Le 13 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D

Van Halen, c'est du rock, du groove et du plaisir. Ce "1984" est leur album le plus abouti.

Si le groupe commence à flirter ici avec le rock fm en vogue de l'époque (le fameux "Jump" et ce "I'll Wait" qui sonne très GENESIS période Phil Collins), c'est réussi et ça apporte de la diversité à un album qui n'en manque pas.

Eddie et ses potes ici revisitent le rock au sens large du terme à leurs sauces : une intro synthé à la Jean-Michel Jarre avec "1984", du rock'n'roll old school sur "Top Jimmy" et du hard rock, bien sûr. Qu'il soit dansant sur le mythique "Hot For Teachers", heavy et direct sur "House of Pain" ou alambiqué et enlevé sur "Girl Gone Bad", tout ce que touche le groupe ici fait mouche.

Le 13 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D

Tout le monde est à peu près d'accord : "Blow Up Your Video" est juste sympa.
Le groupe étant en pilotage automatique depuis déjà un bail, il ne faut pas s'attendre à un disque qui réinvente l'eau chaude.

Mais la surprise, c'est qu'AC/DC a fait appel à Georges Vanda et Harry Young pour la production. Et l'alliance entre le groupe et ce duo de producteurs a toujours fait des étincelles à mon sens. C'est le duo gagnant car, même la prod de Mutt Lange, excellente, me paraît largement mieux convenir à un groupe comme DED LEPPARD.

Donc on oublie les deux albums précédents, assez lourdauds.
Ici, AC/DC sonne plus frais, plus rock'n'roll. Beaucoup moins balourd qu'avant mais aussi plus entraînant que les albums d'après, parfois patauds et mous du genou.

Quelques titres sortent du lot ici et l'ensemble de l'album, sympa, est plutôt homogène.
Pas de sommets, mais pas de daubes non plus.

Le morceau "Heetseeker" qui me fait penser un peu aux WHO est plutôt pas mal.

Il y a, bien sûr, le fameux "Two's Up" : ce mid-tempo qui lorgne sur le heavy-métal avec un Angus en feu et une ambiance un peu sombre et mélancolique. Excellent.
J'aime beaucoup le survitaminé "Nick of Time" et le mid-tempo groovy "Mmeanstreak" assure bien.

"Ruff Stuff" et "That's the Way I Wanna Rock'n'Roll" montrent que le groupe peut toujours écrire de bons titres rock'n'roll.
Avec le titre à l'ancienne "This Means War", qui me rappelle leurs albums des 70's, le groupe accélère le tempo.

C'est le dernier album d'AC/DC que je peux écouter sans problème du début à la fin.

Le 13 Novembre 2020 par NONO

Je ne connais pas cet album en-dehors de ses tubes. Oui mais alors pourquoi que j'fais une chronique ? Parce qu'il y a un truc sonore bien spécifique à CET album, qui peut plaire ou agacer, c'est ce jeu de guitare ultra-rapide qui sonne comme un bourdonnement, et cela dans plusieurs titres. J'avais d'ailleurs entendu dire que ce n'était pas joué en direct mais ces accords de guitares étaient séquencés...
J'ai l'impression que cet effet est uniquement sur cet album, U2 ne l'emploie pas sur leurs autres albums... Me tromp-je ?

Le 13 Novembre 2020 par SPI

Juste un léger correctif: Kasami Washington a sorti deux albums avant celui-ci : "The Light Of the World" et "The Proclamation".

A part ça, c'est excellent et cet album multicolore m'a incité à revenir au jazz.

Le 12 Novembre 2020 par JOE THE ALIEN

M'étant aperçu que j'avais, par le plus grand des hasards, massacré l'horrible "Vertical Smiles" (hormis la blague plus ou moins drôle sur le titre et la pochette) le lendemain de la mort de Ken Hensley, je me suis dit que je me devais quand même de rendre hommage au bonhomme, en exprimant ici tout le bien que je pense en revanche de cet album-ci, le premier de sa coopération avec le grand Rickey Medlocke et sa bande d'Indiens.

Certes, le virage FM est de ceux qui avaient fait tiquer le jeune "hardos" (comme on disait encore) que j'étais à l'époque, comme à l'encontre de tous ces groupes reniant ce qui avait fait leurs originalités respectives (ici le southern rock burné), à la recherche du succès commercial à travers une recette un peu trop aseptisée et radiophonique, dans les années 1983/84, celles du "Jump" de Van HALEN et consorts. Je ne jurais alors que par la baffe magistrale reçue de Kill 'em All puis Show No Mercy et autres Fistful of Metal.

Il n'empêche. Avec le recul de la réécoute et sans préjudice du passé du groupe, cet album vaut bien mieux que ce que j'en avais pensé : mélodies imparables chantées d'une superbe voix chaude et puissante, non sans des guitares toujours saturées et bavardes, sur lesquelles vient justement se poser la patte si particulière du fameux et regretté claviériste, tout droit arrivé du non moins excellent URIAH HEEP (que je ne découvrirais que plus tard), et une section rythmique qui fait encore honneur au son hard-rock en vogue au début de la décennie. On se régale de la diversité des compositions et des styles abordés, avec un talent égal de l'un à l'autre, dans un équilibre d'ensemble parfaitement maîtrisé. Aucun ennui, que de l'envie de chanter (refrains de "Send Me an Angel", "Teenage Idol" et "Run For Cover" en particulier), voire de headbanger encore à certains moments ("We're Going Down", "Drivin Fool"), air guitar en mains.

Le talent, quoi. Rien à voir avec la putasserie qui suivra. Encore merci, Ken, entre autres, pour tout ça.

Le 11 Novembre 2020 par LEO

Je me rangerai du côté des avis négatifs tant ce disque ne me parle pas.
J'ai acquis The Joshua Tree juste au moment de sa parution au début de l'année 87 et je me rappelle l'avoir revendu exactement une semaine après, tant je n'ai pas accroché à ces compos mollassonnes et sans intérêt. Depuis cette époque, je n'ai écouté cet album que deux fois en 33 ans !
La seule piste que j'arrive à écouter est "In God's Country" qui peut rappeler certains morceaux de l'album précédent, The Unforgettable Fire (qui n'était franchement pas exceptionnel mais un peu plus écoutable dans l'ensemble). Par chance, c'est la piste la plus courte du 33-tours avec ses moins de trois minutes ! elle n'a franchement rien de particulier mais c'est pour moi la plus supportable. c'est dire mon aversion pour cette galette !
Comme je l'ai déjà dis dans mon commentaire sur War, les deux seuls albums que j'aime de U2 sont leurs deux premiers, Boy plus October ; ensuite, c'est carrément au compte-goutte jusqu'à Pop (je sauve tout juste 1 à 3 morceaux par album et encore !).
J'ai quand même du mal à piger comment ce groupe a pu avoir un tel succès massif parce que, musicalement et vocalement, ça n'est pas bien passionnant ou original et, mélodiquement, c'est plutôt pauvre, à l'inverse d'un groupe comme The Police dont ses membres n'étaient pas des manchots mais qui misait principalement son accroche sur son côté accessible et sur ses mélodies. ici, rien de tout ça ! pour moi, le cas U2 est un peu un mystère.

Le 11 Novembre 2020 par SEAN CONNERY IS MISS

Alors là...soufflé de trouver cette artiste ici bas. Je suis devenu très amateur de son dernier Immanent Fire. Et celui-ci est plus dépouillé mais ce que c'est bon ! Par contre, pour moi, ce n'est pas du gothique, du moins pas tout à fait. Je dirais plutôt que c'est du Dark Folk comme lu quelque part. Note subjective.

	Par Forces Parallèles Merci de compter parmi les amateurs de cette belle et talentueuse artiste américaine, auteur d'une Dark Folk de toute beauté. Si vous aimez son dernier album ainsi que son précédent, alors je ne saurais trop vous conseiller de vous ruer sur son avant-avant-dernier, Blood / Lines (2013), à mes oreilles son chef-d'oeuvre qu'elle tutoie depuis sans l'avoir égalé toutefois lors de ses deux derniers opus. Ayant chroniqué Blood / Lines et lui avoir attribué la note maximale (5/5), vous aurez compris que j'en suis fan transi. Laissez-vous tenter de même par la découverte musicale de sa copine californienne, la ténébreuse et mutine Marissa Nadler (présente aussi dans les colonnes de F. P), sans oublier leur consoeur Mariee Sioux et Alela Diane (elles-mêmes chroniquées en ces colonnes). Et vous découvrirez une scène néo-Folk de toute beauté, et malheureusement encore de nos jours plutôt méconnue en France. Bonnes découvertes à vous. Merci de soutenir ces artistes qui le méritent bien. aigle blanc

Le 11 Novembre 2020 par TOMMY_CALE

Frère Trucidus,

Je suis navré d'avoir égratigné un album que vous aimez, en relisant mon commentaire il est vrai que j'ai été un peu dur sur la forme, après coup.
En fait, définitivement affirmer ne pas aimer U2 seulement en n'ayant qu'écouté les classiques de ce groupe restait pour moi assez infondé et inconfortable intellectuellement. C'est pour ça que je me suis quand même lancé à l'écoute de cet album, celui qui de leur discographie me parlait le plus, de par sa réputation mais ce n'est pas pour moi (définitivement, je ne peux pas le dire).

Je plussoie, dans l'absolu dur d'être objectif en terme de musique, il est vrai. A titre perso, j'adore J.J. Cale comme mon pseudo l'indique mais pour des potes métalleux (ou non), l'écoute de son oeuvre les laisse quasiment totalement indifférents, mis à part une petite sympathie.

Bonne soirée.

Le 11 Novembre 2020 par DéCONFIT Né

Moi aussi, jamais compris l'engouement pour ce groupe, comme tant d'autres d'ailleurs (Cure, Smiths, Depeche Mode - à part "Violator" -, Prince, Radiohead...). Bien vu également la contradiction entre les "engagements" de son leader et son attitude ("optimisation" fiscale...), ainsi que la cible de ce genre de productions, comme la plupart de la pop depuis les années 80 : ados et "ménagère de moins de 50 ans".

Le 11 Novembre 2020 par FRèRE TRUCIDUS

Marrant ça je me le suis écouté ce matin, et hormis le 8e titre qui coupe l'homogénéité du disque (comme dit dans un comm précédent), tout est parfait. On sent encore une forme d'innocence et le Rock ici présent n'est pas "chrétien" (lol, mdr etc..) mais plutôt juste beau. Cette musique est excellemment composée et jouée. Et la voix de Bono est juste géniale, avec des accents parfois Morissoniens si on fait gaffe. Une fois n'est pas coutume, je me devais de réagir au commentaire de Mr Cale car comme lui je ne suis pas objectif pour le coup. Et puis s'infliger un groupe qu'on ne supporte pas c'est assez foireux comme passe temps en général...

Le 11 Novembre 2020 par TOMMY_CALE

Je me suis mis à écouter cet album de ce groupe que je n'aime pas, notamment son leader que je trouve ridicule, de par son attitude, ses engagements très cu(faux)cul la praline et cet égo surdimensionné. Aussi, de par ses envahissants tubes qui inondent les ondes depuis des décennies. Tubes que j'ai toujours trouvés "souparts", niais, calibrés FM-grand public pour monsieur tout-le-monde. U2 groupe antipathique. Le groupe de rock préféré des gens qui n'aiment pas le rock, j'ai lu un jour.

Avec tout le recul possible : ce Joshua Tree est tellement insipide. On dirait un album de rock-chrétien, au son trop lisse, qui veut trop jouer sur la corde sensible. Rien ne s'y passe : les 3 premiers titres qui sentent bon la niaiserie ciblent la quadra divorcée. Bono en fait des tonnes, joue le drama-queen, mais ne suscite aucune émotion, bien plutôt de l'agacement. "One", autre sucrerie, aurait pu former le quarté gagnant de cette galette, quand j'y pense. Bon ben, si c'est ça mon rendu sur les soi-disant monuments de ce disque.

C'est simple : il n'y a aucun autre titre auquel j'ai accroché. Mélodies très bateau, compos se ressemblant beaucoup, multitude de pleurniches vectrices d'indifférence, aucune virtuosité ou de grandes démonstrations musicales, de soli pouvant sauver ce qui peut l'être.
C'est vraiment plat, je ne parlerai plus de l'organe de l'autre (allez si, une dernière : style très surjoué qui envenime le tout).
"One Tree-Hill" (par exemple) : franchement, ce titre est pathétique, à la platitude belge. "Mothers of The Disappeared", tellement insignifiante que tu peux "l'écouter" en pliant tes chaussettes tranquillou le dimanche soir pour la semaine. Bono et ses 'wou-wou' 'oh-oh-oh-oh' à tout va (sur "Running to Stand Still", est juste grotesque). Beurk !

Sur "Exit" aussi, rien à signaler de bien intéressant, c'est même très bof. Ce titre aurait dû être le nom de l'album finalement.

Bref, la coupe est pleine. Franchement, j'ai essayé de m'accrocher aux branches mais je me suis réellement fait ch*** lors de cette écoute. J'ai essayé de trouver quelque chose mais en vain, à part un hommage raté au blues sur "Trip Through".
Seul, le trio de tête reste écoutable, si on enlève le fait qu'on nous les a matraqués.
Disque surcoté donc. D'un groupe qui l'est tout autant ? J'ignore de le savoir, mais ce que je sais, c'est que je n'ai plus pour l'instant (ou un grand instant) envie d'écouter du Bono.

ps : Pas anodin que la fille de Bryan Mills dans le film Taken - se rendant en Europe suivre la tournée des Irlandais - se soit fait enlever. Elle cherchait quand même bien la m****, cette petite.

Un bon jour férié à vous.

Le 10 Novembre 2020 par NONO

FRERE TRUCIDUS : C'est marrant : rien qu'en voyant la pochette, je me suis dit : "Sunday Bloody Sunday", que c'est lourd, chiant, plein de larsen et d'approximation et de gémissements plaintifs ! Et pourquoi est-ce marrant ? Car en 3 lignes tu as également mentionné ça, je ne suis donc pas le seul ! lol Sinon, j'aime bien "New Years Day". Le reste : connais pas. Mais j'ai franchement pas envie de rattraper ce retard ! :-)

Le 10 Novembre 2020 par FRèRE TRUCIDUS

Ouais c'est vieux, ouais Sunday bloddy hell me gonfle, mais quand c'est Rock et authentique, c'est bon! Et puis Red Light est magique...

Le 10 Novembre 2020 par BRADFLOYD

Salut A.T.N.,
Tu as raison, WATERS est insupportable dans sa posture du type "j'ai raison et tous les autres sont des cons". D'ailleurs, c'est grosso modo ce que j'écris dans ma chronique. Mais pour l'avoir vu en réel, je trouve que la vidéo rend bien compte du visuel époustouflant de ce concert. D'où cette note. Et puis, il y a la musique, intemporelle, magnifiquement jouée. Mais je comprends, pour le partager, ton point de vue.
Bien à toi.

Le 09 Novembre 2020 par LE OUISTITI

Je suis longtemps resté scotché sur "The Pale Emperor", à tel point que je n'ai pas voulu écouter "Heaven Upside Down" de peur d'être déçu, trop habitué aux sinusoïdes artistiques du monsieur.
Dans ma bancale réflexion, "We Are Chaos" ne peut être que génial, je l'ai acheté, reçu, le vinyle est beau, les peintures de Manson sont réussies (pour qui aime son univers), je l'ai écouté et ne sais pas encore trop quoi en dire.

Le single "We Are Chaos" m'a surpris, trop pop à mon goût, mais content également de voir un Manson très cool attitude et droit dans ses bottes. Pour le reste, je vais me le réécouter en profondeur.

Le 09 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D

Cette "nuit à l'opéra" est définitivement leur meilleur album. C'est le genre de disque rock qui met tout le monde d'accord, ne serait-ce que pour son ambition artistique et son contenu très varié.

Surtout, la qualité est au rendez-vous et il y a de nombreux titres majeurs sur ce disque.

Il y a bien sûr "Bohemian Rhapsody". Tout le monde connaît ce titre d'envergure qui commence comme une ballade pour ensuite virer à l'opéra et se conclure sur du hard-rock. Un peu dans le même genre, on à également le très bon "The Prophet's Song", quoi que plus long et progressif encore. Le groupe varie les climats et multiplie les harmonies vocales pour notre plus grand plaisir.

Au rayons des pépites, on trouve également des morceaux plus sobres et magnifiques comme le pop et entraînant "You're My Best Friend" et la ballade "Love of My Life" qui est peut être LA ballade de Queen. De haut niveau, comme peut l'être "39" : un titre très folk et aérien, assez planent et presque psychédélique par endroits.

A l'aise dans le hard rock, on a un "Death On Two Leg's" percutant avec un refrain bandant où Brian May montre tout son talent à la guitare. Et le groupe récidive avec "I'm In Love With My Car" et "Sweet Lady", quoi que plus cadré.

Enfin, à l'aise aussi dans cette facette plus pop et baroque avec un "Good Company" ou un "Seaside Rendez-Vous" qui sent bon l'influence des Beatles période "Stg Peppers".

Il sera impossible pour le groupe de faire mieux que celui-là.

Le 09 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D

Un énième groupe revival qui propose ici du plagiat de Led Zeppelin mais en version ado. C'est très aseptisé et comme dirait le bon vieux Willie Brown dans "Croassroads", ça swingue comme un paquet de biscottes.

Il n'y a pas grand-chose d'autres à en dire : c'est très passe-partout et sans intérêt.

Le 09 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D

Pour vous dire, j'aime bien les Beatles, mais je ne suis pas un grand fan du groupe. C'est peut-être un peu trop pop dans l'ensemble pour moi, mais j'apprécie certains albums comme ce "Revolver".

Il y a sur ce disque un équilibre au niveau de la composition. Il y a la patte Mc Cartney, plus pop, mais aussi celle de Lennon, plus rock. Ce qui n'est pas le cas sur de nombreux albums où Paul est largement plus présent au niveau de la composition. Les deux en tout cas sont en forme ici et balancent des morceaux en veux-tu en voilà à l'efficacité imparable.

Influence Motown sur la très réussie "Got To Get to Into My Life", influence psyché sur "Yellow Submarine", chef d'œuvre de pop baroque sur "Eleonor Rigby", salve rock imparable sur "Taxman" et "She Said She Said". Ringo amène sa compo indienne (réussie) avec "Love You Too".

Pour finir, la production est impeccable et c'est un album en avance sur son temps qui annonce clairement les expérimentations à venir dans la musique rock.

Le 09 Novembre 2020 par METALPROG84

Pas le meilleur du groupe, c'est clair. De toute façon, depuis Zooropa, pas un seul album ne mérite la note maximale. Pop est assez inégal avec des bons titres ("Discothèque", "Do You Feel Love", "If God Will...", "Staring at the Sun", ou "Wake Up Dead Man") mais aussi des morceaux très moyens ("Mofo", "Last Night On Earth" ou "The playboy Mansion") voire mauvais (l'affreux "Miami"). "If You Wear That..." et "Please" sont pas mal mais un peu soporifiques, surtout qu'elles suivent la déjà bien molle "The Playboy Mansion". Je trouve Pop légèrement inférieur à Zooropa.
Bref, depuis 1993, U2 est rentré dans le rang (malgré quelques albums sympas).
Note réelle: 2.5/5.

P.S.: J'avais malencontreusement mis ce commentaire dans l'album suivant ("All That You Can't Leave Behind").

Le 09 Novembre 2020 par THE NEW ANGEL D

Si Orelsan a pondu à l'époque quelques titres sympa voir percutants, fournir un album qui se tient du début à la fin est pour lui plus difficile.

Surtout avec celui ci, malheureusement inconsistant et calibré au possible.
Les productions de Skread sont très pauvres (au-delà de "basique") et Orelsan donne ici le minimum syndical. De plus, il y a de l'auto plagiat en permanence sur ce disque avec une forte dose de titres édulcorés.

Certains morceaux essaient de repomper le style du groupe pnl et Orelsan fait des featurings bas de gamme avec les artistes en vogue (Gims, Stromae..) pour ratisser large.

Vraiment faible cette album.