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Karen CHERYL
KAREN CHERYL


Le 10 Août 2024 par CLANSMAN57

Un petit message pour adresser un énorme MERCI au Moungepedoun pour son commentaire super drôle:D






Camila CABELLO
C XOXO


Le 10 Août 2024 par LE VIEUNE

À voir la pochette, la Cendrillon entrepreneuse (pas vu le film chantant du même nom où elle joue et chante, je ne suis pas maso) se dévergonde ou, pour reprendre les propos d'un autres internautes lus sur un autre site, elle chercherait à devenir une nouvelle Charli XCX. Bref une lolita, ici latine, de plus qui montre, ici, qu'elle aime les sucettes en aguichant l'auditeur ou l'auditrice du regard. Gainsbourg/Gainsbarre n'aurait pas été indifférent pour lui écrire une chanson sans doute salace.

Je ne veux pas m'affliger une écoute entière de cet objet qui pue l'autotune (après quelques échantillons passés dans les oreilles) et la genre lolita Disney faussement chaste avec une voix standard de chipmunk trafiquée. Je ne veux pas m'infliger ce que j'ai toujours considéré détestable depuis les années lycées, ces produits destinés à faire fondre des cœurs des filles ou tirer la langue des garçons pubères.

Ici le vieux con qui s'est exprimé, à vous les studios ... !





Bernard LAVILLIERS
LES BARBARES


Le 10 Août 2024 par BERTRAND


C'est le disque que (presque) tous les aficionados s'accordent à désigner comme un des meilleurs de LAVILLIERS. Ce n'est pas mon cas. Certes, l'arrivée chez BARCLAY lui donne accès à des musiciens d'envergure (le percussionniste Mino CINELU est là, on le retrouvera presque 30 ans plus tard dans "Carnets de bord"). Mais quelques titres dispensables ("Haute surveillance", "Ecoute", "Junkie") et le fait que le disque soit si court me laissent sur ma faim.





Karen CHERYL
LIARS BEWARE


Le 10 Août 2024 par FRED


C'est une jolie surprise de découvrir une chronique sur cet album que j'ai usé jusqu'à la corde, même s'il est superflu de l'enrober avec la reconversion de la chanteuse et les (nouveaux) souvenirs qu'elle distille régulièrement sur les plateaux, comme celui de Madonna (elle ne l'aurait accompagnée qu'une seule fois et cette éventualité a été démentie par Patrick Hernandez, en plus qu'aucune archive de cette prestation n'a jamais été montrée). Je préfère garder l'image de la chanteuse que j'ai aimée entre 1978 et 1982.
Mais bref, concentrons-nous sur l'album, le seul entièrement composé de titres originaux (sauf erreur) dans la carrière de Karen. Ces 10 chansons tiennent toujours la route musicalement, ce n'est pas du disco violoneux cheap et sirupeux comme certaines productions de l'époque. Les paroles sont plutôt bonnes ('Liars beware", "Show me"), même s'il manque la touche féminine de Marguerite Procureur de l'album précédent. Avec le recul, "Tonight in Hollywood" me semble la meilleure, avec le plaisir d'entendre Karen dans un petit dialogue en anglais (contrairement à "Show me" où ce n'est pas sa voix parlée). Le disque est bien produit, presque trop : ce sont parfois presque des duos entre Karen et ses choristes ("Show me") quand sa voix n'est pas complètement noyée comme sur "Ready for love". Et c'est certainement cela qui a donné ce côté préfabriqué évoqué dans l'article.
J'ai relevé quelques erreurs et imprécisions dans les informations données. Humbert Ibach n'a jamais composé, il est seulement auteur, ici avec Alain Ward et Charles Rinieri (non René). Le principal compositeur des tubes de Karen Cheryl est Claude Morgan (Depuis son 1er single "Garde-moi avec toi" jusqu'à "Naturelle'ment" en passant pars "Sing to mama" et "Si"). Et sur cet album, également Jean-Luc Drion ainsi que Gil Slavin et Thomas Notons pour "Stand up performance".
"Making un making love" (que j'adore avec une voix beaucoup plus affirmée) n'a pas été un extrait de l'album, mais un single inédit (le 4e) qui aurait pu être inclus sur un 3e album. Ce fut en effet le dernier de cette époque, mais pas en anglais, puisque l'année suivante fut publié "I hope it's me", la version originale de "Si".
La période disco de Karen est évidemment la meilleure, ce fut aussi là qu'elle eut le look le plus sexy et naturel (surtout sur l'album précédent). Dommage qu'elle n'ait pas continué sur cette lancée.





SHEILA
L'AMOUR QUI BRULE EN MOI


Le 10 Août 2024 par COLARGOL


@Martin LaBotte : Diable ! Je n'imaginais pas, en écrivant ma propre appréciation sur ce disque, vous mener aussi loin dans une sorte de polémique aussi vive. Vous avez sans doute raison concernant le peu de mémoire de l'interprète quant à son propre répertoire (encore que j'ai du mal à comprendre comment on peut vraiment oublier ce qu'on a fait, même dans la plus grande précipitation). Et, comme vous, j'avais lu qu'elle considérait ce disque-là comme assez mineur d'après Paris Match qui, à mon avis, s'est contenté d'amalgamer des propos sans faire de détails. Sheila en effet déclara qu'on y entendait... des moutons : allusion, je pense, à l'Arche de Noé (dans lequel sauf erreur ou omission de ma part on n'y entend personne bêler, ni aucune chouette hululer ni aucun petit chien framboise aboyer). Ladite "Arche de noé" ne figurant évidemment pas dans ce 33-tours bien antérieur à la biblique fantaisie pour enfants parue en mars 1977 si je ne m'abuse. Qu'elle ne réécoute pas ses trop anciens disques, c'est tout à fait compréhensible. Vous me permettrez néanmoins de croire que "Patrick mon chéri" n'a jamais eu sa préférence, c'est un titre auquel elle se réfère souvent pour moquer la médiocrité de certains des textes de ses chansons. A part ça, la musique n'a rien de honteux, mais les paroles sont décidément impossibles à prendre au second degré. "L'amour qui brûle en moi" reste une chanson qui a dû tout de même lui rester puisqu'elle n'a pas hésité à la reprendre pour sa série de concerts au Cabaret Sauvage en 2006, non dans un medley mais à part entière. Et puis, rassurez-vous, je n'irai pas non plus défendre coûte que coûte "Flagrant délit de tendresse" dont je perçois aussi le grand défaut : celui d'être largement dépassé sur le plan des arrangements et même de la mélodie. Je l'ai mise en avant pour les raisons que vous avez très bien su capter: signaler que ce rare titre planqué dans une discographie foisonnante n'est pas si mal écrit pour donner à l'album dans son ensemble une cohérence dont Carrère se fichait sans doute éperdument (et avec lui, sa principale intéressée, la chanteuse). Tout comme pour le réputé 1er album (appelé "Love" par commodité) on pourrait signaler que plusieurs chansons forment un tout à peu près cohérent ("Votre enfant", "Vive la terre", "Fragile" "Blancs jaunes rouges noirs" structurent un disque qui ose se risquer vers des problématiques sérieuses et sont bien "écrites"). Sauf que "Les rois mages", "J'adore" viennent troubler ce semblant de cohérence et que d'autres titres ("Love", "Le carrosse" par exemple) se situent entre les deux : ni vraiment sérieuses ni vraiment fantaisistes. J'oserai même finalement rapprocher "Le carrosse" du 1er album à "La voiture" du second vrai album, "Love" bien sûr de"L'amour qui brûle en moi" et "Votre enfant" (titre qu'elle n'a jamais repris hélas) de "Flagrant délit de tendresse". Pour finir ce petit jeu des appariements entre deux disques, "Vive la terre" correspondrait à "C'est écrit" et "Fragile" à "Une fille ne vaut pas une femme"?
C'est très compliqué, en définitive, de confier le ressenti durable qu'on conserve d'un disque (surtout vieux de plus de 30 ans) sans être mal compris ou compris à demi. Je me suis permis de commenter, rebondir sur ce que vous avez, entre autres, écrit mais n'estime nullement que mon propre commentaire initial avait valeur de vérité omnisciente. Il entre forcément dans toute critique une part de subjectivité qui échappe aux lecteurs. "L'amour qui brûle en moi" est un album que je défends, comme vous et que je détache de toute la discographie de l'ex petite fille de français moyen. Est-ce pour autant que j'envisagerais qu'on m'enterre avec? Certainement pas. Il y a bien d'autres disques, d'autres interprètes que je place bien avant celui-ci, pour leurs réelles qualités originales aussi bien musicales que parolières. Mais mon plaidoyer pro "L'amour..." avait pour seule vocation de partager avec ceux qui s'aventurent ici, des impressions, ressentis loin des critiques faciles qui consistent à jeter inconsidérément avec l'eau du bain opportuniste, les anciens bébés d'une artiste qui n'a pourtant guère failli pour élever à un rang plus que convenable cette progéniture en vinyle. Quitte à ne pas se rappeler avec précision, comme vous l'avez fait remarquer, la nature des souvenirs liés à chacun de ces bébés décidément trop grandis. On dira alors, pour nous mettre d'accord, que "Patrick mon chéri" comme "Flagrant délit de tendresse", dans leurs catégories respectives, ont assez mal vieilli. Ce qui ne nous empêche pas de fondre encore de plaisir rien qu'à les ré-entendre nous lanciner avec de "vieilles" émotions.





The BLACK EYED PEAS
TONIGHT (BAD BOYS - RIDE OR DIE)


Le 09 Août 2024 par BAKER


Que dire des BLACK EYED PEAS ?

J'ai eu l'occasion d'avoir GRATUIT, NEUF, leur DVD. Je l'ai refusé.

* MOI *.

C'est dire tout le bien que je pense de ce collectif qui repousse chaque fois les limites de l'idiocratie. Tout ce que j'espère, c'est que Phil Collins va toucher un TRES gros chèque.

0/5, et encore.





Bernard LAVILLIERS
LE STEPHANOIS


Le 09 Août 2024 par BERTRAND


Ces vrais débuts ("Chanson pour ma mie" en 1968, "Les Poètes" en 1972) étaient un peu mitigés, avec un Bernard Lavilliers qui singeait volontiers Brel ("Le pharmacien") ou Ferrat et qui peinait à trouver sa voie. Là, on est dans le vif du sujet. "La Grande marée", "San Salvador" ou "Les Aventures extraordinaires d'un billet de banque" restent encore des morceaux de choix qu'il continue à chanter en scène. Un petit trésor caché. "Balthazar".





The BREEDERS
POD


Le 09 Août 2024 par BLUEMASK


Elles sont où les chansons? Grosse deception de la part de Kim Deal qui était peut-être pas la songwriteuse des Pixies, mais son âme et sa conscience punk. Il reste le son de gratte, quelques belles lignes de chant parfois, mais sans chanson, sans refrains dignes, sans mélodie, c’est un peu juste
Les Breeders groupe refuge d’une légende et d’un hit surprenant. Pas plus.





COLDPLAY
A RUSH OF BLOOD TO THE HEAD


Le 08 Août 2024 par BLUEMASK


Furtivement, Coldplay a été important. Entre un premier disque honnêtement anodin et à partir du 4ème, une descente tout schuss dans la chantilly d'une pop béate et inoffensive.
L'espace de cet afflux sanguin dans le cerveau (et dans une moindre mesure sur le suivant), Coldplay a su faire une pop grandiose, émouvante, taillée pour le succès commercial sans transiger sur l'exigence. Le titre d'ouverture 'Politik' avec sa seconde moitié sublime avant une entame plus froide, symbolise cette exigence. De même, Le suivant 'In my place' aurait pu finir en putasserie ultime mais l'équilibre fragile que le groupe tient en fait une ballade ultime de ces années 2000. 2 autres titres font office de tubes, les archi-connus 'The scientist' et 'Clock'. Et après, il faut tout de même dire que la qualité sublime jusque là présentée se tasse un poil, tout en restant surcette ligne d'une belle élégance. On va pas entendre un rot ou un pet en ouverture d'un morceau, et c'est bien aussi parfois.
Voilà, j'ai dit que j'ai aimé Coldplay, je peux aller faire ouhouhou avec un bracelet fluo avant d'aller manger mon toffu.





MARIE HENCHOZ
SAUTECROCHE 1


Le 08 Août 2024 par ARCHANGEL


La musique de mon enfance 3
Le cha-cha-cha du Pingouin bien au chaud dans ma tête pour le restant de mes jours, c’est surtout les émotions des chansons sur les ours qui gardent une place de choix dans mon coeur d’enfant (L’ours qui danse et Berceuse pour Michka - qui est un ourson et pas un oiseau).
Merci Marco pour cette kro madeleine de Proust





BANDE ORIGINALE DE FILM
THE SHINING


Le 08 Août 2024 par FOUDROCK


Album terrifiant (les morceaux de Penderecki, Bartok, Lygeti, contiennent leurs moments de tension) et franchement réussi, même si le dernier titre vient un peu briser l'ambiance.
48 minutes intenses.
Album très difficile à dénicher en vinyle, impossible à dénicher en CD.





Robert WYATT
ROCK BOTTOM


Le 08 Août 2024 par FOUDROCK


Un chef d'oeuvre absolu, inaltérable. Mais un disque qui compte, aussi, parmi les plus complexes à décrire, et il est souvent difficile. La première écoute ne sera quasiment jamais celle de la révélation.
Un album OVNIaque, avec des moments de pure grâce, des moments qui flirtent avec l'Ailleurs Absolu, comme ce final de "Sea Song", avec ces choeurs irréels et fantômatiques à faire frissonner, et ce "we're not alone" étrange de Wyatt, juste avant des vocalises cassées et poignantes.
Ou comme cette récitation d'Ivor Cutler, à la fin de "Little Red Robin Hood hit the road", avec sa si caractéristique voix.
Ou cette trompette de Mongezi Feza sur "Little Red Riding Hood hit the road".
Ou "Alife", version presque terrifiante d'inhumanité, d'atonité, de "Aifib".
Ou tout le disque, en fait, car l'album entier est une oeuvre vraiment inclassable, et la petite histoire autour de la genèse de l'album (accident de Wyatt, convalescence, bla bla) ne peut pas vraiment, totalement, l'expliquer.





MARIE HENCHOZ
SAUTECROCHE 1


Le 07 Août 2024 par BERTRAND


L'univers de Marie Henchoz, enrichi par des musiciens d'exception et les voix innocentes des enfants des Alpes suisses, fait merveille dans le monde de la chanson pour enfants. Où la Suisse a déjà excellé avec Henri DÈS. Un grand merci à Marco Stivell pour avoir chroniqué ce disque.





MARILLION
THIS STRANGE ENGINE


Le 07 Août 2024 par MASTERFAN


Après AFRAID OF SUNLIGHT, on se demandait ce que Marillion avait encore à nous offrir en 1997 lorsque sort ce 9ème album, THIS STRANGE ENGINE. On est vite mis au parfum : « Man of a thousand faces » est un brillant exercice de pop-rock acoustique. Couplet et refrain inspirés, c’est le Marillion que je préfère (même si ça se termine - décidément ils ne peuvent pas s’en empêcher – sur une dernière digression prog).

« One fine day » poursuit l’affaire avec élégance, Steve Rothery s’amuse à l’occasion à y jouer les guitaristes rock « classique 1969 », là encore mélodie simple, efficace et pas prise de tête. Impression confirmée avec « 80 days » qui tire lui aussi sur la pop assez basique mais sans être un « produit », comme pouvaient l’être certains morceaux de HOLIDAYS IN EDEN.

« Estonia » ne décolle réellement qu’au refrain, pour lequel Steve Hogarth arrive à se surpasser. Le sans-faute se poursuit avec le « Memory of water », autre prouesse cette fois quasi a capella de H. « An accidental man » redonne ensuite du peps à cet album qui hélas s’égare en fin de course avec l’anecdotique « Hope for the future » : on se demande ce qu’il vient foutre ici. Heureusement, la longue et belle suite prog « This strange engine » et les quelques fulgurances retrouvées de Steve Rothery viennent donner à cet album très consistant un final digne de ce nom.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Man of thousand faces. SEDUISANT (4) : Estonia, This strange engine, One fine day, Memory of water. PLAISANT (3,5) : 80 days, An accidental man. INTERESSANT (3) : Néant. EMOTION LIMITEE (2,5) : Hope for the future. Bilan : 3,75 et Top 5 à 4,10 : THIS STRANGE ENGINE cote pour moi 3.93, soit 15,72 /20.

Le Marillion des années 90, quoi qu’en pensait EMI, était loin d’être fini. C’est ici le début d’une nouvelle période faste pour un groupe qui va continuer à se réinventer.





Frédéric CHOPIN
LES PRéLUDES


Le 07 Août 2024 par NESTOR

Félicitations pour cette "première" chronique (du moins, pour moi, n'ayant pas lu la réelle première).
Une réussite, car cela m'a donné envie d'écouter cela.
Je n'ai pas trouvé la version 24 préludes, mais celle 26 préludes !!
Peu importe, j'ai passé un bon moment, même si cela n'est pas toujours de nature à remonter le moral.
Bonne continuation





Jacques DUTRONC
DUTRONC AU CASINO


Le 07 Août 2024 par BLUEMASK


Un bon disque, mais déséquilibré dans sa set list. La volonté est clairement de parcourir la disco du bonhomme, toutes périodes confondues... Il est toujours rejouissant de re-ecouter ses titres des années 60, et quelques titres des années 70 ('Les roses fanées', quelle chanson !), c'est le Dutronc éternel, dandy m'en-foutiste plein de morgue et de dérision. Le reste de sa discographie est tout de même plus compliqué et fait un peu pâle figure... Si 'L'hymne à l'amour' permet de retrouver le mordant provoc, 'Qui se soucie de nous' est lourd comme une pelleteuse avec ses claviers qui étaient déjà nazes à l'époque, et qui a envie d'écouter 'J'ai déjà donné', 'L'âme soeur' ou 'Corsica'?





Frédéric CHOPIN
LES PRéLUDES


Le 07 Août 2024 par CLANSMAN57


"Chez Martha Argerich, tout est bon". Je ne sais plus qui avait dit ça, mais je veux bien le croire. J'avais entendu à la radio, lors d'une émission spéciale consacrée à la pianiste, que cette dernière aurait pu devenir une championne de natation. Pour les mélomanes, heureusement qu'elle s'est concentrée sur le piano.
Sinon, j'ai une version jouée par Claudio Arrau sur laquelle se trouvent également ses "Impromptus";D
L'oeuvre est superbe, son aternance claire/obscure y est pour beaucoup et c'est idéal pour travailler l'oreille.
Je soupçonne Chopin d'avoir composé ces "Préludes" dans un but pédagogique.

Génial.








TELEPHONE
TELEPHONE LE LIVE


Le 07 Août 2024 par FOUDROCK


Un live dantesque. "Electric Cité", "Fleur de ma ville", "Un autre monde", "Dure limite", "Au coeur de la nuit", "Le taxi las", "Ca (c'est vraiment toi)" et surtout, "Un peu de ton amour" et ce solo mortel. L'ensemble de ce live est juste génial. Rien d'autre à dire. Même "Ce que je veux", morceau que je n'aime vraiment pas dans sa version studio, trouve grâce à mes oreilles ici.





John MAYALL
IN THE PALACE OF THE KING


Le 07 Août 2024 par YAN LE COADOU

Paru en 1967 l'album "Crusade " contient à mon avis l'un des blues les plus émouvant du genre avec le titre "the death of J.B Lenoir" et le saxo de Chris Mercer.
Autre titre phare de cet enregistrement , "O pretty woman" , avec la présence de l'excellentissime Mick Taylor .





PEARL JAM
TEN


Le 07 Août 2024 par BLUEMASK


Avec le temps, Pearl Jam deviendra un bon gros groupe de rock US, fer de lance d'un AOR next gen pour les personnes ayant été ado en 1990, mais ce premier disque dégage vraiment quelque chose de particulier, et a une atmosphère assez unique, difficile à expliquer.
Cela tient à ces mélodies fortes mais assez inhabituelles portées par la voix tantôt de gorge, tantôt éraillée de Vedder, à ces guitares omniprésentes, mais jamais écrasantes, très fluides, toutes en wah-wah, à cette rythmique presque tribale et à une production assez particulière, à la fois éthérée et minimaliste avec le chant mixé très en avant.
Et il y a les chansons, toutes vraiment excellentes, à part 'Oceans', certaines éternelles, comme 'Alive' ou 'Black', ballade tétanisante et crépusculaire.
On peut chier sur le groupe, le trouver insincère, Vedder énervant dans son rôle de dépressif post-ado de l'époque, mais voilà, en 1989, la ballade du moment était l'affreux 'Home Sweet Home' de Motley Crüe, 2 ans après c'était 'Black'. CQFD







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