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IRON MAIDEN
WORLD'S ONLY FEMALE TRIBUTE (THE IRON MAIDENS)


Le 12 Février 2022 par H.

Ravi si j'ai pu aider :)

Non je n'écris rien d'autre que des petits commentaire ici et là.

Alors Sacrilège le premier est effectivement assez rentre dedans, encore très punk comme leurs excellentes démos. Plus on avance dans la discographie, et plus ça chante (pas forcément juste par contre). Le deuxième album est également chaudement recommandable, le troisième est bon mais un cran en dessous quand même.

Windhand j'ai découvert ça (en live) il y a quelques années. Cette scène - et ses fans - n'est en générale pas ma tasse de thé, mais là ça fonctionne. Tous les albums sont bons, Grief's Infernal Flower serait mon choix s'il fallait n'en retenir qu'un.

Girlschool je confesse ne pas être le plus grand spécialiste, ne possédant que les 3 premiers albums. Le deuxième est certainement le meilleur choix, petit frère (sœur ?) du Bomber de Motörhead. Quant à la question de savoir à quel moment on laisse Motörhead de côté, c'est bien entendu une question piège : tous les albums sont indispensables. Même les (très rares) baisses de régime. Non mais.





Gael FAURE
DE SILENCES EN BASCULES


Le 12 Février 2022 par MR LARSEN


Je découvre seulement maintenant l'univers musical de Gaël FAURE, mais quelle claque ! Chaque chanson est une invitation au voyage (l'inévitable "On dirait l'Islande") et sa voix est des plus envoûtantes. Un artiste de grand talent qui mériterait une meilleure exposition, assurément. Je vais aller plus avant dans sa discographique mais sur cet album, mon plus gros coup de coeur reste sans conteste "Avoir sans être", au texte magnifique et à l'incandescente montée en puissance. J'adore !





DANCE WITH THE DEAD
DRIVEN TO MADNESS


Le 12 Février 2022 par CLANSMAN57


A écouter dans la voiture lorsqu'on traverse un village-cimetière la nuit, avec une jolie femme-zombie à ses côtés. Une apprivoisée qui ne mord pas et qui n'est pas encore trop décomposée, si possible.

Agréable et fun.






Michel DELPECH
C'EST TA CHANSON (Your Song)


Le 12 Février 2022 par MARTIN LA BOTTE


Juste histoire de remonter la note (sévère) de notre Marco pour ce single de DELPECH que j'ai beaucoup écouté et dont le tube pour moi est la face B "Vu d'avion, Un soir" qu'on a entendu en son temps au moins autant que la cover d'Elton John en (fausse) face A et aux paroles effectivement poussives et peu harmonieuses. Mais "Vu d'avion", qui fit la course dans les hits parades de l'époque, figure dans mon Top 3 des titres du chanteur, j'aime autant être passager de son taxi de nuit dans "Loin d'ici" qu'ici à bord de son ULM (parce que j'ai décidé que c'était un ULM) à survoler la terre si belle... vue d'en haut. Oui, là DELPECH me fait vraiment planer.





Neil YOUNG
LIFE


Le 12 Février 2022 par IEN

Il manque justement sur le site la chronique de Trans (1982), personne n’ose s’y attaquer ? Personnellement je l’adore.

Pour cet album ci en revanche je n’ai pas un excellent souvenir, à part « inca queen ». C’est sans doute à cause du son dix fois trop reverbéré sur l’ensemble du disque que j’ai du mal à l’écouter.

Je ne note pas car je ne l’ai pas assez écouté.





GOLDMAN JEAN-JACQUES
TOURNEE 98 EN PASSANT


Le 11 Février 2022 par FAYTE83


Goldman fait partie de ces artistes avec qui en live c'est puissance 10. Chaque morceau prend une dimension différente de sa version studio. Réinterprétés, réarrangés (grâce entre autres à la présence d'un vrai batteur), j'ai toujours davantage écouté les albums en public de J-J.G.

Cette tournée était grandiose, j'ai eu la chance d'y assister 3 fois et, même si je lui préfère la tournée Rouge pour son côté rock et grandiloquent, j'ai éprouvé à chaque fois la même émotion d'être face à un artiste proche et complice. On peut le dire, en concert, Goldman c'est comme une grande famille (celle qu'on aurait choisie) et on n'en ressort pas indemne.

Cette tournée donc faisait suite à un album calme et acoustique et J-J.G a su proposer intelligemment un concert en deux parties dont une assise et où on ne s'ennuie à aucun moment car elle est ponctuées de surprises. "Ne lui dis pas" devient celtique, "Le Rapt" ressort du tiroir, "Pas toi" se voit décliné en 6 versions, "Elle a fait un bébé toute seule" est jouée dans une version plus jazzy, "Là-bas" en Karaoké était inattendue... La concert était d'ailleurs ponctué d'interludes très drôles où le groupe racontait comment et pourquoi il en était venu à proposer un concert assis. Il existe une version de l'enregistrement officiel que les fans gardent secrètement et où ces derniers n'ont pas été coupés au montage.

Cela dit, je suis d'accord avec la critique, la partie électrique (de "Je te donne" à "Quand la musique est bonne" est plus anecdotique et décevante).

4,5/5 pour un des meilleurs live de Jean-Jacques.





AEROSMITH
ROCKS DONINGTON 2014


Le 10 Février 2022 par LONG JOHN SILVER

@Zejack
Le concert est dispo sur MyCanal.
Pour Amazon, je sais pas.
Quant à Brad Whitford, il n'a jamais bougé sur scène, j'ai vu le groupe pour la 1ere fois il y a (déjà) quelques décennies.
Bien à toi.





SHEILA
TENDANCES


Le 10 Février 2022 par MARCO STIVELL

Pour une fois, j'avais écrit de façon bien succincte ! Merci à plus forte raison de tes éclairages, Martin. :)
Ah, "Pour te retrouver" j'avais zappé cette histoire concernant Ringo, mais même si l'amour et la nostalgie ont souvent été chantés par Annie, j'aurais trouvé bizarre qu'elle s'adresse à Ringo... Enfin !

Je crois que la place de ce disque, décidément "loin de tout" et ses choix de production ne m'ont pas aidé à la comprendre, dans ses thèmes abordés. Il est pourtant plus intéressant qu'il n'y paraît, mais bon au final, on se retrouve dans l'appréciation globale !





TAÏ PHONG
DRAGONS OF THE 7TH SEAS


Le 10 Février 2022 par MARCO STIVELL

C'est un peu moi le responsable car, après avoir lu "plus que bof/insupportable" et c'est tout, pour un unique commentaire isolé, en privé j'ai écrit à Baker pour plaisanter : "Viens m'aider à dire du bien de cet album quand tu veux !!", vu que la passion TAÏ PHONG est à peu près partagée de notre côté. Quelques restes gentils d'une époque moins mature où un "CDLM" (justement !) me faisait partir au quart de tour. ^^

Erwin a raison de dire qu'un seul mot en commentaire peut se suffire et qu'il n'y a pas forcément besoin de développer dans l'absolu.
Oui mais je trouve aussi que ce n'était pas nécessaire de le faire remarquer à Baker pour autant, même si le ton n'était pas méchant. Les commentaires ont parfois leurs commentaires !

La chronique la plus, disons, "bavarde" (pas seulement enthousiaste) peut rebuter ou faire mal réagir quelqu'un qui a la flemme de lire ou qui ne partage pas cet avis.
C'est aussi le cas, à l'inverse, de l'avis le plus laconique. Et Bleu sait que, sur FP, on est un peu loin de l'esprit Twitter ! Mais bon voilà, ça peut arriver qu'on en ait.

Après, en accord avec Baker, j'aurais aimé en savoir un peu plus. Du genre, puisque STEPH écrit "insupportable", cela me fait penser à ma réécoute des cinq premiers albums de Jean-Jacques GOLDMAN (qu'il semble apprécier, lui, par contre !), la semaine dernière et de façon très rapprochée, à la suite quasiment, chose que je n'avais pas faite depuis 15 ans environ (aïe !).
Même si j'y trouve de belles choses, de bons tubes, il y a plein de tics difficiles à comprendre et à accepter. Heureusement que le bonhomme a créé ce qui a constitué ses années 90 (et même après), sinon il est clair que je ne l'aimerais pas autant !





Bonnie RAITT
NICK OF TIME


Le 10 Février 2022 par CSAMSA


Sorti initialement avec une pochette légèrement différente (photo plus large de la dame et couleurs gris-blanc-bleu autour), cet album est une réussite en grande partie due à son producteur, Don Was, qui réussissait beaucoup de choses à l'époque (pas tout, cf le "Under the red sky" de Dylan). On peut le trouver un peu trop poli, un peu trop mainstream mais le succès est au rendez-vous et la qualité aussi. A rapprocher du "Journeyman" de Clapton, sorti un peu plus tard la même année, dont il partage des points communs : la présence de titres de Jerry L. Williams (responsable d'une aseptisation du blues selon moi), la relance d'une carrière compliquée dans cette décennie 80's et sans doute la voie ouverte à un renouveau populaire du blues que concrétisera, l'année suivante, Gary Moore.





AEROSMITH
ROCKS DONINGTON 2014


Le 10 Février 2022 par ZEJACK

C'est (je crois) le live dispo en stream sur AMAZON PRIME.
Je l'ai regardé. Coté setlist et musique, rien à dire, c'est du très lourd.
Mais côté visuel, je n'avais rien vu d'eux depuis les 90'S.
Oh mon Dieu ! Le temps passe pour tout le monde. Peut être un peu moins pour les twins (mieux mis en valeur ?) mais pour d'autres...
J KRAMER a l'air d'un vieillard, B WITHFORD semble ne plus pouvoir bouger. ça fait presque peine.

Mais, bon concert, sympa, malgré tout.





The SOFT MACHINE
THIRD


Le 10 Février 2022 par LEEK


Album absolument génial et inusable après un nombre incalculable d'écoutes.
Après, on peut ne pas aimer, sa richesse et son non conformisme peuvent effrayer, mais cet alliage rock-jazz et ses longues plages en font une référence indépassable





TAÏ PHONG
DRAGONS OF THE 7TH SEAS


Le 10 Février 2022 par VALR

Je me permets une dernière réponse puis je passe à autre chose pour ne pas polluer davantage le site.

En aucun cas je ne demande « légitimation ». Je pose la question de savoir pourquoi c’est « insupportable », ni plus, ni moins. C’est, me semble-t-il, notamment en lisant des critiques construites qu’on peut être amené à réfléchir sur ses positions. J’ai personnellement souvent nuancé mes avis après avoir lu des commentaires sur ce site. Globalement, je suis intéressé de savoir pourquoi ça peut être considéré comme insupportable, car si ça se trouve, je vais apprendre des choses.

Après, en effet, ça pourrait tourner en débat stérile sur les goûts, les couleurs, blablabla, et il aurait peut-être été opportun d’intervenir. Mais… je pense qu’on en était encore loin au moment de votre première réponse.

Venir taper sur les doigts avec condescendance parce qu’on a osé demander, certes avec un peu de provoc’, de détailler le propos « insupportable », à ce stade du dialogue (qui allait peut-être d’ailleurs rester en l’état sans que ça tracasse personne), j’ai trouvé ça étonnant et plutôt hors de propos (me suis d’ailleurs demandé si ça ne témoignait pas d’un passif entre Baker et vous, puis me suis fait des films, puis…).

Dans le fond, je n’ai rien contre les avis laconiques. Ça passe bien parfois. En revanche, il me semble sain qu’on puisse au moins demander d’étayer si ça nous intéresse.

Bref. Je retiens que vous avez réponse à tout, de toute façon.





Ludwig Van BEETHOVEN
SYMPHONIE N°6 PASTORALE (KARAJAN)


Le 09 Février 2022 par CHIPSTOUILLE

Merci pour ces clarifications.
Même si les "faits" présentés me semblent difficilement crédibles, l'histoire ne m'intéresse pas moins :)

Alors je précise que je ne mets pas en doute:
- Que Knecht ait pu composer cette symphonie telle qu'elle nous est parvenue (il est mort en 1817, après tout)
- Qu'il ait composé une symphonie en 1783 (ou 1784)
- Que Beethoven ait connu cette symphonie dès son plus jeune âge (il a en effet beaucoup voyagé dans le St Empire Romain Germanique).
- Qu'il s'en soit inspiré pour sa pastorale

Mais que ce soit cette version enregistrée qu'il ait composée dès 1783, là je n'y crois pas.

Il y a une de tes affirmations, sans rapport avec Knecht, que je ne suis pas sûr de suivre. A ma connaissance, le premier Opus (donc première publication?) de BEETHOVEN date de 1795 (donc il avait 25 ans). Publication qui avait gentiment été moquée par HAYDN qui venait à peine de rentrer de Londres. Le Maître n'avait pas l'air d'apprécier le côté désordonné de l'élève. Quand on passe beaucoup de temps à écouter HAYDN et qu'on revient à BEETHOVEN après coup, on comprend très bien ce qu'il pouvait lui reprocher!

Ca me semble assez étrange qu'un si jeune compositeur ait pu être publié dès 1783. Alors qu'Artaria à Vienne - pas encore "capitale Européene de la musique" peut-être, mais néanmoins pôle plus important que de nombreuses villes du St Empire - n'a commencé à publier des oeuvres qu'à partir de 1778.

Je sais que les numéros d'Opus peuvent être différents d'un éditeur à l'autre. Cette publication de 1783 serait celle d'un autre éditeur ? Les numéros d'opus n'auraient pas été suivis ? Tu en sais plus ? Il n'y a pas beaucoup de détails sur les jeunes années de BEETHOVEN dans la biographie (Oh! Biographiiiiie....) de Jean et Brigitte Massin... Surtout en comparaison de Mozart!





Ludwig Van BEETHOVEN
SYMPHONIE N°6 PASTORALE (KARAJAN)


Le 09 Février 2022 par LE MERLE MOQUEUR

@ CHIPSTOUILLE

Tout d’abord merci pour ta réponse non dénuée d’humour me permettant, peut-être, de trouver mes repaires dans cette jungle musicale qu’est la musique en amont de LUDWIG

N’étant point un musicologue mais uniquement un modeste mélomane il m’arrive parfois d’aborder des œuvres moins connues ou méconnues tout en sachant que cette jungle n’est pas exempte de « fake news » qui peuvent m'induire en erreur.

Ainsi je sais que Papa HAYDN fit souvent les frais de faussaires bien sympathiques. Un exemple : À Munster petite ville d’Allemagne qui ne produit pas de fromage apparaissaient en 1993 six sonates de Hadyn. Sonnez trompettes ! Oui mais seuls les incipits étaient connus. Qu’a cela ne tienne, un chercheur britannique réputé et spécialiste de HAYDN, ROBBINS LANDON, à London nous démontra en deux ou trois coup de cuillère à pot que ces sonates de HAYDN « …font apparaître le début du style classique viennois »
Une des sonates va être jouée : Sonate pour piano en si bémol majeur, d'après l'incipit Hob. XVI, 2d. Vienne 1790. Elle est interprétée par Paul Badura Skoda au pianoforte,
Koch Schwann 3 1572 2 H1 LC 1083… Oui mais Bémol. Un groupe d’experts passe au crible … Résultats des courses ? Cette sonate n’est pas l’œuvre de Papa Hadyn mais d’un flûtiste encore en chair et en os, WINDFRIED MICHEL, un Hadyn né en 1948 à Fulda.


« Fake news » est-ce le cas pour le pauvre Justin Heinrich KNECHT ? J’avoue que je n’en sais rien.

Mais ce que je sais, c’est qu’il fait partie de ces compositeurs que l'on qualifiait encore au XXe siècle de petits maîtres. Ce terme un rien péjoratif désignait les compositeurs qui, en raison de leur biographie ou de leur œuvre musicale, étaient passés à travers les mailles du filet de l'histoire. Heureusement cette situation change. Depuis, l'intérêt se porte de plus en plus sur les conditions locales, les constellations biographiques et une approche non condescendante des œuvres inconnues. Des aspects sans lesquels la diversité de la vie musicale d'hier et d'aujourd'hui est tout bonnement inconcevable...

"D’après GROVE (Dict., I, p. 66), la première œuvre imprimée de BEETHOVEN ( Trois sonates pour piano dédiées à Maximilian Friedrich, mon très gracieux seigneur, par Ludwig van Beethoven, âgé de onze (sic) ans. Spire, chez Rath Boszlers Verlag. Prix 1 fl. 30 kr.) était annoncée sur la couverture de la partition de Knecht.
Le Cramers Magazin du 14 octobre 1783 l’annonçait le premier au public; la symphonie de Knecht est donc de 1784 environ. (Cf. THAYER-DEITERS, 1901, I, p. 147.)"

" Thayer et Grove ont, en effet, ingénieusement rappelé le programme d’une symphonie antérieure de vingt ans à la Pastorale, et que les biographes de Beethoven ont généralement négligé ou ignoré. Vers le temps où, très jeune, Beethoven publiait ses trois premières sonates chez Bossler, à Spire, le compositeur Souabe Justin-Heinrich Knecht y faisait éditer le Portrait musical de la Nature, dont le programme, rédigé en français..."

Le jeune Beethoven avait le même éditeur de musique que J.H.Knecht à cette époque.

Sonates pour piano pour l'électeur

« Dans le décompte général, on parle toujours des 32 sonates pour piano de Beethoven, c'est-à-dire celles qui portent un numéro d'opus. Ce que l'on sait moins, c'est qu'il existe quatre sonates pour piano (WoO 47 et 51) parmi les œuvres sans numéro d'opus (WoO). On en voit trois, le soi-disant Kurfürstensonataen WoO 47, ici dans une copie contemporaine de la fin du XVIIIe siècle. L'exemplaire fait suite à l'édition imprimée de Bossler à Spire de 1783. Les sonates sont dédiées à l'électeur de Cologne, l'archevêque Maximilian Friedrich, et ont été « achevées » par Beethoven alors qu'il avait « onze » ans, comme on peut le voir sur la page de titre (il convient de noter que la famille de Beethoven a supposé que l'année de sa naissance était 1772 et a donc cru qu'il avait deux ans de moins qu'il ne l'était réellement). L'année de sa composition coïncide avec les beaux jours de l'orchestre de la cour électorale, dont le jeune Beethoven fait également partie pour des raisons familiales (son père et son grand-père sont musiciens à la cour). De plus, à partir de 1782, Beethoven représenta son professeur Christian Gottlob Neefe comme organiste à St. Remigius. Stylistiquement, les sonates sont toujours influencées par ce que Beethoven a entendu dans l'orchestre de la cour (et à la maison) : la soi-disant école de Mannheim. »

Je suis mélomane, éclairé aux chandelles, c’est pourquoi il m’arrive de glisser sur mes pavés de bonnes intentions...






POINT BLANK
POINT BLANK


Le 09 Février 2022 par LE MOUNGEPEDOUN


Un 'must' du rock sudiste 'roots'.

Au top, c'est pas Erwin qui dirait le contraire, n'est ce pas ?





DARCY
MACHINES DE GUERRE


Le 08 Février 2022 par BAKER

Un immense merci à Richard (et Gegers). Grâce à lui j'ai découvert une merveille. Cette chanson est si clichée que je me demande jusqu'à quel point elle n'a pas été commandée par LePen pour engranger quelques centaines de voix en plus. La musique ?... euh... la musique.... le son est gros et à un moment y'a un accord chelou, voilà, j'ai bon ? Ou j'ai pas bon ? ...Ou j'ai bon ?





SHEILA
TENDANCES


Le 08 Février 2022 par MARTIN LA BOTTE


Premier album studio de SHEILA à paraître en "Compact Disc" et où le nom de Claude CARRÈRE n'est mentionné nulle part. Il a plutôt bien vieilli.

Le point positif évident, c'est d'avoir confié l'écriture à divers nouveaux paroliers et compositeurs dans l'équipe de la chanteuse. Parce que le monde n'est fait que de "Tendances", BARBELIVIEN, PLAMONDON, CARDONA, DRÉAU, LEPERS... viennent croiser leurs plumes avec celles des désormais piliers de l'univers musical de la nouvelle SHEILA, Alex MARTIN et son frère, Yves (devenu le compagnon de la chanteuse, le producteur du disque et qui limite ici sa participation à l'écriture de seulement 2 titres et c'est très bien ainsi).
Sont abordés donc, en vrac, le conflit irlandais, les ébats guerriers sur plage nippone, les fonds marins, le couple au bord de la crise, l'envie d'évasion, le manque des disparus, l'appétit sexuel au pays des sombreros, le pressentiment d'adultère et les maîtres impressionnistes.
Alex MARTIN pond seul un des plus convaincants morceaux de l'album, "Monsieur Vincent", texte inspiré, mélodie subtile, belle atmosphère. Comme je suis assez client du "Cézanne peint" de France GALL, je n'irai pas jusqu'à avancer que le portrait de VAN GOGH de SHEILA est plus réussi, mais elle n'a vraiment pas à en rougir, même s'il est hélas passé bien plus inaperçu que l'oeuvre de BERGER. À redécouvrir...
Autre chanson à saluer au crédit des frères MARTIN, "Partir", plaisante injonction au voyage avec l'être aimé et à l'abandon total - " rien ne peut te retourner, te retenir "- un titre parmi ceux que la chanteuse affectionne particulièrement et qu'elle a beaucoup repris par la suite. Elle se fait soudain porte-drapeau du peuple irlandais face aux Anglais et implore l'armistice dans "Le Dieu de Murphy", titre fougueux d'Alex MARTIN, plutôt bien réalisé, même si je ne suis pas certain que c'est là qu'on attend SHEILA. Sur "Okinawa", elle décrit un métaphorique combat d'amour à mort à la sauce japonaise qui laisse l'auteur de ces lignes perplexe; à noter qu'il existe une seconde version de cette chanson avec d'autres paroles et un autre titre "On sait pas s'aimer", reposant cette fois sur l'égoïsme et l'indifférence en ce bas-monde et qu'on juge légèrement plus convaincante.
"Pour te retrouver" avec, cette fois, Yves MARTIN au texte, fut l'extrait choisi pour lancer l'album. Oui, musicalement, il était calibré pour les stations FM de l'époque. L'impression que la chanteuse s'adressait à son ex, RINGO, dont elle était séparée depuis 10 ans a sans doute fait vibrer quelques coeurs émus parmi les fans des années 70 (SHEILA les désappointera en expliquant qu'il s'agissait en fait d'un message envoyé dans l'au-delà à un vieux monsieur médium qui avait beaucoup compté pour elle), malheureusement, les paroles figurent parmi les plus pauvres de la "tracklist" de cet album. Résultat : un titre convenu resté seulement un temps aux portes du "Top 50".
Au contraire "Mexico", autre titre co-écrit par Alex M., bénéficie de solides paroles, drôles, coquines et bien ficelées. Mais là, c'est l'orchestration "cheapissime" qui fait tâche sur une mélodie enjouée mais usante. Dernier titre sur des paroles d'un MARTIN (toujours Alex), "Le Vieil homme et la mer", co-écrit avec Julien LEPERS, est une bonne surprise ("Oui oui oui !"). Cet élégant hommage au Commandant COUSTEAU à l'ambiance immersive est la piste la plus hypnotique, la plus relaxante de l'album.
Pour sa première collaboration (et dernière à ce jour) avec SHEILA, Didier BARBELIVIEN apporte le (petit) tube de "Tendances", "Le Tam tam du vent", agréable mise au point avec l'être infidèle sur l'album mais plus accrocheuse dans sa version single réorchestrée qui passera 3 semaines dans le Top 50 et prendra des allures (heureusement provisoires) de chant du cygne (ce sera la dernière chanson défendue en promo par SHEILA, en préretraite d'activité de chanteuse pendant les 8 années à venir). Sur "Donnant Donnant", là aussi il y avait sans doute quelque chose à (re) faire, ce morceau écrit par le tandem inédit, Cardona & Plamondon, avait un réel potentiel, cette femme qui demande avec aplomb au mec qu'elle a probablement largué ou trompé de s'y recoller, ça aurait pu davantage dépoter avec des arrangements et une production plus nobles.
Enfin, la plus jolie de toutes, "Fragile", un slow douloureux sur la menaçante usure du couple ("Fragile, l'indispensable certitude...que jamais les habitudes nous désapprendront nos je t'aime..."), composé par Jean-Paul DRÉAU (l'auteur du "Tout doucement" de BIBIE) qui se déclarera quelques années plus tard tout à fait conquis par la façon dont SHEILA s'était emparée de sa chanson. Avec un vrai piano ou une vraie guitare, la chanson aurait été encore plus épurée et belle. Paru en single début 89 mais retiré inexplicablement des bacs moins d'un mois après pour laisser place à l'exploitation de "Partir" sur le même support.

Des regrets donc au niveau de la production, quelques faiblesses éparses mais, dans l'ensemble, un bon cru à la fois inattendu et diversifié tout en restant homogène grâce à la justesse constante de l'interprétation.
Un vrai 3/5.





ALICE COOPER
CONSTRICTOR


Le 08 Février 2022 par LE MOUNGEPEDOUN


J'adore cet album, c'est simple, direct et efficace, du Alice sans chichi en somme, un pur régal !





DARCY
MACHINES DE GUERRE


Le 08 Février 2022 par RICHARD

Je ne voulais pas mourir idiot...la chanson 'contestataire ' n'étant pas nécessairement ma tasse de thé mais la chronique de Gegers comme d'habitude est alléchante. Je reste bloqué dans mes années ado avec No One justement ou RATM circa 1993-1995. J'ai écouté un titre au hasard : Rediaboliser. Évidemment un avis ne se fait avec si peu de recul...mais comment dire...entre Toupar, ( yo gros ) Jean-Marie, on se croirait en 1995 quand à Caen lycéens et étudiants défilaient contre Le Pen père. Malaise TV.







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