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MEGADETH
RISK


Le 03 Février 2022 par BAKER

Je ne donnerai pas de note car je vais le réévaluer définitivement très prochainement, mais tous les souvenirs que j'ai concernant ce Risk sont bons. Prod énorme, mélodies subtiles mais bien amenées, super single disco-funk-metal, "fan song" réussie (et c'est très rarement le cas), kiffs persos bien amenés (Prince of Darkness), groove, chaleur, j'adore ce disque de manière générale.

Et ce qui me sidère c'est depuis quelque temps la mansuétude envers ce disque qui a été très copieusement dég.... par tout le monde, critiques, musiciens, fans.... Et même pas la version bouh-bad-boy de 2004, non, l'original bien commercial comme il faut. Pourquoi un tel revirement après plus de 20 ans ? Je l'ignore mais ça fait bigrement plaisir.





U2
THE JOSHUA TREE


Le 03 Février 2022 par BRUCE LA BROUSSE

J'ai entendu "In God's Country" à la radio, et stupéfaction, j'ai eu l'impression que c'était Bruce Springsteen qui chantait avec sa section rythmique avec The Edge en special guest à la fin pour le petit éclair de guitare stellaire - sa trademark habituelle un prolongement du riff sur le morceau Wire de l'album The Unforgettable Fire. Vu le thème et ce pastiche de Springsteen, "In God's Country" était taillé pour le marché américain.
The Joshua Tree est loin d'être un album parfait, c'est plutôt un disque inégal, fini dans la précipitation, avec un manque de recul évident. Le groupe fut tiraillé, ne sachant pas vraiment s'il fallait donner un aspect homogène au disque ou au contraire continuer à enregistrer au gré de l'inspiration. "Bullet the Blue Sky" fut une tentative de lorgner vers Hendrix et Black Sabbath mais le groupe ne sut pas aller trop loin et rester dans sa zone de confort.

Il y a clairement un trou d'air au début de la face B mais le final "Exit" avec son côté Helter Skelter-ien; un tour dans un manège grand huit avec ses haut et ses bas est très réussi. Ils réussissent à redevenir mystérieux à la fin avec la ballade Mothers of the disappeared.






IRON MAIDEN
THE FINAL FRONTIER


Le 03 Février 2022 par THIERRY RAOULT


C'est amusant, pour ma part, cet album, je le trouve très bon. Oui, très bon!
Oui, il y a des longueurs. C'est comme ça depuis 1995. Je l'écoute régulièrement, même si je passe souvent les pistes 4 et 5.

1. Satellite 15... The Final Frontier l'intro est très originale, dynamique, inquiétant. / le titre qui suit est très bon même s'il n'a rien d'original.
2. El Dorado Le titre commence par la fin, pas mal. Titre très dynamique, rythmé, excellent.
3. Mother Of Mercy bon
4. Coming Home + 5. The Alchemist moyen mais correct
6. Isle Of Avalon + 7. Starblind + 8. The Talisman + 9. The Man Who Would Be King + 10. When The Wild Wind Blows les 5 dernières pistes sont excellentes. Sur chaque morceau, il y a un pont très bon et captivant.

La pochette quoique meilleure que "X Factor" et "Dance of Death" n'est pas explicite.





IRON MAIDEN
WORLD'S ONLY FEMALE TRIBUTE (THE IRON MAIDENS)


Le 03 Février 2022 par POSI

Coucou
C'est très bien SACRILEGE et j'en parlerai un jour sur NIME (approximativement dans 40 ans au rythme ou je vais)
Bisous !





MEGADETH
RISK


Le 03 Février 2022 par THORPEDO


J'ai toujours eu beaucoup de mal avec ce "Risk".
Je n'ai rien contre les albums plus "Pop" ou disons "Grand Public" (non, ce n'est pas un gros mot!) de MEGADETH, j'aime beaucoup "Youthanasia" et "Cryptic Writings", j'apprécie même le très décrié "Super Collider" mais celui-ci ne fonctionne pas selon moi.
Comme si Dave Mustaine était allé trop loin dans le délire...
Ce n'est pas une catastrophe industrielle, juste un album un peu raté mais qui a quelques bons moments.





IRON MAIDEN
THE FINAL FRONTIER


Le 03 Février 2022 par THORPEDO


Pas génial, c'est le moins que l'on puisse dire, je préfère les deux suivants et assez largement, mais pas aussi mauvais que ça selon moi.
Il a ses moments.
Et je suis d'accord avec Chipstouille, l'intro fonctionne très bien.
C'est sûrement l'album que j'ai le moins écouté post-reformation.
Meilleur que "Virtual XI" ou "No Prayer For The Dying" qui restent les deux plus mauvais albums d'IRON MAIDEN selon moi mais inférieur à tout le reste.





IRON MAIDEN
THE FINAL FRONTIER


Le 03 Février 2022 par CLANSMAN57


Et la Bête, autrefois magnifique, devint hideuse et se mit à ramper lamentablement.
Elle avait déjà perdu de son éclat auparavant, un blobfish est désormais plus attirant.
Absolument RIEN de bon sur cet opus. "El Dorado" disponible en avant-première annonçait la couleur...
Pour moi, "The Final Frontier" a réussi à détrôner le vilain "Virtual XI". Rien que ça.

Je l'ai même acheté deux fois...Une première fois sur le web pour recevoir l'édition limitée à sa sortie.
C'est une boîte en métal avec un genre de hublot au milieu où l'on peut entrevoir une partie de la pochette: c'est vraiment hideux.
En fait, je n'ai jamais tenu une édition limitée aussi nulle entre les mains.
J'ai foncé en Allemagne le jour-même pour acheter une édition normale.
Si j'avais su...

"Donnez-moi un morceau de cette chose longue et molle" qu'il disait le Gérard.







IRON MAIDEN
WORLD'S ONLY FEMALE TRIBUTE (THE IRON MAIDENS)


Le 02 Février 2022 par CHIPSTOUILLE

Comme ça fait quand même 4 fois que je me l'écoute de suite, j'ai fini par commander le disque de Behind The Realms of Madness de SACRILEGE. Parce que c'est bon. Ca sonne comme le disque que j'aurais aimé entendre, la première fois que j'ai lancé Undisputed Attitude de SLAYER. Sauf que c'était pas ça...

Donc REMerci.

Qui que tu sois :)





SHEILA
SOLIDE


Le 02 Février 2022 par MARTIN LA BOTTE


Jamais estimation d'un album de SHEILA ne m'avait posé autant problème. Sans doute parce que l'annonce de la sortie imminente de ce recueil tant attendu avait pris des allures de quête du graal pour les fidèles qui avaient fini par désespérer d'ajouter une nouvelle pièce conséquente à leur collection après "Dense" en 1999.
13 ans d'attente et de manque pour 10 titres, c'est plutôt léger comme récompense. Yves MARTIN est aux commandes une fois de plus (la dernière) et ça se ressent, tant dans les chansons dont il est le co-auteur que dans la production.
"On s'en fout", au climat jazzy, est globalement sa plus convaincante, propre mais pas franchement marquante. "Pour un bout d'chemin" est juste sympa mais encore plus évanescente. "Je pardonnerai" pourrait être un des meilleurs titres avec son texte fort et son refrain conquérant (Marco y détecte une "sensibilité féminine", il est cependant vraisemblable que MARTIN l'ait pensé pour JOHNNY dont l'équipe semble avoir décliné l'offre) mais le morceau souffre d'un mixage médiocre et la voix de SHEILA se retrouve quelque peu noyée dans les choeurs sur les refrains.
Pas désagréable, "J'avais envie de vous revoir" n'avait pas sa place ici puisqu'il s'agit clairement d'un hymne de retrouvailles sur scène et ce n'est de surcroît qu'une resucée (moins légitime) de "Tu m'as manqué" offert uniquement en live pour le grand retour de la star en 98.
"Pour sauver l'amour" est certes plus accrocheur, il est même plutôt bien réalisé, mais ce titre chéri par SHEILA qui pensait tenir là un incontournable et qu'elle a surdéfendu en promo et dans ses concerts ultérieurs, est gâché par un thème rebattu et des paroles réchauffées; démonstration une fois de plus après "Film à l'envers" en 84, "Pour te retrouver" en 88 et "Dense" en 99, que l'artiste et feu son ex-mari étaient peu enclins à choisir l'extrait susceptible de lancer prestement un album sur la voie du succès.

Même sans MARTIN à l'ouvrage, on trouve encore du dispensable comme ce "Et je me passe" à l'écriture poussive. Du coup, le très synthétique "Mon Eldorado", des mêmes auteurs (GAZAN & DANDRIMONT) et sur lequel SHEILA avait osé l'autodérision en le présentant tel quel, sans remuer les lèvres à l'Olympia, ferait presque figure de bonus ludique et déton(n)ant. Il est clairement destiné à tous ceux qui gardent la nostalgie des années "french queen of the dancefloors".
Mais alors, s'il y en a, où vont donc se nicher les rares pépites de cet opus ?
"Une arrière-saison", sereinement grave, est sans doute le morceau le plus classieux de "Solide", il devrait séduire jusqu'aux moins inconditionnels, subtile interprétation de Sheila toute en émotion contenue et l'idée est aussi simple que belle. Il n'est tout de même pas interdit de déplorer la paresse de son auteure, Nina BOURAOUI qui a pondu un texte joli mais peu étoffé.
C'est du côté des 2 titres co-écrits par une certaine Aurélie ANTOLINI que l'harmonie entre paroles et musique est la plus remarquable. "Si je chante encore", extrêmement bien troussé, est un pied de nez élégant et hardi à tous ceux qui ont prédit/souhaité la capitulation définitive de SHEILA mais c'est mal connaître la résistance au combat de cette "guerrière". Enfin, sur l'autoritaire et très efficace "La Même histoire", la femme livre un constat douloureux et semble vouloir anticiper le terme fatal d'une relation passionnelle accidentée "je t'en prie, aide-moi pour qu'enfin nous cessions d'y croire.." mais de qui sollicite-t-elle l'aide ? De son compagnon ou celle du public ? Il était là, le tube de l'album !!!

Le visuel pochette, sans éclat et aussi engageant qu'une publicité dans "Notre temps", peut laisser supposer que, plus qu'une énième tentative de course dans les charts, la quête de reconnaissance pour l'artiste passe d'abord par un devoir supplémentaire d'authenticité. Les 2 n'étaient pas incompatibles, mais pour cela, fallait-il encore plus d'ambition créative (comme ce sera le cas en 2021). La déception prend donc le pas sur la joie de retrouver une vieille amie, surtout pour la célébration d'un "5x10".

Note réelle : 2,5/5 pour les 3 morceaux que j'aime beaucoup et aussi parce que cet album est paradoxalement associé à l'un des plus réjouissants concerts de SHEILA sur une scène parisienne (l'Olympia) à l'automne 2012, qui n'a malheureusement pas été capté et qui, lui, aurait mérité un petit "5 étoiles" dans la rubrique "live".





Tracy CHAPMAN
TRACY CHAPMAN


Le 02 Février 2022 par THIERRY RAOULT

C'est dingue, j'aurai parié qu'elle était sud-africaine. C'est en lisant cette chronique que je découvre qu'elle est américaine.
Je ne connais pas l'album, je ne connais que les 2 hits, que j'aime beaucoup, surtout "Revolution".





BLAKE ET MORTIMER
BANDE ORIGINALE DE LA SéRIE ANIMéE


Le 02 Février 2022 par MARCO STIVELL

Merci beaucoup Thierry pour cette bonne appréciation ! :)





GRYPHON
RED QUEEN TO GRYPHON THREE


Le 02 Février 2022 par MARCO STIVELL

Quel plaisir de lire ces mots venant de toi Tarte, devenus si rares !





IRON MAIDEN
WORLD'S ONLY FEMALE TRIBUTE (THE IRON MAIDENS)


Le 02 Février 2022 par CHIPSTOUILLE

Merci d'avoir répondu à mon appel de pied et donc de ces conseils.

2 de ces 3 formations ne sont cependant même pas traitées sur NIME. Je sais qu'ils n'ont pas parole d'évangile, mais un petit commentaire en sus et un conseil d'album à découvrir en priorité ne serait pas de refus. J'ai quand même été écouter quelques extraits.

A priori GIRLSCHOOL est dans l'esprit de MOTORHEAD ? Comme j'ai encore pas mal de retard à rattraper chez la bande à Lemmy, à partir de combien d'albums je laisse de côté MOTORHEAD (j'en suis à 4 albums, essentiellement de la période classique en dehors de 1916, et j'ai un cinquième chez moi à déballer) pour écouter un album de GIRLSCHOOL?
D'ailleurs, à ce propos, je me trompe peut-être d'interlocuteur mais il me semble reconnaitre le ton, merci pour le dossier paru dans Inoxydable le mag à ce sujet ? ;)

Pour SACRILEGE, ça a l'air plus dans mes cordes en termes de style. Mais n'avait-on pas dit "chanteuse" ? :D On sent bien l'inspiration Punk/Tom Araya, pour le coup... fallait-il s'en inspirer ?

Pour WINDHAND, je sais pas trop. Ca m'a l'air supérieur à ce que j'écoute habituellement en Doom, mais c'est un genre avec lequel j'ai toujours eu un peu de mal. Donc je renouvelle ma demande introductive. Un peu d'éclairage sur les meilleurs albums/titres ne serait pas de refus! Merci d'avance.





Joseph HAYDN
SYMPHONIE N°16 (HOGWOOD)


Le 02 Février 2022 par CHIPSTOUILLE

Merci pour cette question très intéressante.

J'ai donc été chercher la définition d'incongru, histoire d'être certain de ne pas répondre à côté de la plaque : "Contraire aux usages, à la bienséance."

Donc, j'emmerde la bienséance et encore plus les usages. Voilà, des bisous.


Plus sérieusement, je pense sincèrement que toute interprétation de nos jours, quelle qu'elle soit, n'est pas authentique. Je conseille (mais avec quelques réserves parce que parfois il s'écoute un peu parler) la chaîne AuthenticSound sur Youtube, qui fait régulièrement part de nouvelles "découvertes" au sujet de la musique classique et des "erreurs" d'interprétation dont nous aurions hérité du XIXème siècle. C'est très intéressant, mais a-t-on vraiment envie de se contenter d'une version du 3ème mouvement de la sonate au clair de lune de BEETHOVEN jouée deux fois plus lentement qu'aujourd'hui ? Parce que la version pleine de vélocité, aussi inauthentique qu'elle soit, elle déboîte. On aurait tort de s'en priver !

J'ajoute un second élément de réponse. Quel interprète est aujourd'hui réellement spécialiste de la musique période classique ? A part peut-être Andreas Staier, mais qui se spécialise donc sur les oeuvres pour pianoforte ? A ma connaissance, le monde des interprètes se divise en deux catégories : ceux qui jouent sur instruments modernes, d'obédience contemporaine ou romantique, et ceux qui jouent sur instruments d'époque, qui trouvent en général leur point d'origine dans la musique baroque.
Les premiers ont tendance à nous noyer le tout dans des surorchestrations sirupeuses dès que l'envie leur en prend, les seconds nous recouvrent parfois la musique de tout un tas de nuisances sonores sous couvert d'authenticité. J'ai une très légère préférence pour les seconds, j'admets. Mais quand RICHTER ou MUTTI, plutôt romantiques donc, font exploser BACH ou VIVALDI dans des choeurs surnuméraires, j'en redemande quand même.

Quand d'autres tentent une approche neutre en se contentant de "jouer la partition" au milieu, et c'est malheureusement trop souvent le cas avec HAYDN, c'est souvent sans saveur.

J'aime particulièrement Hogwood, Koopman et donc Antonini, tous trois provenant du monde baroque donc. Les trois aiment HAYDN, ils le vénèrent, et ça s'entend. Je suis sûrement passé à côté de l'interprète que j'aurais dû choisir ? Je pense que, comme eux, j'ai trouvé chez HAYDN ce que la musique baroque ne parvenait plus à m'offrir, et je perçois sa musique comme une amélioration du baroque, et non du pré-romantisme. La plupart de ses symphonies proposent une idée originale. Tout le contraire de bien des compositeurs baroques, qui se considéraient, ou tout du moins c'est l'impression qu'ils me donnent, plus comme des artisants que des artistes.

Si on prend en plus spécifiquement la date de 1760 (ou 1757-1761) pour cette symphonie n°16, c'est un no man's land question oeuvres et compositeurs célèbres. Quel est l'interprète spécialiste du empfindsamer stil de Carl Philip Emmanuel BACH ? Qui maîtrise HASSE, TELEMANN, RICHTER, DITTERSRDORF, les STAMITZ et toute l'école de Mannheim ? Personne aujourd'hui, à part peut-être quelques doctorants en histoire de l'art, et encore. Enfin, plus encore pour une symphonie classique qui nous propose un contrepoint lisible à la FUX, il me semble qu'un interprète spécialiste du baroque est tout sauf incongru pour interpréter cette symphonie. Et ce, même si je ne l'ai pas spécifiquement choisi, je n'ai qu'une version de la symphonie n°16 chez moi, orientée par une des deux seules semi-intégrales que je possède aujourd'hui. Je ne déborde pas de passion pour elle, donc voilà tout.

Donc non, je ne pense pas que ce soit "incongru". Pas plus que de noter des oeuvres de musique classique, de les traiter sur le même plan que je traite n'importe quel album de Metal ou d'électro, et de très souvent ignorer les histoires de tonalité, d'interprètes et de technique dans la manoeuvre. J'ai tenté, pour parler de musique classique, une approche moins élitiste (qui s'érode un peu avec le temps, certes, au fur et à mesure que j'apprends) et surtout moins dans l'actualité que les magazines spécialisés. Magazines qui sont de toutes façons en train de mourir puisque actualité et papier sont devenus aujourd'hui des termes incompatibles. Nous sommes sur un site généraliste. J'ai la prétention d'espérer que cette démarche pourrait aider certaines personnes à découvrir la musique classique, sans avoir à se prendre la tête avec les "usages", donc.

Le discours le plus sain que j'ai pu entendre sur la musique classique était une scène entre Albert Dupontel et Cécile de France dans le film Fauteuil D'orchestre de Danièle Thompson. Il y est question de l'écouter et de l'apprécier pour ce qu'elle est, telle qu'elle se présente à nous. L'important dans la musique, c'est la musique. Je me retrouve parfaitement dans ce personnage incarné par ce brillant acteur (et réalisateur). J'étouffe dès qu'il est question de porter un smoking, de Stradivarius vendu aux enchères, d'enfants "prodiges" dont on ruine la jeunesse à leur faire passer des concours aberrants, et donc d'avoir "la bonne approche". La "bonne approche" c'est de la merde. La musique classique est presque morte à cause de "la bonne approche". Faut dire que c'était une musique pour les nobles à la base. Mais on a donc fait la révolution il y a plus de 200 ans, et on leur a coupé la tête, aux nobles (enfin ceux qui ont payé pour les autres, qui sont toujours plus ou moins là, donc).

La musique qu'ils écoutaient, il est grandement temps qu'elle tombe de son piedestal, et que tout le monde puisse en profiter. Est-ce que ce n'était pas là le but initial de la révolution, que tout le monde puisse "en profiter" ? Il me semble bien que c'était le but de HAYDN, en tous cas. Lui raturait ses passages trop compliqués pour les commenter "c'était pour des oreilles trop savantes".
Sinon, à force de péter plus haut que son cul, on va finir par la "canceler", la musique classique. Et on ne voudra même plus en entendre parler. Ca serait dommage, je trouve.





IRON MAIDEN
WORLD'S ONLY FEMALE TRIBUTE (THE IRON MAIDENS)


Le 02 Février 2022 par H.

Et Girlschool ? Et Sacrilege ? Et Windhand ?

Le secret pour trouver des bons groupes à chanteuses, c'est de s'assurer que ça ne t'est pas balancé à la gueule comme un gros élément marketing.





Joseph HAYDN
SYMPHONIE N°16 (HOGWOOD)


Le 02 Février 2022 par BRADFLOYD

Bonjour CHIPSTOUILLE,
Une question : n'est-il pas incongru de commenter les symphonies de HAYDN, que je préfère personnellement à BEETHOVEN, exécutées par un spécialiste de la musique baroque ? A mon humble avis, cela aurait tendance à dénaturer l'oeuvre car son interprétation serait quelque peu anachronique ?
Qu'en penses-tu ?
Sinon, chronique sympa.





LORN
NOTHING ELSE


Le 02 Février 2022 par CHIPSTOUILLE

Erratum, le portrait de Holeraw que j'arbore vient du 3ème tome de la quadrilogie du Monstre de Enki Bilal, "Rendez-vous à Paris", paru en 2006, et non au 2ème comme je le pensais. Donc je n'ai pu le choisir dès Décembre 2004 à mon arrivée sur FP. La mémoire me fait défaut, j'ai dû changer d'avatar dans les premières années du site.
Je ne sais plus bien quel était mon premier avatar (peut-être HAL de 2001?) et à quelle occasion exacte je l'ai changé (probablement dès 2006) pour Holeraw.

Ca ne change rien à mon appréciation de ce cycle de BD, et tout particulièrement de son premier tome.

Mea Culpa.





CRADLE OF FILTH
EXISTENCE IS FUTILE


Le 02 Février 2022 par FAYTE83


Un grand cru. 20 ans après avoir lâché le groupe, je retrouve avec cet album tout ce que j'avais aimé à l'écoute de "Midian", "Dusk and her embrace" ou "Cruelty and the Beast".









CRADLE OF FILTH
EXISTENCE IS FUTILE


Le 01 Février 2022 par CHIPSTOUILLE

J'étais parti pour te dire qu'à ce compte-là, on peut tout autant citer le jugement dernier de Michelange ou la chute des anges rebelles de Rubbens. Et j'ai fini par trouver, comme Charlie, l'homme-oiseau qui bouffe quelqu'un avec des corbeaux qui lui sortent par le derrière ! Merci pour l'information! :) Je m'endormirai moins ignorant ce soir (mais toujours aussi bête)





Bob SEGER
AGAINST THE WIND


Le 01 Février 2022 par CSAMSA


Un de mes albums préférés de Bob Seger. Très bien équilibré entre titres énergiques et morceaux plus calmes mais intenses (j'adore les choeurs féminins sur Fire Lake). Seger est dans mon big four du Rock US Heartland avec Springsteen, Mellencamp et Petty. Des chroniques supplémentaires seraient bienvenues....







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