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ABBA
VOULEZ-VOUS


Le 21 Juillet 2024 par NONO

@Masterfan : C'est marrant je te trouve vraiment généreux pour la chanson-titre ! Moi je l'aurais mise dans la catégorie "ultra-chiante" ! lol... Franchement ce titre est insipide au possible, une disco au kilomètre, même pas mélodique pour un pouce... Je ne COMPRENDS PAS pourquoi beaucoup semblent apprécier ce titre, c'est un mystère pour moi.





The CURE
THE HEAD ON THE DOOR


Le 21 Juillet 2024 par MASTERFAN


Difficile lorsqu’on était ado en 1985 et que l’on s’intéressait à la pop-rock anglo-saxonne, de ne pas posséder ce 33 tours THE HEAD ON THE DOOR, le 6ème opus des Cure. Et cela reste compliqué, presque 40 ans plus tard, de ne pas, à chaque écoute, considérer cette œuvre comme un classique absolu des années 80, et de l’histoire aussi, me concernant. Un des rares albums à pouvoir prétendre discuter le rang de meilleur album de Cure à PORNOGRAPHY.

Cet album sent bon les 80’s, la nostalgie et tout le toutim, alors que ces années-là, à l’inverse des 70’s, ont été peu tendres avec la pop-rock d’une manière générale. Aucune lourdeur, aucun morceau long à n’en plus finir... Un équilibre subtil, un vrai trip. Je crois que je kiffe tout ici... Bizarrement, c’est peut-être « Close to me » qui a peut-être le plus mal vieilli aujourd’hui, et que j’ai tendance à ne plus trop écouter…

Il se confirme que le passage chez Siouxsie and the Banshees a fait un bien fou à Robert Smith. Bon je sais, la fin cuivrée de l’exceptionnel « A night like this », ça fait assez mauvaise farce, mais est-ce suffisant pour leur en vouloir ? Je ne le pense pas et d’ailleurs curieusement, ça passe pas si mal finalement. Le seul truc énervant ici, c’est peut-être finalement l’ordre des morceaux qui se termine en couille sur la pochette, bravo le contrôle qualité…

Indispensable album, parfait pour les jeunes qui souhaitent entamer leur quête de Cure (que je conseille de compléter d’abord par BOYS DON’T CRY et PORNOGRAPHY avant d’attaquer les glaçons style SEVENTEEN SECONDS, FAITH ou DISINTEGRATION).

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : In between days. DELECTABLE (4,5) : A night like this, Push, Kyoto song, The blood, Six different ways, Sinking. SEDUISANT(4) : Close to me, The baby screams, Screw. PLAISANT (3,5): Néant. INTERESSANT (3) : Néant. EMOTION LIMITEE (2,5) : Néant. AUCUNE EMOTION (2) : Néant. CHIANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant. Bilan 4,40 et Top 5 à 4,60 : THE HEAD ON THE DOOR cote pour moi 4,50 soit 18 / 20.

Concernant les morceaux de la session non retenus sur l’album, on retrouve aussi de bonnes choses : « The exploding boy » (4) est un cousin éloigné de « In between days » et l’obsédant « New day » (3,5) un retour au Cure torturé. « A few hours after this... » (3,5), « Stop dead » (3) ou « A man inside my mouth » (3) conservent l’esprit déjanté de THE TOP ou JAPANESE WHISPERS.





ABBA
VOULEZ-VOUS


Le 21 Juillet 2024 par MASTERFAN


A la fin des 70’s, les rythmes dance de l’époque viennent titiller le nez des Suédois qui vont s’engouffrer dans la brèche. Cela commence plutôt bien avec en prélude, en 1978, un entraînant « Summer night city » (4) pas encore totalement disco, creusé dans le même sillon que les premiers essais des Bee Gees sur ce style dès 1975. Même réussite en 1979 avec le blockbuster « Gimme ! Gimme ! Gimme ! » (4).

Entre les deux titres sort le 33 tours VOULEZ-VOUS, qui n’inclura ni l’un, ni l’autre. Privé de ces deux piliers, que reste-t-il à cet album ? Pas grand-chose en fait.

Le premier morceau « As good as new » annonce la couleur, dansant comme il faut pour les adeptes, pas mal foutu, sûrement plus intéressant qu’un paquet de titres disco de l’époque du fait de la griffe « Abba », mais l’intérêt reste limité. Sur le second titre éponyme, inversion des habitudes : couplet intéressant laissant présager le meilleur, et au moment où on se prépare à décoller, aïe, le refrain « Voulez-vous » coince et ça reste bien compliqué de rattraper le truc derrière.

« I have a dream » présente une structure classique beaucoup plus simple : la mélodie est belle, dommage que la guimauve l’emporte au final sur l’efficacité. Le début d’« Angeleyes » laisse entrevoir quelque chose d’intéressant qui n’arrive hélas jamais. « The king has lost in crown » a pour lui un beau pont vocal d’une dizaine de seconde avant le refrain et c’est à peu près tout... Quelques rares et courtes fulgurances, surtout sur les couplets, voilà comment on pourrait résumer cette décevante première face.

« Does your mother know » reprend plutôt bien en début de face B. Il s’agit là d’un complet retour en arrière, le titre chanté en lead par Björn aurait pu figurer six ans plutôt sur RING RING. « If it wasn’t for the night » est pour le coup du véritable disco pur et dur qui reste jouable pour moi en soirée, on va dire après le sixième verre.

Vient ensuite le second morceau traditionnel, « Chiquitita », pas désagréable même si ça ne me viendrait plus du tout à l’idée de le passer sur une platine aujourd’hui. On enchaîne avec « Lovers », là aussi ça peut le faire en fin de soirée, disons après encore deux verres de plus. Enfin  « Kisses of fire » me paraît un des morceaux les plus creux jamais composés par Björn et Benny, toutes périodes confondues.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Néant. PLAISANT (3,5) : Does your mother know. INTERESSANT (3) : I have a dream, Chiquitita. EMOTION LIMITEE (2,5) : Angeleyes, As good as new, Voulez-vous, If it wasn’t for the night, The king has lost his crown. AUCUNE EMOTION (2) : Lovers, Kisses of fire. CHIANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) Néant. Bilan 2,60 et Top 5 à 2,90 : VOULEZ-VOUS cote pour moi 2,75 soit 11/20.

Excepté pour les sympathisants disco, VOULEZ-VOUS est certainement l’album d’Abba qui a le plus mal vieilli. «Lovelight » (2,5) et « Dreamworld » (2), de la même époque, confirment la baisse de forme. La version Deluxe avec « Summer night city » et « Gimme gimme gimme » rehausse toutefois la crédibilité de cette période.





ALCEST
LES CHANTS DE L'AURORE


Le 21 Juillet 2024 par RICHARD

Merci pour ces très beaux mots K-Zen pour notre collègue Éric. Le mot passion semble avoir été créé pour lui.





The BEACH BOYS
CARL AND HIS PASSIONS - SO TOUGH


Le 20 Juillet 2024 par SGT JAKKU


Très content de voir de nouvelles chroniques des garçons de plage apparaître ici ! Merci !
Bon disque mais assez éloigné de la formule habituelle du groupe mais à cette époque, Brian n'était plus vraiment présent et actif, d'où cet album un peu passe-partout qui aurait pu être celui d'un autre groupe de rock.
Quelques titres prouvent néanmoins que les Beach en sont les auteurs tel le superbe "All This Is That".
"Marcella" est bien meilleure sur le double live de 73.

Note : 3,5





U2
THE JOSHUA TREE


Le 20 Juillet 2024 par VIEUX CON-AISSEUR


Where the.... possède la meilleure intro rock entendue. Et j'ai 35 ans de Rock et métal au compteur. L'album est ultime, hormis Gods country. Le vieux con-aisseur a parlé...





ROCKETS
GALAXY


Le 20 Juillet 2024 par LEO

@ NANAR:

Hormis quelques titres chantés en solo par Gerard L'Her et Alain Maratrat, de 1975 à 1982 j'ai toujours eu le sentiment que le chant principal était assuré par Christian Le Bartz.
Concernant fantôme Alienation, c'est bien la première fois que j'entends parler de cet album!
Je ne connais que deux demos provenant d'un hypothétique album avorté nommé 'Ghost Album'. Des Rockets pour l'année 81, je ne connais que l'album π 3,14.





ROCKETS
GALAXY


Le 20 Juillet 2024 par NANAR

Les crédits, et même les informations que j’ai pu glaner sur Internet, sont effectivement peu clairs à propos des crédits de chant chez le groupe. Il me semble que la participation de Christian Le Bartz s’amoindrit à partir de 1979/80 − il est d’ailleurs absent de l’album fantôme Alienation (1981). Je suis preneur pour toute précision à ce sujet.





ROCKETS
PLASTEROïD


Le 19 Juillet 2024 par CHRISNAKE


J'ai découvert ce groupe en été 1979 sur RTL (TV) dans l'émission "Juke Box" animée par André Torrent avec le clip "Electric Delight". j'ai acheté ensuite cet album, c'était un peu les KISS français version électro-disco. Ils étaient aussi passé chez Collaro "Collaro Show". Toujours étonné du carton réalisé en Italie contrairement à la France (Nul n'est prophète en son pays). Par contre on entendait "Galactica" à la Télévision car c'est le générique d'une série. Par contre j'ai du mal à situer le Line-up car je pensais que Christian LEBARTZ était le chanteur principal du groupe comme on voit dans les clips mais je vois que c'est le bassiste Gérard L'HER qui est crédité en tant que tel... Pour info le guitariste Alain MARATRAT sera le producteur de JORDY "Dur dur d'être un bébé"...





The KINKS
SOMETHING ELSE BY THE KINKS


Le 19 Juillet 2024 par BLUEMASK


Les Kinks est le prototype de groupe à single. Les Beatles l’étaient aussi, finalement, mais ont su faire des albums qui ont marqué. Peu de personnes peuvent donner le nom des albums des Kinks. Je ne parle même pas d’ordre, pour les Beatles, ne pas savoir donner l’ordre est reservé aux amateurs de Kenjic Girac, de Supertramp, de Dream Theater, ou de Frederic Francois, ce sont les mêmes de toutes façons.
Pourtant, les Kinks etaient bien meilleurs que les Beatles, moins aventureux, mais meilleurs dans l’orfèvrerie pop, et ils ont su faire de grands disques. Dont celui-ci, qui est le premier à ne pas ressembler à un collage de singles avec du remplissage.
"Waterloo Sunset" est la plus grande chanson du monde. Du moins, aujourd’hui.





SHAKA PONK
SHAKA PONK


Le 18 Juillet 2024 par ALBATOR


Album médiocre, bien en deça de leurs productions récentes et à des années lumières de ce que le groupe a pu sortir à ses débuts.

La conscience écolo/anti-système, pas de problème, je salue même le courage d'en parler tant c'est passé sous silence le reste du temps.

Mais alors les paroles antivaxx ou bien qui chargent les profs, qu'est-ce qui vous arrive les Shaka ?

Quant à la musique, on sait que le groupe est en baisse progressive d'inspiration mais alors là, du gros rock passe partout, pas grand chose à retenir.
Si, "Dad' Algorythm" qui est simple mais très efficace et n'aurait pas juré sur l'album "Black Pixel Ape".
Et puis aussi "J'aime pas les gens" même si l'instru a été largement reprise à "Sex Ball".

Voilà, moins bon album de leur disco et de loin.

Dommage de terminer là dessus.





MARILLION
HOLIDAYS IN EDEN


Le 17 Juillet 2024 par MASTERFAN


[i]Hoù là ! D’où qu’il est, le logo Marillion ? Et c’est quoi s’te prod soft-FM ?[fi]. En forçant le trait, on a ici un résumé des principales réactions suscitées en 1991 par HOLIDAYS IN EDEN, le sixième album de Marillion. Quant aux pro-Fish, déjà pas forcément honnêtes avec le dernier opus, il se gaussaient d’autant plus.

HOLIDAYS IN EDEN est à la fois très proche et très loin de SEASON ENDS. Même équipe, même justesse, même savoir-faire. Pourtant, l’impression qui domine est d’écouter un SEASON ENDS qui serait en partie passé dans une machine à laver les émotions. Le jeu de batterie standardisé serait-il le seul responsable de cette 'aseptisation' ? Ou les claviers moins imaginatifs ? Difficile à dire. Les compos en elle-mêmes sont moins lumineuses, la plupart des couplets sans grand intérêt, et les refrains ne sauvent pas toujours la mise.
"Splintering Heart" reste une très bonne entame malgré tout. Les très propres sur eux "Cover My Eyes" et "No One Can" prennent le train U2-SIMPLE MINDS qui commençait déjà à l’époque (surtout pour les seconds nommés) à accuser un certain retard, tandis que "The Party" réussit lui à conserver sa dose d’émotion. "Holidays in Eden" est la partie obligée plus rock et, comme on dit en foot, ça reste là aussi un peu 'téléphoné'.

"Dry Land" est sauvé de l’ennui par la vista vocale de H sur le refrain. Un peu plus compliqué pour "Waiting to Happen". Allez, voilà Steve Rothery qui s’énerve sur "This Town". Comme dirait Anémone dans [i]Le père Noël est une ordure[fi] (et sans vouloir me moquer), je ne peux pas dire que je n’aime pas. On ne voit pas passer "The Rakes Progress" et on ne se rend même pas compte qu’on est déjà arrivé au bout du chemin sur "100 Nights", jusqu’à ce que Steve nous réveille au milieu du morceau, les autres se lâchant enfin avec lui. On pense alors à une fin épique et bien non, l’album se termine finalement gentiment, renforçant l’impression globale.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : "Splintering Heart", "The Party". PLAISANT (3,5) : "Cover My Eyes", "No One Can". INTERESSANT (3) : "Dry Land", "Holidays in Eden", "100 Nights", "This Town". EMOTION LIMITEE (2,5) : "Waiting to Happen", "The Rakes Progress". AUCUNE EMOTION (2) : Néant. Bilan 3,20 et Top 5 à 3,60 : HOLIDAYS IN EDEN cote pour moi 3,40 soit 13,60 /20.

Voilà un album typique porteur du syndrome SSP (Sympa Sans Plus). C’est embêtant à cette période où le rock indé explose et commence à explorer des tas de nouvelles contrées, bien plus excitantes que les resucées des 80’s. Ce disque est surtout pour les fans souhaitant se faire 'la totale'.





Rickie Lee JONES
RICKIE LEE JONES


Le 17 Juillet 2024 par IEN


Je suis né en 78 et aussi loin que je me souvienne ce disque m'a accompagné. Je ne m'en lasse pas. Pas de titre à faire ressortir du lot, pour moi tout est bon.

Je ne me rends compte que maintenant des noms des musiciens qui ont joué sur cet album, c'est impressionnant !





PHANTOM WAVE
BONFIRE SECRETS


Le 16 Juillet 2024 par RICHARD

Oui, car au-delà de ce manque de professionnalisme (je reste optimiste), le groupe mérite vraiment une écoute attentive. Comme je l'indique dans ma chronique, le trio dépoussière quelque peu les meubles shoegaze et c'est plutôt salvateur.





SATAN JOKERS
ADDICTIONS


Le 16 Juillet 2024 par SWISSIDOL


Un bon album écrit sous l'égide du désormais célèbre addictologue Laurent Karila (que j'aperçois sur France 2 de temps en temps) ; une sorte de concept album sur la drogue. Musicalement, ça le fait avec la hargne de "Appétit Pour L'Auto-Destruction", "Dealer" ou les plus 'F.M' "Une Semaine En Enfer" ou "Substance Récompense". Entre les deux, quelques ambiances mystérieuses comme sur "Puzzle Cérébral" et on obtient un bon album de Hard français. De Hard tout court.





PASSENGER
LIVE FROM SAN FRANCISCO


Le 16 Juillet 2024 par BORAHKRETH

Je n'avais jamais entendu parler de cet artiste, et ne comprenait pas très bien à quoi faisait référence le chroniqueur, jusqu'à aller sur Youtube et découvrir que le morceau "Let Her Go" a PLUS DE 3,6 MILLIARDS DE VUES. Ceci explique pas mal de choses. Je ne comprends pas comment j'ai pu ne jamais en entendre parler, là où un MUMFORD AND SONS, bien que n'ayant jamais de tels chiffres, soit pourtant beaucoup plus connu, ou en tout cas, médiatisé.

Je n'ai pas encore creusé ni l'album de 2012, ni ce live, mais au moins par curiosité, je vais y jeter une oreille attentive





ROXY MUSIC
MANIFESTO


Le 16 Juillet 2024 par BLUEMASK


Le Roxy Music dans son incarnation rock de dance-floor, assez loin des experimentations de Brian Eno, mais toujours près du talent et de la classe internationale. Pas le meilleur, mais quand Bryan Ferry faiblit, est ce un signe de mediocrité?





PHANTOM WAVE
BONFIRE SECRETS


Le 16 Juillet 2024 par MR TINKERTRAIN

"Pas un mot de remerciement, une faute sur mon nom et mon adresse et le disque dans une simple pochette cartonnée totalement vierge avec en prime 10 euros de taxe" c'est juste qu'ils aiment pas la France eux non plus. Bref ça me donne bien envie d'aller écouter ça sur bandcamp si existant....





The BEACH BOYS
CARL AND HIS PASSIONS - SO TOUGH


Le 15 Juillet 2024 par FOUDROCK


Un excellent album, le premier avec la paire Fataar/Chaplin, un disque assez peu connu des masses, mais qui renferme de très bonnes choses (même si je ne suis pas fan du tout de l'ode à la masseuse de Brian, "Marcella").





MATMATAH
LA OUACHE


Le 15 Juillet 2024 par PAGANIZER


Un excellent premier album !
Ce qui m'a toujours impressionné concernant ce dernier, c'est le nombre de gens qui pensent que c'est le seul et unique album du groupe. Certains pensent même qu'ils n'ont sorti que 3 titres. ("Emma", "Lambé an Dro" et, bien sûr, "L'apologie").
Ceux qui ne se sont pas arrêtés au phénomène de 1998 savent que c'est sur les albums suivants que les Bretons ont commencé à proposer de bien meilleures choses, en prenant plus de risques et en s'appuyant plus sur les textes.
"La Ouache" se devait de frapper fort. L'album a donc ce côté 'accessible' afin de ratisser large dans un premier temps.
Le groupe a pu ensuite passer aux choses sérieuses, quitte à perdre une partie du 'grand public'.
Résultat : "Rebelote", l'album suivant, est une oeuvre qui n'a pas eu besoin du même 'effet WOW' que son prédécesseur pour devenir un indispensable.
Et que dire de leur dernière production en date, si ce n'est que c'est une petite merveille ?







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