood’s end’. J’ai du mal à les mes deux disques, celui-ci est le versant sombre on va dire… le Prog, c’est chiant et nul, c’est une musique pour peine-a-jouir, tout le monde le sait, mais disons que parfois, parfois, rarement, le edging a du bon.





TRI YANN
MASTER SERIE


Le 06 Juillet 2024 par IEN

Je profite de cette chronique pour dire tout le bien que je pense des compilations « Master Série ».

Elles m’ont fait découvrir beaucoup d’artistes avec une sélection intelligente de leurs chansons.

En vrac, voici celles que j’ai le plus écoutées : Marie Laforet, Brigitte Bardot, Jeanne Moreau, Brassens (plusieurs volumes), Jane Birkin, Graeme Allwright…

D’ailleurs Marco, je ne serai pas contre des Chroniques de ces disques qui sont l’occasion de faire découvrir ces artistes :-)





The BEACH BOYS
SURF'S UP


Le 05 Juillet 2024 par MARCO STIVELL

Mais merci infiniment à vous (deux) pour ces commentaires fidèles et tout aussi enthousiastes !!

Si seulement il y en avait autant en quantité que pour les artistes de metal, parce que c'est d'accord, les BEACH BOYS le valent bien (mieux). :)

Déjà le fait de voir la pochette de Surf's Up en page d'accueil était une fin en soi.
La suite arrive !





ARCADE FIRE
REFLEKTOR


Le 05 Juillet 2024 par FOUDROCK


Si on met de côté le dernier morceau, trop long (disons en fait qu'il se termine à 6 minutes et que les 5 suivantes sont inutiles), cet album est parfait. Notons l'amicale participation, aux choeurs, sur le premier morceau (vers la fin), d'un certain David Bowie.
Ambiance entre les années 1980 et les années 2080, c'est juste parfait, rien d'autre à dire. Ah ! si : l'intro de "It's Never Over" ne finira jamais de me faire tripper loin, très loin. Ces synthés, puis cette guitare...





The OFFSPRING
IXNAY ON THE HOMBRE


Le 05 Juillet 2024 par BLUEMASK


Un album de transition entre le punk-hardcore tubesque du précédent et le punk-pop tubesque du suivant. Peut-être moins tubesque, même si 'Gone away' s'en approche, mais la qualité suit. Après, il est difficile de tartiner des pages sur Offspring, il s'agit de musique immédiate, sympathique, le groupe sait écrire dans le registre catchy sans non plus déployer une personnalité confondante.





ARCADE FIRE
THE SUBURBS


Le 05 Juillet 2024 par FOUDROCK


Un des rarissimes albums qui me bouleversent de la première à la dernière seconde. Un doublé inaugural à tomber par terre ("The Suburbs"/"Ready to start"), un final ("Sprawl II") immense, de grands moments disséminés un peu partout ("City with no children", "We used to wait", "Deep blue", "Half light II"...), ce troisième album du groupe est probablement leur meilleur. Et les autres sont remarquables.





The BEACH BOYS
SURF'S UP


Le 04 Juillet 2024 par DEJAVU


Je place "Surf's Up" en deuxième position derrière "Sunflower" sur la liste de mes albums favoris des Beach Boys, mon seul regret est l'absence de titres signés Dennis Wilson, pourtant à cette époque celui-ci était très prolifique, la preuve en est les inédits ajoutés à la réédition de "Sunflower" et de "Surf's Up" en 2021 sous forme de double album intitulé "Feel Flows". Mon titre préféré est le nostalgique "Disney Girls" de Bruce Johnston que Art Garfunkel reprendra en 1975 sur son album "Breakaway". Merci pour cette brillante chrono.





ABBA
ABBA


Le 04 Juillet 2024 par MASTERFAN


Où comment, en un album, les Suédois conquièrent le monde. Terminées les tenues bohèmes de l’Eurovision, c’est maintenant comme sur la pochette, classe et champagne. Enfin presque : si Agnetha est toute mignonne sur la photo, Frida a plus l’air de sortir d’un bar A.P. Quant à la jeune fille sur la gauche, espérons qu’elle n’a pas fait une crise cardiaque en se découvrant sur ce disque éponyme, “Abba”, sorti en 1975.

On ne présente plus “Mamma Mia”, emblématique du groupe, qui ouvre l’album. Pourtant, cet air d’opérette m’intéresse beaucoup moins que le second morceau, beaucoup plus rock. C’est le premier trésor méconnu ici : “Hey, hey, Helen”, avec son riff tout simple à la Free ou presque AC/DC. Le “Tropical loveland” qui suit est beaucoup moins anodin qu’il n’y paraît. Non seulement il a le mérite de changer encore d’ambiance et de tenir sans souci les multiples réécoutes, mais une bonne partie de la discographie de Madonna est aussi contenue dans ce seul morceau.

On arrive au blockbuster qu’est “S.O.S”. Aaah, ce piano, cette performance vocale, mélodique… et visuelle (avec les petites tenues blanches et les bottes blanches, my God) : tout est parfait ici. Re-changement d’ambiance avec le funky “Man in the middle”, et cette fois c’est Lenny Kravitz qui a dû pas mal écouter.
“Bang-a-boomerang” est autre petite pépite peu connue du groupe, bien pop et bien addictif. Le meilleur morceau des années 60 écrit dans les années 70. Elle pèse bien lourd cette première face déjà.

On retourne la galette et là aussi je prends, “I do” x 5 est une autre petite merveille mélodique que j’apprécie particulièrement. “Rock me”, sans prétention avec son esprit à la Slade, ne déteint pas sur le reste. Ce n’est pas le cas de “Intermezzo n°1” sorte de bidouillage variéto-classico-prog qui veut intellectualiser le truc, pas vraiment ma tasse de thé, mais ça pourrait intéresser des fans de ELP.

“I’ve been waiting for you” fleurte constamment avec la guimauve sans jamais le toucher et arrive même à un putain de refrain. Enfin “So long” nous emporte dans un dernier tourbillon bien ancré dans l’époque glam. Le morceau que The Sweet et Slade ont toujours essayé de faire, mais sans jamais y parvenir. Abba l’a fait, tranquillos.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : S.O.S. DELECTABLE (4,5) : Hey Hey Helen, I do I do I do I do I do, So long, Bang-a-boomerang. SEDUISANT (4) : I’ve been waiting for you, Tropical loveland. PLAISANT (3,5) : Mamma mia. INTERESSANT (3) : Rock me, Man in the middle. EMOTION LIMITEE (2,5) : Intermezzo n°1. Bilan 3,90 et Top 5 à 4,60 : ABBA album éponyme cote pour moi 4,25 soit 17 /20.

Ce troisième album est superbe : varié, dense, inspiré, cohérent, lumineux. S’il y en a un à réhabiliter en priorité, c’est bien celui-là.





MOTÖRHEAD
OVERKILL


Le 04 Juillet 2024 par FOUDROCK


Le groupe qui sépare les hommes des petits garçons.
L'album qui vous fait virer votre cuti.
Quelle furie, mon Dieu... Et ils n'étaient que trois pour faire ce boucan terriblement, infernalement jouissif.
La double reprise instrumentale du morceau-titre ferait b*nder une carmélite.





QUEEN
NEWS OF THE WORLD


Le 04 Juillet 2024 par FOUDROCK


Mon premier Queen. Je me souviens, enfant, d'avoir écouté un 45-tours appartenant à ma mère : "Spread your wings"/"Sheer heart attack". Double choc, entre la douceur du premier morceau et la vivacité punk du second. Je ne sais pas quel âge j'avais, un peu moins de 10 ans. A 12, on m'offre ce disque, en CD. Je connaissais déjà les deux chansons du single, qui en sont tirées, et, évidemment, les deux premiers morceaux que je ne citerai pas, même le bébé de ton voisin, né le 12 mars dernier, les connaît.
Ce ne sont pas les meilleures du groupe, trop connues, trop diffusées, deux pu*ains d'arbres qui cachent la forêt.
L'album n'est pas parfait ("Who needs you"... réponse au titre de la question : "nobody", si le "you" est la chanson en elle-même). Sa face A l'est, en fait. La B, malgré deux immenses titres en final, est un peu en demi-teinte, encore que "Get down, make love"...
Un excellent opus. Et j'adore la pochette. Mais alors vraiment.
Pour moi le dernier grand album de Queen, jusqu'à "Innuendo".





QUEEN
A DAY AT THE RACES


Le 04 Juillet 2024 par FOUDROCK


Peut-être bien mon grand préféré de Queen que ce successeur à "A Night..." qui, comme son prédécesseur, possède un titre chopé aux Marx Brothers et dont la pochette est, avec un code de couleurs inversé et un style plus grossier, similaire.
Un disque remarquable. Je n'aime pas "Good old-fashioned lover boy", qui m'use vraiment, mais le reste est super. Mention spéciale à la douceur enivrante de "You take my breath away", à "Drowse" (Taylor avait le chic pour livrer des merveilles méconnues) et au gospel-rock de "Somebody to love". Sans parler de "Tie your mother down". Immense.





QUEEN
A NIGHT AT THE OPERA


Le 04 Juillet 2024 par FOUDROCK


Chef d'oeuvre de glam-hard-rock décomplexé ("The Prophet's song", qui va limite plus loin encore que "Bohemian Rhapsody", et ces deux joyaux sont sur LE MÊME ALBUM ! A trouer le derche d'un constipé chronique !), d'une richesse inégalée. Pastiches, morceaux heavy, ballades, hymne britannique, tout est là, sous une pochette iconique. On ne s'en lasse pas. Ne pas le posséder chez soi alors qu'on se dit fan de rock est passible de 10 ans de prison, de 15 000 euros d'amende, et d'une grosse baffe dans la gueule.





QUEEN
SHEER HEART ATTACK


Le 04 Juillet 2024 par FOUDROCK


Des morceaux que je déteste ("Bring back that Leroy Brown", "Misfire"), heureusement courts, m'empêchent de donner 5/5 à ce disque qui, sinon, est assurément une réussite. Ado (Queen est le groupe qui m'a fait découvrir le rock, le premier groupe dont je suis devenu raide fan, j'avais 12 ans), je n'aimais pas cet album trop bordélique. Maintenant, c'est ce qui me plaît le plus ici : cet éclectisme forcené, on passe d'un rock heavy à une ballade glam, d'une ritournelle folk à un hard-rock velu, d'un morceau opératique et baroque à du proto thrash (Metallica reprendra "Stone cold crazy"), d'un pastiche des années 20 à une complainte pop/folk... et le final, "We are the champions" avec trois ans d'avance, quelque part, ces "woooo wooo wowowooooo wo, wooooowoooo la la, waaaawaaahoooo".





QUEEN
QUEEN II


Le 04 Juillet 2024 par FOUDROCK


C'est une augmentation de 1000% en ce qui concerne la qualité. Avec la paire "ANATO"/"ADATR" de 75/76, on a affaire ici au sommet du groupe, Queen au top. Le medley de la face B (un hommage à la Queen au medley de la face B du "Abbey Road" des Beatles ?) est anthologique. Et sur la face A, difficile de ne pas fondre devant "White Queen", "Father to son" et le très heavy morceau de Taylor "The loser in the end".
Notamment.
Bref, un grand, grand disque. En plus, une pochette mythique, ça ne gâche rien.





QUEEN
QUEEN


Le 04 Juillet 2024 par FOUDROCK


Un premier album ma foi très intéressant, mais pas non plus essentiel. Des morceaux bouche-trou assez moyens ("The night comes down", le très usant "Jesus"), une version instrumentale embryonnaire assez inutile de "Seven seas of Rhye", un "Liar" qui, déjà, apporte de premiers éléments opératiques dans les sonorités queeniennes, mais qui s'avère lui aussi un peu usant par moments...
Mais de grands moments heavy ("Son and daughter", "Keep yourself alive", "Modern times rock'n'roll"), de grands moments tout court ("My fairy king", "Doing all right") en font un premier opus vraiment correct.





Tom WAITS
BLUE VALENTINE


Le 04 Juillet 2024 par FOUDROCK


J'ai mis un certain temps à m'habituer à la voix de Waits, autrefois décrite, je crois, par un journaliste, comme une voix "marinée dans un fût de chêne rempli de whisky, séchée au soleil, et renversée par un camion" (ou ce genre). Mais finalement, quels albums il aura sorti, ce mec... "Rain Dogs", "Heartattack and Vine", "Swordfishtrombones", le faux live "Nighthawks at the Diner" (sans doute mon préféré) et ce "Blue Valentine".
Un régal de jazz-folk-rock à l'arrache.







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